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Auteur González de Vallejo, Luis I.
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Affiner la rechercheProbabilistic Seismic-Hazard Assessment of the Canary Islands / González de Vallejo, Luis I. in Bulletin of the seismological society of America, Vol. 96 N°6 (Decembre 2006)
[article]
in Bulletin of the seismological society of America > Vol. 96 N°6 (Decembre 2006) . - 2040-2049 p.
Titre : Probabilistic Seismic-Hazard Assessment of the Canary Islands Titre original : Évaluation Séismique Probabiliste de Risque des Iles Canaries Type de document : texte imprimé Auteurs : González de Vallejo, Luis I., Auteur ; García-Mayordomo, Julián, Auteur ; Insua, Juan M., Auteur Article en page(s) : 2040-2049 p. Note générale : Génie Civil Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Evaluation séismique Risque Iles Canaries Archipel volcanique Séismicité tectonique Index. décimale : 551.2 Résumé : This article presents the first probabilistic seismic hazard assessment of the Canary Islands. The Canary Islands form a volcanic archipelago located on the passive margin of the African plate, 100 km off West Africa. Active volcanism has taken place on the islands in historical times, commonly together with the occurrence of volcanic-related seismic sequences, some of them felt as high as IMSK = X. In 1989 a notorious seismic sequence (mbLg 5.2) took place along a submarine fault located between the islands of Gran Canaria and Tenerife, clearly representing the occurrence of tectonic seismicity in the archipelago as well. In this article we review the geology and tectonics of the islands as well as recent paleoseismological findings on south Tenerife. We also revise, complete, and decluster the historical and instrumental seismic catalog of the islands. Seismic-hazard analysis is then performed following the standard Cornell (1968) method, defining three seismogenic sources and selecting an appropriate ground-motion attenuation relationship from Hawaiian data. Two hazard maps of the archipelago have been developed for return periods of 475 and 950 yr, as well as hazard curves for the capital cities. Calculated peak ground acceleration values at Santa Cruz de Tenerife and Las Palmas de Gran Canaria are 0.06 and 0.08g, and 0.05 and 0.07g, for the 475- and 950-yr return periods, respectively. Finally, we analyze the impact on hazard resulting from uncertainties associated with the seismogenic source model and the ground-motion attenuation relationship.
Cet article présente la première évaluation séismique probabiliste de risque des îles Canaries. Les îles Canaries forment un archipel volcanique situé sur la marge passive du plat africain, 100 kilomètres outre de l'Afrique occidentale. Le volcanisme actif a eu lieu sur les îles dans des périodes historiques, généralement ainsi que l'occurrence des ordres séismiques relatifs volcaniques, certains d'entre eux feutre aussi haut qu'imsk = X. En 1989 un ordre séismique notoire (mbLg 5.2) a eu lieu le long d'une anomalie submersible détectée entre les îles de Gran Canaria et Tenerife, représentant clairement l'occurrence de la séismicité tectonique dans l'archipel aussi bien. En cet article nous passons en revue la géologie et la tectonique des îles aussi bien que des résultats paleoseismological récents sur Tenerife du sud. Nous mettons à jour également, complet, et decluster le catalogue séismique historique et instrumental des îles. L'analyse de risque séismique est alors exécutée après les 1968) méthodes standard de Cornell (définissant trois sources seismogenique et choisissant un rapport au sol approprié d'atténuation de mouvement à partir des données hawaïennes. Deux cartes de risque de l'archipel ont été développées pendant les périodes de retour de 475 et 950 ans, aussi bien que des courbes de risque pour les villes capitales. Les valeurs au sol maximales calculées d'accélération chez Santa Cruz de Tenerife et le Las Palmas de Gran Canaria sont 0.06 et 0.08g, et 0.05 et 0.07g, parce que le 475- et les périodes 950-yr de retour, respectivement. En conclusion, nous analysons l'impact sur le risque résultant des incertitudes liées au modèle seismogenique de source et au rapport au sol d'atténuation de mouvement.
