Les Inscriptions à la Bibliothèque sont ouvertes en
ligne via le site: https://biblio.enp.edu.dz
Les Réinscriptions se font à :
• La Bibliothèque Annexe pour les étudiants en
2ème Année CPST
• La Bibliothèque Centrale pour les étudiants en Spécialités
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les recherches... |
Techniques de l'ingénieur BT / Blanc, André . Vol. BT1Travail des matériaux, assemblageMention de date : Trimestriel Paru le : 05/01/2011 |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierSimulation numérique de l'usinage / Kalay, Fikert in Techniques de l'ingénieur BT, Vol. BT1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 14 p.
Titre : Simulation numérique de l'usinage : application à l'aluminium AU4G (A2024-T351) Type de document : texte imprimé Auteurs : Kalay, Fikert, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Simulation numérique Usinage Aluminium Résumé : Lévolution des techniques d'usinage a conduit ces dix dernières années à développer un nouveau concept de production qui permet d'accroître la productivité : l'Usinage à Grande Vitesse (UGV).
Les caractéristiques thermomécaniques sont encore plus prépondérantes dans une opération UGV que lors d'un usinage conventionnel. C'est pour cela que les principaux axes de recherches scientifiques sont très orientés UGV.
L'opération d'usinage consiste à enlever de la matière par l'intermédiaire d'un outil coupant. La pièce (en tournage) ou l'outil (en fraisage) sont entraînés en rotation. Avec un mouvement de l'outil combiné d'avance, l'enlèvement de matière se produit alors à l'interface de la pointe de l'outil et de la pièce à usiner (enlèvement de copeaux).
L'Usinage Grande Vitesse se caractérise par des vitesses de coupe élevées (vitesse relative de l'outil par rapport à la pièce). Ces grandes vitesses engendrent un phénomène de coupe spécifique.
En augmentant la vitesse de coupe au-delà des limites de vitesse de l'usinage conventionnel, on commence par traverser une zone de vitesses inexploitables dans laquelle les conditions de coupe sont dégradées (usure rapide de l'outil, mauvais état de surface...), puis on arrive dans le domaine de l'UGV où les conditions de coupe sont excellentes. La limite entre les zones est arbitraire et dépend des matériaux usinés.
La modélisation de ces phénomènes, dans une optique de prédire les opérations d'usinage, reste très délicate à mettre en œuvre en fonction des objectifs que l'on se donne, notamment si l'on se préoccupe des détails à l'échelle microscopique.
En effet, des sollicitations thermiques sont générées lors de la coupe par l'auto-échauffement au sein du matériau de la pièce et par les frottements à l'interface outil/pièce.
En usinage conventionnel, l'énergie calorifique s'évacue dans les copeaux mais également dans la pièce et l'outil dans des proportions non négligeables. Ainsi, le matériau subit un traitement thermique local (trempe superficielle) qui modifie les caractéristiques de la pièce finie.
En UGV, la nature de la formation du copeau est différente et l'énergie de la coupe s'évacue à plus de 80 % dans les copeaux. Bien que des énergies plus importantes soient mises en jeu, les échanges thermiques entre le copeau et la pièce n'ont plus le temps d'avoir lieu : celle-ci reste pratiquement à température ambiante.
L'objectif de cet article est de présenter les techniques de simulation de l'usinage à différentes échelles :
échelle humaine : simulation de l'environnement de l'usinage : outil, machine, cinématique... ;
échelle macroscopique : outil/pièce pour visualisation des défauts de trajectoires, prédiction des états de surface... ;
échelle microscopique : l'interface arête de coupe/matière : la simulation numérique de la coupe – modélisation par éléments finis.
Un approfondissement est réalisé sur la dernière approche : simulation par éléments finis. Elle sera argumentée par une confrontation expérimentale pour en déduire la pertinence.
Pour plus d'informations sur la modélisation de la coupe, le lecteur pourra utilement se reporter à l'article [BM 7 041] « Modélisation de la coupe des métaux » par Éric Felder.REFERENCE : BM 7 002 DEWEY : 620.1 Date : Octobre 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr [article] Simulation numérique de l'usinage : application à l'aluminium AU4G (A2024-T351) [texte imprimé] / Kalay, Fikert, Auteur . - 2011 . - 14 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 14 p.
Mots-clés : Simulation numérique Usinage Aluminium Résumé : Lévolution des techniques d'usinage a conduit ces dix dernières années à développer un nouveau concept de production qui permet d'accroître la productivité : l'Usinage à Grande Vitesse (UGV).
Les caractéristiques thermomécaniques sont encore plus prépondérantes dans une opération UGV que lors d'un usinage conventionnel. C'est pour cela que les principaux axes de recherches scientifiques sont très orientés UGV.
L'opération d'usinage consiste à enlever de la matière par l'intermédiaire d'un outil coupant. La pièce (en tournage) ou l'outil (en fraisage) sont entraînés en rotation. Avec un mouvement de l'outil combiné d'avance, l'enlèvement de matière se produit alors à l'interface de la pointe de l'outil et de la pièce à usiner (enlèvement de copeaux).
L'Usinage Grande Vitesse se caractérise par des vitesses de coupe élevées (vitesse relative de l'outil par rapport à la pièce). Ces grandes vitesses engendrent un phénomène de coupe spécifique.
En augmentant la vitesse de coupe au-delà des limites de vitesse de l'usinage conventionnel, on commence par traverser une zone de vitesses inexploitables dans laquelle les conditions de coupe sont dégradées (usure rapide de l'outil, mauvais état de surface...), puis on arrive dans le domaine de l'UGV où les conditions de coupe sont excellentes. La limite entre les zones est arbitraire et dépend des matériaux usinés.
La modélisation de ces phénomènes, dans une optique de prédire les opérations d'usinage, reste très délicate à mettre en œuvre en fonction des objectifs que l'on se donne, notamment si l'on se préoccupe des détails à l'échelle microscopique.
En effet, des sollicitations thermiques sont générées lors de la coupe par l'auto-échauffement au sein du matériau de la pièce et par les frottements à l'interface outil/pièce.
En usinage conventionnel, l'énergie calorifique s'évacue dans les copeaux mais également dans la pièce et l'outil dans des proportions non négligeables. Ainsi, le matériau subit un traitement thermique local (trempe superficielle) qui modifie les caractéristiques de la pièce finie.
En UGV, la nature de la formation du copeau est différente et l'énergie de la coupe s'évacue à plus de 80 % dans les copeaux. Bien que des énergies plus importantes soient mises en jeu, les échanges thermiques entre le copeau et la pièce n'ont plus le temps d'avoir lieu : celle-ci reste pratiquement à température ambiante.
L'objectif de cet article est de présenter les techniques de simulation de l'usinage à différentes échelles :
échelle humaine : simulation de l'environnement de l'usinage : outil, machine, cinématique... ;
échelle macroscopique : outil/pièce pour visualisation des défauts de trajectoires, prédiction des états de surface... ;
échelle microscopique : l'interface arête de coupe/matière : la simulation numérique de la coupe – modélisation par éléments finis.
Un approfondissement est réalisé sur la dernière approche : simulation par éléments finis. Elle sera argumentée par une confrontation expérimentale pour en déduire la pertinence.
Pour plus d'informations sur la modélisation de la coupe, le lecteur pourra utilement se reporter à l'article [BM 7 041] « Modélisation de la coupe des métaux » par Éric Felder.REFERENCE : BM 7 002 DEWEY : 620.1 Date : Octobre 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr Indications ISO (GPS) pour tolérancer la micro- et macrogéométrie des pièces mécaniques et leurs significations / Serge - François Gabriel in Techniques de l'ingénieur BT, Vol. BT1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 21 p.
Titre : Indications ISO (GPS) pour tolérancer la micro- et macrogéométrie des pièces mécaniques et leurs significations Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge - François Gabriel, Auteur ; Vincent, Rénald, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 21 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Spécifications géométriques dimensionnelles Résumé : Les spécifications dimensionnelles, géométriques ou d'état de surface sont des outils symboliques indiqués sur les dessins de définition des pièces ou sur un modèle 3D spécifié (annotation de spécifications 3D) afin de transcrire les fonctions attendues sur ou dans le système.
Une pièce industrielle est définie par les bureaux d'études afin d'assurer une fonction déterminée à un prix de revient minimal.
À partir d'un cahier des charges fonctionnel, le concepteur choisit les solutions techniques et définit le dessin d'ensemble d'un système, puis les dessins de définition de ses composants.
sins de définition sont des vecteurs de communication qui permettent au bureau d'études de décrire ses attentes aux autres services (fabrication, mesure, achat...).
À partir d'un dessin de définition, les services méthode-fabrication peuvent déterminer le (ou les) procédé(s) d'élaboration le(s) plus adapté(s) à la réalisation de la pièce demandée en s'appuyant sur le service contrôle-qualité- mesure, qui, lui-même définit les procédés de mesure ou de contrôle optimaux pour garantir la conformité du produit à l'ensemble des exigences mentionnées sur le dessin de définition.
C'est également grâce à ce dessin de définition que le service achat peut consulter les fournisseurs.
Le dessin de définition comporte différentes informations :
la géométrie nominale de la pièce ;
les dimensions nominales ;
la matière ;
les exigences décrites entre autres par le biais des spécifications dimensionnelles, géométriques ou d'état de surface.
Cet ensemble d'éléments permet de définir ce qui est attendu des pièces, et est inévitablement associable à un coût.
