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Techniques de l'ingénieur CF / Blanc, André . Vol. CF 1Construction: Pathologie-Réhabilitation-Démolition-DéconstructionMention de date : Trimestriel Paru le : 10/03/2011 |
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Ajouter le résultat dans votre panierPathologie, diagnostic, prévention, et maintenance des structures / Lor, Michel in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 20 p.
Titre : Pathologie, diagnostic, prévention, et maintenance des structures Type de document : texte imprimé Auteurs : Lor, Michel, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 20 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Pathologie Prévention Maintenance Résumé : Depuis de nombreuses années, la pathologie dans le bâtiment a suscité de l’intérêt, permettant ainsi de mieux construire avec la mise en place de recommandations, puis de normes définitives.
Le traitement de sinistres, seuls, ou par familles, aura permis de tirer des conclusions, et ainsi d’éviter que ceux-ci ne se reproduisent. Ne dit-on pas : « on réussit d’échec en échec ! ». Il existe déjà dans la collection des TI beaucoup d’articles spécifiques traitant le sujet, quelquefois dans le détail. Des auteurs très expérimentés et experts auront déjà, mieux que nous ne pourrions le faire, évoqué et traité le sujet. Un lien avec leur article sera indiqué ; de même, nous renverrons le lecteur sur d’autres parties de la collection plus spécialisées.
Notre propos, en temps que généraliste, consistera donc à résumer, ou à rassembler, de manière synthétique et exhaustive toutes les pathologies relatives aux matériaux et structures de bâtiments. Dans le même temps, le diagnostic, les causes, la prévention et la réparation seront évoqués sous forme de généralités, de rappels succincts ou de compléments aux articles existants.
L’exercice n’est pas simple, mais nous vous proposons une démarche basée sur un retour d’expérience (30 années de maintenance de bâtiments dans le patrimoine RATP) !
Une première partie traitera des matériaux de construction, suivie d’une deuxième qui sera consacrée aux structures de bâtiments. Enfin, nous aborderons, en annexe, tout ce qui concerne les fondations et les structures en contact avec le sol.
Rappelons que : « les travaux de réhabilitation des immeubles anciens concernent une gamme très vaste de « mises à niveau », ceux-ci pouvant aller du simple remplacement des canalisations et de tous les appareils sanitaires vétustes, à la restructuration complète d’un bâtiment, avec conservation des façades ».
REFERENCE : C 7 100 DEWEY : 624 Date : Novembre 2010 En ligne : www.techniques-ingenieur.fr [article] Pathologie, diagnostic, prévention, et maintenance des structures [texte imprimé] / Lor, Michel, Auteur . - 2011 . - 20 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 20 p.
Mots-clés : Pathologie Prévention Maintenance Résumé : Depuis de nombreuses années, la pathologie dans le bâtiment a suscité de l’intérêt, permettant ainsi de mieux construire avec la mise en place de recommandations, puis de normes définitives.
Le traitement de sinistres, seuls, ou par familles, aura permis de tirer des conclusions, et ainsi d’éviter que ceux-ci ne se reproduisent. Ne dit-on pas : « on réussit d’échec en échec ! ». Il existe déjà dans la collection des TI beaucoup d’articles spécifiques traitant le sujet, quelquefois dans le détail. Des auteurs très expérimentés et experts auront déjà, mieux que nous ne pourrions le faire, évoqué et traité le sujet. Un lien avec leur article sera indiqué ; de même, nous renverrons le lecteur sur d’autres parties de la collection plus spécialisées.
Notre propos, en temps que généraliste, consistera donc à résumer, ou à rassembler, de manière synthétique et exhaustive toutes les pathologies relatives aux matériaux et structures de bâtiments. Dans le même temps, le diagnostic, les causes, la prévention et la réparation seront évoqués sous forme de généralités, de rappels succincts ou de compléments aux articles existants.
L’exercice n’est pas simple, mais nous vous proposons une démarche basée sur un retour d’expérience (30 années de maintenance de bâtiments dans le patrimoine RATP) !
Une première partie traitera des matériaux de construction, suivie d’une deuxième qui sera consacrée aux structures de bâtiments. Enfin, nous aborderons, en annexe, tout ce qui concerne les fondations et les structures en contact avec le sol.
Rappelons que : « les travaux de réhabilitation des immeubles anciens concernent une gamme très vaste de « mises à niveau », ceux-ci pouvant aller du simple remplacement des canalisations et de tous les appareils sanitaires vétustes, à la restructuration complète d’un bâtiment, avec conservation des façades ».
REFERENCE : C 7 100 DEWEY : 624 Date : Novembre 2010 En ligne : www.techniques-ingenieur.fr
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 7 p.
Titre : Maçonnerie : pathologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Daniel Merlet, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 7 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Pathologie Fissuration murs Maçonnerie. Résumé : Afin d’approfondir les quelques notions de pathologie rassemblées dans cet article, on pourra très utilement se reporter aux ouvrages publiés en son temps par le Bureau Securitas et SOCOTEC dans les Annales de l’ITBTP et la revue Bâtir [16], complétés et actualisés par L. Logeais dans les fascicules de l’Agence Qualité Construction [17] abondamment illustrés de descriptions, croquis et photos que l’auteur a tirés de l’exploitation de dossiers d’expertises, mais aussi de sa documentation personnelle sur ce sujet. REFERENCE : C 2 105 DEWEY : 624 Date : Mai 1996 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Maçonnerie : pathologie [texte imprimé] / Jean-Daniel Merlet, Auteur . - 2011 . - 7 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 7 p.
Mots-clés : Pathologie Fissuration murs Maçonnerie. Résumé : Afin d’approfondir les quelques notions de pathologie rassemblées dans cet article, on pourra très utilement se reporter aux ouvrages publiés en son temps par le Bureau Securitas et SOCOTEC dans les Annales de l’ITBTP et la revue Bâtir [16], complétés et actualisés par L. Logeais dans les fascicules de l’Agence Qualité Construction [17] abondamment illustrés de descriptions, croquis et photos que l’auteur a tirés de l’exploitation de dossiers d’expertises, mais aussi de sa documentation personnelle sur ce sujet. REFERENCE : C 2 105 DEWEY : 624 Date : Mai 1996 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Restauration des bâtiments en pierre / Marc Mamillan in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 24 p.
Titre : Restauration des bâtiments en pierre Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Mamillan, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 24 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Restauration bâtiment Roches Résumé : Les maçonneries de pierre de taille ont une excellente longévité lorsqu’elles sont exécutées selon les conceptions et les techniques traditionnelles. Cependant l’évolution des méthodes et différents facteurs sont à l’origine de l’apparition de plusieurs pathologies. L’analyse d’une importante bibliographie complétée par plus de quarante années de recherches, d’études et d’expertises dans ce domaine très spécialisé, ont permis de rassembler et d’ordonner une somme de connaissances que nous présentons dans cet article.
Comme remarque préliminaire, il convient de souligner qu’en ce qui concerne l’altération des maçonneries en pierre constituant les monuments historiques et les bâtiments anciens, les conservateurs sont particulièrement exigeants. Souhaiter que des constructions, sans aucun entretien, résistent à l’épreuve du temps, des intempéries, de la pollution, pendant plusieurs décennies, voire un siècle, est une performance qui, dans l’état actuel des connaissances des composants utilisés en construction, n’est pas réaliste. Aucun matériau existant actuellement dans le bâtiment (béton, mortier, briques, bois, métal, plastique, etc.) ne peut garantir la preuve d’une meilleure conservation ; bien au contraire, la comparaison, basée sur les références des bâtiments existants, est en faveur de la maçonnerie en pierre bien conçue et bien réalisée.
Cependant, pour l’entretien et la restauration, il ne faut pas exclure de faire appel aux connaissances actuelles sur les techniques et les produits modernes de traitement. Devant la prolifération des produits de synthèses nouveaux inondant le marché, le choix devient de plus en plus délicat. Beaucoup hésitent, ignorant le développement de moyens précis de mesure des propriétés que ces traitements sont capables de conférer aux pierres, ce qui permet de décider en connaissance de cause. Ainsi, le restaurateur dispose de critères scientifiques de choix, autre que les louanges publicitaires ou les coûts les plus bas. Des laboratoires spécialisés disposent d’appareils susceptibles d’évaluer toutes les améliorations apportées.
Il ne faut pas en conclure que ces traitements nouveaux constituent une panacée universelle. Souvent ils améliorent provisoirement certaines propriétés, mais rarement ils transforment une pierre de qualité médiocre en une roche de qualité exceptionnelle ; en particulier, les erreurs de choix ou de mise en œuvre sont difficilement rattrapables par l’application d’un produit de traitement, mais la durabilité peut être provisoirement accrue.
REFERENCE : C 2 150 DEWEY : 624 Date : Août 1994 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Restauration des bâtiments en pierre [texte imprimé] / Marc Mamillan, Auteur . - 2011 . - 24 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 24 p.
Mots-clés : Restauration bâtiment Roches Résumé : Les maçonneries de pierre de taille ont une excellente longévité lorsqu’elles sont exécutées selon les conceptions et les techniques traditionnelles. Cependant l’évolution des méthodes et différents facteurs sont à l’origine de l’apparition de plusieurs pathologies. L’analyse d’une importante bibliographie complétée par plus de quarante années de recherches, d’études et d’expertises dans ce domaine très spécialisé, ont permis de rassembler et d’ordonner une somme de connaissances que nous présentons dans cet article.
Comme remarque préliminaire, il convient de souligner qu’en ce qui concerne l’altération des maçonneries en pierre constituant les monuments historiques et les bâtiments anciens, les conservateurs sont particulièrement exigeants. Souhaiter que des constructions, sans aucun entretien, résistent à l’épreuve du temps, des intempéries, de la pollution, pendant plusieurs décennies, voire un siècle, est une performance qui, dans l’état actuel des connaissances des composants utilisés en construction, n’est pas réaliste. Aucun matériau existant actuellement dans le bâtiment (béton, mortier, briques, bois, métal, plastique, etc.) ne peut garantir la preuve d’une meilleure conservation ; bien au contraire, la comparaison, basée sur les références des bâtiments existants, est en faveur de la maçonnerie en pierre bien conçue et bien réalisée.
Cependant, pour l’entretien et la restauration, il ne faut pas exclure de faire appel aux connaissances actuelles sur les techniques et les produits modernes de traitement. Devant la prolifération des produits de synthèses nouveaux inondant le marché, le choix devient de plus en plus délicat. Beaucoup hésitent, ignorant le développement de moyens précis de mesure des propriétés que ces traitements sont capables de conférer aux pierres, ce qui permet de décider en connaissance de cause. Ainsi, le restaurateur dispose de critères scientifiques de choix, autre que les louanges publicitaires ou les coûts les plus bas. Des laboratoires spécialisés disposent d’appareils susceptibles d’évaluer toutes les améliorations apportées.
Il ne faut pas en conclure que ces traitements nouveaux constituent une panacée universelle. Souvent ils améliorent provisoirement certaines propriétés, mais rarement ils transforment une pierre de qualité médiocre en une roche de qualité exceptionnelle ; en particulier, les erreurs de choix ou de mise en œuvre sont difficilement rattrapables par l’application d’un produit de traitement, mais la durabilité peut être provisoirement accrue.
REFERENCE : C 2 150 DEWEY : 624 Date : Août 1994 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Alcali-réaction dans les structures en béton / Bruno Godart in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 17 p.
Titre : Alcali-réaction dans les structures en béton : mécanisme, pathologie et prévention Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Godart, Auteur ; André Le Roux, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 17 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Béton Alcali réaction Granulat. Résumé : L'alcali-réaction, que l'on appelle aussi communément réaction alcali-granulat, désigne la réaction chimique à l'origine de désordres imputables à un déséquilibre entre les minéraux présents dans les granulats et la solution interstitielle fortement alcaline du béton. Cette réaction, si elle est dominante, n'est cependant pas la seule réaction de gonflement interne du béton.
Cette réaction est à présent décelée dans la plupart des régions du monde. Ce fut probablement R.J. Holden qui observa pour la première fois aux États-Unis, en 1935, la présence de réactions chimiques dans les bétons, entre les ciments et certains granulats. Puis, Kammer et Carlson constatèrent également l'existence de désordres, mais c'est Stanton qui le premier précisa (en 1940) la nature des réactifs en cause dans les dégradations observées sur des chaussées en Californie. En France, il faut attendre la fin des années 1970 pour certifier la présence d'alcali-réaction au sein de quelques barrages [1] [2], et 1987 pour découvrir que plusieurs ponts sont atteints par cette maladie [3]. Les structures les plus touchées sont celles qui sont en contact avec l'eau ou celles qui se situent dans des environnements humides ; ce sont donc essentiellement les ouvrages de génie civil et certaines pièces humides de bâtiments qui sont les plus vulnérables.
Après avoir expliqué le mécanisme de la réaction puis avoir passé en revue les dernières connaissances acquises sur le sujet, nous aborderons la pathologie des structures atteintes d'alcali-réaction et les problèmes de gestion qui en découlent, puis terminerons par la politique de prévention appliquée en France depuis le début des années 1990 et qui s'avère être efficace avec le recul que l'on peut en avoir actuellement.
REFERENCE : C 2 252v2 DEWEY : 624 Date : Mai 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Alcali-réaction dans les structures en béton : mécanisme, pathologie et prévention [texte imprimé] / Bruno Godart, Auteur ; André Le Roux, Auteur . - 2011 . - 17 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 17 p.
Mots-clés : Béton Alcali réaction Granulat. Résumé : L'alcali-réaction, que l'on appelle aussi communément réaction alcali-granulat, désigne la réaction chimique à l'origine de désordres imputables à un déséquilibre entre les minéraux présents dans les granulats et la solution interstitielle fortement alcaline du béton. Cette réaction, si elle est dominante, n'est cependant pas la seule réaction de gonflement interne du béton.
Cette réaction est à présent décelée dans la plupart des régions du monde. Ce fut probablement R.J. Holden qui observa pour la première fois aux États-Unis, en 1935, la présence de réactions chimiques dans les bétons, entre les ciments et certains granulats. Puis, Kammer et Carlson constatèrent également l'existence de désordres, mais c'est Stanton qui le premier précisa (en 1940) la nature des réactifs en cause dans les dégradations observées sur des chaussées en Californie. En France, il faut attendre la fin des années 1970 pour certifier la présence d'alcali-réaction au sein de quelques barrages [1] [2], et 1987 pour découvrir que plusieurs ponts sont atteints par cette maladie [3]. Les structures les plus touchées sont celles qui sont en contact avec l'eau ou celles qui se situent dans des environnements humides ; ce sont donc essentiellement les ouvrages de génie civil et certaines pièces humides de bâtiments qui sont les plus vulnérables.
