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Techniques de l'ingénieur K / Blanc, André . Vol. K5Constantes physico-chimiquesMention de date : Trimestriel Paru le : 08/03/2011 |
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[article]
in Techniques de l'ingénieur K > Vol. K5 (Trimestriel) . - 17 p.
Titre : Electrochimie appliquée : caractérisations des systèmes électrochimiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Darchen, André, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 17 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Electrochimie Systèmes électrochimiques Résumé : L'électricité était connue lorsque Volta inventa la pile électrique. En effet, l'électricité était déjà utilisée et étudiée comme une curiosité de laboratoire : le frottement de matériaux isolants permettait de créer quelques charges électriques et de les stocker dans des condensateurs. En 1800, lorsque Volta empila des disques métalliques séparés par des matériaux non métalliques mais rendus conducteurs par imprégnation avec de l'eau salée, il constitua la première pile électrique et, grâce à cette première application, il ouvrit aussi la porte de l'électrochimie.
L'électrochimie peut être caractérisée par l'ensemble des phénomènes impliqués dans le passage d'un courant électrique dans un conducteur ionique, indépendamment de son sens. Le passage de ce courant nécessite d'utiliser un système électrochimique constitué par deux électrodes en contact électrique avec le conducteur ionique. La matière impliquée comporte donc des matériaux conducteurs électroniques et un milieu liquide rendu conducteur électrique grâce à la présence d'ions. La caractérisation physique des systèmes électrochimiques utilise principalement des mesures de courant ou de potentiel.
Le passage du courant est généralement accompagné de modifications chimiques des électrodes ou de la matière présente à leur surface. Ce couplage des transformations chimiques avec l'électricité intervient dans deux grandes applications électrochimiques : les piles et les électrolyses. Le passage du courant implique toujours une conversion d'énergie. Un courant et une énergie électrique sont produits à l'aide d'une pile grâce à la consommation d'un oxydant et d'un réducteur, respectivement sur une cathode et une anode. Dans une électrolyse, c'est une énergie électrique qui est consommée et transformée en produits et chaleur.
Depuis Volta, l'électrochimie s'est énormément développée, tant sur le plan fondamental que sur celui des applications dans divers secteurs : l'énergie, la synthèse et la mise en œuvre de matériaux, l'analyse ou encore le monde du vivant. Selon la nature et la dimension des électrodes, et selon l'intensité du courant, l'électrochimie a donné lieu à une grande diversité d'applications industrielles qui sont évoquées dans cet article. Ces applications font toujours l'objet de recherches actives, en particulier lorsqu'elles s'inscrivent dans des objectifs de développement durable et d'une meilleure gestion de la matière et de l'énergie. En effet, le couplage de l'électricité avec des changements de la matière est actuellement au cœur des procédés les plus crédibles de stockage des énergies renouvelables intermittentes.REFERENCE : K 800v2 DEWEY : 530.8 Date : Novembre 2009 En ligne : www.techniques-ingenieur.fr [article] Electrochimie appliquée : caractérisations des systèmes électrochimiques [texte imprimé] / Darchen, André, Auteur . - 2011 . - 17 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur K > Vol. K5 (Trimestriel) . - 17 p.
Mots-clés : Electrochimie Systèmes électrochimiques Résumé : L'électricité était connue lorsque Volta inventa la pile électrique. En effet, l'électricité était déjà utilisée et étudiée comme une curiosité de laboratoire : le frottement de matériaux isolants permettait de créer quelques charges électriques et de les stocker dans des condensateurs. En 1800, lorsque Volta empila des disques métalliques séparés par des matériaux non métalliques mais rendus conducteurs par imprégnation avec de l'eau salée, il constitua la première pile électrique et, grâce à cette première application, il ouvrit aussi la porte de l'électrochimie.