Cet article vise à présenter les spécifications dimensionnelles, géométriques et d'état de surface et les liens entre les différents acteurs de l'entreprise. Les acteurs techniques recherchent en résumé à réaliser des fonctions par le biais de spécifications sur les produits, en minimisant leurs coûts d'obtention (fabrication, contrôle, logistique...).REFERENCE : BM 7 010 DEWEY : 620.1 Date : Avril 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/travail-des-m [...] [article] Indications ISO (GPS) pour tolérancer la micro- et macrogéométrie des pièces mécaniques et leurs significations [texte imprimé] / Serge - François Gabriel, Auteur ; Vincent, Rénald, Auteur . - 2011 . - 21 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 21 p.
Mots-clés : Spécifications géométriques dimensionnelles Résumé : Les spécifications dimensionnelles, géométriques ou d'état de surface sont des outils symboliques indiqués sur les dessins de définition des pièces ou sur un modèle 3D spécifié (annotation de spécifications 3D) afin de transcrire les fonctions attendues sur ou dans le système.
Une pièce industrielle est définie par les bureaux d'études afin d'assurer une fonction déterminée à un prix de revient minimal.
À partir d'un cahier des charges fonctionnel, le concepteur choisit les solutions techniques et définit le dessin d'ensemble d'un système, puis les dessins de définition de ses composants.
sins de définition sont des vecteurs de communication qui permettent au bureau d'études de décrire ses attentes aux autres services (fabrication, mesure, achat...).
À partir d'un dessin de définition, les services méthode-fabrication peuvent déterminer le (ou les) procédé(s) d'élaboration le(s) plus adapté(s) à la réalisation de la pièce demandée en s'appuyant sur le service contrôle-qualité- mesure, qui, lui-même définit les procédés de mesure ou de contrôle optimaux pour garantir la conformité du produit à l'ensemble des exigences mentionnées sur le dessin de définition.
C'est également grâce à ce dessin de définition que le service achat peut consulter les fournisseurs.
Le dessin de définition comporte différentes informations :
la géométrie nominale de la pièce ;
les dimensions nominales ;
la matière ;
les exigences décrites entre autres par le biais des spécifications dimensionnelles, géométriques ou d'état de surface.
Cet ensemble d'éléments permet de définir ce qui est attendu des pièces, et est inévitablement associable à un coût.
Cet article vise à présenter les spécifications dimensionnelles, géométriques et d'état de surface et les liens entre les différents acteurs de l'entreprise. Les acteurs techniques recherchent en résumé à réaliser des fonctions par le biais de spécifications sur les produits, en minimisant leurs coûts d'obtention (fabrication, contrôle, logistique...).REFERENCE : BM 7 010 DEWEY : 620.1 Date : Avril 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/travail-des-m [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 22 p.
Titre : Rubans adhésifs Type de document : texte imprimé Auteurs : Fortier, Frédéric, Auteur ; Clouet, Stéphanie, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 22 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Rubans adhésifs Résumé : L'essor des polymères au XXe siècle a permis de développer de très nombreuses variétés de rubans adhésifs dont les applications trouvent chaque jour de nouveaux débouchés dans des marchés industriels tels que l'aéronautique, l'automobile, la marine, l'électricité, l'électronique, la santé et dans le marché du grand public.
La maîtrise des procédés d'enduction de précision, la grande variété de matières ainsi que des besoins de plus en plus spécifiques favorisent le développement de solutions innovantes en termes d'assemblage, de masquage, d'étanchéité, de protection, de marquage, de décoration, d'emballage, etc., afin d'améliorer la qualité des produits tout en optimisant la productivité et la rentabilité des biens industriels.
Non toxique, propre, facile à mettre en œuvre, durable (les premières applications ayant 40 ans) et se découpant à la forme des pièces, le ruban adhésif a largement sa place dans l'industrie et a certainement de nombreuses années devant lui.
REFERENCE : BM 7 612v2 DEWEY : 620.1 Date : Octobre 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-a- [...] [article] Rubans adhésifs [texte imprimé] / Fortier, Frédéric, Auteur ; Clouet, Stéphanie, Auteur . - 2011 . - 22 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 22 p.
Mots-clés : Rubans adhésifs Résumé : L'essor des polymères au XXe siècle a permis de développer de très nombreuses variétés de rubans adhésifs dont les applications trouvent chaque jour de nouveaux débouchés dans des marchés industriels tels que l'aéronautique, l'automobile, la marine, l'électricité, l'électronique, la santé et dans le marché du grand public.
La maîtrise des procédés d'enduction de précision, la grande variété de matières ainsi que des besoins de plus en plus spécifiques favorisent le développement de solutions innovantes en termes d'assemblage, de masquage, d'étanchéité, de protection, de marquage, de décoration, d'emballage, etc., afin d'améliorer la qualité des produits tout en optimisant la productivité et la rentabilité des biens industriels.
Non toxique, propre, facile à mettre en œuvre, durable (les premières applications ayant 40 ans) et se découpant à la forme des pièces, le ruban adhésif a largement sa place dans l'industrie et a certainement de nombreuses années devant lui.
REFERENCE : BM 7 612v2 DEWEY : 620.1 Date : Octobre 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-a- [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 14 p.
Titre : Procédés d'usinage Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Felder, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Usinage; Procédés Résumé : Ce chapitre introduit l'ensemble de la rubrique « Usinage ». La mise en œuvre des opérations d'usinage pour réaliser une pièce ou une famille de pièces est un problème complexe du fait de la multiplicité des procédés disponibles et de la grande variété des spécifications des pièces et des propriétés des matériaux constitutifs. Par ce texte, nous souhaitons fournir au lecteur les éléments fondamentaux du problème et, à ce titre, notre objectif est double :
présenter les traits spécifiques de chacune des grandes classes de procédés d'usinage : coupe, abrasion et usinages non traditionnels ou procédés physico-chimiques ;
comparer les performances de ces différents procédés selon les divers points de vue pratiques : possibilité d'application aux divers matériaux, débit de matière et puissance nécessaire, opérations d'usinage possibles, propriétés finales de la pièce et aspects économiques...
Nous renverrons le lecteur aux articles plus spécialisés de la rubrique où il trouvera des informations plus détaillées, voire dans des ouvrages spécialisés [1], [5], [7], [8], [10], [16]. Nous essaierons enfin de décrire les évolutions prévisibles de ces procédés dans les prochaines années.
REFERENCE : BM 7 000v2 Date : Avril 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] [article] Procédés d'usinage [texte imprimé] / Eric Felder, Auteur . - 2011 . - 14 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 14 p.
Mots-clés : Usinage; Procédés Résumé : Ce chapitre introduit l'ensemble de la rubrique « Usinage ». La mise en œuvre des opérations d'usinage pour réaliser une pièce ou une famille de pièces est un problème complexe du fait de la multiplicité des procédés disponibles et de la grande variété des spécifications des pièces et des propriétés des matériaux constitutifs. Par ce texte, nous souhaitons fournir au lecteur les éléments fondamentaux du problème et, à ce titre, notre objectif est double :
présenter les traits spécifiques de chacune des grandes classes de procédés d'usinage : coupe, abrasion et usinages non traditionnels ou procédés physico-chimiques ;
comparer les performances de ces différents procédés selon les divers points de vue pratiques : possibilité d'application aux divers matériaux, débit de matière et puissance nécessaire, opérations d'usinage possibles, propriétés finales de la pièce et aspects économiques...
Nous renverrons le lecteur aux articles plus spécialisés de la rubrique où il trouvera des informations plus détaillées, voire dans des ouvrages spécialisés [1], [5], [7], [8], [10], [16]. Nous essaierons enfin de décrire les évolutions prévisibles de ces procédés dans les prochaines années.
REFERENCE : BM 7 000v2 Date : Avril 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] Application des données tribologiques des matériaux / Woydt, Mathias in Techniques de l'ingénieur BT, Vol. BT1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 14 p.
Titre : Application des données tribologiques des matériaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Woydt, Mathias, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Données tribologiques; Matériaux Résumé : Un système tribologique (tribosystème) peut être conçu en vue d´assurer une résistance contre l´usure, d’assurer des transitions d´usure douce vers une usure sévère et de paramètres opérationnels susceptible engendrer l´usure adhésive à base d´une analyse des conditions d´opérations du tribosystème.
Le taux d´usure kv représente une donnée tribologique principale de prescription relative à la résistance d´usure d´un matériau candidat.
La valeur P×V[MPa×m/s] décrit une limite entre l´usure douce et sévère, elle s’apparente ainsi à la limite d’utilisation des matériaux au dessus duquel le matériau connaît un changement de mécanisme d’usure qui peut aller jusqu’au grippage.
Cet article établit étape par étape ces caractéristiques à l’aide de plusieurs exemples et classe les plages des taux d´usures et valeurs P×V de matériaux. L´article éclaire aussi sur l´impact de paramètres opérationnels (rugosité, humidité relative, etc.) sur le frottement et le taux d´usure.
REFERENCE : BM 7 006v2 Date : Juin 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] [article] Application des données tribologiques des matériaux [texte imprimé] / Woydt, Mathias, Auteur . - 2011 . - 14 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 14 p.
Mots-clés : Données tribologiques; Matériaux Résumé : Un système tribologique (tribosystème) peut être conçu en vue d´assurer une résistance contre l´usure, d’assurer des transitions d´usure douce vers une usure sévère et de paramètres opérationnels susceptible engendrer l´usure adhésive à base d´une analyse des conditions d´opérations du tribosystème.