DEWEY : 551.2 ISSN : 0037-1106 En ligne : vallejo@geo.ucm.es, insuarev@geo.ucm.es , julian.g.mayordomo@cedex.es [article] Probabilistic Seismic-Hazard Assessment of the Canary Islands = Évaluation Séismique Probabiliste de Risque des Iles Canaries [texte imprimé] / González de Vallejo, Luis I., Auteur ; García-Mayordomo, Julián, Auteur ; Insua, Juan M., Auteur . - 2040-2049 p.
Génie Civil
Langues : Anglais (eng)
in Bulletin of the seismological society of America > Vol. 96 N°6 (Decembre 2006) . - 2040-2049 p.
Mots-clés : Evaluation séismique Risque Iles Canaries Archipel volcanique Séismicité tectonique Index. décimale : 551.2 Résumé : This article presents the first probabilistic seismic hazard assessment of the Canary Islands. The Canary Islands form a volcanic archipelago located on the passive margin of the African plate, 100 km off West Africa. Active volcanism has taken place on the islands in historical times, commonly together with the occurrence of volcanic-related seismic sequences, some of them felt as high as IMSK = X. In 1989 a notorious seismic sequence (mbLg 5.2) took place along a submarine fault located between the islands of Gran Canaria and Tenerife, clearly representing the occurrence of tectonic seismicity in the archipelago as well. In this article we review the geology and tectonics of the islands as well as recent paleoseismological findings on south Tenerife. We also revise, complete, and decluster the historical and instrumental seismic catalog of the islands. Seismic-hazard analysis is then performed following the standard Cornell (1968) method, defining three seismogenic sources and selecting an appropriate ground-motion attenuation relationship from Hawaiian data. Two hazard maps of the archipelago have been developed for return periods of 475 and 950 yr, as well as hazard curves for the capital cities. Calculated peak ground acceleration values at Santa Cruz de Tenerife and Las Palmas de Gran Canaria are 0.06 and 0.08g, and 0.05 and 0.07g, for the 475- and 950-yr return periods, respectively. Finally, we analyze the impact on hazard resulting from uncertainties associated with the seismogenic source model and the ground-motion attenuation relationship.
Cet article présente la première évaluation séismique probabiliste de risque des îles Canaries. Les îles Canaries forment un archipel volcanique situé sur la marge passive du plat africain, 100 kilomètres outre de l'Afrique occidentale. Le volcanisme actif a eu lieu sur les îles dans des périodes historiques, généralement ainsi que l'occurrence des ordres séismiques relatifs volcaniques, certains d'entre eux feutre aussi haut qu'imsk = X. En 1989 un ordre séismique notoire (mbLg 5.2) a eu lieu le long d'une anomalie submersible détectée entre les îles de Gran Canaria et Tenerife, représentant clairement l'occurrence de la séismicité tectonique dans l'archipel aussi bien. En cet article nous passons en revue la géologie et la tectonique des îles aussi bien que des résultats paleoseismological récents sur Tenerife du sud. Nous mettons à jour également, complet, et decluster le catalogue séismique historique et instrumental des îles. L'analyse de risque séismique est alors exécutée après les 1968) méthodes standard de Cornell (définissant trois sources seismogenique et choisissant un rapport au sol approprié d'atténuation de mouvement à partir des données hawaïennes. Deux cartes de risque de l'archipel ont été développées pendant les périodes de retour de 475 et 950 ans, aussi bien que des courbes de risque pour les villes capitales. Les valeurs au sol maximales calculées d'accélération chez Santa Cruz de Tenerife et le Las Palmas de Gran Canaria sont 0.06 et 0.08g, et 0.05 et 0.07g, parce que le 475- et les périodes 950-yr de retour, respectivement. En conclusion, nous analysons l'impact sur le risque résultant des incertitudes liées au modèle seismogenique de source et au rapport au sol d'atténuation de mouvement.
DEWEY : 551.2 ISSN : 0037-1106 En ligne : vallejo@geo.ucm.es, insuarev@geo.ucm.es , julian.g.mayordomo@cedex.es