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Techniques de l'ingénieur N / Blanc, André . Vol. N3Polymères alvéolairesMention de date : Trimestriel Paru le : 15/03/2008 |
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[article]
in Techniques de l'ingénieur N > Vol. N3 (Trimestriel) . - 14 p.
Titre : Ferrofluides : nanoparticules superparamagnétiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Irena Milosevic, Auteur ; Laurence Motte, Auteur ; Frédéric Mazaleyrat, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : 14 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Fluides -- Matériaux magnétiques. Résumé : Les premiers ferrofluides ont été synthétisés par F. Bitter au début des années 1930 avec l'idée de mettre en évidence les domaines de Weiss. Ces domaines, dont l'existence a été postulée en 1907 par le physicien français Pierre Weiss, constituent des zones dans lesquelles l'aimantation a une direction et une intensité uniforme. Il était fondamental de vérifier expérimentalement et directement cette hypothèse, car elle était indispensable pour assurer la compatibilité entre la théorie du magnétisme (théorie du champ moléculaire de Weiss) et l'existence d'un état macroscopiquement désaimanté. L'idée de Bitter est de mettre en évidence les domaines de la même façon que l'on met en évidence le champ magnétique avec de la limaille de fer. Cependant, l'échelle étant beaucoup plus petite, il était nécessaire de disposer de particules magnétiques très petites [BITTER (F.) - *] . Améliorée par W.C. Ellmore [ELLMORE (W.C.) - *] , la solution obtenue est peu stable.
En 1966, Papell mélange de la poudre de magnétite à du kérosène et broie l'ensemble pendant 10 mois en présence d'acide oléique. Rosensweig améliore le fluide de Papell et crée l'entreprise Ferrofluidics avec R. Moskowitz. En 1980, R. Massart invente le ferrofluide sans tensioactif : dans ce cas, c'est la charge ionique de surface qui assure la stabilité.
Les ferrofluides ont été longtemps cantonnés à la visualisation des domaines de Weiss (figures de Bitter) avant de susciter un intérêt théorique vers la fin des années 1940. Néel étudia notamment des particules de fer et des roches contenant une faible quantité de particules de magnétite, ce qui lui permit d'introduire la notion de « relaxation ». L'un des principaux obstacles était de disposer de particules dispersées de taille et de forme contrôlée. Cela fut réalisé à la fin des années 1950 par solidification rapide d'un mélange de fer et de cuivre très majoritaire, conduisant à la formation de petits précipités de fer dans la matrice de cuivre. C'est en travaillant sur ces échantillons que Bean et Livingstone identifièrent le comportement de type paramagnétique des nanoparticules, définirent la température de blocage et forgèrent le terme « superparamagnétique ».
Depuis les premières applications industrielles dans les années 1970, les ferrofluides sont demeurés un produit de niche, avec un nombre d'applications très limité (haut-parleurs et joints pour pompes turbomoléculaires), mais on note ces dernières années un fort intérêt industriel pour des applications de plus grande portée économique, comme les amortisseurs actifs et surtout une grande variété d'applications en biologie.REFERENCE : N 4 590 DEWEY : 620.1 Date : Avril 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-fo [...] [article] Ferrofluides : nanoparticules superparamagnétiques [texte imprimé] / Irena Milosevic, Auteur ; Laurence Motte, Auteur ; Frédéric Mazaleyrat, Auteur . - 2008 . - 14 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur N > Vol. N3 (Trimestriel) . - 14 p.
Mots-clés : Fluides -- Matériaux magnétiques. Résumé : Les premiers ferrofluides ont été synthétisés par F. Bitter au début des années 1930 avec l'idée de mettre en évidence les domaines de Weiss. Ces domaines, dont l'existence a été postulée en 1907 par le physicien français Pierre Weiss, constituent des zones dans lesquelles l'aimantation a une direction et une intensité uniforme. Il était fondamental de vérifier expérimentalement et directement cette hypothèse, car elle était indispensable pour assurer la compatibilité entre la théorie du magnétisme (théorie du champ moléculaire de Weiss) et l'existence d'un état macroscopiquement désaimanté. L'idée de Bitter est de mettre en évidence les domaines de la même façon que l'on met en évidence le champ magnétique avec de la limaille de fer. Cependant, l'échelle étant beaucoup plus petite, il était nécessaire de disposer de particules magnétiques très petites [BITTER (F.) - *] . Améliorée par W.C. Ellmore [ELLMORE (W.C.) - *] , la solution obtenue est peu stable.
En 1966, Papell mélange de la poudre de magnétite à du kérosène et broie l'ensemble pendant 10 mois en présence d'acide oléique. Rosensweig améliore le fluide de Papell et crée l'entreprise Ferrofluidics avec R. Moskowitz. En 1980, R. Massart invente le ferrofluide sans tensioactif : dans ce cas, c'est la charge ionique de surface qui assure la stabilité.
Les ferrofluides ont été longtemps cantonnés à la visualisation des domaines de Weiss (figures de Bitter) avant de susciter un intérêt théorique vers la fin des années 1940. Néel étudia notamment des particules de fer et des roches contenant une faible quantité de particules de magnétite, ce qui lui permit d'introduire la notion de « relaxation ». L'un des principaux obstacles était de disposer de particules dispersées de taille et de forme contrôlée. Cela fut réalisé à la fin des années 1950 par solidification rapide d'un mélange de fer et de cuivre très majoritaire, conduisant à la formation de petits précipités de fer dans la matrice de cuivre. C'est en travaillant sur ces échantillons que Bean et Livingstone identifièrent le comportement de type paramagnétique des nanoparticules, définirent la température de blocage et forgèrent le terme « superparamagnétique ».