Le taux d´usure kv représente une donnée tribologique principale de prescription relative à la résistance d´usure d´un matériau candidat.
La valeur P×V[MPa×m/s] décrit une limite entre l´usure douce et sévère, elle s’apparente ainsi à la limite d’utilisation des matériaux au dessus duquel le matériau connaît un changement de mécanisme d’usure qui peut aller jusqu’au grippage.
Cet article établit étape par étape ces caractéristiques à l’aide de plusieurs exemples et classe les plages des taux d´usures et valeurs P×V de matériaux. L´article éclaire aussi sur l´impact de paramètres opérationnels (rugosité, humidité relative, etc.) sur le frottement et le taux d´usure.
REFERENCE : BM 7 006v2 Date : Juin 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] Mesure 3D de formes et de déformations par stéréovision / Jean-José Orteu in Techniques de l'ingénieur BT, Vol. BT1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 13 p.
Titre : Mesure 3D de formes et de déformations par stéréovision Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-José Orteu, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 13 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Mesure 3D; Stéréovision Résumé : De nombreux domaines concernant le comportement mécanique des matériaux posent le problème de la mesure des déplacements ou des déformations.
Pour ce type de mesure, les méthodes optiques se sont largement imposées car elles présentent de grands avantages tels que l’absence de contact, une résolution spatiale élevée et l’obtention d’une information de champ (par opposition à une information ponctuelle).
Dans cet article, nous présentons la technique de stéréovision qui utilise deux caméras liées de façon rigide et qui permet :
la mesure de la forme tridimensionnelle (3D) d’un objet à partir d’une simple paire d’images stéréoscopiques de l’objet ;
la mesure de champs de déplacements/déformations 3D à partir d’au moins deux paires d’images correspondant à différents instants de déformation de l’objet (en général, analyse d’une séquence de paires d’images acquises en cours de déformation).
REFERENCE : BM 7 015 Date : Avril 2002 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] [article] Mesure 3D de formes et de déformations par stéréovision [texte imprimé] / Jean-José Orteu, Auteur . - 2011 . - 13 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 13 p.
Mots-clés : Mesure 3D; Stéréovision Résumé : De nombreux domaines concernant le comportement mécanique des matériaux posent le problème de la mesure des déplacements ou des déformations.
Pour ce type de mesure, les méthodes optiques se sont largement imposées car elles présentent de grands avantages tels que l’absence de contact, une résolution spatiale élevée et l’obtention d’une information de champ (par opposition à une information ponctuelle).
Dans cet article, nous présentons la technique de stéréovision qui utilise deux caméras liées de façon rigide et qui permet :
la mesure de la forme tridimensionnelle (3D) d’un objet à partir d’une simple paire d’images stéréoscopiques de l’objet ;
la mesure de champs de déplacements/déformations 3D à partir d’au moins deux paires d’images correspondant à différents instants de déformation de l’objet (en général, analyse d’une séquence de paires d’images acquises en cours de déformation).
REFERENCE : BM 7 015 Date : Avril 2002 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 10 p.
Titre : Prototypage rapide : généralités Type de document : texte imprimé Auteurs : Dubois, Patrice, Auteur ; Aoussat, Améziane, Auteur ; Duchamp, Robert, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 10 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Prototypage rapide ; Outils Résumé : Mondialisation des marchés, concurrence de plus en plus vive, réactivité de plus en plus grande de la part des entreprises... Dans ce contexte, une entreprise qui souhaite conserver et/ou acquérir de nouvelles parts de marché doit :
maîtriser ses coûts ;
améliorer la qualité des produits et des études ;
réduire ses délais de développement.
Pour répondre à ces critères essentiels de réussite, les entreprises ont dû adapter leur processus de conception, mais aussi tenir compte de l’émergence de nouvelles technologies.
Ainsi, il devient crucial pour les entreprises de disposer d’outils permettant de matérialiser rapidement les produits en cours de développement, afin de détecter au plus tôt les erreurs de conception, de tester et de valider par l’ensemble des acteurs les différentes solutions techniques retenues.REFERENCE : BM 7 017 Date : Avril 2000 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] [article] Prototypage rapide : généralités [texte imprimé] / Dubois, Patrice, Auteur ; Aoussat, Améziane, Auteur ; Duchamp, Robert, Auteur . - 2011 . - 10 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 10 p.
Mots-clés : Prototypage rapide ; Outils Résumé : Mondialisation des marchés, concurrence de plus en plus vive, réactivité de plus en plus grande de la part des entreprises... Dans ce contexte, une entreprise qui souhaite conserver et/ou acquérir de nouvelles parts de marché doit :
maîtriser ses coûts ;
améliorer la qualité des produits et des études ;
réduire ses délais de développement.
Pour répondre à ces critères essentiels de réussite, les entreprises ont dû adapter leur processus de conception, mais aussi tenir compte de l’émergence de nouvelles technologies.
Ainsi, il devient crucial pour les entreprises de disposer d’outils permettant de matérialiser rapidement les produits en cours de développement, afin de détecter au plus tôt les erreurs de conception, de tester et de valider par l’ensemble des acteurs les différentes solutions techniques retenues.REFERENCE : BM 7 017 Date : Avril 2000 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 22 p.
Titre : Cotation fonctionnelle Type de document : texte imprimé Auteurs : Villars, François, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 22 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Cotation fonctionnelle Résumé : La cotation fonctionnelle est basée sur l’étude approfondie et exhaustive des conditions d’aptitude à l’emploi du produit, dont elle permet de définir les dimensions des éléments fonctionnels et leur position relative, par une cotation ni insuffisante, ni surabondante.
Pour travailler correctement, il faut d’abord faire une étude fonctionnelle de l’ensemble étudié à l’aide des méthodes appropriées (analyse fonctionnelle...). Cela permettra de définir les fonctions réelles à satisfaire et facilitera la constitution d’une liste de « chaînes de cotes » à vérifier.
Il faut se rappeler également que la « cotation fonctionnelle » doit être prise au sens large c’est-à-dire que, en plus des cotes et tolérances, elle englobe toutes les autres spécifications pourvu qu’elles soient fonctionnelles parce que conditionnant l’aptitude à l’emploi (tolérancement géométrique, matériau, caractéristiques mécaniques, chimiques, états de surface, etc.) et même celles conditionnant la vendabilité : fiabilité, aspect, sécurité (pas d’arêtes coupantes).
Toutefois, il ne faut pas être trop puriste car à vouloir rester fonctionnel, on risque fort d’oublier des conditions qui sont implicitement contenues dans la prescription méthode : tenue à la température qui peut exclure certaines matières plastiques, tenue à la corrosion (acier, magnésium) ou à l’huile (pour les embrayage et synchroniseur de boîte de vitesses).
Le but de cet article est de faire progresser la compréhension de la notion du fonctionnel dans la cotation des dessins techniques émis par les bureaux d’étude, surtout des dessins de détails, dits dessins de définition (du produit fini).REFERENCE : BM 7 020 Date : Avril 1999 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] [article] Cotation fonctionnelle [texte imprimé] / Villars, François, Auteur . - 2011 . - 22 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 22 p.
Mots-clés : Cotation fonctionnelle Résumé : La cotation fonctionnelle est basée sur l’étude approfondie et exhaustive des conditions d’aptitude à l’emploi du produit, dont elle permet de définir les dimensions des éléments fonctionnels et leur position relative, par une cotation ni insuffisante, ni surabondante.
Pour travailler correctement, il faut d’abord faire une étude fonctionnelle de l’ensemble étudié à l’aide des méthodes appropriées (analyse fonctionnelle...). Cela permettra de définir les fonctions réelles à satisfaire et facilitera la constitution d’une liste de « chaînes de cotes » à vérifier.
Il faut se rappeler également que la « cotation fonctionnelle » doit être prise au sens large c’est-à-dire que, en plus des cotes et tolérances, elle englobe toutes les autres spécifications pourvu qu’elles soient fonctionnelles parce que conditionnant l’aptitude à l’emploi (tolérancement géométrique, matériau, caractéristiques mécaniques, chimiques, états de surface, etc.) et même celles conditionnant la vendabilité : fiabilité, aspect, sécurité (pas d’arêtes coupantes).
Toutefois, il ne faut pas être trop puriste car à vouloir rester fonctionnel, on risque fort d’oublier des conditions qui sont implicitement contenues dans la prescription méthode : tenue à la température qui peut exclure certaines matières plastiques, tenue à la corrosion (acier, magnésium) ou à l’huile (pour les embrayage et synchroniseur de boîte de vitesses).
Le but de cet article est de faire progresser la compréhension de la notion du fonctionnel dans la cotation des dessins techniques émis par les bureaux d’étude, surtout des dessins de détails, dits dessins de définition (du produit fini).REFERENCE : BM 7 020 Date : Avril 1999 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] Conception des gammes d'usinage / Roland D. Weill in Techniques de l'ingénieur BT, Vol. BT1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 22 p.
Titre : Conception des gammes d'usinage Type de document : texte imprimé Auteurs : Roland D. Weill, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 22 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Gammes; Usinnage Résumé : En ce qui concerne les symboles et les notations utilisés sur les figures, le lecteur se reportera, dans ce traité, aux articles :
Tolérances et écarts dimensionnels, géométriques et d’états de surface
Cotation fonctionnelle.