Après avoir expliqué le mécanisme de la réaction puis avoir passé en revue les dernières connaissances acquises sur le sujet, nous aborderons la pathologie des structures atteintes d'alcali-réaction et les problèmes de gestion qui en découlent, puis terminerons par la politique de prévention appliquée en France depuis le début des années 1990 et qui s'avère être efficace avec le recul que l'on peut en avoir actuellement.
REFERENCE : C 2 252v2 DEWEY : 624 Date : Mai 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Réaction sulfatique interne dans les structures en béton / Bruno Godart in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 15 p.
Titre : Réaction sulfatique interne dans les structures en béton : mécanisme, pathologie et prévention Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Godart, Auteur ; Loic Divet, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 15 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Réaction sulfatique Béton. Résumé : La réaction sulfatique interne (RSI) par formation différée d'ettringite est une cause de désordres susceptibles d'endommager sévèrement des ouvrages en béton.
Les premiers cas sont apparus à l'étranger, à partir de 1987, dans certaines pièces préfabriquées qui avaient été soumises à un traitement thermique inadapté à la formulation et à l'exposition du béton (comme, par exemple, des traverses de chemin de fer).
Ce phénomène a été observé en France, à partir de 1997, sur des ponts dont le béton avait été coulé en place. Il s'agit essentiellement de parties d'ouvrages massives (piles, chevêtres sur piles ou culées, etc.) en contact avec l'eau ou soumises à une forte humidité.
À la différence des réactions sulfatiques plus classiques, où les sulfates agressent le béton depuis l'extérieur en provoquant une dégradation progressive de la surface vers le cœur de la pièce, la RSI affecte l'ensemble du béton sans faire appel à une source extérieure de sulfates. Elle se manifeste alors par un gonflement du matériau et une fissuration de la structure.
REFERENCE : C 2 254 DEWEY : 624 Date : Mai 2009 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Réaction sulfatique interne dans les structures en béton : mécanisme, pathologie et prévention [texte imprimé] / Bruno Godart, Auteur ; Loic Divet, Auteur . - 2011 . - 15 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 15 p.
Mots-clés : Réaction sulfatique Béton. Résumé : La réaction sulfatique interne (RSI) par formation différée d'ettringite est une cause de désordres susceptibles d'endommager sévèrement des ouvrages en béton.
Les premiers cas sont apparus à l'étranger, à partir de 1987, dans certaines pièces préfabriquées qui avaient été soumises à un traitement thermique inadapté à la formulation et à l'exposition du béton (comme, par exemple, des traverses de chemin de fer).
Ce phénomène a été observé en France, à partir de 1997, sur des ponts dont le béton avait été coulé en place. Il s'agit essentiellement de parties d'ouvrages massives (piles, chevêtres sur piles ou culées, etc.) en contact avec l'eau ou soumises à une forte humidité.
À la différence des réactions sulfatiques plus classiques, où les sulfates agressent le béton depuis l'extérieur en provoquant une dégradation progressive de la surface vers le cœur de la pièce, la RSI affecte l'ensemble du béton sans faire appel à une source extérieure de sulfates. Elle se manifeste alors par un gonflement du matériau et une fissuration de la structure.
REFERENCE : C 2 254 DEWEY : 624 Date : Mai 2009 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Restauration des bâtiments en béton armé / Marc Mamillan in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 14 p.
Titre : Restauration des bâtiments en béton armé Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Mamillan, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Bâtiment Béton armé Corrosion Fissuration. Résumé : Les matériaux de construction ont, sans exception, une durée de vie limitée. Au fil des temps, tout ouvrage connaît plus ou moins rapidement des altérations. Le béton et le béton armé, dont nous avons une expérience de durabilité de l’ordre d’un siècle, n’échappent pas à cette règle. En fin de compte, tout ouvrage exposé aux intempéries doit être entretenu, réparé, ou même refait ou remplacé.
Le point faible du béton armé, qui met le plus en péril sa pérennité, est son armature. En effet la corrosion des parties métalliques constitue un danger potentiel pour la conservation et la stabilité des bâtiments. Ce phénomène se traduit par l’apparition, en surface exposée à l’extérieur, de différentes altérations (taches de rouille, fissures, épaufrures...).
Si certaines mesures préventives ou confortatives ne sont pas appliquées, ces phénomènes physico-chimiques peuvent s’amplifier et entraîner une détérioration du béton armé qui n’assurera plus sa fonction porteuse. La détection aussi rapide que possible du début de la corrosion des aciers, avant que le processus atteigne un degré critique, est fondamentale.
La rapidité d’intervention permet, en agissant sur un matériau encore sain, de ralentir ou même d’arrêter totalement le mécanisme de corrosion.
REFERENCE : C 2 350 DEWEY : 624 Date : Août En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Restauration des bâtiments en béton armé [texte imprimé] / Marc Mamillan, Auteur . - 2011 . - 14 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 14 p.
Mots-clés : Bâtiment Béton armé Corrosion Fissuration. Résumé : Les matériaux de construction ont, sans exception, une durée de vie limitée. Au fil des temps, tout ouvrage connaît plus ou moins rapidement des altérations. Le béton et le béton armé, dont nous avons une expérience de durabilité de l’ordre d’un siècle, n’échappent pas à cette règle. En fin de compte, tout ouvrage exposé aux intempéries doit être entretenu, réparé, ou même refait ou remplacé.
Le point faible du béton armé, qui met le plus en péril sa pérennité, est son armature. En effet la corrosion des parties métalliques constitue un danger potentiel pour la conservation et la stabilité des bâtiments. Ce phénomène se traduit par l’apparition, en surface exposée à l’extérieur, de différentes altérations (taches de rouille, fissures, épaufrures...).
Si certaines mesures préventives ou confortatives ne sont pas appliquées, ces phénomènes physico-chimiques peuvent s’amplifier et entraîner une détérioration du béton armé qui n’assurera plus sa fonction porteuse. La détection aussi rapide que possible du début de la corrosion des aciers, avant que le processus atteigne un degré critique, est fondamentale.
La rapidité d’intervention permet, en agissant sur un matériau encore sain, de ralentir ou même d’arrêter totalement le mécanisme de corrosion.
REFERENCE : C 2 350 DEWEY : 624 Date : Août En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Pathologie des structures en bois / Jean-Pierre Biger in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 15 p.
Titre : Pathologie des structures en bois Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Biger, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 15 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Bois Charpentes traditionnelles légères. Résumé : Les structures en bois ont démontré leur capacité à braver les siècles, mais ce privilège n’est pas donné à toutes. D’après les statistiques, la sinistralité des structures bois ne représente que 3 % de la sinistralité totale de la construction. Toutefois, certains cas sortant de l’ordinaire échappent à cette analyse.
Qu’il s’agisse de charpente traditionnelle, de charpente légère, ou de charpente en lamellé-collé, les erreurs de conception, de fabrication, de mise en œuvre, ou les circonstances exceptionnelles et accidentelles, sont les genres auxquels se rattachent habituellement les causes de pathologie. La pathologie des charpentes en bois trouve paradoxalement l’une de ses principales sources dans les règles de calcul et de conception elles‐mêmes.
Les effets de la traction transversale, les effets d’échelle, les effets de durée de chargement, les effets du glissement des assemblages, l’effet d’autocintrage... sont sous-estimés, voire ignorés, par les Règles de calcul et de conception en vigueur depuis 1971. À ces lacunes correspond le genre inattendu des « sinistres réglementaires ».
Figure 1 - Halle de Méreville (Orléans)
La détection de ces anomalies a suscité la réflexion des ingénieurs, des professionnels, des scientifiques porteurs de la nouvelle approche du matériau bois développée dans le cadre européen, ce qui a permis de corriger les dispositions de construction ou de calcul défaillantes [1] [Recueil de contributions au calcul des éléments et structures bois.] [14] [Structures en bois aux états-limites.] .
Nota :
Messieurs Gras et Renou de Saretec, Mainnevrey du Cabinet Cerruti, Amilhau de la SCOR, Loutrel des Établissements Renofors, Simonneau des Établissements Simmonneau, Briand, Blanc, Czeszynski, Dupont, Lebeau, Le Bris, Letort, Marchand, Ménard, Sens du Bureau Veritas, ont contribué à la collecte des illustrations et des informations présentées dans le présent document. L’auteur les en remercie très vivement.
REFERENCE : C 2 450 DEWEY : 624 Date : Août 1997 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Pathologie des structures en bois [texte imprimé] / Jean-Pierre Biger, Auteur . - 2011 . - 15 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 15 p.
Mots-clés : Bois Charpentes traditionnelles légères. Résumé : Les structures en bois ont démontré leur capacité à braver les siècles, mais ce privilège n’est pas donné à toutes. D’après les statistiques, la sinistralité des structures bois ne représente que 3 % de la sinistralité totale de la construction. Toutefois, certains cas sortant de l’ordinaire échappent à cette analyse.
Qu’il s’agisse de charpente traditionnelle, de charpente légère, ou de charpente en lamellé-collé, les erreurs de conception, de fabrication, de mise en œuvre, ou les circonstances exceptionnelles et accidentelles, sont les genres auxquels se rattachent habituellement les causes de pathologie. La pathologie des charpentes en bois trouve paradoxalement l’une de ses principales sources dans les règles de calcul et de conception elles‐mêmes.
Les effets de la traction transversale, les effets d’échelle, les effets de durée de chargement, les effets du glissement des assemblages, l’effet d’autocintrage... sont sous-estimés, voire ignorés, par les Règles de calcul et de conception en vigueur depuis 1971. À ces lacunes correspond le genre inattendu des « sinistres réglementaires ».
Figure 1 - Halle de Méreville (Orléans)
La détection de ces anomalies a suscité la réflexion des ingénieurs, des professionnels, des scientifiques porteurs de la nouvelle approche du matériau bois développée dans le cadre européen, ce qui a permis de corriger les dispositions de construction ou de calcul défaillantes [1] [Recueil de contributions au calcul des éléments et structures bois.] [14] [Structures en bois aux états-limites.] .
Nota :
Messieurs Gras et Renou de Saretec, Mainnevrey du Cabinet Cerruti, Amilhau de la SCOR, Loutrel des Établissements Renofors, Simonneau des Établissements Simmonneau, Briand, Blanc, Czeszynski, Dupont, Lebeau, Le Bris, Letort, Marchand, Ménard, Sens du Bureau Veritas, ont contribué à la collecte des illustrations et des informations présentées dans le présent document. L’auteur les en remercie très vivement.
REFERENCE : C 2 450 DEWEY : 624 Date : Août 1997 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Constructions métalliques / Jean-Pierre Bouillette in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 12 p.
Titre : Constructions métalliques : protection des constructions en acier contre la corrosion Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Bouillette, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 12 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Constructions métalliques Acier Corrosion. Résumé : Comme tous les matériaux de construction, l’acier tend à se dégrader superficiellement lorsqu’il est soumis à des milieux corrosifs, atmosphères humides, eaux, sols.
C’est pour cette raison qu’il est nécessaire de le protéger dans la plupart des cas, ou bien de lui assurer une auto-protection (aciers inoxydables, aciers à résistance améliorée à la corrosion).
L’acier entre dans les constructions métalliques sous des formes différentes qui ne seront pas protégées de la même façon (profilés laminés à chaud pour les ossatures, tôles formées à froid pour les éléments plans : façades, couvertures, planchers, équipements). De plus, tous ces produits ne seront pas soumis aux mêmes conditions d’agressivité. Enfin, les taux de corrosion ne sont pas identiques dans toutes les atmosphères et, de ce fait, les moyens de protection varieront.
Il n’est pas possible de développer ici une théorie complète sur la corrosion ni sur les différents procédés de protection ; aussi, ne pourrons-nous que les aborder d’une manière générale et nous conseillons aux lecteurs de consulter les organismes et la littérature spécialisés dans ces domaines ainsi que les Publications OTUA.
REFERENCE : C 2 505 DEWEY : 624 Date : Mai 1983 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Constructions métalliques : protection des constructions en acier contre la corrosion [texte imprimé] / Jean-Pierre Bouillette, Auteur . - 2011 . - 12 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 12 p.
Mots-clés : Constructions métalliques Acier Corrosion. Résumé : Comme tous les matériaux de construction, l’acier tend à se dégrader superficiellement lorsqu’il est soumis à des milieux corrosifs, atmosphères humides, eaux, sols.
C’est pour cette raison qu’il est nécessaire de le protéger dans la plupart des cas, ou bien de lui assurer une auto-protection (aciers inoxydables, aciers à résistance améliorée à la corrosion).
L’acier entre dans les constructions métalliques sous des formes différentes qui ne seront pas protégées de la même façon (profilés laminés à chaud pour les ossatures, tôles formées à froid pour les éléments plans : façades, couvertures, planchers, équipements). De plus, tous ces produits ne seront pas soumis aux mêmes conditions d’agressivité. Enfin, les taux de corrosion ne sont pas identiques dans toutes les atmosphères et, de ce fait, les moyens de protection varieront.
Il n’est pas possible de développer ici une théorie complète sur la corrosion ni sur les différents procédés de protection ; aussi, ne pourrons-nous que les aborder d’une manière générale et nous conseillons aux lecteurs de consulter les organismes et la littérature spécialisés dans ces domaines ainsi que les Publications OTUA.
REFERENCE : C 2 505 DEWEY : 624 Date : Mai 1983 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Constructions métalliques - Pathologie des structures métalliques / Jacques Mayère in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 14 p.
Titre : Constructions métalliques - Pathologie des structures métalliques : pathologie des structures métalliques Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Mayère, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Constructions métalliques Erreurs matérielles. Résumé : Une construction, quelle que soit sa destination (habitation, usage industriel, collectivité, spectacle...) et son principe constructif (matériau, type de structure), doit être capable de résister aux efforts qui lui sont appliqués. Dans le cadre du sujet du présent article, ce rôle de « résistance » est assuré par l’ossature ou structure en acier constituant le « squelette » de la construction.