L'électrochimie peut être caractérisée par l'ensemble des phénomènes impliqués dans le passage d'un courant électrique dans un conducteur ionique, indépendamment de son sens. Le passage de ce courant nécessite d'utiliser un système électrochimique constitué par deux électrodes en contact électrique avec le conducteur ionique. La matière impliquée comporte donc des matériaux conducteurs électroniques et un milieu liquide rendu conducteur électrique grâce à la présence d'ions. La caractérisation physique des systèmes électrochimiques utilise principalement des mesures de courant ou de potentiel.
Le passage du courant est généralement accompagné de modifications chimiques des électrodes ou de la matière présente à leur surface. Ce couplage des transformations chimiques avec l'électricité intervient dans deux grandes applications électrochimiques : les piles et les électrolyses. Le passage du courant implique toujours une conversion d'énergie. Un courant et une énergie électrique sont produits à l'aide d'une pile grâce à la consommation d'un oxydant et d'un réducteur, respectivement sur une cathode et une anode. Dans une électrolyse, c'est une énergie électrique qui est consommée et transformée en produits et chaleur.
Depuis Volta, l'électrochimie s'est énormément développée, tant sur le plan fondamental que sur celui des applications dans divers secteurs : l'énergie, la synthèse et la mise en œuvre de matériaux, l'analyse ou encore le monde du vivant. Selon la nature et la dimension des électrodes, et selon l'intensité du courant, l'électrochimie a donné lieu à une grande diversité d'applications industrielles qui sont évoquées dans cet article. Ces applications font toujours l'objet de recherches actives, en particulier lorsqu'elles s'inscrivent dans des objectifs de développement durable et d'une meilleure gestion de la matière et de l'énergie. En effet, le couplage de l'électricité avec des changements de la matière est actuellement au cœur des procédés les plus crédibles de stockage des énergies renouvelables intermittentes.REFERENCE : K 800v2 DEWEY : 530.8 Date : Novembre 2009 En ligne : www.techniques-ingenieur.fr Conductivité des électrolytes / Lefrou, Christine in Techniques de l'ingénieur K, Vol. K5 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur K > Vol. K5 (Trimestriel) . - 16 p.
Titre : Conductivité des électrolytes Type de document : texte imprimé Auteurs : Lefrou, Christine, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 16 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Conductivité Electrolytes Résumé : Il s'agit ici de présenter les propriétés, les caractéristiques, les mécanismes et les applications de la conduction électrique en se restreignant à une classe de matériaux appelés électrolytes. La conduction électrique dans ce type de matériau est toujours associée à des mouvements macroscopiques d'un ou plusieurs types d'ions qui rendent possible le passage d'un courant électrique. Il existe également des matériaux, dit à conduction mixte, qui présentent simultanément de manière significative des mouvements d'ions et d'électrons, mais ici il ne sera question que des conducteurs ioniques, strictement ou quasiment isolants électroniques.
Les matériaux électrolytes sont au cœur de tout système électrochimique, en particulier ils sont un élément essentiel des générateurs électrochimiques ou des cellules de procédés industriels, ou encore un élément clé de la corrosion de nombreux métaux. L'électrochimie fait toujours intervenir un assemblage de matériaux conducteurs électriques de natures différentes, typiquement la mise en contact entre un métal et un électrolyte. Les propriétés uniques mises en œuvre tiennent alors à ces interfaces particulières, dont l'étude est au centre de l'électrochimie. Cependant les propriétés conductrices des matériaux volumiques, loin des interfaces, sont également importantes pour analyser, caractériser et optimiser les systèmes électrochimiques. Ce sont, en particulier, ces propriétés de conduction qui gouvernent, en même temps que les caractéristiques géométriques de l'électrolyte utilisé, l'ampleur du terme appelé chute ohmique qui accompagne le passage d'un courant dans tout matériau et qui est aussi à l'origine des phénomènes d'effet Joule.
REFERENCE : K 840 DEWEY : 530.8 Date : Novembre 2010 En ligne : www.techniques-ingenieur.fr [article] Conductivité des électrolytes [texte imprimé] / Lefrou, Christine, Auteur . - 2011 . - 16 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur K > Vol. K5 (Trimestriel) . - 16 p.