Toutes les cotes données sur les figures sont en millimètres, sauf contre-indications.
REFERENCE : B 7 025 Date : Aout 1993 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] [article] Conception des gammes d'usinage [texte imprimé] / Roland D. Weill, Auteur . - 2011 . - 22 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 22 p.
Mots-clés : Gammes; Usinnage Résumé : En ce qui concerne les symboles et les notations utilisés sur les figures, le lecteur se reportera, dans ce traité, aux articles :
Tolérances et écarts dimensionnels, géométriques et d’états de surface
Cotation fonctionnelle.
Toutes les cotes données sur les figures sont en millimètres, sauf contre-indications.
REFERENCE : B 7 025 Date : Aout 1993 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] Modélisation de la coupe des métaux / Eric Felder in Techniques de l'ingénieur BT, Vol. BT1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 20 p.
Titre : Modélisation de la coupe des métaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Felder, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 20 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Modélisations mécanique; Modélisations thermomécaniques Résumé : L’usinage des métaux met en jeu deux processus élémentaires qui sont la création et l’évacuation d’un copeau. Ces processus font jouer deux mécanismes physiques de base :
la déformation plastique au sein du copeau ;
le contact de celui-ci avec l’outil.
La modélisation de la formation du copeau repose sur la compréhension de ces deux mécanismes et a pour objet la prévision de la géométrie du copeau, des forces de coupe et des échauffements à partir des conditions de coupe et des propriétés thermomécaniques du matériau usiné et de l’outil. Elle devrait donc permettre notamment d’aider à une gestion rationnelle des banques de données sur la coupe et fournir des éléments d’appréciation de divers problèmes pratiques :
usinabilité d’un matériau, c’est-à-dire son aptitude à l’usinage (forces nécessaires, longueur et forme du copeau...) ;
déformation élastique de l’ensemble outil – porte-outil – machine-outil (article TI [33] [Some new slip line solutions for two dimensional steady state machining (Nouvelles solutions par lignes de glissement pour l’usinage en régime stationnaire bidimensionnel).] ) ;
interprétation des modes d’usure et d’endommagement des outils (article TI [34] [On the non-uniqueness of the machining process (De la non-unicité en usinage).] ) ;
qualité de surface de la pièce usinée (rugosité, écrouissage, structure métallurgique, contraintes résiduelles).
REFERENCE : BM 7 041 Date : Juillet 2006 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] [article] Modélisation de la coupe des métaux [texte imprimé] / Eric Felder, Auteur . - 2011 . - 20 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 20 p.
Mots-clés : Modélisations mécanique; Modélisations thermomécaniques Résumé : L’usinage des métaux met en jeu deux processus élémentaires qui sont la création et l’évacuation d’un copeau. Ces processus font jouer deux mécanismes physiques de base :
la déformation plastique au sein du copeau ;
le contact de celui-ci avec l’outil.
La modélisation de la formation du copeau repose sur la compréhension de ces deux mécanismes et a pour objet la prévision de la géométrie du copeau, des forces de coupe et des échauffements à partir des conditions de coupe et des propriétés thermomécaniques du matériau usiné et de l’outil. Elle devrait donc permettre notamment d’aider à une gestion rationnelle des banques de données sur la coupe et fournir des éléments d’appréciation de divers problèmes pratiques :
usinabilité d’un matériau, c’est-à-dire son aptitude à l’usinage (forces nécessaires, longueur et forme du copeau...) ;
déformation élastique de l’ensemble outil – porte-outil – machine-outil (article TI [33] [Some new slip line solutions for two dimensional steady state machining (Nouvelles solutions par lignes de glissement pour l’usinage en régime stationnaire bidimensionnel).] ) ;
interprétation des modes d’usure et d’endommagement des outils (article TI [34] [On the non-uniqueness of the machining process (De la non-unicité en usinage).] ) ;
qualité de surface de la pièce usinée (rugosité, écrouissage, structure métallurgique, contraintes résiduelles).
REFERENCE : BM 7 041 Date : Juillet 2006 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] Endommagement des outils de coupe / Leroy, François in Techniques de l'ingénieur BT, Vol. BT1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 13 p.
Titre : Endommagement des outils de coupe Type de document : texte imprimé Auteurs : Leroy, François, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 13 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Résumé : Les outils de coupe ont une géométrie généralement complexe qui résulte assez souvent de mises au point d’atelier purement empiriques, quelquefois d’études plus analytiques à partir de divers critères (résistance à l’endommagement ou qualité de la surface générée), rarement d’une véritable optimisation qui nécessiterait une modélisation de l’écoulement du ou des copeaux. REFERENCE : B 7 042 Date : Février 1993 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/frottement-et [...] [article] Endommagement des outils de coupe [texte imprimé] / Leroy, François, Auteur . - 2011 . - 13 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 13 p.
Résumé : Les outils de coupe ont une géométrie généralement complexe qui résulte assez souvent de mises au point d’atelier purement empiriques, quelquefois d’études plus analytiques à partir de divers critères (résistance à l’endommagement ou qualité de la surface générée), rarement d’une véritable optimisation qui nécessiterait une modélisation de l’écoulement du ou des copeaux. REFERENCE : B 7 042 Date : Février 1993 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/frottement-et [...] Usinabilité des matériaux difficiles / Gérard Poulachon in Techniques de l'ingénieur BT, Vol. BT1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 18 p.
Titre : Usinabilité des matériaux difficiles : application aux aciers durcis Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérard Poulachon, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 18 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Usinabilité; Matériaux, Aciers durcis Résumé : L’usinage d’aciers traités thermiquement dans leur état durci n’est pas nouveau, et existe depuis sans doute que les matériaux à outil durs ont vu le jour. Cela n’a pu se faire que par la mise au point de matériaux à outil nouveaux. C’est le cas des céramiques. Les produits céramiques (appelés poterie) sont connus depuis le néolithique. Il s’agissait d’articles d’usage quotidien, tels que les récipients façonnés à la main. La production de la céramique est donc l’une des plus anciennes technologies humaines. Les premiers brevets et publications sur les matériaux de coupe céramiques à base d’aluminium (Al2O3) datent du début du XX e siècle en Allemagne. Des recherches systématiques commencèrent dans les années 1930. Mais ce n’est qu’après la Seconde Guerre mondiale que furent intensifiés la recherche et le développement. Des résultats, permettant l’exploitation de la céramique, ont été mis au point en particulier aux États-Unis, en URSS et en Allemagne. L’application pratique de la céramique de coupe fut présentée pour la première fois lors des expositions de la machine-outil de Chicago, en 1956, et de Hanovre en 1957. Les premiers métaux de coupe étaient surtout des céramiques très pures, à base d’oxyde d’aluminium. Cette matière présente des valeurs mécaniques de très hautes résistances. C’est l’oxyde le plus stable, possédant une excellente stabilité chimique jusqu’aux températures avoisinant son point de fusion (2 050 oC). REFERENCE : BM 7 048 Date : Avril 2004 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] [article] Usinabilité des matériaux difficiles : application aux aciers durcis [texte imprimé] / Gérard Poulachon, Auteur . - 2011 . - 18 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 18 p.
Mots-clés : Usinabilité; Matériaux, Aciers durcis Résumé : L’usinage d’aciers traités thermiquement dans leur état durci n’est pas nouveau, et existe depuis sans doute que les matériaux à outil durs ont vu le jour. Cela n’a pu se faire que par la mise au point de matériaux à outil nouveaux. C’est le cas des céramiques. Les produits céramiques (appelés poterie) sont connus depuis le néolithique. Il s’agissait d’articles d’usage quotidien, tels que les récipients façonnés à la main. La production de la céramique est donc l’une des plus anciennes technologies humaines. Les premiers brevets et publications sur les matériaux de coupe céramiques à base d’aluminium (Al2O3) datent du début du XX e siècle en Allemagne. Des recherches systématiques commencèrent dans les années 1930. Mais ce n’est qu’après la Seconde Guerre mondiale que furent intensifiés la recherche et le développement. Des résultats, permettant l’exploitation de la céramique, ont été mis au point en particulier aux États-Unis, en URSS et en Allemagne. L’application pratique de la céramique de coupe fut présentée pour la première fois lors des expositions de la machine-outil de Chicago, en 1956, et de Hanovre en 1957. Les premiers métaux de coupe étaient surtout des céramiques très pures, à base d’oxyde d’aluminium. Cette matière présente des valeurs mécaniques de très hautes résistances. C’est l’oxyde le plus stable, possédant une excellente stabilité chimique jusqu’aux températures avoisinant son point de fusion (2 050 oC). REFERENCE : BM 7 048 Date : Avril 2004 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - [pp. 1-24] [pp.1-12]
Titre : Abrasifs Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Louis Douzet, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : [pp. 1-24] [pp.1-12] Langues : Français (fre) Mots-clés : Abrasifs; Classification; Abrasifs libre; Abrasifs conventionnels; Abrasifs Incorporés Résumé : Connues depuis la préhistoire (âge de la pierre polie), les propriétés abrasives de certains minéraux ont été cantonnées depuis l’antiquité jusqu’à la deuxième moitié du XIX e siècle dans les travaux d’aiguisage et de polissage (des armes, des outils, du marbre, des pierres précieuses). Les meules en grès des rémouleurs et les plateaux à polir des lapidaires sont une survivance de cette époque.