Depuis les premières applications industrielles dans les années 1970, les ferrofluides sont demeurés un produit de niche, avec un nombre d'applications très limité (haut-parleurs et joints pour pompes turbomoléculaires), mais on note ces dernières années un fort intérêt industriel pour des applications de plus grande portée économique, comme les amortisseurs actifs et surtout une grande variété d'applications en biologie.REFERENCE : N 4 590 DEWEY : 620.1 Date : Avril 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-fo [...] Nanotechnologies dans le textile / Breton, Yannick in Techniques de l'ingénieur N, Vol. N3 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur N > Vol. N3 (Trimestriel) . - NM 3250
Titre : Nanotechnologies dans le textile Type de document : texte imprimé Auteurs : Breton, Yannick, Auteur ; Mougin, Bruno, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : NM 3250 Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Nanotechnologie, Nanotextile, Textile, Nanomatériau, Nanofibre, Ennoblissement. Résumé : Les nanotechnologies ont permis de générer toutes sortes de nanomatériaux aux propriétés singulières, qu’il est opportun de marier aux fonctionnalités intrinsèques des textiles. Ainsi nanoparticules d’argent aux effets antibactériens, membranes à base de nanofibres et revêtements nanostructurés imitant la feuille de lotus se retrouvent déjà dans des produits textiles de grande consommation. Pour réaliser ces nanotextiles, les entreprises du secteur ont deux choix : incorporer des nanomatériaux préfabriqués avec les outils traditionnels ou faire évoluer cet outil industriel vers la production de nanocomposés (nanocouches, nanofibres principalement) directement intégrés aux textiles. Quelle que soit la stratégie adoptée, elle doit s’accompagner des précautions nécessaires à la manipulation de ces nouveaux produits, en particulier aujourd’hui dans un cadre règlementaire toujours en cours de définition. REFERENCE : NM 3250 Date : Avril 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/textiles-tra [...] [article] Nanotechnologies dans le textile [texte imprimé] / Breton, Yannick, Auteur ; Mougin, Bruno, Auteur . - 2008 . - NM 3250.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur N > Vol. N3 (Trimestriel) . - NM 3250
Mots-clés : Nanotechnologie, Nanotextile, Textile, Nanomatériau, Nanofibre, Ennoblissement. Résumé : Les nanotechnologies ont permis de générer toutes sortes de nanomatériaux aux propriétés singulières, qu’il est opportun de marier aux fonctionnalités intrinsèques des textiles. Ainsi nanoparticules d’argent aux effets antibactériens, membranes à base de nanofibres et revêtements nanostructurés imitant la feuille de lotus se retrouvent déjà dans des produits textiles de grande consommation. Pour réaliser ces nanotextiles, les entreprises du secteur ont deux choix : incorporer des nanomatériaux préfabriqués avec les outils traditionnels ou faire évoluer cet outil industriel vers la production de nanocomposés (nanocouches, nanofibres principalement) directement intégrés aux textiles. Quelle que soit la stratégie adoptée, elle doit s’accompagner des précautions nécessaires à la manipulation de ces nouveaux produits, en particulier aujourd’hui dans un cadre règlementaire toujours en cours de définition. REFERENCE : NM 3250 Date : Avril 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/textiles-tra [...] Matériaux semiconducteurs à grand gap: le carbure de silicium (SiC) / Jean Camassel in Techniques de l'ingénieur N, Vol. N3 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur N > Vol. N3 (Trimestriel) . - 17 p.
Titre : Matériaux semiconducteurs à grand gap: le carbure de silicium (SiC) Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Camassel, Auteur ; Sylvie Contreras, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : 17 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : SiC semi-conducteur; Capteurs SiC/Si; Graphène sur SiC Résumé : D’une façon générale, le domaine d’application privilégié du carbure de silicium (SiC) est la distribution de l’énergie électrique avec une forte valeur ajoutée dans les composants de puissance. Les premières diodes Schottky 600V sont apparues sur le marché en 2002, suivies en 2010 par des transistors MOS et JFET. Dans cet article, nous reprenons l’état de l’art paru en 1998 en incluant des applications électroniques récentes, comme la croissance de graphène sur SiC. REFERENCE : E1 990v2 Date : Aout 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-a- [...] [article] Matériaux semiconducteurs à grand gap: le carbure de silicium (SiC) [texte imprimé] / Jean Camassel, Auteur ; Sylvie Contreras, Auteur . - 2008 . - 17 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur N > Vol. N3 (Trimestriel) . - 17 p.
Mots-clés : SiC semi-conducteur; Capteurs SiC/Si; Graphène sur SiC Résumé : D’une façon générale, le domaine d’application privilégié du carbure de silicium (SiC) est la distribution de l’énergie électrique avec une forte valeur ajoutée dans les composants de puissance. Les premières diodes Schottky 600V sont apparues sur le marché en 2002, suivies en 2010 par des transistors MOS et JFET. Dans cet article, nous reprenons l’état de l’art paru en 1998 en incluant des applications électroniques récentes, comme la croissance de graphène sur SiC. REFERENCE : E1 990v2 Date : Aout 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-a- [...]
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