Mots-clés : Conductivité Electrolytes Résumé : Il s'agit ici de présenter les propriétés, les caractéristiques, les mécanismes et les applications de la conduction électrique en se restreignant à une classe de matériaux appelés électrolytes. La conduction électrique dans ce type de matériau est toujours associée à des mouvements macroscopiques d'un ou plusieurs types d'ions qui rendent possible le passage d'un courant électrique. Il existe également des matériaux, dit à conduction mixte, qui présentent simultanément de manière significative des mouvements d'ions et d'électrons, mais ici il ne sera question que des conducteurs ioniques, strictement ou quasiment isolants électroniques.
Les matériaux électrolytes sont au cœur de tout système électrochimique, en particulier ils sont un élément essentiel des générateurs électrochimiques ou des cellules de procédés industriels, ou encore un élément clé de la corrosion de nombreux métaux. L'électrochimie fait toujours intervenir un assemblage de matériaux conducteurs électriques de natures différentes, typiquement la mise en contact entre un métal et un électrolyte. Les propriétés uniques mises en œuvre tiennent alors à ces interfaces particulières, dont l'étude est au centre de l'électrochimie. Cependant les propriétés conductrices des matériaux volumiques, loin des interfaces, sont également importantes pour analyser, caractériser et optimiser les systèmes électrochimiques. Ce sont, en particulier, ces propriétés de conduction qui gouvernent, en même temps que les caractéristiques géométriques de l'électrolyte utilisé, l'ampleur du terme appelé chute ohmique qui accompagne le passage d'un courant dans tout matériau et qui est aussi à l'origine des phénomènes d'effet Joule.
REFERENCE : K 840 DEWEY : 530.8 Date : Novembre 2010 En ligne : www.techniques-ingenieur.fr Matériaux pour les cellules photovoltaiques organiques et nanocristallines colorant / Goubard, Fabrice in Techniques de l'ingénieur K, Vol. K5 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur K > Vol. K5 (Trimestriel) . - 12 p.
Titre : Matériaux pour les cellules photovoltaiques organiques et nanocristallines colorant Type de document : texte imprimé Auteurs : Goubard, Fabrice, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 12 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Matériaux Cellules photovoltaiques Nanocristallines Résumé : Les cellules solaires à base de silicium représentent actuellement la quasi-totalité des cellules utilisées dans le monde. Cependant, sa mise en œuvre ne permet pas d'envisager son utilisation dans des secteurs bon marché. En effet, basée sur la reduction de la silice, l'élaboration de tels dispositifs nécessite des transformations lourdes et coûteuses comme la fusion et l'équarrissage du matériau. Depuis quelques temps, ont émergé des solutions à bas coût utilisant principalement la technologie propre aux couches minces. Cette dernière repose sur la superposition de couches actives conductrices d'épaisseur totale 10 à 20 fois inférieure à celle de couches monoblocs de silicium. D'autre part, le degré de pureté des produits requis est de 2 ordres de grandeur plus faible que celui demandé pour un dispositif au silicium. Issues de cette technologie propre aux couches minces, les cellules hybrides et tout organique comptent parmi les plus prometteuses. Elles doivent leur succès non seulement à la possibilité de réaliser de grandes surfaces souples grâce au procédé par enduction « roll-to-roll » mais aussi à leur rendement photovoltaïque de plus en plus appréciable. Cependant, les matériaux utilisés doivent posséder des propriétés physiques et chimiques particulières répondant à la fois au fonctionnement d'une cellule photovoltaïque et à sa mise en œuvre. Dans cette étude, nous citerons et analyserons les caractéristiques des différents matériaux constituant une cellule nanocristalline à colorant et une cellule tout organique. Puis, nous détaillerons leur mise en œuvre au sein d'un dispositif. REFERENCE : K 735 DEWEY : 530.8 Date : Mai 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/procedes-chimie-bio-agro-th [...] [article] Matériaux pour les cellules photovoltaiques organiques et nanocristallines colorant [texte imprimé] / Goubard, Fabrice, Auteur . - 2011 . - 12 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur K > Vol. K5 (Trimestriel) . - 12 p.