Ce n’est que vers 1850 qu’apparaîtront les premières meules réalisées à partir d’abrasifs naturels : quartz, émeri, agglomérés par de la gomme laque, de la magnésie ou du caoutchouc ; il fallut encore un quart de siècle pour que naisse la fabrication industrielle de meules à agglomérant céramique et un autre quart de siècle pour que soient produits en quantité notable les deux abrasifs artificiels encore le plus utilisés de nos jours : l’oxyde d’aluminium et le carbure de silicium.
C’est l’avènement de ces abrasifs fabriqués (improprement qualifiés parfois d’artificiels par opposition à naturels) qui a permis, depuis le début du XX e siècle, la réalisation de pièces mécaniques devant présenter à la fois des tolérances géométriques serrées et des états de surface poussés.
Enfin, étape récente des plus importantes dans l’évolution des abrasifs, la mise au point vers les années 60 de la fabrication industrielle de deux superabrasifs, le diamant et le nitrure de bore cubique, a permis l’usinage dans des conditions économiques et avec une très grande précision de pièces dans des matériaux de dureté très élevée : céramiques, carbures métalliques, superalliages, alumine frittée, aciers surcarburés, etc., et entraîné ainsi un grand développement de leur utilisation.
REFERENCE : B 7 050- B 7 051 Date : Aout 1990 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...] [article] Abrasifs [texte imprimé] / Jean-Louis Douzet, Auteur . - 2011 . - [pp. 1-24] [pp.1-12].
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - [pp. 1-24] [pp.1-12]
Mots-clés : Abrasifs; Classification; Abrasifs libre; Abrasifs conventionnels; Abrasifs Incorporés Résumé : Connues depuis la préhistoire (âge de la pierre polie), les propriétés abrasives de certains minéraux ont été cantonnées depuis l’antiquité jusqu’à la deuxième moitié du XIX e siècle dans les travaux d’aiguisage et de polissage (des armes, des outils, du marbre, des pierres précieuses). Les meules en grès des rémouleurs et les plateaux à polir des lapidaires sont une survivance de cette époque.
Ce n’est que vers 1850 qu’apparaîtront les premières meules réalisées à partir d’abrasifs naturels : quartz, émeri, agglomérés par de la gomme laque, de la magnésie ou du caoutchouc ; il fallut encore un quart de siècle pour que naisse la fabrication industrielle de meules à agglomérant céramique et un autre quart de siècle pour que soient produits en quantité notable les deux abrasifs artificiels encore le plus utilisés de nos jours : l’oxyde d’aluminium et le carbure de silicium.
C’est l’avènement de ces abrasifs fabriqués (improprement qualifiés parfois d’artificiels par opposition à naturels) qui a permis, depuis le début du XX e siècle, la réalisation de pièces mécaniques devant présenter à la fois des tolérances géométriques serrées et des états de surface poussés.
Enfin, étape récente des plus importantes dans l’évolution des abrasifs, la mise au point vers les années 60 de la fabrication industrielle de deux superabrasifs, le diamant et le nitrure de bore cubique, a permis l’usinage dans des conditions économiques et avec une très grande précision de pièces dans des matériaux de dureté très élevée : céramiques, carbures métalliques, superalliages, alumine frittée, aciers surcarburés, etc., et entraîné ainsi un grand développement de leur utilisation.
REFERENCE : B 7 050- B 7 051 Date : Aout 1990 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 16 p.
Titre : Usinage par abrasion : principes généraux Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Felder, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 16 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Usinage; Abrasion Résumé : Cet article, consacré aux aspects mécaniques de l'abrasion, a pour objectif de commencer un bilan des connaissances scientifiques sur ce type d'usinage ; le lecteur pourra également se reporter aux articles spécialisés de la présente rubrique pour une description plus précise des modalités de mise en œuvre des divers procédés. REFERENCE : BM 7 052 Date : Janvier 2009 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...] [article] Usinage par abrasion : principes généraux [texte imprimé] / Eric Felder, Auteur . - 2011 . - 16 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 16 p.
Mots-clés : Usinage; Abrasion Résumé : Cet article, consacré aux aspects mécaniques de l'abrasion, a pour objectif de commencer un bilan des connaissances scientifiques sur ce type d'usinage ; le lecteur pourra également se reporter aux articles spécialisés de la présente rubrique pour une description plus précise des modalités de mise en œuvre des divers procédés. REFERENCE : BM 7 052 Date : Janvier 2009 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...] Usinage par abrasion: analyses expérimentale et théorique / Eric Felder in Techniques de l'ingénieur BT, Vol. BT1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 22 p.
Titre : Usinage par abrasion: analyses expérimentale et théorique Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Felder, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 22 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Usinage; Abrasion Résumé : Cet article est consacré aux aspects mécaniques de l'abrasion. Les aspects thermiques qui concernent principalement la rectification et y jouent un grand rôle seront présentés dans un autre article dédié à la rectification. Les phénomènes chimiques, quant à eux, sont présents et exploités dans le procédé de polissage chimio-mécanique et le point des connaissances à ce sujet sera effectué dans un article consacré au polissage. REFERENCE : BM 7 053 Date : Avril 2009 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...] [article] Usinage par abrasion: analyses expérimentale et théorique [texte imprimé] / Eric Felder, Auteur . - 2011 . - 22 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 22 p.
Mots-clés : Usinage; Abrasion Résumé : Cet article est consacré aux aspects mécaniques de l'abrasion. Les aspects thermiques qui concernent principalement la rectification et y jouent un grand rôle seront présentés dans un autre article dédié à la rectification. Les phénomènes chimiques, quant à eux, sont présents et exploités dans le procédé de polissage chimio-mécanique et le point des connaissances à ce sujet sera effectué dans un article consacré au polissage. REFERENCE : BM 7 053 Date : Avril 2009 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...] Fluides de coupe: Rôle en usinage et classification / Benoît Broquerie in Techniques de l'ingénieur BT, Vol. BT1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 11 p.
Titre : Fluides de coupe: Rôle en usinage et classification Type de document : texte imprimé Auteurs : Benoît Broquerie, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 11 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Fluides de coupe; Usinage; Classification Résumé : Les études de Taylor, vers 1883, sur l’organisation du travail et la coupe des métaux font, les premières, état de l’utilisation de l’eau de savon pour l’arrosage des pièces en cours d’usinage. Les vitesses de coupe augmentaient, de ce fait, de 30 à 40 % et l’on pouvait espacer l’affûtage des outils.
L’eau de savon remplissait bien les deux fonctions essentielles exigées d’un liquide de coupe aujourd’hui :
refroidissement de l’outil et de la pièce grâce à la capacité thermique massique élevée de l’eau ;
lubrification de la coupe, grâce à la teneur en corps gras du savon.
En outre, l’eau de savon était plus « mouillante » que l’eau pure, mais elle ne permettait pas d’éviter la corrosion et tachait les pièces et les machines.
L’eau de savon fut remplacée par des huiles végétales ou animales, puis par des émulsions d’huiles minérales et, enfin, par des mélanges d’huiles minérales et de matières grasses dans lesquels on ajouta des additifs pour leur conférer des qualités supplémentaires.REFERENCE : BM 7 064 Date : Juillet 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] [article] Fluides de coupe: Rôle en usinage et classification [texte imprimé] / Benoît Broquerie, Auteur . - 2011 . - 11 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 11 p.
Mots-clés : Fluides de coupe; Usinage; Classification Résumé : Les études de Taylor, vers 1883, sur l’organisation du travail et la coupe des métaux font, les premières, état de l’utilisation de l’eau de savon pour l’arrosage des pièces en cours d’usinage. Les vitesses de coupe augmentaient, de ce fait, de 30 à 40 % et l’on pouvait espacer l’affûtage des outils.
L’eau de savon remplissait bien les deux fonctions essentielles exigées d’un liquide de coupe aujourd’hui :
refroidissement de l’outil et de la pièce grâce à la capacité thermique massique élevée de l’eau ;
lubrification de la coupe, grâce à la teneur en corps gras du savon.
En outre, l’eau de savon était plus « mouillante » que l’eau pure, mais elle ne permettait pas d’éviter la corrosion et tachait les pièces et les machines.
L’eau de savon fut remplacée par des huiles végétales ou animales, puis par des émulsions d’huiles minérales et, enfin, par des mélanges d’huiles minérales et de matières grasses dans lesquels on ajouta des additifs pour leur conférer des qualités supplémentaires.REFERENCE : BM 7 064 Date : Juillet 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] Fluides de coupe: Huilles solubles / Benoît Broquerie in Techniques de l'ingénieur BT, Vol. BT1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 15 p.
Titre : Fluides de coupe: Huilles solubles Type de document : texte imprimé Auteurs : Benoît Broquerie, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 15 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Fluides de coupe; Huiles solube Résumé : Machines, outils, lubrifiants, pièces et ouvrier, représentent tous des composants dans un système de production.
L’importance de cette étude ne réside pas dans la présentation de la technique d’usinage, mais dans l’exposé de la conception et des possibilités des huiles solubles, afin de pouvoir développer une vue d’ensemble sur leurs propriétés.
La fonction des huiles solubles est d’augmenter l’efficacité des opérations d’usinage qui se manifeste par une plus grande productivité, une augmentation de la tenue des outils dans le temps, une amélioration des états de surface en respectant les tolérances.REFERENCE : BM 7 065 Date : Octobre 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] [article] Fluides de coupe: Huilles solubles [texte imprimé] / Benoît Broquerie, Auteur . - 2011 . - 15 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 15 p.