L’acier utilisé en construction métallique [1] a des caractéristiques garanties. C’est un matériau isotrope et homogène ayant un comportement idéal vis-à-vis de la théorie de l’élasticité, base des lois de la résistance des matériaux. Il est ductile, propriété nécessaire à la bonne répartition des efforts dans les assemblages .
Il est soudable, sous réserve de respecter les dispositions prescrites au projet .
C’est le matériau d’usage courant en construction qui présente les caractéristiques les plus élevées pour le poids le plus faible .
La structure assure principalement le cheminement des efforts extérieurs appliqués jusqu’aux bases solides, les fondations. La connaissance de ce cheminement est essentielle quant à l’étude des éléments constitutifs de la structure ainsi que de leurs liaisons (attaches). La structure est stable si cette transmission s’effectue sans désordre .
Les ossatures métalliques sont généralement « souples » et constituées de barres « élancées » ou d’éléments minces. Ces caractères spécifiques sont à garder présents à l’esprit lors des études, les problèmes de flexibilité, voilement, déversement de poutres fléchies et flambement d’éléments comprimés étant déterminants dans la justification et le dimensionnement des structures métalliques .
Les règles actuelles [2] permettent la justification des structures en acier par la théorie de la résistance des matériaux dans le domaine élastique avec prise en compte éventuelle d’un coefficient d’adaptation plastique. La justification des structures avec prise en compte de la plasticité, sous certaines conditions et précautions, est codifiée depuis 1981 [3] .
Les futurs règlements de calcul des structures en acier en cours de préparation [Eurocode 3, EC3-DAN (document d’application national)] codifieront d’autres méthodes de calculs (analyses non linéaires : géométrie et /ou matériau).
Le respect du domaine de validité de ces codes est essentiel et doit être vérifié à chaque projet .
Les règlements sont une partie des outils nécessaires à la bonne réalisation d’une structure . Le nombre des intervenants à la réalisation d’une construction fait que, malheureusement, des erreurs et omissions peuvent être produites et être la cause de sinistres plus ou moins graves.
Une structure peut être sinistrée :
soit par effondrement total ou partiel sous l’effet de chargement ;
soit par des déformations importantes rendant la structure impropre à son exploitation.
Les origines de ces sinistres sont dues principalement à :
des erreurs de conception : 13 %, dont 3 % de structures instables ;
des erreurs de bureau d’études : 45 % ;
des erreurs de montage : 35 %, dont la moitié est due à des instabilités provisoires, l’autre moitié se partageant entre malfaçons et fausses manœuvres ;
des erreurs de fabrication ;
des défauts du matériau.
L’analyse des causes d’un sinistre doit se faire en plusieurs étapes :
examen de la structure sinistrée, déformations, déchirures, ruptures ;
examen des conditions et circonstances au moment du sinistre, chargement de la structure ;
recherche des causes du sinistre faite, en général, par l’exécution d’un nouveau calcul. Il n’est pas rare que cette nouvelle analyse fasse apparaître des insuffisances n’étant pas à l’origine du sinistre et auxquelles il faut alors aussi remédier.
La qualité des études est essentielle, compte tenu du caractère « industriel » des structures métalliques dans le domaine du bâtiment. On constate qu’une des principales causes actuelles des désordres provient de la mauvaise qualité des études.
Les contrôles doivent donc intervenir le plus tôt possible, dès le stade de la conception et des études. Les origines des sinistres sont nombreuses et variées ; certaines sont répétitives et connues, d’autres plus confuses .
Un sinistre est souvent dû à plusieurs causes : charges exceptionnelles, insuffisances, et c’est leur concomitance qui le déclenche. Le risque de sinistre est donc accru par la multiplicité des erreurs commises .
L’étude et le recensement de l’origine des sinistres constituent la pathologie .
Les sinistres ont principalement pour origine :
les erreurs matérielles au niveau des études, de la fabrication ou du montage ;
les causes accidentelles comme les charges exceptionnelles ;
l’ignorance au niveau du projet, de l’exécution, du montage et de l’utilisation ;
les erreurs de conception et d’étude ;
les facteurs externes ;
les erreurs d’exécution ;
les erreurs au montage ;
la mauvaise utilisation et le défaut d’entretien ;
des défauts du matériau.
La gravité des désordres varie, suivant les circonstances, de l’effondrement catastrophique au simple défaut d’esthétique ne présentant aucun risque. On peut distinguer :
les instabilités d’ensemble conduisant à l’effondrement ou au renversement ;
les instabilités propres d’éléments pouvant, par réaction en chaîne, conduire à une instabilité d’ensemble ;
une durabilité insuffisante, corrosion, vieillissement, fatigue ;
un comportement anormal comme les déformations excessives ou les perturbations du bien-être des usagers ;
une atteinte à l’esthétique.
Nous allons, dans les paragraphes qui suivent, commenter les origines des désordres et les illustrer par des exemples concrets.
REFERENCE : C 2 690 DEWEY : 624 Date : Novembre 1992 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Constructions métalliques - Pathologie des structures métalliques : pathologie des structures métalliques [texte imprimé] / Jacques Mayère, Auteur . - 2011 . - 14 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 14 p.
Mots-clés : Constructions métalliques Erreurs matérielles. Résumé : Une construction, quelle que soit sa destination (habitation, usage industriel, collectivité, spectacle...) et son principe constructif (matériau, type de structure), doit être capable de résister aux efforts qui lui sont appliqués. Dans le cadre du sujet du présent article, ce rôle de « résistance » est assuré par l’ossature ou structure en acier constituant le « squelette » de la construction.
L’acier utilisé en construction métallique [1] a des caractéristiques garanties. C’est un matériau isotrope et homogène ayant un comportement idéal vis-à-vis de la théorie de l’élasticité, base des lois de la résistance des matériaux. Il est ductile, propriété nécessaire à la bonne répartition des efforts dans les assemblages .
Il est soudable, sous réserve de respecter les dispositions prescrites au projet .
C’est le matériau d’usage courant en construction qui présente les caractéristiques les plus élevées pour le poids le plus faible .
La structure assure principalement le cheminement des efforts extérieurs appliqués jusqu’aux bases solides, les fondations. La connaissance de ce cheminement est essentielle quant à l’étude des éléments constitutifs de la structure ainsi que de leurs liaisons (attaches). La structure est stable si cette transmission s’effectue sans désordre .
Les ossatures métalliques sont généralement « souples » et constituées de barres « élancées » ou d’éléments minces. Ces caractères spécifiques sont à garder présents à l’esprit lors des études, les problèmes de flexibilité, voilement, déversement de poutres fléchies et flambement d’éléments comprimés étant déterminants dans la justification et le dimensionnement des structures métalliques .
Les règles actuelles [2] permettent la justification des structures en acier par la théorie de la résistance des matériaux dans le domaine élastique avec prise en compte éventuelle d’un coefficient d’adaptation plastique. La justification des structures avec prise en compte de la plasticité, sous certaines conditions et précautions, est codifiée depuis 1981 [3] .
Les futurs règlements de calcul des structures en acier en cours de préparation [Eurocode 3, EC3-DAN (document d’application national)] codifieront d’autres méthodes de calculs (analyses non linéaires : géométrie et /ou matériau).
Le respect du domaine de validité de ces codes est essentiel et doit être vérifié à chaque projet .
Les règlements sont une partie des outils nécessaires à la bonne réalisation d’une structure . Le nombre des intervenants à la réalisation d’une construction fait que, malheureusement, des erreurs et omissions peuvent être produites et être la cause de sinistres plus ou moins graves.
Une structure peut être sinistrée :
soit par effondrement total ou partiel sous l’effet de chargement ;
soit par des déformations importantes rendant la structure impropre à son exploitation.
Les origines de ces sinistres sont dues principalement à :
des erreurs de conception : 13 %, dont 3 % de structures instables ;
des erreurs de bureau d’études : 45 % ;
des erreurs de montage : 35 %, dont la moitié est due à des instabilités provisoires, l’autre moitié se partageant entre malfaçons et fausses manœuvres ;
des erreurs de fabrication ;
des défauts du matériau.
L’analyse des causes d’un sinistre doit se faire en plusieurs étapes :
examen de la structure sinistrée, déformations, déchirures, ruptures ;
examen des conditions et circonstances au moment du sinistre, chargement de la structure ;
recherche des causes du sinistre faite, en général, par l’exécution d’un nouveau calcul. Il n’est pas rare que cette nouvelle analyse fasse apparaître des insuffisances n’étant pas à l’origine du sinistre et auxquelles il faut alors aussi remédier.
La qualité des études est essentielle, compte tenu du caractère « industriel » des structures métalliques dans le domaine du bâtiment. On constate qu’une des principales causes actuelles des désordres provient de la mauvaise qualité des études.
Les contrôles doivent donc intervenir le plus tôt possible, dès le stade de la conception et des études. Les origines des sinistres sont nombreuses et variées ; certaines sont répétitives et connues, d’autres plus confuses .
Un sinistre est souvent dû à plusieurs causes : charges exceptionnelles, insuffisances, et c’est leur concomitance qui le déclenche. Le risque de sinistre est donc accru par la multiplicité des erreurs commises .
L’étude et le recensement de l’origine des sinistres constituent la pathologie .
Les sinistres ont principalement pour origine :
les erreurs matérielles au niveau des études, de la fabrication ou du montage ;
les causes accidentelles comme les charges exceptionnelles ;
l’ignorance au niveau du projet, de l’exécution, du montage et de l’utilisation ;
les erreurs de conception et d’étude ;
les facteurs externes ;
les erreurs d’exécution ;
les erreurs au montage ;
la mauvaise utilisation et le défaut d’entretien ;
des défauts du matériau.
La gravité des désordres varie, suivant les circonstances, de l’effondrement catastrophique au simple défaut d’esthétique ne présentant aucun risque. On peut distinguer :
les instabilités d’ensemble conduisant à l’effondrement ou au renversement ;
les instabilités propres d’éléments pouvant, par réaction en chaîne, conduire à une instabilité d’ensemble ;
une durabilité insuffisante, corrosion, vieillissement, fatigue ;
un comportement anormal comme les déformations excessives ou les perturbations du bien-être des usagers ;
une atteinte à l’esthétique.
Nous allons, dans les paragraphes qui suivent, commenter les origines des désordres et les illustrer par des exemples concrets.
REFERENCE : C 2 690 DEWEY : 624 Date : Novembre 1992 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] L’amiante dans les bâtiments / Philippe Courrèges in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 14 p.
Titre : L’amiante dans les bâtiments Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Courrèges, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Bâtiment Amiante. Résumé : L’amiante, grâce à ses propriétés thermiques, acoustiques et de résistance au feu, a pendant longtemps été utilisé dans de nombreux secteurs de la vie économique.
Ses propriétés, alliées à un coût de production relativement faible, lui ont conféré le statut de matériau miracle (« magic mineral »).
Puis les graves conséquences sanitaires liées à l’extraction, à la transformation et à l’utilisation des fibres d’amiante ont profondément modifié la perception de ce matériau, pour en faire un matériau maudit. Il convenait donc alors de rechercher et de neutraliser l’ensemble des utilisations.
Par ailleurs, l’inquiétude plus ou moins légitime du grand public, renforcée par des campagnes médiatiques, et l’apparition de recherche de responsabilités par les victimes de l’utilisation de l’amiante, ont conduit les pouvoirs publics français à renforcer de manière conséquente la réglementation sur la question. En effet, d’un usage contrôlé, on est passé à une interdiction d’utilisation, précédant en cela une Directive Européenne de 1999 (1999/77/CE de la Commission du 26 juillet 1999) qui interdit l’utilisation d’amiante dans l’ensemble des pays européens. La réglementation qui s’est mise en place — essentiellement à partir de 1996 — a généré, génère et générera la réalisation de nombreux diagnostics de bâtiments et de chantiers de traitement d’amiante. Il s’agit d’un nouveau secteur d’activité qui concerne tout à la fois la protection de l’environnement, la protection des travailleurs intervenant dans ce secteur et la protection sanitaire des populations.
Toutefois, le remède ne doit pas être pire que le mal, et il convient de respecter des conditions extrêmement strictes pour réaliser de tels chantiers.
REFERENCE : C 3 382 DEWEY : 624 Date : Mai 2002 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/environnement-securite-th5/ [...] [article] L’amiante dans les bâtiments [texte imprimé] / Philippe Courrèges, Auteur . - 2011 . - 14 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 14 p.
Mots-clés : Bâtiment Amiante. Résumé : L’amiante, grâce à ses propriétés thermiques, acoustiques et de résistance au feu, a pendant longtemps été utilisé dans de nombreux secteurs de la vie économique.
Ses propriétés, alliées à un coût de production relativement faible, lui ont conféré le statut de matériau miracle (« magic mineral »).
Puis les graves conséquences sanitaires liées à l’extraction, à la transformation et à l’utilisation des fibres d’amiante ont profondément modifié la perception de ce matériau, pour en faire un matériau maudit. Il convenait donc alors de rechercher et de neutraliser l’ensemble des utilisations.
Par ailleurs, l’inquiétude plus ou moins légitime du grand public, renforcée par des campagnes médiatiques, et l’apparition de recherche de responsabilités par les victimes de l’utilisation de l’amiante, ont conduit les pouvoirs publics français à renforcer de manière conséquente la réglementation sur la question. En effet, d’un usage contrôlé, on est passé à une interdiction d’utilisation, précédant en cela une Directive Européenne de 1999 (1999/77/CE de la Commission du 26 juillet 1999) qui interdit l’utilisation d’amiante dans l’ensemble des pays européens. La réglementation qui s’est mise en place — essentiellement à partir de 1996 — a généré, génère et générera la réalisation de nombreux diagnostics de bâtiments et de chantiers de traitement d’amiante. Il s’agit d’un nouveau secteur d’activité qui concerne tout à la fois la protection de l’environnement, la protection des travailleurs intervenant dans ce secteur et la protection sanitaire des populations.
Toutefois, le remède ne doit pas être pire que le mal, et il convient de respecter des conditions extrêmement strictes pour réaliser de tels chantiers.
REFERENCE : C 3 382 DEWEY : 624 Date : Mai 2002 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/environnement-securite-th5/ [...] Radon dans les bâtiments / Marie-Christine Robé in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 16 p.