Mots-clés : Matériaux Cellules photovoltaiques Nanocristallines Résumé : Les cellules solaires à base de silicium représentent actuellement la quasi-totalité des cellules utilisées dans le monde. Cependant, sa mise en œuvre ne permet pas d'envisager son utilisation dans des secteurs bon marché. En effet, basée sur la reduction de la silice, l'élaboration de tels dispositifs nécessite des transformations lourdes et coûteuses comme la fusion et l'équarrissage du matériau. Depuis quelques temps, ont émergé des solutions à bas coût utilisant principalement la technologie propre aux couches minces. Cette dernière repose sur la superposition de couches actives conductrices d'épaisseur totale 10 à 20 fois inférieure à celle de couches monoblocs de silicium. D'autre part, le degré de pureté des produits requis est de 2 ordres de grandeur plus faible que celui demandé pour un dispositif au silicium. Issues de cette technologie propre aux couches minces, les cellules hybrides et tout organique comptent parmi les plus prometteuses. Elles doivent leur succès non seulement à la possibilité de réaliser de grandes surfaces souples grâce au procédé par enduction « roll-to-roll » mais aussi à leur rendement photovoltaïque de plus en plus appréciable. Cependant, les matériaux utilisés doivent posséder des propriétés physiques et chimiques particulières répondant à la fois au fonctionnement d'une cellule photovoltaïque et à sa mise en œuvre. Dans cette étude, nous citerons et analyserons les caractéristiques des différents matériaux constituant une cellule nanocristalline à colorant et une cellule tout organique. Puis, nous détaillerons leur mise en œuvre au sein d'un dispositif. REFERENCE : K 735 DEWEY : 530.8 Date : Mai 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/procedes-chimie-bio-agro-th [...] Potentiels standards d'oxydoréduction / Darchen, André in Techniques de l'ingénieur K, Vol. K5 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur K > Vol. K5 (Trimestriel) . - 28 p.
Titre : Potentiels standards d'oxydoréduction : déterminations et applications Type de document : texte imprimé Auteurs : Darchen, André, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 28 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Oxydoréduction Résumé : Les réactions d'oxydoréduction constituent une famille de réactions particulières caractérisées par l'implication de deux oxydants (Ox1 et Ox2) et de deux réducteurs (Red1 et Red2), avec la participation éventuelle de composés spectateurs du point de vue de l'oxydoréduction (CS, CS′), selon la stœchiométrie simplifiée de l'équation ( cf. 1 ). En effet, dans cette équation, les composés spectateurs servent à équilibrer la réaction mais ils ne subissent ni oxydation ni réduction. Les composés oxydants et réducteurs appartiennent à deux couples oxydoréducteurs ou couples redox Ox1/Red1 et Ox2/Red2 :
(1)
(2)
La définition de composé « oxydant » ou « réducteur » a évolué en fonction des connaissances scientifiques, en tenant compte des mécanismes éventuels : perte ou gain d'oxygène, perte ou gain d'hydrogène, perte ou gain d'électrons, ou encore variation de l'état d'oxydation ou du nombre d'oxydation. Afin de qualifier un composé oxydant ou réducteur par un potentiel redox, nous retiendrons la définition qui fait référence à la possibilité de transfert d'un ou plusieurs électrons selon l'équation ( cf. 2 ). Dans cette équation, l'oxydant est un composé susceptible de capter des électrons, tandis que le réducteur est un composé susceptible de fournir des électrons. Selon cette équation, le statut « oxydant » ou « réducteur » des composés du couple oxydoréducteur peut aussi être établi sur une base plus générale de la variation du degré d'oxydation d'un élément chimique présent dans ces composés.
L'oxydant capte des électrons. Il s'agit donc d'une réduction de l'oxydant au cours de laquelle un élément de ce composé est caractérisé par une diminution de son degré d'oxydation.
Le réducteur fournit des électrons. Il s'agit donc d'une oxydation du réducteur au cours de laquelle un élément de ce composé est caractérisé par une augmentation de son degré d'oxydation.
Le degré d'oxydation de cet élément chimique, ou même la variation de ce degré d'oxydation, ne suffit pas à caractériser l'aptitude des composés à se comporter comme oxydant ou comme réducteur. En revanche, les potentiels standards permettent de prévoir les possibilités des réactions d'oxydoréduction permises par la thermodynamique. Il est possible de concevoir une augmentation (ou une diminution) d'un degré d'oxydation d'un élément en utilisant une anode (ou une cathode). La réaction correspondante de transfert d'électrons peut alors être écrite de manière simple dans le sens de la réduction de l'oxydant ou de l'oxydation du réducteur. Dans un certain nombre de cas, ces transferts d'électrons sont expérimentalement réalisables sur des électrodes dans des conditions normalisées et conduisent à des valeurs de potentiels de référence appelés potentiels standards. Étant donné que ces potentiels sont des caractéristiques thermodynamiques, ils sont aussi accessibles à partir des calculs de variation d'enthalpie libre.
Après avoir rappelé les conventions relatives à l'oxydoréduction, nous présenterons les méthodes d'accès aux potentiels standards, ainsi que les principales valeurs relatives à divers composés. La connaissance des potentiels standards des composés oxydants ou réducteurs engagés dans un processus redox, électrochimique ou non, permet diverses applications qui seront également présentées dans cet article.
REFERENCE : K 810v2 DEWEY : 530.8 Date : Mai 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/procedes-chimie-bio-agro-th [...] [article] Potentiels standards d'oxydoréduction : déterminations et applications [texte imprimé] / Darchen, André, Auteur . - 2011 . - 28 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur K > Vol. K5 (Trimestriel) . - 28 p.
Mots-clés : Oxydoréduction Résumé : Les réactions d'oxydoréduction constituent une famille de réactions particulières caractérisées par l'implication de deux oxydants (Ox1 et Ox2) et de deux réducteurs (Red1 et Red2), avec la participation éventuelle de composés spectateurs du point de vue de l'oxydoréduction (CS, CS′), selon la stœchiométrie simplifiée de l'équation ( cf. 1 ). En effet, dans cette équation, les composés spectateurs servent à équilibrer la réaction mais ils ne subissent ni oxydation ni réduction. Les composés oxydants et réducteurs appartiennent à deux couples oxydoréducteurs ou couples redox Ox1/Red1 et Ox2/Red2 :
(1)
(2)
La définition de composé « oxydant » ou « réducteur » a évolué en fonction des connaissances scientifiques, en tenant compte des mécanismes éventuels : perte ou gain d'oxygène, perte ou gain d'hydrogène, perte ou gain d'électrons, ou encore variation de l'état d'oxydation ou du nombre d'oxydation. Afin de qualifier un composé oxydant ou réducteur par un potentiel redox, nous retiendrons la définition qui fait référence à la possibilité de transfert d'un ou plusieurs électrons selon l'équation ( cf. 2 ). Dans cette équation, l'oxydant est un composé susceptible de capter des électrons, tandis que le réducteur est un composé susceptible de fournir des électrons. Selon cette équation, le statut « oxydant » ou « réducteur » des composés du couple oxydoréducteur peut aussi être établi sur une base plus générale de la variation du degré d'oxydation d'un élément chimique présent dans ces composés.
L'oxydant capte des électrons. Il s'agit donc d'une réduction de l'oxydant au cours de laquelle un élément de ce composé est caractérisé par une diminution de son degré d'oxydation.
Le réducteur fournit des électrons. Il s'agit donc d'une oxydation du réducteur au cours de laquelle un élément de ce composé est caractérisé par une augmentation de son degré d'oxydation.
Le degré d'oxydation de cet élément chimique, ou même la variation de ce degré d'oxydation, ne suffit pas à caractériser l'aptitude des composés à se comporter comme oxydant ou comme réducteur. En revanche, les potentiels standards permettent de prévoir les possibilités des réactions d'oxydoréduction permises par la thermodynamique. Il est possible de concevoir une augmentation (ou une diminution) d'un degré d'oxydation d'un élément en utilisant une anode (ou une cathode). La réaction correspondante de transfert d'électrons peut alors être écrite de manière simple dans le sens de la réduction de l'oxydant ou de l'oxydation du réducteur. Dans un certain nombre de cas, ces transferts d'électrons sont expérimentalement réalisables sur des électrodes dans des conditions normalisées et conduisent à des valeurs de potentiels de référence appelés potentiels standards. Étant donné que ces potentiels sont des caractéristiques thermodynamiques, ils sont aussi accessibles à partir des calculs de variation d'enthalpie libre.
Après avoir rappelé les conventions relatives à l'oxydoréduction, nous présenterons les méthodes d'accès aux potentiels standards, ainsi que les principales valeurs relatives à divers composés. La connaissance des potentiels standards des composés oxydants ou réducteurs engagés dans un processus redox, électrochimique ou non, permet diverses applications qui seront également présentées dans cet article.
REFERENCE : K 810v2 DEWEY : 530.8 Date : Mai 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/procedes-chimie-bio-agro-th [...] Matériaux supraconducteurs lamellaires à base de fer / Berardan, David in Techniques de l'ingénieur K, Vol. K5 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur K > Vol. K5 (Trimestriel) . - 18 p.
Titre : Matériaux supraconducteurs lamellaires à base de fer Type de document : texte imprimé Auteurs : Berardan, David, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 18 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Matériaux Supraconducteurs Fer Résumé : L'histoire centenaire de la supraconductivité a été marquée par des découvertes inattendues. Lors de sa découverte de la supraconductivité dans le mercure en 1911, H. K. Onnes souhaitait tester l'hypothèse de Lord Kelvin du gel du mouvement des électrons à l'approche du zéro absolu. Un peu plus de 40 ans plus tard avec l'élaboration de la théorie BCS par J. Bardeen, L. Cooper et J.R. Schrieffer en 1957, on pensait avoir expliqué et compris tous les principaux aspects de la supraconductivité. Les découvertes successives de nombreux matériaux supraconducteurs apportaient une confirmation éclatante de la théorie BCS. La supraconductivité était alors supposée être cantonnée aux métaux et alliages de métaux, et une température critique record à 23,3 K était atteinte dans Nb3Ge.
La découverte inattendue de la supraconductivité dans les phases de Chevrel, celle des conducteurs organiques ou des fermions lourds avait donné de premières indications d'une possible insuffisance de la théorie BCS, mais c'est la découverte en 1986 de la supraconductivité dans des oxydes de type cuprates, avec des températures critiques supérieures à la température de liquéfaction de l'azote, qui a apporté le principal coup de bélier à sa supposée universalité. Ces découvertes successives ont eu pour corollaire de nombreux développements technologiques, de l'électronique rapide à la détection magnétique par SQUID (Superconducting Quantum Interference Device) en passant par les électro-aimants. Néanmoins, il est intéressant de constater que, plus de 20 ans après la découverte des cuprates, il n'y a pas encore de théorie qui fasse consensus pour expliquer l'origine de leur état supraconducteur. Pendant cette période, l'une des seules certitudes à prévaloir était que l'état supraconducteur ne pouvait pas apparaître dans un matériau à base de fer, cet élément étant réputé être un poison pour la supraconductivité du fait de ses propriétés magnétiques. La découverte de la supraconductivité dans LaFeAsO0,88F0,12 en 2008, avec une température critique de 26 K, qui allait vite atteindre 55 K en remplaçant le lanthane par le samarium, a alors retenti comme un coup de tonnerre.
L'objectif de cet article est de donner un aperçu de la nouvelle famille de supraconducteurs que constituent ces matériaux en couche à base de fer. Nous nous intéresserons à la fois aux propriétés physiques de ces matériaux et aux développements technologiques potentiels.