Mots-clés : Fluides de coupe; Huiles solube Résumé : Machines, outils, lubrifiants, pièces et ouvrier, représentent tous des composants dans un système de production.
L’importance de cette étude ne réside pas dans la présentation de la technique d’usinage, mais dans l’exposé de la conception et des possibilités des huiles solubles, afin de pouvoir développer une vue d’ensemble sur leurs propriétés.
La fonction des huiles solubles est d’augmenter l’efficacité des opérations d’usinage qui se manifeste par une plus grande productivité, une augmentation de la tenue des outils dans le temps, une amélioration des états de surface en respectant les tolérances.REFERENCE : BM 7 065 Date : Octobre 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] Estimation des coûts en production mécanique / Pascal Duverlie in Techniques de l'ingénieur BT, Vol. BT1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 17 p.
Titre : Estimation des coûts en production mécanique Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal Duverlie, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 17 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Coûts; Production mécanique Résumé : Les entreprises vivent dans un monde de compétition où elles cherchent un maximum de profit et l’acquisition de marchés prometteurs. Face à cette concurrence technico-économique, la maîtrise des coûts d’un projet ou d’un produit n’est pas seulement un atout mais une obligation. REFERENCE : BM 7 076 Date : Juillet 1999 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] [article] Estimation des coûts en production mécanique [texte imprimé] / Pascal Duverlie, Auteur . - 2011 . - 17 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 17 p.
Mots-clés : Coûts; Production mécanique Résumé : Les entreprises vivent dans un monde de compétition où elles cherchent un maximum de profit et l’acquisition de marchés prometteurs. Face à cette concurrence technico-économique, la maîtrise des coûts d’un projet ou d’un produit n’est pas seulement un atout mais une obligation. REFERENCE : BM 7 076 Date : Juillet 1999 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] Matériaux pour outils de coupe / François Bagur in Techniques de l'ingénieur BT, Vol. BT1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 16 p.
Titre : Matériaux pour outils de coupe Type de document : texte imprimé Auteurs : François Bagur, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 16 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Outils de coupe; Matériaux; Vitesse de coupe Résumé : Les outils coupants sont des instruments destinés à travailler la matière par enlèvement de copeaux. Il semble que les premiers outils obtenus par forgeage avant le début de l’ère chrétienne aient été le bédane, le burin et le foret à langue d’aspic, puis la lime et la scie.
Avec l’apparition du tour, le peigne a permis la création des outils de filetage : tarauds puis filières. Jusqu’à la fin du XIXe siècle, tous les outils étaient ainsi fabriqués soit par forgeage et usinage, soit par usinage seul. Le matériau de coupe était l’acier fondu.
Dans le courant du XXe siècle sont apparus d’une part de nouveaux matériaux (aciers rapides, carbures métalliques, céramiques, cermets, diamants, etc.) et d’autre part des techniques de mise en forme telles que moulage, rectification dans la masse, métallurgie des poudres, revêtements, l’ensemble fournissant des outils de plus en plus efficaces.
REFERENCE : BM 7 080 Date : Octobre 1999 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/outillage-et- [...] [article] Matériaux pour outils de coupe [texte imprimé] / François Bagur, Auteur . - 2011 . - 16 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 16 p.
Mots-clés : Outils de coupe; Matériaux; Vitesse de coupe Résumé : Les outils coupants sont des instruments destinés à travailler la matière par enlèvement de copeaux. Il semble que les premiers outils obtenus par forgeage avant le début de l’ère chrétienne aient été le bédane, le burin et le foret à langue d’aspic, puis la lime et la scie.
Avec l’apparition du tour, le peigne a permis la création des outils de filetage : tarauds puis filières. Jusqu’à la fin du XIXe siècle, tous les outils étaient ainsi fabriqués soit par forgeage et usinage, soit par usinage seul. Le matériau de coupe était l’acier fondu.
Dans le courant du XXe siècle sont apparus d’une part de nouveaux matériaux (aciers rapides, carbures métalliques, céramiques, cermets, diamants, etc.) et d’autre part des techniques de mise en forme telles que moulage, rectification dans la masse, métallurgie des poudres, revêtements, l’ensemble fournissant des outils de plus en plus efficaces.
REFERENCE : BM 7 080 Date : Octobre 1999 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/outillage-et- [...] Matériaux pour outils de coupe / François Bagur in Techniques de l'ingénieur BT, Vol. BT1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 31 p.
Titre : Matériaux pour outils de coupe : données numériques Type de document : texte imprimé Auteurs : François Bagur, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 31 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Matériaux; Outils de coupe; Coupe fraisage; Coupe tournage; Coupe perçage Résumé : Comme l’explique l’article « Matériaux pour outils de coupe » [BM 7 080], il est très difficile de donner des valeurs numériques relatives à l’emploi d’un outil dans une matière. Celles-ci peuvent être fortement influencées par l’environnement de l’usinage comme par exemple un état de surface à respecter, une entrée dans un virage, un intermédiaire long...
En conséquence, les valeurs numériques réunies ici sont des données de base lorsque le fonctionnement de l’outil n’est pas perturbé par l’environnement. Dans la mesure du possible, nous indiquons une plage de données. La valeur minimale proposée est à respecter absolument (ne pas descendre en dessous) ; la valeur maximale, quant à elle, peut être réduite, afin d’augmenter une durée de vie par exemple.
Lorsque, pour une même famille d’outils, les conditions de coupe sont influencées par le diamètre de l’outil, nous présentons une courbe d’évolution en fonction du diamètre.
Pour certaines technologies, il est impossible de donner des valeurs par défaut d’emploi de l’outil. Chaque outil est un cas particulier devant faire l’objet d’une étude. Ne sont donc traitées que les technologies où il est possible d’annoncer des valeurs. Néanmoins, nous signalons les technologies où ces valeurs par défaut sont très influencées par un paramètre géométrique de l’outil, donc très différentes d’un fabricant d’outils à un autre.
REFERENCE : BM 7 080 Date : Octobre 1999 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-trav [...] [article] Matériaux pour outils de coupe : données numériques [texte imprimé] / François Bagur, Auteur . - 2011 . - 31 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 31 p.
Mots-clés : Matériaux; Outils de coupe; Coupe fraisage; Coupe tournage; Coupe perçage Résumé : Comme l’explique l’article « Matériaux pour outils de coupe » [BM 7 080], il est très difficile de donner des valeurs numériques relatives à l’emploi d’un outil dans une matière. Celles-ci peuvent être fortement influencées par l’environnement de l’usinage comme par exemple un état de surface à respecter, une entrée dans un virage, un intermédiaire long...
En conséquence, les valeurs numériques réunies ici sont des données de base lorsque le fonctionnement de l’outil n’est pas perturbé par l’environnement. Dans la mesure du possible, nous indiquons une plage de données. La valeur minimale proposée est à respecter absolument (ne pas descendre en dessous) ; la valeur maximale, quant à elle, peut être réduite, afin d’augmenter une durée de vie par exemple.
Lorsque, pour une même famille d’outils, les conditions de coupe sont influencées par le diamètre de l’outil, nous présentons une courbe d’évolution en fonction du diamètre.
Pour certaines technologies, il est impossible de donner des valeurs par défaut d’emploi de l’outil. Chaque outil est un cas particulier devant faire l’objet d’une étude. Ne sont donc traitées que les technologies où il est possible d’annoncer des valeurs. Néanmoins, nous signalons les technologies où ces valeurs par défaut sont très influencées par un paramètre géométrique de l’outil, donc très différentes d’un fabricant d’outils à un autre.
REFERENCE : BM 7 080 Date : Octobre 1999 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-trav [...] Fraisage: principes / Société SANDIVIK-COROMANT in Techniques de l'ingénieur BT, Vol. BT1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 21 p.
Titre : Fraisage: principes Type de document : texte imprimé Auteurs : Société SANDIVIK-COROMANT, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 21 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Fraisage; Principes Résumé : Le fraisage est, dans son principe, un procédé de fabrication mécanique par coupe (enlèvement de matière) faisant intervenir, en coordination, le mouvement de rotation d’un outil à plusieurs arêtes (mouvement de coupe) et l’avance rectiligne d’une pièce (dit mouvement d’avance). Aujourd’hui, toutefois, on a également un déplacement de l’outil par rapport à la pièce, lequel peut s’effectuer pratiquement dans n’importe quelle direction. L’outil de fraisage, la fraise, comporte plusieurs arêtes de coupe dont chacune enlève une certaine quantité de métal sous forme de copeaux. Les avantages du fraisage sont un rendement élevé, un bon fini de surface et une haute précision, ainsi qu’une grande souplesse au niveau de la génération de différentes formes. Le plus souvent, le fraisage est utilisé pour produire des surfaces planes, des épaulements et des gorges, mais son efficacité en contournage va croissante grâce à l’utilisation des techniques CNC (Computerized Numerical Control). REFERENCE : BM 7 082 Date : Janvier 2001 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...] [article] Fraisage: principes [texte imprimé] / Société SANDIVIK-COROMANT, Auteur . - 2011 . - 21 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 21 p.