Titre : Radon dans les bâtiments Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Christine Robé, Auteur ; Margot Tirmarche, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 16 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Radon Bâtiment. Résumé : L’écorce terrestre contient, en quantités variables, des éléments radioactifs qui sont présents sur la Terre depuis sa formation ; parmi eux figure l’uranium. La caractéristique commune et fondamentale de tous les éléments radioactifs est d’être instables : ils se désintègrent pour donner naissance à de nouveaux atomes, radioactifs ou non, et à des rayonnements.
L’un des produits de la décomposition de l’uranium est le radon, gaz radioactif naturel. Il peut s’accumuler dans l’atmosphère plus confinée des bâtiments dans lesquels nous passons la majeure partie de notre temps. Il est globalement responsable du tiers de l’exposition de la population française aux rayonnements ionisants. C’est le risque de cancer du poumon qui motive la vigilance à l’égard du radon dans les habitations.
Il est possible de réduire les niveaux de radon dans les bâtiments par la mise en œuvre de techniques de réduction souvent simples et relativement peu coûteuses à l’échelle individuelle tant dans les bâtiments existants que dans les bâtiments en cours de construction.
REFERENCE : C 3 384 DEWEY : 624 Date : Mai 2003 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Radon dans les bâtiments [texte imprimé] / Marie-Christine Robé, Auteur ; Margot Tirmarche, Auteur . - 2011 . - 16 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 16 p.
Mots-clés : Radon Bâtiment. Résumé : L’écorce terrestre contient, en quantités variables, des éléments radioactifs qui sont présents sur la Terre depuis sa formation ; parmi eux figure l’uranium. La caractéristique commune et fondamentale de tous les éléments radioactifs est d’être instables : ils se désintègrent pour donner naissance à de nouveaux atomes, radioactifs ou non, et à des rayonnements.
L’un des produits de la décomposition de l’uranium est le radon, gaz radioactif naturel. Il peut s’accumuler dans l’atmosphère plus confinée des bâtiments dans lesquels nous passons la majeure partie de notre temps. Il est globalement responsable du tiers de l’exposition de la population française aux rayonnements ionisants. C’est le risque de cancer du poumon qui motive la vigilance à l’égard du radon dans les habitations.
Il est possible de réduire les niveaux de radon dans les bâtiments par la mise en œuvre de techniques de réduction souvent simples et relativement peu coûteuses à l’échelle individuelle tant dans les bâtiments existants que dans les bâtiments en cours de construction.
REFERENCE : C 3 384 DEWEY : 624 Date : Mai 2003 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Pathologie et évaluation des ponts existants / Daniel Poineau in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 18 p.
Titre : Pathologie et évaluation des ponts existants : principaux désordres Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Poineau, Auteur ; Jean-Armand Calgaro, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 18 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Ponts Béton Dégradation matériaux. Résumé : Cette série d’articles vise à améliorer la fiabilité et la durabilité des ponts. Il s’adresse en priorité aux gestionnaires de ponts, qui ont à identifier les ouvrages « malades » et à prendre les mesures de sécurité qui s’imposent puis, ensuite, à faire intervenir les laboratoires et les bureaux d’études chargés d’identifier et de quantifier les causes des désordres et de déterminer l’impact de ceux-ci sur la capacité des structures concernées.
Il s’adresse aussi aux ingénieurs chargés de la conception de ponts pour leur éviter de commettre un certain nombre d’erreurs « classiques » mais, également aux ingénieurs chargés des contrôles des projets pour leur permettre d’assurer, avec davantage d’efficacité, leur fonction.
Il s’adresse aussi aux équipes de maîtrise d’œuvre de chantier chargées de s’assurer que les ponts sont correctement exécutés.
Enfin, il s’adresse aux élèves-ingénieurs et aux élèves-techniciens afin qu’ils puissent compléter leur formation, dans un domaine, abordé par certains cours spécialisés, mais qui ne fait pas partie des unités d’enseignement technique traditionnelles.
Ce dossier est consacré à la description des principaux désordres des ponts en béton (béton armé et précontraint) et métalliques, ainsi qu'à leurs causes.
La deuxième partie [C 7 403] décrit les désordres des appareils d'appui, des éléments de protection et des équipements.
La troisième partie [C 7 404] décrit, avec leurs limites d’emploi, les différentes techniques d’essai et de mesure, en laboratoire comme in situ, utilisées dans le domaine des ponts mais aussi, sauf certaines de ces techniques, dans le domaine du génie civil et du bâtiment.
La quatrième partie [C 7 405] développe une méthodologie pratique et classique d’évaluation d’un pont existant en plusieurs étapes qui, cependant, ne fait pas appel aux méthodes d’estimation de la fiabilité structurale qui sont encore actuellement, compte tenu de leur complexité, réservées à des cas particuliers.
Le lecteur se reportera aussi utilement à l'autre série d'articles portant sur le renforcement et la réparation d'un pont [C 7 803], [C 7 804], [C 7 805] et [C 7 806].
REFERENCE : C 7 402 DEWEY : 624 Date : Mai 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Pathologie et évaluation des ponts existants : principaux désordres [texte imprimé] / Daniel Poineau, Auteur ; Jean-Armand Calgaro, Auteur . - 2011 . - 18 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 18 p.
Mots-clés : Ponts Béton Dégradation matériaux. Résumé : Cette série d’articles vise à améliorer la fiabilité et la durabilité des ponts. Il s’adresse en priorité aux gestionnaires de ponts, qui ont à identifier les ouvrages « malades » et à prendre les mesures de sécurité qui s’imposent puis, ensuite, à faire intervenir les laboratoires et les bureaux d’études chargés d’identifier et de quantifier les causes des désordres et de déterminer l’impact de ceux-ci sur la capacité des structures concernées.
Il s’adresse aussi aux ingénieurs chargés de la conception de ponts pour leur éviter de commettre un certain nombre d’erreurs « classiques » mais, également aux ingénieurs chargés des contrôles des projets pour leur permettre d’assurer, avec davantage d’efficacité, leur fonction.
Il s’adresse aussi aux équipes de maîtrise d’œuvre de chantier chargées de s’assurer que les ponts sont correctement exécutés.
Enfin, il s’adresse aux élèves-ingénieurs et aux élèves-techniciens afin qu’ils puissent compléter leur formation, dans un domaine, abordé par certains cours spécialisés, mais qui ne fait pas partie des unités d’enseignement technique traditionnelles.
Ce dossier est consacré à la description des principaux désordres des ponts en béton (béton armé et précontraint) et métalliques, ainsi qu'à leurs causes.
La deuxième partie [C 7 403] décrit les désordres des appareils d'appui, des éléments de protection et des équipements.
La troisième partie [C 7 404] décrit, avec leurs limites d’emploi, les différentes techniques d’essai et de mesure, en laboratoire comme in situ, utilisées dans le domaine des ponts mais aussi, sauf certaines de ces techniques, dans le domaine du génie civil et du bâtiment.
La quatrième partie [C 7 405] développe une méthodologie pratique et classique d’évaluation d’un pont existant en plusieurs étapes qui, cependant, ne fait pas appel aux méthodes d’estimation de la fiabilité structurale qui sont encore actuellement, compte tenu de leur complexité, réservées à des cas particuliers.
Le lecteur se reportera aussi utilement à l'autre série d'articles portant sur le renforcement et la réparation d'un pont [C 7 803], [C 7 804], [C 7 805] et [C 7 806].
REFERENCE : C 7 402 DEWEY : 624 Date : Mai 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Pathologie et évaluation des ponts existants / Daniel Poineau in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 6 p.
Titre : Pathologie et évaluation des ponts existants : equipements, appareils d'appui et éléments de protection Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Poineau, Auteur ; Jean-Armand Calgaro, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 6 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Ponts Équipements Éléments protection. Résumé : Ce dossier traite du cas particulier des équipements, appareils d'appui et éléments de protection.
Classiquement, dans les équipements étaient inclus les seconds, tels que la chape d'étanchéité. L'instruction technique, relative à la surveillance et à l'entretien des ouvrages d'art (ITSEOA) du 19 octobre 1979, modifiée le 26 décembre 1995, a changé ce mode de classification pour tenir compte du rôle qu'assurent ces divers éléments ainsi que des responsabilités et des garanties qui en découlent. Ainsi, par définition :
la structure est l'ensemble des parties constitutives d'un pont qui reçoit les charges et les transmet au sol de fondation. Les appareils d'appui, qui transmettent les charges du tablier vers les appuis, font donc bien partie de la structure et relèvent de la responsabilité décennale ;
les éléments de protection rassemblent tous les dispositifs annexes destinés à protéger l'ouvrage contre les divers agents agressifs (chape d'étanchéité, enrochements, perrés,...). La chape d'étanchéité fait l'objet d'une période de garantie spécifique (cf. titre I du fascicule 67 du CCTG) ;
les équipements sont les dispositifs ajoutés pour :
le confort et la sécurité des usagers (joints de dilatation, dispositifs de retenue,...),
la surveillance et l'entretien (passerelle de visite, échelle à crinoline,...),
l'esthétique (corniches,...).
Cet article fait suite au [C 7 402] décrivant les principaux désordres rencontrés et leurs causes.
Le suivant, [C 7 404], traite des méthodes d'auscultation des ponts.
Le dernier, [C 7 405], aborde l'évaluation des ouvrages existants.
Le lecteur se reportera aussi utilement à l'autre série d'articles portant sur le renforcement et la réparation d'un pont [C 7 803], [C 7 804], [C 7 805] et [C 7 806].
REFERENCE : C 7 403 DEWEY : 624 Date : Mai 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Pathologie et évaluation des ponts existants : equipements, appareils d'appui et éléments de protection [texte imprimé] / Daniel Poineau, Auteur ; Jean-Armand Calgaro, Auteur . - 2011 . - 6 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 6 p.
Mots-clés : Ponts Équipements Éléments protection. Résumé : Ce dossier traite du cas particulier des équipements, appareils d'appui et éléments de protection.
Classiquement, dans les équipements étaient inclus les seconds, tels que la chape d'étanchéité. L'instruction technique, relative à la surveillance et à l'entretien des ouvrages d'art (ITSEOA) du 19 octobre 1979, modifiée le 26 décembre 1995, a changé ce mode de classification pour tenir compte du rôle qu'assurent ces divers éléments ainsi que des responsabilités et des garanties qui en découlent. Ainsi, par définition :
la structure est l'ensemble des parties constitutives d'un pont qui reçoit les charges et les transmet au sol de fondation. Les appareils d'appui, qui transmettent les charges du tablier vers les appuis, font donc bien partie de la structure et relèvent de la responsabilité décennale ;
les éléments de protection rassemblent tous les dispositifs annexes destinés à protéger l'ouvrage contre les divers agents agressifs (chape d'étanchéité, enrochements, perrés,...). La chape d'étanchéité fait l'objet d'une période de garantie spécifique (cf. titre I du fascicule 67 du CCTG) ;
les équipements sont les dispositifs ajoutés pour :
le confort et la sécurité des usagers (joints de dilatation, dispositifs de retenue,...),
la surveillance et l'entretien (passerelle de visite, échelle à crinoline,...),
l'esthétique (corniches,...).
Cet article fait suite au [C 7 402] décrivant les principaux désordres rencontrés et leurs causes.
Le suivant, [C 7 404], traite des méthodes d'auscultation des ponts.
Le dernier, [C 7 405], aborde l'évaluation des ouvrages existants.
Le lecteur se reportera aussi utilement à l'autre série d'articles portant sur le renforcement et la réparation d'un pont [C 7 803], [C 7 804], [C 7 805] et [C 7 806].
REFERENCE : C 7 403 DEWEY : 624 Date : Mai 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Projet de renforcement ou de réparation d'un pont / Daniel Poineau in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 12 p.
Titre : Projet de renforcement ou de réparation d'un pont : par armatures additionnelles Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Poineau, Auteur ; Jean-Armand Calgaro, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 12 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Pont Armatures précontrainte passives. Résumé : Ce dossier fait suite aux articles traitant de « Pathologie et évaluation des ponts existants » [C 7 402], [C 7 403] et [C 7 404]. De ce fait, il s'adresse aux mêmes lecteurs.
Un pont existant a été conçu pour assurer un certain service. Or, à cause d'erreurs de conception et/ou d'exécution, du vieillissement de ses matériaux, des attaques de l'environnement, de l'agressivité du trafic, d'actions accidentelles, etc., ce pont peut présenter des désordres et ne plus assurer le service prévu. Il faut donc le réparer, voire le remplacer.
Dans certains cas, la capacité portante et la géométrie d'un pont existant ne sont plus adaptées aux nouveaux besoins qui se font jour du fait de l'augmentation du trafic et des charges. Il faut donc permettre à l'ouvrage de remplir ces nouveaux services, ce qui impose, dans la majeure partie des cas, de le renforcer.
Dans le 1er volet de ce dossier, [C 7 803], on abordait les questions de « méthodologie », tandis que le deuxième, [C 7 804], était consacré aux réparations et protection du béton et des armatures.
Ici, est traité la question de l'utilisation des armatures additionnelles.
Le suivant et dernier volet, [C 7 806], traite des méthodes de répartition et de renforcement des ponts métalliques.
Enfin, le lecteur est invité à se reporter aux détails – entre autres bibliographies et normalisation – figurant dans le Pour en savoir plus [Doc. C 7 803].
REFERENCE : C 7 805 DEWEY : 624 Date : Mai 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Projet de renforcement ou de réparation d'un pont : par armatures additionnelles [texte imprimé] / Daniel Poineau, Auteur ; Jean-Armand Calgaro, Auteur . - 2011 . - 12 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 12 p.
Mots-clés : Pont Armatures précontrainte passives. Résumé : Ce dossier fait suite aux articles traitant de « Pathologie et évaluation des ponts existants » [C 7 402], [C 7 403] et [C 7 404]. De ce fait, il s'adresse aux mêmes lecteurs.
Un pont existant a été conçu pour assurer un certain service. Or, à cause d'erreurs de conception et/ou d'exécution, du vieillissement de ses matériaux, des attaques de l'environnement, de l'agressivité du trafic, d'actions accidentelles, etc., ce pont peut présenter des désordres et ne plus assurer le service prévu. Il faut donc le réparer, voire le remplacer.
Dans certains cas, la capacité portante et la géométrie d'un pont existant ne sont plus adaptées aux nouveaux besoins qui se font jour du fait de l'augmentation du trafic et des charges. Il faut donc permettre à l'ouvrage de remplir ces nouveaux services, ce qui impose, dans la majeure partie des cas, de le renforcer.