REFERENCE : K 725 DEWEY : 530.8 Date : Nouvembre 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/sciences-fondamentales-th8/ [...] [article] Matériaux supraconducteurs lamellaires à base de fer [texte imprimé] / Berardan, David, Auteur . - 2011 . - 18 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur K > Vol. K5 (Trimestriel) . - 18 p.
Mots-clés : Matériaux Supraconducteurs Fer Résumé : L'histoire centenaire de la supraconductivité a été marquée par des découvertes inattendues. Lors de sa découverte de la supraconductivité dans le mercure en 1911, H. K. Onnes souhaitait tester l'hypothèse de Lord Kelvin du gel du mouvement des électrons à l'approche du zéro absolu. Un peu plus de 40 ans plus tard avec l'élaboration de la théorie BCS par J. Bardeen, L. Cooper et J.R. Schrieffer en 1957, on pensait avoir expliqué et compris tous les principaux aspects de la supraconductivité. Les découvertes successives de nombreux matériaux supraconducteurs apportaient une confirmation éclatante de la théorie BCS. La supraconductivité était alors supposée être cantonnée aux métaux et alliages de métaux, et une température critique record à 23,3 K était atteinte dans Nb3Ge.
La découverte inattendue de la supraconductivité dans les phases de Chevrel, celle des conducteurs organiques ou des fermions lourds avait donné de premières indications d'une possible insuffisance de la théorie BCS, mais c'est la découverte en 1986 de la supraconductivité dans des oxydes de type cuprates, avec des températures critiques supérieures à la température de liquéfaction de l'azote, qui a apporté le principal coup de bélier à sa supposée universalité. Ces découvertes successives ont eu pour corollaire de nombreux développements technologiques, de l'électronique rapide à la détection magnétique par SQUID (Superconducting Quantum Interference Device) en passant par les électro-aimants. Néanmoins, il est intéressant de constater que, plus de 20 ans après la découverte des cuprates, il n'y a pas encore de théorie qui fasse consensus pour expliquer l'origine de leur état supraconducteur. Pendant cette période, l'une des seules certitudes à prévaloir était que l'état supraconducteur ne pouvait pas apparaître dans un matériau à base de fer, cet élément étant réputé être un poison pour la supraconductivité du fait de ses propriétés magnétiques. La découverte de la supraconductivité dans LaFeAsO0,88F0,12 en 2008, avec une température critique de 26 K, qui allait vite atteindre 55 K en remplaçant le lanthane par le samarium, a alors retenti comme un coup de tonnerre.
L'objectif de cet article est de donner un aperçu de la nouvelle famille de supraconducteurs que constituent ces matériaux en couche à base de fer. Nous nous intéresserons à la fois aux propriétés physiques de ces matériaux et aux développements technologiques potentiels.
REFERENCE : K 725 DEWEY : 530.8 Date : Nouvembre 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/sciences-fondamentales-th8/ [...] Matériaux piézoélectriques: les céramiques oxydes à base de métaux de transition / Philippe Papet in Techniques de l'ingénieur K, Vol. K5 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur K > Vol. K5 (Trimestriel) . - 29 p.
Titre : Matériaux piézoélectriques: les céramiques oxydes à base de métaux de transition Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Papet, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 29 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Piézoélectrécité, Céramiques ferroélectriques de structure Pérovskite PZT, Environnement, Energie, Electronique, Automobile, Télécommunications, Couplage électromécanique, Matériaux céramiques Résumé : Les céramiques ferroélectriques de structure pérovskite à base de plomb comme les zircono-titanate de plomb (PZT) sont des matériaux piézoélectriques très utilisés technologiquement. Dans ces structures pérovskites, les propriétés ferroélectriques varient continument avec le taux de substitution cationique et un grand nombre de modifications chimiques sont possibles afin de moduler les propriétés piézoélectriques. Les coefficients de couplage électromécaniques élevés des PZT sont largement utilisés pour les applications de transduction (capteurs et actionneurs) et pour le filtrage large bande. Cependant, leur utilisation aux températures élevées requiert d’éviter les transitions de phases qui sont à l’origine de l’instabilité des propriétés avec la température. REFERENCE : K 740 Date : Novembre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/ceramiques-i [...] [article] Matériaux piézoélectriques: les céramiques oxydes à base de métaux de transition [texte imprimé] / Philippe Papet, Auteur . - 2011 . - 29 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur K > Vol. K5 (Trimestriel) . - 29 p.