Mots-clés : Fraisage; Principes Résumé : Le fraisage est, dans son principe, un procédé de fabrication mécanique par coupe (enlèvement de matière) faisant intervenir, en coordination, le mouvement de rotation d’un outil à plusieurs arêtes (mouvement de coupe) et l’avance rectiligne d’une pièce (dit mouvement d’avance). Aujourd’hui, toutefois, on a également un déplacement de l’outil par rapport à la pièce, lequel peut s’effectuer pratiquement dans n’importe quelle direction. L’outil de fraisage, la fraise, comporte plusieurs arêtes de coupe dont chacune enlève une certaine quantité de métal sous forme de copeaux. Les avantages du fraisage sont un rendement élevé, un bon fini de surface et une haute précision, ainsi qu’une grande souplesse au niveau de la génération de différentes formes. Le plus souvent, le fraisage est utilisé pour produire des surfaces planes, des épaulements et des gorges, mais son efficacité en contournage va croissante grâce à l’utilisation des techniques CNC (Computerized Numerical Control). REFERENCE : BM 7 082 Date : Janvier 2001 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 24 p.
Titre : Fraisage : principales opérations Type de document : texte imprimé Auteurs : Société SANDIVIK-COROMANT, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 24 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Fraisage; Surfaçage-dressage Résumé : Cet article décrit les applications spécifiques au surfaçage et au fraisage circulaire, ainsi que les combinaisons possibles entre ces deux méthodes. Le surfaçage est généralement le plus efficace pour l’usinage de surfaces planes, tandis que le fraisage périphérique est mieux approprié pour les rainures et les profils ouverts d’une certaine longueur. REFERENCE : BM 7 083 Date : Janvier 2001 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...] [article] Fraisage : principales opérations [texte imprimé] / Société SANDIVIK-COROMANT, Auteur . - 2011 . - 24 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 24 p.
Mots-clés : Fraisage; Surfaçage-dressage Résumé : Cet article décrit les applications spécifiques au surfaçage et au fraisage circulaire, ainsi que les combinaisons possibles entre ces deux méthodes. Le surfaçage est généralement le plus efficace pour l’usinage de surfaces planes, tandis que le fraisage périphérique est mieux approprié pour les rainures et les profils ouverts d’une certaine longueur. REFERENCE : BM 7 083 Date : Janvier 2001 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 13 p.
Titre : Fraisage : étude de cas Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : 13 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Fraisage; Fraisage-tournage Résumé : Les applications du fraisage sont extrêmement variées. Nous allons ici les illustrer avec quelques exemples pratiques :
diverses conditions d’utilisation des plaquettes de fraisage ;
trois mises en œuvre particulières du fraisage ;
exemples d’utilisation des fraises à rainurer ;
procédé de fraisage-tournage.
REFERENCE : BM 7 084 Date : Avril 2001 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...] [article] Fraisage : étude de cas [texte imprimé] . - 2011 . - 13 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 13 p.
Mots-clés : Fraisage; Fraisage-tournage Résumé : Les applications du fraisage sont extrêmement variées. Nous allons ici les illustrer avec quelques exemples pratiques :
diverses conditions d’utilisation des plaquettes de fraisage ;
trois mises en œuvre particulières du fraisage ;
exemples d’utilisation des fraises à rainurer ;
procédé de fraisage-tournage.
REFERENCE : BM 7 084 Date : Avril 2001 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 22 p.
Titre : Tournage Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Passeron, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 22 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Tournage Résumé : Le tournage est un procédé de fabrication mécanique par coupe (enlèvement de matière) mettant en jeu des outils à arête unique. REFERENCE : BM 7 086 Date : Avril 1998 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...] [article] Tournage [texte imprimé] / Alain Passeron, Auteur . - 2011 . - 22 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 22 p.
Mots-clés : Tournage Résumé : Le tournage est un procédé de fabrication mécanique par coupe (enlèvement de matière) mettant en jeu des outils à arête unique. REFERENCE : BM 7 086 Date : Avril 1998 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 19 p.
Titre : Outils coupants : brochage Type de document : texte imprimé Auteurs : Claude Bellais, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 19 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Outils coupants; Brochage Résumé : Si à l’origine le brochage n’était qu’une extension d’une opération de mortaisage concernant uniquement la simple réalisation de rainures de clavetage intérieur, le procédé va ensuite connaître améliorations et développements permettant d’obtenir toutes formes intérieures puis extérieures, parfois irréalisables par d’autres procédés.
Le brochage présente toujours une productivité et par suite un bilan économique le plaçant en tête par rapport aux autres procédés, cela dès que l’on aborde les moyennes et grandes séries. C’est ainsi que, dans beaucoup d’unités de production, il a pris le relais dans de nombreuses opérations réalisées auparavant par fraisage. C’est un procédé qui permet d’effectuer l’ébauche et la finition en une seule opération, d’obtenir formes et dimensions précises avec de très bons états de surface, enfin il assure une parfaite reproductibilité même après un nombre considérable de pièces brochées.REFERENCE : B 7 087 Date : Janvier 1997 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/outillage-et- [...] [article] Outils coupants : brochage [texte imprimé] / Claude Bellais, Auteur . - 2011 . - 19 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 19 p.
Mots-clés : Outils coupants; Brochage Résumé : Si à l’origine le brochage n’était qu’une extension d’une opération de mortaisage concernant uniquement la simple réalisation de rainures de clavetage intérieur, le procédé va ensuite connaître améliorations et développements permettant d’obtenir toutes formes intérieures puis extérieures, parfois irréalisables par d’autres procédés.
Le brochage présente toujours une productivité et par suite un bilan économique le plaçant en tête par rapport aux autres procédés, cela dès que l’on aborde les moyennes et grandes séries. C’est ainsi que, dans beaucoup d’unités de production, il a pris le relais dans de nombreuses opérations réalisées auparavant par fraisage. C’est un procédé qui permet d’effectuer l’ébauche et la finition en une seule opération, d’obtenir formes et dimensions précises avec de très bons états de surface, enfin il assure une parfaite reproductibilité même après un nombre considérable de pièces brochées.REFERENCE : B 7 087 Date : Janvier 1997 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/outillage-et- [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 20 p.
Titre : Perçage Type de document : texte imprimé Auteurs : Société SANDIVIK-COROMANT, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 20 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Perçage; Outils Résumé : Le terme de perçage recouvre toutes les méthodes ayant pour objet d’exécuter des trous cylindriques dans une pièce avec des outils de coupe par enlèvement de copeaux. En plus du perçage de trous courts et du forage de trous profonds, ce concept inclut également diverses opérations d’usinage consécutives, telles que brochage, alésage, réalésage et certaines formes de finition comme le calibrage et le galetage. Tous ces procédés ont en commun d’utiliser en combinaison un mouvement rotatif et un mouvement d’avance linéaire. Cet article ne traite cependant que du perçage de trous courts.
Précédemment, les trous courts étaient essentiellement percés sur des machines verticales classiques et occasionnaient souvent des goulets d’étranglement dans la production. Désormais, cette opération peut être effectuée sur la plupart des machines, ce qui rend possible le perçage rapide de trous courts sur cellules flexibles, centres d’usinage et tours CN et CNC modernes.
Le fait que le perçage soit de loin l’opération d’usinage la plus courante et que la majorité des trous percés aient un diamètre compris entre 10 et 20 mm montre clairement l’importance des trous courts dans le secteur moderne de l’usinage par enlèvement de copeaux. Le développement d’outils pour le perçage de trous courts a radicalement modifié les besoins à la fois d’usinage préliminaire et d’usinage consécutif.
Les outils modernes ont fait que le perçage dans le plein peut désormais être exécuté en une seule opération, sans point de centre et avec une qualité permettant, dans la plupart des cas, d’éliminer les opérations complémentaires destinées à améliorer la précision de cotes et le fini de surface.REFERENCE : BM 7 088 Date : Juillet 2001 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...] [article] Perçage [texte imprimé] / Société SANDIVIK-COROMANT, Auteur . - 2011 . - 20 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 20 p.
Mots-clés : Perçage; Outils Résumé : Le terme de perçage recouvre toutes les méthodes ayant pour objet d’exécuter des trous cylindriques dans une pièce avec des outils de coupe par enlèvement de copeaux. En plus du perçage de trous courts et du forage de trous profonds, ce concept inclut également diverses opérations d’usinage consécutives, telles que brochage, alésage, réalésage et certaines formes de finition comme le calibrage et le galetage. Tous ces procédés ont en commun d’utiliser en combinaison un mouvement rotatif et un mouvement d’avance linéaire. Cet article ne traite cependant que du perçage de trous courts.
Précédemment, les trous courts étaient essentiellement percés sur des machines verticales classiques et occasionnaient souvent des goulets d’étranglement dans la production. Désormais, cette opération peut être effectuée sur la plupart des machines, ce qui rend possible le perçage rapide de trous courts sur cellules flexibles, centres d’usinage et tours CN et CNC modernes.
Le fait que le perçage soit de loin l’opération d’usinage la plus courante et que la majorité des trous percés aient un diamètre compris entre 10 et 20 mm montre clairement l’importance des trous courts dans le secteur moderne de l’usinage par enlèvement de copeaux. Le développement d’outils pour le perçage de trous courts a radicalement modifié les besoins à la fois d’usinage préliminaire et d’usinage consécutif.
Les outils modernes ont fait que le perçage dans le plein peut désormais être exécuté en une seule opération, sans point de centre et avec une qualité permettant, dans la plupart des cas, d’éliminer les opérations complémentaires destinées à améliorer la précision de cotes et le fini de surface.REFERENCE : BM 7 088 Date : Juillet 2001 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...] Perçage vibratoire autoentetenu / Henri Paris in Techniques de l'ingénieur BT, Vol. BT1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 12 p.