Dans le 1er volet de ce dossier, [C 7 803], on abordait les questions de « méthodologie », tandis que le deuxième, [C 7 804], était consacré aux réparations et protection du béton et des armatures.
Ici, est traité la question de l'utilisation des armatures additionnelles.
Le suivant et dernier volet, [C 7 806], traite des méthodes de répartition et de renforcement des ponts métalliques.
Enfin, le lecteur est invité à se reporter aux détails – entre autres bibliographies et normalisation – figurant dans le Pour en savoir plus [Doc. C 7 803].
REFERENCE : C 7 805 DEWEY : 624 Date : Mai 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Projet de renforcement ou de réparation d'un pont / Daniel Poineau in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 8 p.
Titre : Projet de renforcement ou de réparation d'un pont : cas des ponts métalliques Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Poineau, Auteur ; Jean-Armand Calgaro, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 8 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Ponts métalliques. Résumé : Un pont existant a été conçu pour assurer un certain service. Or, à cause d'erreurs de conception et/ou d'exécution, du vieillissement de ses matériaux, des attaques de l'environnement, de l'agressivité du trafic, d'actions accidentelles, etc., ce pont peut présenter des désordres et ne plus assurer le service prévu. Il faut donc le réparer, voire le remplacer.
Dans certains cas, la capacité portante et la géométrie d'un pont existant ne sont plus adaptées aux nouveaux besoins qui se font jour du fait de l'augmentation du trafic et des charges. Il faut donc permettre à l'ouvrage de remplir ces nouveaux services, ce qui impose, dans la majeure partie des cas, de le renforcer.
Dans le 1er volet de ce dossier, [C 7 803], on abordait les questions de « méthodologie ». Le second, [C 7 804], s'occupe de réparation et de protection du béton et des armatures. Le troisième, [C 7 805], traite des méthodes de réparation et renforcement par armatures additionnelles.
Le quatrième et dernier volet se consacre, ici, au cas des ponts métalliques.
Ce dossier fait suite aux [C 7 402], [C 7 403], [C 7 404] et [C 7 405]. De ce fait, il s'adresse aux mêmes lecteurs.
REFERENCE : C 7 806 DEWEY : 624 Date : Mai 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Projet de renforcement ou de réparation d'un pont : cas des ponts métalliques [texte imprimé] / Daniel Poineau, Auteur ; Jean-Armand Calgaro, Auteur . - 2011 . - 8 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 8 p.
Mots-clés : Ponts métalliques. Résumé : Un pont existant a été conçu pour assurer un certain service. Or, à cause d'erreurs de conception et/ou d'exécution, du vieillissement de ses matériaux, des attaques de l'environnement, de l'agressivité du trafic, d'actions accidentelles, etc., ce pont peut présenter des désordres et ne plus assurer le service prévu. Il faut donc le réparer, voire le remplacer.
Dans certains cas, la capacité portante et la géométrie d'un pont existant ne sont plus adaptées aux nouveaux besoins qui se font jour du fait de l'augmentation du trafic et des charges. Il faut donc permettre à l'ouvrage de remplir ces nouveaux services, ce qui impose, dans la majeure partie des cas, de le renforcer.
Dans le 1er volet de ce dossier, [C 7 803], on abordait les questions de « méthodologie ». Le second, [C 7 804], s'occupe de réparation et de protection du béton et des armatures. Le troisième, [C 7 805], traite des méthodes de réparation et renforcement par armatures additionnelles.
Le quatrième et dernier volet se consacre, ici, au cas des ponts métalliques.
Ce dossier fait suite aux [C 7 402], [C 7 403], [C 7 404] et [C 7 405]. De ce fait, il s'adresse aux mêmes lecteurs.
REFERENCE : C 7 806 DEWEY : 624 Date : Mai 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Techniques des démolitions à l’explosif / Jean Bénazet in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 24 p.
Titre : Techniques des démolitions à l’explosif Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Bénazet, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 24 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Bâtiment Démolitions explosif. Résumé : La qualité de la vie et la détérioration des constructions des années 50 ont conduit les maîtres d’ouvrages à remodeler leurs patrimoines par des démolitions intégrales ou partielles de bâtiments construits dans des sites divers et souvent très urbanisés.
Ces démolitions sont réalisées d’une façon mécanique ou à l’explosif.
La difficulté des démolitions à l’explosif diminue lorsque celle des démantèlements mécaniques augmente.
C’est ainsi qu’avec des hauteurs d’édifices supérieurs à 20 m, la démolition à l’explosif devient plus adaptée et moins dangereuse que l’abattage sauvage du type : « démantèlement à la boule, grignotage par pinces à béton ou tout autre engin souvent utilisé sans considérations des circulaires de sécurité en vigueur ».
Toutefois, la démolition à l’explosif, qui n’offre un danger qu’à la minute du tir (contrairement au démantèlement mécanique dont les risques sont continus durant toute la durée du chantier), n’est pas simple. Et l’entrepreneur qui la réalise doit savoir maîtriser les connaissances :
générales des explosifs
des lois physiques liées à la dynamique des chutes;
de la résistance mécanique des matériaux.
Dans ce qui suit, nous ne développons que la technicité de la démolition par explosifs. Cela afin de donner aux entrepreneurs et aux maîtres d’ouvrages les bases des démantèlements du XX e siècle qui s’appliquent :
aux habitations ;
aux cheminées ;
aux aérofrigérants ;
aux châteaux d’eau ;
aux blockhaus ;
aux constructions industrielles (y compris nucléaires).
REFERENCE : C 5 425 DEWEY : 624 Date : Août 1997 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Techniques des démolitions à l’explosif [texte imprimé] / Jean Bénazet, Auteur . - 2011 . - 24 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 24 p.
Mots-clés : Bâtiment Démolitions explosif. Résumé : La qualité de la vie et la détérioration des constructions des années 50 ont conduit les maîtres d’ouvrages à remodeler leurs patrimoines par des démolitions intégrales ou partielles de bâtiments construits dans des sites divers et souvent très urbanisés.
Ces démolitions sont réalisées d’une façon mécanique ou à l’explosif.
La difficulté des démolitions à l’explosif diminue lorsque celle des démantèlements mécaniques augmente.
C’est ainsi qu’avec des hauteurs d’édifices supérieurs à 20 m, la démolition à l’explosif devient plus adaptée et moins dangereuse que l’abattage sauvage du type : « démantèlement à la boule, grignotage par pinces à béton ou tout autre engin souvent utilisé sans considérations des circulaires de sécurité en vigueur ».
Toutefois, la démolition à l’explosif, qui n’offre un danger qu’à la minute du tir (contrairement au démantèlement mécanique dont les risques sont continus durant toute la durée du chantier), n’est pas simple. Et l’entrepreneur qui la réalise doit savoir maîtriser les connaissances :
générales des explosifs
des lois physiques liées à la dynamique des chutes;
de la résistance mécanique des matériaux.
Dans ce qui suit, nous ne développons que la technicité de la démolition par explosifs. Cela afin de donner aux entrepreneurs et aux maîtres d’ouvrages les bases des démantèlements du XX e siècle qui s’appliquent :
aux habitations ;
aux cheminées ;
aux aérofrigérants ;
aux châteaux d’eau ;
aux blockhaus ;
aux constructions industrielles (y compris nucléaires).
REFERENCE : C 5 425 DEWEY : 624 Date : Août 1997 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Pathologie et entretien dans le bâtiment / Claude Saint Martin in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 2 p.
Titre : Pathologie et entretien dans le bâtiment : introduction et évolution Type de document : texte imprimé Auteurs : Claude Saint Martin, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 2 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Bâtiment Réhabilitation. Résumé : Depuis plusieurs décennies, le monde du bâtiment a pris un nouvel essor, et celui-ci lui permet actuellement de poursuivre assez régulièrement sa croissance.
À présent, il ne convient plus de construire à cadence forcée comme l'exigeaient les destructions et l'abandon des immeubles après la dernière guerre. L'accent est mis maintenant sur l'entretien et la réhabilitation des immeubles anciens, et notamment sur l'amélioration de leur confort et de leur sécurité.
Une bonne gestion passe évidemment par une bonne maintenance du patrimoine existant. À l'inverse, le manque d'entretien entraîne assez rapidement l'insalubrité et la déchéance du bâti jusqu'à sa ruine, en passant par le taudis.
Pour faire face à ces exigences, le monde du bâtiment s'est adapté et a modifié ses structures. C'est ainsi qu'il existe actuellement deux entités bien distinctes concernant les travaux de bâtiment :
les travaux neufs ;
les travaux d'entretien - réhabilitation, ainsi que ceux de réparation suite à une défaillance ou à un sinistre.
REFERENCE : C7 000 DEWEY : 624 Date : Novembre 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Pathologie et entretien dans le bâtiment : introduction et évolution [texte imprimé] / Claude Saint Martin, Auteur . - 2011 . - 2 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 2 p.
Mots-clés : Bâtiment Réhabilitation. Résumé : Depuis plusieurs décennies, le monde du bâtiment a pris un nouvel essor, et celui-ci lui permet actuellement de poursuivre assez régulièrement sa croissance.
À présent, il ne convient plus de construire à cadence forcée comme l'exigeaient les destructions et l'abandon des immeubles après la dernière guerre. L'accent est mis maintenant sur l'entretien et la réhabilitation des immeubles anciens, et notamment sur l'amélioration de leur confort et de leur sécurité.
Une bonne gestion passe évidemment par une bonne maintenance du patrimoine existant. À l'inverse, le manque d'entretien entraîne assez rapidement l'insalubrité et la déchéance du bâti jusqu'à sa ruine, en passant par le taudis.
Pour faire face à ces exigences, le monde du bâtiment s'est adapté et a modifié ses structures. C'est ainsi qu'il existe actuellement deux entités bien distinctes concernant les travaux de bâtiment :
les travaux neufs ;
les travaux d'entretien - réhabilitation, ainsi que ceux de réparation suite à une défaillance ou à un sinistre.
REFERENCE : C7 000 DEWEY : 624 Date : Novembre 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 7 p.
Titre : Toitures terrasses : pathologie de l’étanchéité Type de document : texte imprimé Auteurs : Claude Saint Martin, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 7 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Bâtiment revêtements étanchéité. Résumé : l est de fait que les toitures terrasses semblent avoir posé problème dès les premières réalisations. La fuite de terrasse est une pathologie récurrente dans le monde du bâtiment et, singulièrement, dans celui de l’étanchéité.
Pourtant ce type de toiture est en vogue depuis plus d’un siècle. Son succès est dû notamment au développement du béton armé et au renouvellement du style architectural au début et au milieu du 20e siècle.
Il faut reconnaître que la toiture terrasse est particulièrement attractive en raison de son coût d’investissement peu élevé. En effet, il suffit d’habiller le plancher à dernier étage d’une étanchéité et d’une protection. Il n’est pas besoin de charpente, ni de tuiles, ni d’autres matériaux de couvertures. De plus, et sans frais excessifs, il est possible de surélever éventuellement le bâtiment d’un ou deux niveaux sous réserve de vérification des structures. Enfin, la réfection de l’étanchéité est relativement facile à réaliser, et donc moins onéreuse que le remplacement de la couverture traditionnelle.
Malgré les nombreuses pathologies bien connues, et les déboires des occupants et des gestionnaires, ces avantages économiques ont largement favorisé le développement de la toiture terrasse sous toutes les latitudes. À ce sujet, les compagnies d’assurances constatent et font savoir que de nombreux sinistres du bâtiment concernent des fuites de terrasses, et que celles-ci sont surtout situées au niveau des relevés d’étanchéité.REFERENCE : C 7 125 DEWEY : 624 Date : Novembre 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Toitures terrasses : pathologie de l’étanchéité [texte imprimé] / Claude Saint Martin, Auteur . - 2011 . - 7 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 7 p.
Mots-clés : Bâtiment revêtements étanchéité. Résumé : l est de fait que les toitures terrasses semblent avoir posé problème dès les premières réalisations. La fuite de terrasse est une pathologie récurrente dans le monde du bâtiment et, singulièrement, dans celui de l’étanchéité.
Pourtant ce type de toiture est en vogue depuis plus d’un siècle. Son succès est dû notamment au développement du béton armé et au renouvellement du style architectural au début et au milieu du 20e siècle.
Il faut reconnaître que la toiture terrasse est particulièrement attractive en raison de son coût d’investissement peu élevé. En effet, il suffit d’habiller le plancher à dernier étage d’une étanchéité et d’une protection. Il n’est pas besoin de charpente, ni de tuiles, ni d’autres matériaux de couvertures. De plus, et sans frais excessifs, il est possible de surélever éventuellement le bâtiment d’un ou deux niveaux sous réserve de vérification des structures. Enfin, la réfection de l’étanchéité est relativement facile à réaliser, et donc moins onéreuse que le remplacement de la couverture traditionnelle.
Malgré les nombreuses pathologies bien connues, et les déboires des occupants et des gestionnaires, ces avantages économiques ont largement favorisé le développement de la toiture terrasse sous toutes les latitudes. À ce sujet, les compagnies d’assurances constatent et font savoir que de nombreux sinistres du bâtiment concernent des fuites de terrasses, et que celles-ci sont surtout situées au niveau des relevés d’étanchéité.REFERENCE : C 7 125 DEWEY : 624 Date : Novembre 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Pathologie de l'humidité. paroi simple / Paul Dahan in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 8 p.
Titre : Pathologie de l'humidité. paroi simple : phénomène de condensation Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Dahan, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 8 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Bâtiment Pathologie humidité Résumé : Dans l'art de construire, le maître d'ouvrage et/ou le maître d'œuvre ont toujours le devoir d'adapter les constructions aux sites et l'obligation de résultat vis-à-vis des conditions climatiques.
L'adaptation aux sites reste du domaine de l'architecture.
Le bon comportement, ou la dégradation, de la chose construite va dépendre, en général, de la « technique » de construction et en particulier de la réaction aux agressions des agents naturels que sont la chaleur et l'eau, sous toutes leurs formes, agissant séparément ou ensemble.
La théorie de « la migration de la vapeur d'eau dans la masse » permet une approche qualitative de ces phénomènes naturels. Cette théorie permet, également, de les quantifier. L'intérêt de quantifier cette migration est de pouvoir :
comprendre et résoudre les problèmes d'humidité existants ou à venir ;
intervenir le plus en amont possible, lors de la conception du projet, et être ainsi à même de prévenir, plutôt que de guérir, la (ou les) pathologie(s) potentielle(s).
Cette démarche implique pour le maître d'ouvrage, et/ou le maître d'œuvre, de budgéter des études spécifiques qui seront largement compensées par la fiabilité à long terme des prévisions établies.
Cette résolution pratique de phénomènes complexes s'appuie sur le cheminement scientifique décrit dans le REEF (volume II) sous le titre : « Diffusion de la vapeur d'eau au travers des parois. Condensations. » par M. Jacques Berthier (décédé en 1980), directeur du CSTB (Centre scientifique et technique du bâtiment).
Pour passer de « la théorie à la pratique », l'exemple traité sera « une paroi type », étudiée de façon progressive et didactique pour bien s'approprier cette méthode.
L'objectif est d'assimiler cette méthodologie, de façon qu'à partir de l'exemple choisi, chacun puisse résoudre, par analogie, d'autres cas concrets.
Cette méthode permet, en effet, de prévoir et d'évaluer les comportements physiques des constituants exposés aux agressions hygrothermiques naturelles. Elle facilite également la comparaison par rapport aux résistances admissibles que l'on trouve dans les documents officiels (normes, DTU, avis techniques, PV d'essais de laboratoires certificateurs, règles professionnelles, etc.).
En définitive, cette approche constitue « un outil de travail » destiné d'une façon générale aux intervenants participant à l'acte de construire (maîtres d'ouvrages, maîtres d'œuvre, bureaux d'études techniques, enseignants, entreprises, négociants de matériaux, etc.) et, également aux professionnels qui ont « à juger de la chose construite ».
Dans ce dossier, nous rappelons la théorie du phénomène de condensation nécessaire à la compréhension « qualitative » des phénomènes relatifs à la migration de la vapeur d'eau dans la masse.
Nota : un tableau regroupant les symboles également utilisés pour les articles Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Cas concret : un voile en béton [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Cas concret : un voile en béton] [C 7 132] et Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Exemples courants [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Exemples courants] [C 7 134] se trouve en fin d'article.
REFERENCE : C 7 130 DEWEY : 624 Date : Mai 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Pathologie de l'humidité. paroi simple : phénomène de condensation [texte imprimé] / Paul Dahan, Auteur . - 2011 . - 8 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 8 p.
Mots-clés : Bâtiment Pathologie humidité Résumé : Dans l'art de construire, le maître d'ouvrage et/ou le maître d'œuvre ont toujours le devoir d'adapter les constructions aux sites et l'obligation de résultat vis-à-vis des conditions climatiques.
L'adaptation aux sites reste du domaine de l'architecture.
Le bon comportement, ou la dégradation, de la chose construite va dépendre, en général, de la « technique » de construction et en particulier de la réaction aux agressions des agents naturels que sont la chaleur et l'eau, sous toutes leurs formes, agissant séparément ou ensemble.
La théorie de « la migration de la vapeur d'eau dans la masse » permet une approche qualitative de ces phénomènes naturels. Cette théorie permet, également, de les quantifier. L'intérêt de quantifier cette migration est de pouvoir :
comprendre et résoudre les problèmes d'humidité existants ou à venir ;
intervenir le plus en amont possible, lors de la conception du projet, et être ainsi à même de prévenir, plutôt que de guérir, la (ou les) pathologie(s) potentielle(s).
Cette démarche implique pour le maître d'ouvrage, et/ou le maître d'œuvre, de budgéter des études spécifiques qui seront largement compensées par la fiabilité à long terme des prévisions établies.
Cette résolution pratique de phénomènes complexes s'appuie sur le cheminement scientifique décrit dans le REEF (volume II) sous le titre : « Diffusion de la vapeur d'eau au travers des parois. Condensations. » par M. Jacques Berthier (décédé en 1980), directeur du CSTB (Centre scientifique et technique du bâtiment).
Pour passer de « la théorie à la pratique », l'exemple traité sera « une paroi type », étudiée de façon progressive et didactique pour bien s'approprier cette méthode.
L'objectif est d'assimiler cette méthodologie, de façon qu'à partir de l'exemple choisi, chacun puisse résoudre, par analogie, d'autres cas concrets.
Cette méthode permet, en effet, de prévoir et d'évaluer les comportements physiques des constituants exposés aux agressions hygrothermiques naturelles. Elle facilite également la comparaison par rapport aux résistances admissibles que l'on trouve dans les documents officiels (normes, DTU, avis techniques, PV d'essais de laboratoires certificateurs, règles professionnelles, etc.).
En définitive, cette approche constitue « un outil de travail » destiné d'une façon générale aux intervenants participant à l'acte de construire (maîtres d'ouvrages, maîtres d'œuvre, bureaux d'études techniques, enseignants, entreprises, négociants de matériaux, etc.) et, également aux professionnels qui ont « à juger de la chose construite ».
Dans ce dossier, nous rappelons la théorie du phénomène de condensation nécessaire à la compréhension « qualitative » des phénomènes relatifs à la migration de la vapeur d'eau dans la masse.
Nota : un tableau regroupant les symboles également utilisés pour les articles Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Cas concret : un voile en béton [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Cas concret : un voile en béton] [C 7 132] et Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Exemples courants [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Exemples courants] [C 7 134] se trouve en fin d'article.
REFERENCE : C 7 130 DEWEY : 624 Date : Mai 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Pathologie de l'humidité.paroi simple / Paul Dahan in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 14 p.
Titre : Pathologie de l'humidité.paroi simple : cas concret : voile en béton Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Dahan, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Béton Pathologie humidité. Résumé : Après avoir rappelé les principes de base du phénomène de condensation dans le dossier Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation] [C 7 130], le cas spécifique d'un voile en béton va être abordé dans ce dossier afin d'en faire une étude hygrothermique complète.
Nota : un tableau regroupant les symboles utilisés pour les articles Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation] [C 7 130] Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Cas concret : un voile en béton [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Cas concret : un voile en béton] [C 7 132] et Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Exemples courants [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Exemples courants] [C 7 134] est présenté à la fin de l'article Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation] [C 7 130].
REFERENCE : C 7 132 DEWEY : 624 Date : Mai 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Pathologie de l'humidité.paroi simple : cas concret : voile en béton [texte imprimé] / Paul Dahan, Auteur . - 2011 . - 14 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 14 p.
Mots-clés : Béton Pathologie humidité. Résumé : Après avoir rappelé les principes de base du phénomène de condensation dans le dossier Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation] [C 7 130], le cas spécifique d'un voile en béton va être abordé dans ce dossier afin d'en faire une étude hygrothermique complète.
Nota : un tableau regroupant les symboles utilisés pour les articles Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation] [C 7 130] Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Cas concret : un voile en béton [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Cas concret : un voile en béton] [C 7 132] et Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Exemples courants [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Exemples courants] [C 7 134] est présenté à la fin de l'article Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation] [C 7 130].
REFERENCE : C 7 132 DEWEY : 624 Date : Mai 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Pathologie de l'humidité. paroi simple / Paul Dahan in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 13 p.
Titre : Pathologie de l'humidité. paroi simple : Exemples courants Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Dahan, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 13 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Pathologie humidité Béton cellulaire Brique pleine. Résumé : L'étude hygrothermique d'un mur simple (voile en béton de 16 cm, voir dossier Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Cas concret : un voile en béton [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Cas concret : un voile en béton] [C 7 132]) nous a permis d'appréhender son comportement face aux agressions des agents naturels que sont la chaleur et l'eau, agissant séparément ou ensemble sous toutes leurs formes.
Dans ce dossier, nous allons trouver « les notes de calcul » de quelques parois simples, couramment utilisées en construction de bâtiments à usage d'habitations et/ou à usage industriel, ainsi que leurs « diagrammes de Glaser » correspondants, en période hivernale.
À la suite, quelques commentaires expliciteront la pathologie potentielle dominante des murs constitués principalement par des parpaings creux, du béton cellulaire, de la brique pleine ou creuse, de la pierre calcaire demi-ferme, de la pierre calcaire dure ou encore des joints de hourdage.
Les conditions climatiques retenues dans ce dossier sont les suivanen hiver :
à l'extérieur : T e ≥ – 10 oC et HR e ≥ 90 % ou 95 %,
à l'intérieur : T i ≥ + 19 oC et HR i ≥ 60 % ;
en été :
à l'extérieur : T e ≥ + 40 oC,
à l'intérieur : T i ≥ + 24 oC ;
en température moyenne de référence :
à l'extérieur : T e ≥ + 15 oC,
à l'intérieur : T i ≥ + 22 oC.
Elles permettent le calcul des chocs thermiques dans des conditions hygrothermiques extrêmes applicables à l'ensemble du territoire national.
Nota : pour plus d'informations sur les caractéristiques des matériaux de construction, le lecteur pourra consulter le formulaire [Form. C 7 137].Un tableau regroupant les symboles utilisés pour les articles Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation] [C 7 130] Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Cas concret : un voile en béton [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Cas concret : un voile en béton] [C 7 132] et Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Exemples courants [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Exemples courants] [C 7 134] est présenté à la fin de l'article Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation] [C 7 130].
REFERENCE : C 7 134 DEWEY : 624 Date : Mai 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Pathologie de l'humidité. paroi simple : Exemples courants [texte imprimé] / Paul Dahan, Auteur . - 2011 . - 13 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 13 p.
Mots-clés : Pathologie humidité Béton cellulaire Brique pleine. Résumé : L'étude hygrothermique d'un mur simple (voile en béton de 16 cm, voir dossier Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Cas concret : un voile en béton [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Cas concret : un voile en béton] [C 7 132]) nous a permis d'appréhender son comportement face aux agressions des agents naturels que sont la chaleur et l'eau, agissant séparément ou ensemble sous toutes leurs formes.
Dans ce dossier, nous allons trouver « les notes de calcul » de quelques parois simples, couramment utilisées en construction de bâtiments à usage d'habitations et/ou à usage industriel, ainsi que leurs « diagrammes de Glaser » correspondants, en période hivernale.
À la suite, quelques commentaires expliciteront la pathologie potentielle dominante des murs constitués principalement par des parpaings creux, du béton cellulaire, de la brique pleine ou creuse, de la pierre calcaire demi-ferme, de la pierre calcaire dure ou encore des joints de hourdage.
Les conditions climatiques retenues dans ce dossier sont les suivanen hiver :
à l'extérieur : T e ≥ – 10 oC et HR e ≥ 90 % ou 95 %,
à l'intérieur : T i ≥ + 19 oC et HR i ≥ 60 % ;
en été :
à l'extérieur : T e ≥ + 40 oC,
à l'intérieur : T i ≥ + 24 oC ;
en température moyenne de référence :
à l'extérieur : T e ≥ + 15 oC,
à l'intérieur : T i ≥ + 22 oC.
Elles permettent le calcul des chocs thermiques dans des conditions hygrothermiques extrêmes applicables à l'ensemble du territoire national.
Nota : pour plus d'informations sur les caractéristiques des matériaux de construction, le lecteur pourra consulter le formulaire [Form. C 7 137].Un tableau regroupant les symboles utilisés pour les articles Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation] [C 7 130] Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Cas concret : un voile en béton [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Cas concret : un voile en béton] [C 7 132] et Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Exemples courants [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Exemples courants] [C 7 134] est présenté à la fin de l'article Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation [Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation] [C 7 130].
REFERENCE : C 7 134 DEWEY : 624 Date : Mai 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Pathologie de l'humidité. parois revêtues en bâtiment / Paul Dahan in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 13 p.
Titre : Pathologie de l'humidité. parois revêtues en bâtiment : spécificités Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Dahan, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 13 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Bâtiment Paroi revêtements décoration. Résumé : Construire dans les règles de l'art, conserver ou réhabiliter le patrimoine, éviter les désordres, diagnostiquer les causes de la pathologie, tous ces concepts doivent se traduire dans l'acte de construire.
La pathologie potentielle récurrente sur les parois des bâtiments est souvent la suivante :
fissures avec ou sans infiltration d'eau ;
salissures ;
décollement de l'enduit extérieur ;
éclatement du béton consécutif à l'oxydation des fers d'armatures ;
moisissures sur la face intérieure des parois.
Selon la pathologie dominante (existante ou à venir), le maître d'œuvre et/ou le maître d'ouvrage ont à leur disposition un certain nombre de produits ou de systèmes pour intervenir et revêtir la paroi.
En réhabilitation, le diagnostic a pour objectif de déterminer la (ou les) cause(s) de cette pathologie.
En travaux neufs, les règles de l'art, souvent traduites en « réglementation » (normes, DTU, règles professionnelles, etc.) ont pour objectif « d'atteindre des résultats » tout en évitant « la pathologie ».
Le législateur a défini dans la norme NF P 84 401 quatre fonctions possibles pour le revêtement, à savoir
le maintien de l'aspect : le revêtement permet de maintenir l'aspect d'origine du parement. Ce sont en général des produits incolores ou légèrement pigmentés, filmogènes ou non, destinés à améliorer temporairement le comportement à l'eau et/ou le comportement aux salissures ;
la décoration : le revêtement permet d'agrémenter ou d'embellir le support en jouant sur l'aspect : couleur, brillance, granulométrie. Les solutions utilisées sont des produits pigmentés, filmogènes, qui jouent aussi le rôle de protection superficielle du support ;
l'imperméabilité : le revêtement permet au mur d'obtenir l'imperméabilité à l'eau de pluie. Il s'agit de systèmes multicouches souples, et pour certains, la couche intermédiaire comporte une armature : un voile, tissé ou non, ou des fibres en dispersion ;
Remarque
le mot « imperméabilité » couvre deux actions : « imperméabilisation » et « étanchéité ».
l'isolation thermique : le revêtement accroît de façon significative l'isolation thermique de la paroi. Il s'agit, soit de systèmes d'isolation thermique par l'intérieur (ITI), soit de systèmes d'isolation thermique par l'extérieur (ITE).
La question que le constructeur (maître d'œuvre et/ou maître d'ouvrage) doit se poser est : compte tenu de la pathologie à traiter, quelles sont les performances et les limites du revêtement retenu ou appliqué ?
Ce dossier a pour objectif d'étudier le bon comportement ou la dégradation de la paroi simple une fois revêtue (par l'un des systèmes décrit dans la norme NF P 84 401) quand celle-ci subit les agressions des agents naturels que sont la chaleur et l'eau, sous toutes leurs formes, agissant séparément ou ensemble.
La théorie de « la migration de la vapeur d'eau dans la masse » permet une approche qualitative et quantitative de ces phénomènes naturels (cf. [C 7 130] et [C 7 132]).
L'intérêt de quantifier cette migration est de pouvoir
comprendre et résoudre les problèmes d'humidité existants ou à venir ;
intervenir le plus en amont possible, lors de la conception du projet, et être ainsi à même de prévenir, plutôt que de guérir, la (ou les) pathologie(s) potentielle(s).
REFERENCE : C 7 140 DEWEY : 624 Date : Novembre 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Pathologie de l'humidité. parois revêtues en bâtiment : spécificités [texte imprimé] / Paul Dahan, Auteur . - 2011 . - 13 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 13 p.
Mots-clés : Bâtiment Paroi revêtements décoration. Résumé : Construire dans les règles de l'art, conserver ou réhabiliter le patrimoine, éviter les désordres, diagnostiquer les causes de la pathologie, tous ces concepts doivent se traduire dans l'acte de construire.
La pathologie potentielle récurrente sur les parois des bâtiments est souvent la suivante :
fissures avec ou sans infiltration d'eau ;
salissures ;
décollement de l'enduit extérieur ;
éclatement du béton consécutif à l'oxydation des fers d'armatures ;
moisissures sur la face intérieure des parois.
Selon la pathologie dominante (existante ou à venir), le maître d'œuvre et/ou le maître d'ouvrage ont à leur disposition un certain nombre de produits ou de systèmes pour intervenir et revêtir la paroi.
En réhabilitation, le diagnostic a pour objectif de déterminer la (ou les) cause(s) de cette pathologie.
En travaux neufs, les règles de l'art, souvent traduites en « réglementation » (normes, DTU, règles professionnelles, etc.) ont pour objectif « d'atteindre des résultats » tout en évitant « la pathologie ».
Le législateur a défini dans la norme NF P 84 401 quatre fonctions possibles pour le revêtement, à savoir
le maintien de l'aspect : le revêtement permet de maintenir l'aspect d'origine du parement. Ce sont en général des produits incolores ou légèrement pigmentés, filmogènes ou non, destinés à améliorer temporairement le comportement à l'eau et/ou le comportement aux salissures ;
la décoration : le revêtement permet d'agrémenter ou d'embellir le support en jouant sur l'aspect : couleur, brillance, granulométrie. Les solutions utilisées sont des produits pigmentés, filmogènes, qui jouent aussi le rôle de protection superficielle du support ;
l'imperméabilité : le revêtement permet au mur d'obtenir l'imperméabilité à l'eau de pluie. Il s'agit de systèmes multicouches souples, et pour certains, la couche intermédiaire comporte une armature : un voile, tissé ou non, ou des fibres en dispersion ;
Remarque
le mot « imperméabilité » couvre deux actions : « imperméabilisation » et « étanchéité ».
l'isolation thermique : le revêtement accroît de façon significative l'isolation thermique de la paroi. Il s'agit, soit de systèmes d'isolation thermique par l'intérieur (ITI), soit de systèmes d'isolation thermique par l'extérieur (ITE).
La question que le constructeur (maître d'œuvre et/ou maître d'ouvrage) doit se poser est : compte tenu de la pathologie à traiter, quelles sont les performances et les limites du revêtement retenu ou appliqué ?
Ce dossier a pour objectif d'étudier le bon comportement ou la dégradation de la paroi simple une fois revêtue (par l'un des systèmes décrit dans la norme NF P 84 401) quand celle-ci subit les agressions des agents naturels que sont la chaleur et l'eau, sous toutes leurs formes, agissant séparément ou ensemble.
La théorie de « la migration de la vapeur d'eau dans la masse » permet une approche qualitative et quantitative de ces phénomènes naturels (cf. [C 7 130] et [C 7 132]).
L'intérêt de quantifier cette migration est de pouvoir
comprendre et résoudre les problèmes d'humidité existants ou à venir ;
intervenir le plus en amont possible, lors de la conception du projet, et être ainsi à même de prévenir, plutôt que de guérir, la (ou les) pathologie(s) potentielle(s).
REFERENCE : C 7 140 DEWEY : 624 Date : Novembre 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Pathologie de l'humidité. parois revêtues en bâtiment / Paul Dahan in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 15 p.
Titre : Pathologie de l'humidité. parois revêtues en bâtiment : isolation thermique Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Dahan, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 15 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Bâtiment Isolation thermique. Résumé : Depuis le premier choc pétrolier en 1973, la nécessité de faire des économies d'énergie a conduit le législateur à établir des « règles thermiques » applicables aux constructions neuves.
En réhabilitation, aucun règlement n'a encore vu le jour du fait, peut-être, de se trouver face à une difficulté d'analyse fiable en l'absence de documents descriptifs de la chose construite.
Par ailleurs, si la réglementation contraint le constructeur (maîtres d'œuvre et/ou d'ouvrage) à une obligation de résultats, les règlements lui laissent l'entière liberté pour les atteindre. Par leur évolution permanente, le législateur se sert des règles comme un moyen pour réaliser des économies d'énergie, qui contribuent à la diminution significative des gaz à effet de serre ; moins de CO et de CO2 renvoyés dans l'atmosphère.
Par l'article 1792 du code civil, le constructeur engage sa responsabilité dès qu'il participe à l'acte de construire. Bien sûr, celle-ci fait l'objet d'une couverture d'assurance obligatoire. Sans entrer dans le détail, en cas de désordres, il s'ensuit une déclaration de sinistres qui, à terme, peut avoir des conséquences financières sur la prime RC dommages ouvrages du constructeur.
L'étude hygrothermique qui suit a pour objectif d'éclairer, d'une façon scientifique, le constructeur sur le comportement physique des éléments qui constituent « une paroi revêtue » par les différents systèmes d'isolation thermique, et d'analyser leurs performances et leurs limites face aux agressions des agents naturels que sont la chaleur et l'eau, sous toutes leurs formes, agissant séparément ou ensemble.
REFERENCE : C 7 142 DEWEY : 624 Date : Novembre 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Pathologie de l'humidité. parois revêtues en bâtiment : isolation thermique [texte imprimé] / Paul Dahan, Auteur . - 2011 . - 15 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 15 p.
Mots-clés : Bâtiment Isolation thermique. Résumé : Depuis le premier choc pétrolier en 1973, la nécessité de faire des économies d'énergie a conduit le législateur à établir des « règles thermiques » applicables aux constructions neuves.
En réhabilitation, aucun règlement n'a encore vu le jour du fait, peut-être, de se trouver face à une difficulté d'analyse fiable en l'absence de documents descriptifs de la chose construite.
Par ailleurs, si la réglementation contraint le constructeur (maîtres d'œuvre et/ou d'ouvrage) à une obligation de résultats, les règlements lui laissent l'entière liberté pour les atteindre. Par leur évolution permanente, le législateur se sert des règles comme un moyen pour réaliser des économies d'énergie, qui contribuent à la diminution significative des gaz à effet de serre ; moins de CO et de CO2 renvoyés dans l'atmosphère.
Par l'article 1792 du code civil, le constructeur engage sa responsabilité dès qu'il participe à l'acte de construire. Bien sûr, celle-ci fait l'objet d'une couverture d'assurance obligatoire. Sans entrer dans le détail, en cas de désordres, il s'ensuit une déclaration de sinistres qui, à terme, peut avoir des conséquences financières sur la prime RC dommages ouvrages du constructeur.
L'étude hygrothermique qui suit a pour objectif d'éclairer, d'une façon scientifique, le constructeur sur le comportement physique des éléments qui constituent « une paroi revêtue » par les différents systèmes d'isolation thermique, et d'analyser leurs performances et leurs limites face aux agressions des agents naturels que sont la chaleur et l'eau, sous toutes leurs formes, agissant séparément ou ensemble.
REFERENCE : C 7 142 DEWEY : 624 Date : Novembre 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Pathologie de l'humidité. parois revêtues en bâtiment / Paul Dahan in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 8 p.
Titre : Pathologie de l'humidité. parois revêtues en bâtiment : analyse du phénomène Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Dahan, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 8 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Bâtiment fissuration Isolation thermique. Résumé : Les diagrammes de Glaser nous ont permis une approche quantitative scientifique des agressions climatiques naturelles (chaleur et eau agissant séparément ou ensemble) sur les constituants :
soit de la paroi simple (cf. dossiers [C 7 130] et suivants) ;
soit de la paroi revêtue par un système :
de décoration D2 : peinture type « Pliolite »,
d'imperméabilité : de la classe « I4 »,
d'isolation thermique : par l'intérieur ou par l'extérieur.
L'étude de la paroi simple a eu pour objectif de comprendre les causes potentielles :
en réhabilitation, qui sont à l'origine de la pathologie avérée, ou ;
en travaux neufs, qui peuvent donner naissance à la pathologie à venir.
L'étude de la paroi revêtue a pour but d'être en mesure de statuer sur la solution appliquée (ou prévue) dont la finalité est d'éliminer la ou les causes de cette pathologie, et ainsi, d'en faire disparaître les effets.
Elle permet d'apprécier les performances de la solution appliquée (ou prévue) mais aussi et surtout d'en préciser ses limites.
Autrement dit : l'étude hygrothermique, avant la mise en œuvre de la solution qui a pour objectif d'éliminer la ou les causes de la pathologie afin d'en faire disparaître les effets doit permettre de démontrer, d'une part, que le problème est résolu, et, d'autre part, que la solution envisagée (ou appliquée) ne doit pas être la cause d'une pathologie nouvelle, latente et/ou potentielle.
Rappelons les désordres récurrents qui peuvent affecter les parois simples :
fissurations avec ou sans infiltrations d'eau ;
salissures ;
décollement de l'enduit extérieur ou intérieur ;
éclatement du béton ;
moisissures sur la face intérieure de la paroi.
Les mécanismes à l'origine de ces désordres potentiels ont été décrits dans le dossier [C 7 132], § 9.2.
L'exploitation analytique, des diagrammes de Glaser des parois revêtues successivement par les différents produits ou systèmes, doit permettre au constructeur d'en évaluer leurs propriétés curatives face aux désordres potentiels énumérés ci-dessus, tout en soulignant leurs performances et leurs limites.
REFERENCE : C 7 144 DEWEY : 624 Date : Novembre 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Pathologie de l'humidité. parois revêtues en bâtiment : analyse du phénomène [texte imprimé] / Paul Dahan, Auteur . - 2011 . - 8 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 8 p.
Mots-clés : Bâtiment fissuration Isolation thermique. Résumé : Les diagrammes de Glaser nous ont permis une approche quantitative scientifique des agressions climatiques naturelles (chaleur et eau agissant séparément ou ensemble) sur les constituants :
soit de la paroi simple (cf. dossiers [C 7 130] et suivants) ;
soit de la paroi revêtue par un système :
de décoration D2 : peinture type « Pliolite »,
d'imperméabilité : de la classe « I4 »,
d'isolation thermique : par l'intérieur ou par l'extérieur.
L'étude de la paroi simple a eu pour objectif de comprendre les causes potentielles :
en réhabilitation, qui sont à l'origine de la pathologie avérée, ou ;
en travaux neufs, qui peuvent donner naissance à la pathologie à venir.
L'étude de la paroi revêtue a pour but d'être en mesure de statuer sur la solution appliquée (ou prévue) dont la finalité est d'éliminer la ou les causes de cette pathologie, et ainsi, d'en faire disparaître les effets.
Elle permet d'apprécier les performances de la solution appliquée (ou prévue) mais aussi et surtout d'en préciser ses limites.
Autrement dit : l'étude hygrothermique, avant la mise en œuvre de la solution qui a pour objectif d'éliminer la ou les causes de la pathologie afin d'en faire disparaître les effets doit permettre de démontrer, d'une part, que le problème est résolu, et, d'autre part, que la solution envisagée (ou appliquée) ne doit pas être la cause d'une pathologie nouvelle, latente et/ou potentielle.
Rappelons les désordres récurrents qui peuvent affecter les parois simples :
fissurations avec ou sans infiltrations d'eau ;
salissures ;
décollement de l'enduit extérieur ou intérieur ;
éclatement du béton ;
moisissures sur la face intérieure de la paroi.
Les mécanismes à l'origine de ces désordres potentiels ont été décrits dans le dossier [C 7 132], § 9.2.
L'exploitation analytique, des diagrammes de Glaser des parois revêtues successivement par les différents produits ou systèmes, doit permettre au constructeur d'en évaluer leurs propriétés curatives face aux désordres potentiels énumérés ci-dessus, tout en soulignant leurs performances et leurs limites.
REFERENCE : C 7 144 DEWEY : 624 Date : Novembre 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Pathologie de l’humidité. parois revêtues en bâtiment / Paul Dahan in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 27 p.
Titre : Pathologie de l’humidité. parois revêtues en bâtiment : étude d’un cas concret Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Dahan, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 27 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Bâtiment Voile béton Étude hygrothermique. Résumé : Cette étude de cas a pour objectif de comprendre, par une approche scientifique, la pathologie qui est survenue, en moins de 10 ans, sur les murs périmétriques d’un ensemble pavillonnaire R + 1 (rez-de-chaussée + 1 étage).
Remarque : les caractéristiques physiques des matériaux de construction, les tables de Regnault et les coefficients d’échange superficiels conventionnels sont consultables dans le dossier [Form C 7 137].
REFERENCE : C 7 146 DEWEY : 624 Date : Novembre 2009 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Pathologie de l’humidité. parois revêtues en bâtiment : étude d’un cas concret [texte imprimé] / Paul Dahan, Auteur . - 2011 . - 27 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 27 p.
Mots-clés : Bâtiment Voile béton Étude hygrothermique. Résumé : Cette étude de cas a pour objectif de comprendre, par une approche scientifique, la pathologie qui est survenue, en moins de 10 ans, sur les murs périmétriques d’un ensemble pavillonnaire R + 1 (rez-de-chaussée + 1 étage).
Remarque : les caractéristiques physiques des matériaux de construction, les tables de Regnault et les coefficients d’échange superficiels conventionnels sont consultables dans le dossier [Form C 7 137].
REFERENCE : C 7 146 DEWEY : 624 Date : Novembre 2009 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Projet de renforcement ou de réparation d'un pont / Daniel Poineau in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 8 p.