Mots-clés : Piézoélectrécité, Céramiques ferroélectriques de structure Pérovskite PZT, Environnement, Energie, Electronique, Automobile, Télécommunications, Couplage électromécanique, Matériaux céramiques Résumé : Les céramiques ferroélectriques de structure pérovskite à base de plomb comme les zircono-titanate de plomb (PZT) sont des matériaux piézoélectriques très utilisés technologiquement. Dans ces structures pérovskites, les propriétés ferroélectriques varient continument avec le taux de substitution cationique et un grand nombre de modifications chimiques sont possibles afin de moduler les propriétés piézoélectriques. Les coefficients de couplage électromécaniques élevés des PZT sont largement utilisés pour les applications de transduction (capteurs et actionneurs) et pour le filtrage large bande. Cependant, leur utilisation aux températures élevées requiert d’éviter les transitions de phases qui sont à l’origine de l’instabilité des propriétés avec la température. REFERENCE : K 740 Date : Novembre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/ceramiques-i [...] Polymères organiques conducteurs, influence de la chimie, de la formulation et de la structuration / Mireille Defranceschi in Techniques de l'ingénieur K, Vol. K5 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur K > Vol. K5 (Trimestriel) . - pp. 1-24
Titre : Polymères organiques conducteurs, influence de la chimie, de la formulation et de la structuration Type de document : texte imprimé Auteurs : Mireille Defranceschi, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp. 1-24 Note générale : Constantes physico-chimiques Langues : Français (fre) Mots-clés : Cellules photovoltaïques; Polymères conducteurs; OLED Résumé : L’expression « polymères conducteurs » recouvre des aspects divers d’une classe de composés organiques auxquels on peut donner des propriétés conductrices de l’électricité par différents traitements chimiques (appelés dopage) ou bien par structuration du matériau. Après avoir rappelé les différentes méthodes de dopage disponibles, les propriétés des polymères sont passées en revue. Finalement quelques exemples de dispositifs aux applications industrielles (OLED, cellules photovoltaïques organiques, etc.) utilisant les polymères conducteurs sont décrits plus particulièrement en insistant sur les aspects de mise en forme et de conception des matériaux et des dispositifs. Note de contenu : Bibliogr. REFERENCE : K719 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/sciences-fondamentales-th8/ [...] [article] Polymères organiques conducteurs, influence de la chimie, de la formulation et de la structuration [texte imprimé] / Mireille Defranceschi, Auteur . - 2011 . - pp. 1-24.
Constantes physico-chimiques
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur K > Vol. K5 (Trimestriel) . - pp. 1-24
Mots-clés : Cellules photovoltaïques; Polymères conducteurs; OLED Résumé : L’expression « polymères conducteurs » recouvre des aspects divers d’une classe de composés organiques auxquels on peut donner des propriétés conductrices de l’électricité par différents traitements chimiques (appelés dopage) ou bien par structuration du matériau. Après avoir rappelé les différentes méthodes de dopage disponibles, les propriétés des polymères sont passées en revue. Finalement quelques exemples de dispositifs aux applications industrielles (OLED, cellules photovoltaïques organiques, etc.) utilisant les polymères conducteurs sont décrits plus particulièrement en insistant sur les aspects de mise en forme et de conception des matériaux et des dispositifs. Note de contenu : Bibliogr. REFERENCE : K719 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/sciences-fondamentales-th8/ [...]
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