Titre : Perçage vibratoire autoentetenu Type de document : texte imprimé Auteurs : Henri Paris, Auteur ; Joël Rech, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 12 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Perçage vibratoire Résumé : La réalisation de perçages profonds sur des pièces mécaniques reste aujourd'hui une opération délicate. En effet, l'opération de perçage est une opération confinée qui conduit à une grande concentration de chaleur en pointe d'outils, ainsi qu'à une grande difficulté d'évacuation des copeaux hors du trou. Pour fractionner le copeau et ainsi faciliter son évacuation, plusieurs techniques, comme l'utilisation de cycles de débourrage ou de lubrification haute pression, sont utilisées dans le monde industriel. Ces solutions sont avant tout des stratégies qui permettent d'éviter des arrêts intempestifs de production, mais elles ne permettent pas de gains de productivité. REFERENCE : BM 7 089 Date : Avril 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...] [article] Perçage vibratoire autoentetenu [texte imprimé] / Henri Paris, Auteur ; Joël Rech, Auteur . - 2011 . - 12 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 12 p.
Mots-clés : Perçage vibratoire Résumé : La réalisation de perçages profonds sur des pièces mécaniques reste aujourd'hui une opération délicate. En effet, l'opération de perçage est une opération confinée qui conduit à une grande concentration de chaleur en pointe d'outils, ainsi qu'à une grande difficulté d'évacuation des copeaux hors du trou. Pour fractionner le copeau et ainsi faciliter son évacuation, plusieurs techniques, comme l'utilisation de cycles de débourrage ou de lubrification haute pression, sont utilisées dans le monde industriel. Ces solutions sont avant tout des stratégies qui permettent d'éviter des arrêts intempestifs de production, mais elles ne permettent pas de gains de productivité. REFERENCE : BM 7 089 Date : Avril 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...] Taraudage par coupe et par déformation / Fromentin, Guillaume in Techniques de l'ingénieur BT, Vol. BT1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 11 p.
Titre : Taraudage par coupe et par déformation : moyens et pratiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Fromentin, Guillaume, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 11 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Taraudage; Déformation; Assemblage Résumé : L’assemblage vissé est très largement utilisé dans les secteurs de la mécanique car cette solution répond à des exigences de tenue en service, en termes de résistance et de rigidité, et autorise des contraintes opérationnelles telles que la possibilité du démontage. Le domaine de l’assemblage vissé est vaste et relativement complexe car il mêle de nombreux éléments technologiques : différentes géométries de filet, classes d’acier, revêtements, tolérances, dimensionnement et conditions de montage. La réalisation d’assemblages vissés nécessite la fabrication de filets intérieurs et il convient de considérer les éléments cités précédemment pour leur obtention. L’entité d’usinage qu’est le filet n’est donc pas une surface comme les autres, puisque sa fonction, l’assemblage, est clairement définie, et sa réalisation doit répondre à de nombreuses spécifications. REFERENCE : BM 7 090 Date : Juillet 2006 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...] [article] Taraudage par coupe et par déformation : moyens et pratiques [texte imprimé] / Fromentin, Guillaume, Auteur . - 2011 . - 11 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 11 p.
Mots-clés : Taraudage; Déformation; Assemblage Résumé : L’assemblage vissé est très largement utilisé dans les secteurs de la mécanique car cette solution répond à des exigences de tenue en service, en termes de résistance et de rigidité, et autorise des contraintes opérationnelles telles que la possibilité du démontage. Le domaine de l’assemblage vissé est vaste et relativement complexe car il mêle de nombreux éléments technologiques : différentes géométries de filet, classes d’acier, revêtements, tolérances, dimensionnement et conditions de montage. La réalisation d’assemblages vissés nécessite la fabrication de filets intérieurs et il convient de considérer les éléments cités précédemment pour leur obtention. L’entité d’usinage qu’est le filet n’est donc pas une surface comme les autres, puisque sa fonction, l’assemblage, est clairement définie, et sa réalisation doit répondre à de nombreuses spécifications. REFERENCE : BM 7 090 Date : Juillet 2006 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...] Taraudage par coupe et par déformation: techniques et filets obtenus / Fromentin, Guillaume in Techniques de l'ingénieur BT, Vol. BT1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 16 p.
Titre : Taraudage par coupe et par déformation: techniques et filets obtenus Type de document : texte imprimé Auteurs : Fromentin, Guillaume, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 16 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Taraudage; Déformation; Filets obtenu Résumé : En lien avec la machine et ses moyens de taraudage, objet du dossier , le choix d’une technique de taraudage, par coupe ou par déformation, et des paramètres opérationnels déterminent les qualités du process, la fiabilité et la durée de vie de l’outil. Le choix de l’une ou l’autre de ces techniques n’est pas forcément possible, car elle possède chacune leurs propres limites d’application. De plus, l’analyse d’une opération de taraudage ne peut-être indépendante des opérations de réalisation de l’avant-trou de taraudage. Les propriétés géométriques requises de l’avant-trou sont fonction de la technique de taraudage utilisée. Au-delà des aspects procédés, le choix d’une technique, ou l’exécution d’une même technique avec des conditions différentes, influence les qualités géométriques et les propriétés mécaniques et métallurgiques des filets réalisés.
Ce dossier présente deux techniques de taraudage, par coupe et par déformation, et explique le fonctionnement de chacune en lien avec les géométries des outils. Elles se distinguent par leurs spécificités et leurs aptitudes différentes, tant du point de vue de l’exécution que du résultat obtenu.
REFERENCE : BM 7 091v2 Date : Octobre 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...] [article] Taraudage par coupe et par déformation: techniques et filets obtenus [texte imprimé] / Fromentin, Guillaume, Auteur . - 2011 . - 16 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 16 p.
Mots-clés : Taraudage; Déformation; Filets obtenu Résumé : En lien avec la machine et ses moyens de taraudage, objet du dossier , le choix d’une technique de taraudage, par coupe ou par déformation, et des paramètres opérationnels déterminent les qualités du process, la fiabilité et la durée de vie de l’outil. Le choix de l’une ou l’autre de ces techniques n’est pas forcément possible, car elle possède chacune leurs propres limites d’application. De plus, l’analyse d’une opération de taraudage ne peut-être indépendante des opérations de réalisation de l’avant-trou de taraudage. Les propriétés géométriques requises de l’avant-trou sont fonction de la technique de taraudage utilisée. Au-delà des aspects procédés, le choix d’une technique, ou l’exécution d’une même technique avec des conditions différentes, influence les qualités géométriques et les propriétés mécaniques et métallurgiques des filets réalisés.
Ce dossier présente deux techniques de taraudage, par coupe et par déformation, et explique le fonctionnement de chacune en lien avec les géométries des outils. Elles se distinguent par leurs spécificités et leurs aptitudes différentes, tant du point de vue de l’exécution que du résultat obtenu.
REFERENCE : BM 7 091v2 Date : Octobre 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/procedes-d-us [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 12 p.
Titre : Sciage Type de document : texte imprimé Auteurs : Souchon, Christian, Auteur ; Sauveur Martinez, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 12 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Sciage Résumé : Le sciage est un procédé de découpe de matériaux de natures diverses. Il s’effectue par enlèvement de matière, à l’aide d’un outil appelé lame. Cet outil est pourvu de dents dont les formes sont censées répondre aux besoins de l’opération en termes de qualité d’exécution et d’intérêt économique. La denture est dans certains cas remplacée par des concrétions, dépôts de grains de haute dureté dont le rôle est de faire office d’arête coupante.
La coupe par outils abrasifs, tels que la meule à tronçonner, présente un caractère spécifique ayant très peu de point en commun avec le sciage.
En sciage, l’enlèvement de métal s’effectue, en règle générale, à froid, autrement dit, le matériau coupé n’est pas dénaturé au niveau de la coupe. Cependant, dans les techniques de coupe à grande vitesse, la coupe s’effectue soit sur un matériau dont la haute température est obtenue par le frottement de l’outil, soit sur un matériau dont la température est initialement élevée.
REFERENCE : BM 7 096 Date : Octobre 2000 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/sciences-et- [...] [article] Sciage [texte imprimé] / Souchon, Christian, Auteur ; Sauveur Martinez, Auteur . - 2011 . - 12 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 12 p.
Mots-clés : Sciage Résumé : Le sciage est un procédé de découpe de matériaux de natures diverses. Il s’effectue par enlèvement de matière, à l’aide d’un outil appelé lame. Cet outil est pourvu de dents dont les formes sont censées répondre aux besoins de l’opération en termes de qualité d’exécution et d’intérêt économique. La denture est dans certains cas remplacée par des concrétions, dépôts de grains de haute dureté dont le rôle est de faire office d’arête coupante.
La coupe par outils abrasifs, tels que la meule à tronçonner, présente un caractère spécifique ayant très peu de point en commun avec le sciage.
En sciage, l’enlèvement de métal s’effectue, en règle générale, à froid, autrement dit, le matériau coupé n’est pas dénaturé au niveau de la coupe. Cependant, dans les techniques de coupe à grande vitesse, la coupe s’effectue soit sur un matériau dont la haute température est obtenue par le frottement de l’outil, soit sur un matériau dont la température est initialement élevée.
REFERENCE : BM 7 096 Date : Octobre 2000 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/sciences-et- [...]
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |