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Evolution de la méthode du GRADEX : approche par type de temps et modélisation hydrologique / Paquet, Emmanuel in La Houille blanche, N° 5 (2006) 

Public ISBD [article]  in La Houille blanche > N° 5 (2006) . - 80-90 p. Titre : Evolution de la méthode du GRADEX : approche par type de temps et modélisation hydrologique Titre original : Evolution of the GRADEX method : improvement by atmospheric circulation classification and hydrological modelling Type de document : texte imprimé Auteurs : Paquet, Emmanuel, Auteur ; Gailhard, Joël, Auteur ; Garçon, Rémy, Auteur Article en page(s) : 80-90 p. Note générale : Hydraulique Langues : Français (fre) Mots-clés : Modèle  hydrologique  Crue  Méthode  du  GRADEX  Pluie Index. décimale : 551.4 Résumé : The physico-statistical approach of the flood prediction by the GRADEX method seems very effective : it's very straightforward and makes it possible to obtain completely coherent results by a robust and very readable step. To assess the quality of the approximation carried out by this model, some improvements have been tested on two significant points, leading to the SCHADEX method. SCHADEX is based on the study of the risk of precipitation related to each type of atmospheric circulation. This typology highlights the weather configuration of stronger rainfall risk and therefore increases the probabilities of extreme rains. The runoffs resulting from these precipitations, depending on highly variable hydrological conditions, are estimated by the MORDOR hydrological model. The results show a fast increasing of the rainfall efficiency going from common to rare floods. But this increase is smoother than with the initial GRADEX approach, which moderates the impact of heavier extreme rainfall. La représentation physico-statistique du processus de crue par la méthode du GRADEX semble très efficace : la modélisation va en effet à l’essentiel et permet d’obtenir des résultats tout à fait cohérents par une démarche robuste et très lisible. Pour apprécier la qualité de l’approximation réalisée par ce modèle, on a voulu tester son enrichissement sur deux points sensibles. Cet enrichissement fait l’objet de la méthode SCHADEX : Simulation Climato-Hydrologique pour l’Appréciation des Débits Extrêmes. SCHADEX s’appuie sur l’étude du risque de précipitation relatif à chaque type de circulation atmosphérique. Cette typologie permet de mettre en relief les configurations météorologiques à plus fort risque et amène, par conséquent, à revoir à la hausse les probabilités de pluies extrêmes. Les débits pouvant résulter de ces précipitations dans des conditions hydrologiques très différentes les unes des autres sont alors estimés à l’aide du modèle hydrologique MORDOR. Les résultats montrent une progression rapide du rendement marginal des précipitations lorsqu’on passe des crues courantes aux crues plus rares. Mais cette progression est moins brutale qu’avec le modèle initial du GRADEX, ce qui tempère la prise en compte de pluies plus importantes. DEWEY : 553.7 ISSN : 0018-6368 RAMEAU : Modèles hydrologiques En ligne : http://www.shf-lhb.org/index.php?option=article&access=standard&Itemid=129&url=/ [...] [article] Evolution de la méthode du GRADEX : approche par type de temps et modélisation hydrologique = Evolution of the GRADEX method : improvement by atmospheric circulation classification and hydrological modelling [texte imprimé] / Paquet, Emmanuel, Auteur ; Gailhard, Joël, Auteur ; Garçon, Rémy, Auteur . - 80-90 p. Hydraulique Langues : Français (fre) in La Houille blanche > N° 5 (2006) . - 80-90 p. Mots-clés : Modèle  hydrologique  Crue  Méthode  du  GRADEX  Pluie Index. décimale : 551.4 Résumé : The physico-statistical approach of the flood prediction by the GRADEX method seems very effective : it's very straightforward and makes it possible to obtain completely coherent results by a robust and very readable step. To assess the quality of the approximation carried out by this model, some improvements have been tested on two significant points, leading to the SCHADEX method. SCHADEX is based on the study of the risk of precipitation related to each type of atmospheric circulation. This typology highlights the weather configuration of stronger rainfall risk and therefore increases the probabilities of extreme rains. The runoffs resulting from these precipitations, depending on highly variable hydrological conditions, are estimated by the MORDOR hydrological model. The results show a fast increasing of the rainfall efficiency going from common to rare floods. But this increase is smoother than with the initial GRADEX approach, which moderates the impact of heavier extreme rainfall. La représentation physico-statistique du processus de crue par la méthode du GRADEX semble très efficace : la modélisation va en effet à l’essentiel et permet d’obtenir des résultats tout à fait cohérents par une démarche robuste et très lisible. Pour apprécier la qualité de l’approximation réalisée par ce modèle, on a voulu tester son enrichissement sur deux points sensibles. Cet enrichissement fait l’objet de la méthode SCHADEX : Simulation Climato-Hydrologique pour l’Appréciation des Débits Extrêmes. SCHADEX s’appuie sur l’étude du risque de précipitation relatif à chaque type de circulation atmosphérique. Cette typologie permet de mettre en relief les configurations météorologiques à plus fort risque et amène, par conséquent, à revoir à la hausse les probabilités de pluies extrêmes. Les débits pouvant résulter de ces précipitations dans des conditions hydrologiques très différentes les unes des autres sont alors estimés à l’aide du modèle hydrologique MORDOR. Les résultats montrent une progression rapide du rendement marginal des précipitations lorsqu’on passe des crues courantes aux crues plus rares. Mais cette progression est moins brutale qu’avec le modèle initial du GRADEX, ce qui tempère la prise en compte de pluies plus importantes. DEWEY : 553.7 ISSN : 0018-6368 RAMEAU : Modèles hydrologiques En ligne : http://www.shf-lhb.org/index.php?option=article&access=standard&Itemid=129&url=/ [...]

Retour d’expérience et perspectives d’exploitation des Nivomètres à Rayonnement Cosmique d’EDF / Paquet, Emmanuel in La Houille blanche, N° 2 (2006) 

Public ISBD [article]  in La Houille blanche > N° 2 (2006) . - 113-119 p. Titre : Retour d’expérience et perspectives d’exploitation des Nivomètres à Rayonnement Cosmique d’EDF Titre original : Operation feedback and prospects of EDF Cosmic-Ray Snow Sensors Type de document : texte imprimé Auteurs : Paquet, Emmanuel, Auteur ; Laval, Marie-Thérèse, Auteur Article en page(s) : 113-119 p. Note générale : Hydraulique Langues : Français (fre) Mots-clés : EDF  Nivomètre  Rayonnement  cosmique  Couvert  neigeux  Capteur Index. décimale : 551.4 Résumé : To make an accurate estimate of the snowmelt inflows of his reservoirs, EDF runs a network of about 40 Cosmic-Ray Snow Sensors in the french mountainous regions. This network has been built between 1998 and 2004. The Cosmic-Ray Snow Sensor provides a real-time measurement of the snow water equivalent by measuring the absorption of the cosmic-ray neutrons by the snowpack water. A « snow-free » reference signal is necessary to account for the natural variations of the cosmic ray. The local calibration of each device with on-site snow gauge measurements appears to be essential. With those precautions, the accuracy and the reliability of the Cosmic-Ray Snow Sensor measurement are fully satisfying. Examples of snow-water equivalent time series and corresponding on-site snow gauge measurements are given. In some cases, the surrounding soil dampness has a strong influence on the snowpack measurement. A specific sensor has been designed to solve this problem. The experimental calibration of both sensors is presented. Pour l’estimation des apports de fonte nivale, EDF exploite un parc de près de 40 Nivomètres à Rayonnement Cosmique (NRC) dans les massifs montagneux français. L’équipement du parc a débuté en 1998 et s’est achevé à la fin de l’année 2004. Le NRC mesure l’atténuation du rayonnement cosmique naturel par le couvert neigeux. Une mesure « hors neige » d’un signal de référence est nécessaire pour compenser les variations naturelles du rayonnement cosmique. La calibration locale de l’appareil par des sondages in-situ s’avère également indispensable. Avec ces précautions, la fiabilité et la précision du signal « valeur en eau » des NRC est tout à fait satisfaisante. Des chroniques et des sondages réalisés en différents sites des Alpes illustreront le propos. Dans certains cas, l’humidité du sol environnant le capteur influence significativement la mesure du couvert neigeux. Un capteur spécifique a donc été conçu pour y remédier. La calibration expérimentale des deux capteurs est également présentée. DEWEY : 553.7 ISSN : 0018-6368 RAMEAU : Pluviomètres En ligne : http://www.shf-lhb.org/index.php?option=article&access=standard&Itemid=129&url=/ [...] [article] Retour d’expérience et perspectives d’exploitation des Nivomètres à Rayonnement Cosmique d’EDF = Operation feedback and prospects of EDF Cosmic-Ray Snow Sensors [texte imprimé] / Paquet, Emmanuel, Auteur ; Laval, Marie-Thérèse, Auteur . - 113-119 p. Hydraulique Langues : Français (fre) in La Houille blanche > N° 2 (2006) . - 113-119 p. Mots-clés : EDF  Nivomètre  Rayonnement  cosmique  Couvert  neigeux  Capteur Index. décimale : 551.4 Résumé : To make an accurate estimate of the snowmelt inflows of his reservoirs, EDF runs a network of about 40 Cosmic-Ray Snow Sensors in the french mountainous regions. This network has been built between 1998 and 2004. The Cosmic-Ray Snow Sensor provides a real-time measurement of the snow water equivalent by measuring the absorption of the cosmic-ray neutrons by the snowpack water. A « snow-free » reference signal is necessary to account for the natural variations of the cosmic ray. The local calibration of each device with on-site snow gauge measurements appears to be essential. With those precautions, the accuracy and the reliability of the Cosmic-Ray Snow Sensor measurement are fully satisfying. Examples of snow-water equivalent time series and corresponding on-site snow gauge measurements are given. In some cases, the surrounding soil dampness has a strong influence on the snowpack measurement. A specific sensor has been designed to solve this problem. The experimental calibration of both sensors is presented. Pour l’estimation des apports de fonte nivale, EDF exploite un parc de près de 40 Nivomètres à Rayonnement Cosmique (NRC) dans les massifs montagneux français. L’équipement du parc a débuté en 1998 et s’est achevé à la fin de l’année 2004. Le NRC mesure l’atténuation du rayonnement cosmique naturel par le couvert neigeux. Une mesure « hors neige » d’un signal de référence est nécessaire pour compenser les variations naturelles du rayonnement cosmique. La calibration locale de l’appareil par des sondages in-situ s’avère également indispensable. Avec ces précautions, la fiabilité et la précision du signal « valeur en eau » des NRC est tout à fait satisfaisante. Des chroniques et des sondages réalisés en différents sites des Alpes illustreront le propos. Dans certains cas, l’humidité du sol environnant le capteur influence significativement la mesure du couvert neigeux. Un capteur spécifique a donc été conçu pour y remédier. La calibration expérimentale des deux capteurs est également présentée. DEWEY : 553.7 ISSN : 0018-6368 RAMEAU : Pluviomètres En ligne : http://www.shf-lhb.org/index.php?option=article&access=standard&Itemid=129&url=/ [...]