Titre : Projet de renforcement ou de réparation d'un pont : méthodologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Poineau, Auteur ; Jean-Armand Calgaro, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 8 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Ponts Réparation Béton. Résumé : Ce dossier, suite logique des articles traitant de la « Pathologie et évaluation des ponts existants » ([C 7 402], [C 7 403], [C 7 404] et [C 7 405]) s'adresse, bien entendu et pour les mêmes raisons, aux mêmes lecteurs.
Un pont existant a été conçu pour assurer un certain service. Or, à cause d'erreurs de conception et/ou d'exécution, du vieillissement de ses matériaux, des attaques de l'environnement, de l'agressivité du trafic, d'actions accidentelles..., ce pont peut présenter des désordres et ne plus assurer le service prévu. Il faut donc le réparer, voire le remplacer.
Dans certains cas, la capacité portante et la géométrie d'un pont existant ne sont plus adaptées aux nouveaux besoins qui se font jour à cause de l'augmentation du trafic et des charges... Il faut donc permettre à l'ouvrage de remplir ces nouveaux services, ce qui impose, dans la majeure partie des cas, de le renforcer.
Ce dossier est consacré à :
définir un certain nombre de termes liés au domaine de la réparation et du renforcement ;
détailler les différentes étapes à suivre pour aboutir à un « bon » projet de réparation et de renforcement ;
développer les différentes méthodes de réparation et de renforcement des ponts ou parties de ponts en béton (béton armé et béton précontraint).
Cette dernière partie a été profondément remaniée pour tenir compte du fait que, d'une part, de nouvelles méthodes se sont développées et, d'autre part, la normalisation européenne se substitue de plus en plus à la normalisation française. C'est ainsi que les normes produits de la série P 18-800 ont été, pour la plupart, remplacées par les normes de la série EN 1 504-00, ce qui a rendu obsolètes les normes d'exécution de la série P 95-100.
Les dossiers suivants traitent spécifiquement des méthodes de
réparation, protection du béton et des armatures, [C 7 804] ;
réparation et renforcement par armatures additionnelles, [C 7 805] ;
réparation et renforcement des ponts métalliques, [C 7 806].
REFERENCE : C 7 803 DEWEY : 624 Date : Novembre 2009 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Projet de renforcement ou de réparation d'un pont : méthodologie [texte imprimé] / Daniel Poineau, Auteur ; Jean-Armand Calgaro, Auteur . - 2011 . - 8 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 8 p.
Mots-clés : Ponts Réparation Béton. Résumé : Ce dossier, suite logique des articles traitant de la « Pathologie et évaluation des ponts existants » ([C 7 402], [C 7 403], [C 7 404] et [C 7 405]) s'adresse, bien entendu et pour les mêmes raisons, aux mêmes lecteurs.
Un pont existant a été conçu pour assurer un certain service. Or, à cause d'erreurs de conception et/ou d'exécution, du vieillissement de ses matériaux, des attaques de l'environnement, de l'agressivité du trafic, d'actions accidentelles..., ce pont peut présenter des désordres et ne plus assurer le service prévu. Il faut donc le réparer, voire le remplacer.
Dans certains cas, la capacité portante et la géométrie d'un pont existant ne sont plus adaptées aux nouveaux besoins qui se font jour à cause de l'augmentation du trafic et des charges... Il faut donc permettre à l'ouvrage de remplir ces nouveaux services, ce qui impose, dans la majeure partie des cas, de le renforcer.
Ce dossier est consacré à :
définir un certain nombre de termes liés au domaine de la réparation et du renforcement ;
détailler les différentes étapes à suivre pour aboutir à un « bon » projet de réparation et de renforcement ;
développer les différentes méthodes de réparation et de renforcement des ponts ou parties de ponts en béton (béton armé et béton précontraint).
Cette dernière partie a été profondément remaniée pour tenir compte du fait que, d'une part, de nouvelles méthodes se sont développées et, d'autre part, la normalisation européenne se substitue de plus en plus à la normalisation française. C'est ainsi que les normes produits de la série P 18-800 ont été, pour la plupart, remplacées par les normes de la série EN 1 504-00, ce qui a rendu obsolètes les normes d'exécution de la série P 95-100.
Les dossiers suivants traitent spécifiquement des méthodes de
réparation, protection du béton et des armatures, [C 7 804] ;
réparation et renforcement par armatures additionnelles, [C 7 805] ;
réparation et renforcement des ponts métalliques, [C 7 806].
REFERENCE : C 7 803 DEWEY : 624 Date : Novembre 2009 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Projet de renforcement ou de réparation d'un pont / Daniel Poineau in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 12 p.
Titre : Projet de renforcement ou de réparation d'un pont : réparation, protection du béton et des armatures Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Poineau, Auteur ; Jean-Armand Calgaro, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 12 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Pont Protection béton. Résumé : Ce dossier fait suite aux articles traitant de la « Pathologie et évaluation des ponts existants » ([C 7 402], [C 7 403], [C 7 404] et [C 7 405]). De ce fait, il s'adresse aux mêmes lecteurs.
Un pont existant a été conçu pour assurer un certain service. Or, à cause d'erreurs de conception et/ou d'exécution, du vieillissement de ses matériaux, des attaques de l'environnement, de l'agressivité du trafic, d'actions accidentelles, etc., ce pont peut présenter des désordres et ne plus assurer le service prévu. Il faut donc le réparer, voire le remplacer.
Dans certains cas, la capacité portante et la géométrie d'un pont existant ne sont plus adaptées aux nouveaux besoins qui se font jour du fait de l'augmentation du trafic et des charges. Il faut donc permettre à l'ouvrage de remplir ces nouveaux services, ce qui impose, dans la majeure partie des cas, de le renforcer.
Dans le 1er volet de cette thématique, [C 7 803], on abordait les questions de « méthodologie ».
Ici, nous nous concentrerons sur les techniques de réparation et de protection du béton et des armatures.
Ensuite, les articles suivants traitent spécifiquement des méthodes de réparation et renforcement :
par armatures additionnelles, [C 7 805] ;
des ponts métalliques, [C 7 806].
Ce dossier traite de :
restauration du béton ;
renforcement structurel (ajout de béton) ;
préservation et restauration de la passivité des armatures ;
protection du béton.
REFERENCE : C 7 804 DEWEY : 624 Date : Novembre 2009 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Projet de renforcement ou de réparation d'un pont : réparation, protection du béton et des armatures [texte imprimé] / Daniel Poineau, Auteur ; Jean-Armand Calgaro, Auteur . - 2011 . - 12 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 12 p.
Mots-clés : Pont Protection béton. Résumé : Ce dossier fait suite aux articles traitant de la « Pathologie et évaluation des ponts existants » ([C 7 402], [C 7 403], [C 7 404] et [C 7 405]). De ce fait, il s'adresse aux mêmes lecteurs.
Un pont existant a été conçu pour assurer un certain service. Or, à cause d'erreurs de conception et/ou d'exécution, du vieillissement de ses matériaux, des attaques de l'environnement, de l'agressivité du trafic, d'actions accidentelles, etc., ce pont peut présenter des désordres et ne plus assurer le service prévu. Il faut donc le réparer, voire le remplacer.
Dans certains cas, la capacité portante et la géométrie d'un pont existant ne sont plus adaptées aux nouveaux besoins qui se font jour du fait de l'augmentation du trafic et des charges. Il faut donc permettre à l'ouvrage de remplir ces nouveaux services, ce qui impose, dans la majeure partie des cas, de le renforcer.
Dans le 1er volet de cette thématique, [C 7 803], on abordait les questions de « méthodologie ».
Ici, nous nous concentrerons sur les techniques de réparation et de protection du béton et des armatures.
Ensuite, les articles suivants traitent spécifiquement des méthodes de réparation et renforcement :
par armatures additionnelles, [C 7 805] ;
des ponts métalliques, [C 7 806].
Ce dossier traite de :
restauration du béton ;
renforcement structurel (ajout de béton) ;
préservation et restauration de la passivité des armatures ;
protection du béton.
REFERENCE : C 7 804 DEWEY : 624 Date : Novembre 2009 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 10 p.
Titre : La démolition : techniques et métiers connexes Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Milleron, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 10 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Bâtiment Démolition mécanique. Résumé : La démolition a connu au cours des dix dernières années de nombreuses évolutions. Celles-ci sont liées en premier lieu à la modification très sensible des structures à démolir : les bâtiments en pierres naturelles avec charpentes en bois, démolis dans les années 1970 à 1980 sont progressivement remplacés par des structures métalliques et bétons conduisant à envisager des procédés de démolition différents.
De même, la complexité des ouvrages rencontrés remet en cause les techniques simples d'abattage : un ouvrage en béton précontraint ou à charpente métallique suspendue nécessite une réflexion technique sur sa tenue en cours de démolition. La prise en compte de la sécurité et des moyens de prévention dans les méthodes est un incontestable progrès de ces changements. L'homme n'est pas au service d'une technique mais c'est la technique qui s'adapte à l'homme, en intégrant les notions de protections collectives et individuelles et, au-delà, en définissant la méthode autour de la sécurité.
Plus récemment, l'irruption des préoccupations environnementales conduit aujourd'hui à parler de « déconstruction » au détriment du terme démolition : le tri des matériaux de démolition est une réalité dictée autant par l'absence ou le coût prohibitif des exutoires que par le souci des entreprises de concourir à une économie des moyens naturels en valorisant les matériaux déconstruits. Cette voix d'amélioration reste cependant largement à approfondir face à la multitude des matériaux rencontrés et leur hétérogénéité.
En outre, la profession de déconstructeur a vu progressivement son savoir expérimental et intuitif complété par la réflexion mêlant ingénierie et méthodes. Au cœur de métier, il convient d'ajouter de nouvelles branches d'activités, comme le curage lié à la réhabilitation, ainsi que le traitement des pollutions diverses générées par les matériaux utilisés dans la construction tels l'amiante et le plomb. Mais, la liste n'est pas exhaustive et les investigations menées à l'heure actuelle sur la nocivité des matériaux utilisés dans la construction pourraient bien s'allonger dans les années à venir.
REFERENCE : C 9 005 DEWEY : 624 Date : Mai 2009 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] La démolition : techniques et métiers connexes [texte imprimé] / Jean-François Milleron, Auteur . - 2011 . - 10 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 10 p.
Mots-clés : Bâtiment Démolition mécanique. Résumé : La démolition a connu au cours des dix dernières années de nombreuses évolutions. Celles-ci sont liées en premier lieu à la modification très sensible des structures à démolir : les bâtiments en pierres naturelles avec charpentes en bois, démolis dans les années 1970 à 1980 sont progressivement remplacés par des structures métalliques et bétons conduisant à envisager des procédés de démolition différents.
De même, la complexité des ouvrages rencontrés remet en cause les techniques simples d'abattage : un ouvrage en béton précontraint ou à charpente métallique suspendue nécessite une réflexion technique sur sa tenue en cours de démolition. La prise en compte de la sécurité et des moyens de prévention dans les méthodes est un incontestable progrès de ces changements. L'homme n'est pas au service d'une technique mais c'est la technique qui s'adapte à l'homme, en intégrant les notions de protections collectives et individuelles et, au-delà, en définissant la méthode autour de la sécurité.
Plus récemment, l'irruption des préoccupations environnementales conduit aujourd'hui à parler de « déconstruction » au détriment du terme démolition : le tri des matériaux de démolition est une réalité dictée autant par l'absence ou le coût prohibitif des exutoires que par le souci des entreprises de concourir à une économie des moyens naturels en valorisant les matériaux déconstruits. Cette voix d'amélioration reste cependant largement à approfondir face à la multitude des matériaux rencontrés et leur hétérogénéité.
En outre, la profession de déconstructeur a vu progressivement son savoir expérimental et intuitif complété par la réflexion mêlant ingénierie et méthodes. Au cœur de métier, il convient d'ajouter de nouvelles branches d'activités, comme le curage lié à la réhabilitation, ainsi que le traitement des pollutions diverses générées par les matériaux utilisés dans la construction tels l'amiante et le plomb. Mais, la liste n'est pas exhaustive et les investigations menées à l'heure actuelle sur la nocivité des matériaux utilisés dans la construction pourraient bien s'allonger dans les années à venir.
REFERENCE : C 9 005 DEWEY : 624 Date : Mai 2009 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Pathologie et évaluation des ponts existants / Daniel Poineau in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 7 p.
Titre : Pathologie et évaluation des ponts existants : évaluation des ouvrages Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Poineau, Auteur ; Jean-Armand Calgaro, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 7 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Ponts évaluation pathologie. Résumé : Lorsque l’on accroît progressivement l’intensité d’un système de charges appliqué à une structure, ses effets cessent d’être complètement réversibles au-delà d’un certain seuil de façon, soit apparente (par exemple, fissuration ou plastification), soit non immédiatement apparente (fatigue). En d’autres termes, la structure perd graduellement de sa « valeur ». De façon schématique, cette fonction de « perte de valeur » possède deux paliers, correspondant à l’apparition de deux familles de phénomènes que l’on idéalise à travers les concepts d’« états limites de service » et d’« états limites ultimes ». L’apparition de désordres est le signe tangible du dépassement de certains états limites de service.
L’évaluation d’un ouvrage existant consiste à en apprécier l’état physique et mécanique. Elle est nécessaire lorsqu’il est envisagé de modifier ses conditions d’exploitation (par exemple, augmentation du nombre de voies de circulation), ou de remédier à certains désordres révélateurs d’une pathologie (affectant la structure et/ou les matériaux) naissante ou avancée. L’une des composantes de l’évaluation est l’estimation de la fiabilité structurale de l’ouvrage considéré. Il s’agit d’une notion complexe mettant en jeu à la fois :
des données déterminées et aléatoires ;
la connaissance plus ou moins précise de ces données ;
la fiabilité de cette connaissance.
D’autre part, les durées de vie, écoulée et résiduelle, peuvent prendre une certaine importance.
Les méthodes d’estimation de la fiabilité structurale d’un pont existant sont très sophistiquées et donnent lieu à de nombreuses recherches théoriques. Les développements qui suivent se bornent à décrire les bases d’une méthodologie d’évaluation des ouvrages existants.
Ce dossier fait suite à une serie d’articles TI auxquels le lecteur aura intérêt à se reporter [C 7 402], [C 7 403] et [C 7 404], tous disposant d'une même documentation commune [Doc. C 7 402].REFERENCE : C 7 405 DEWEY : 624 Date : Novembre 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-trac [...] [article] Pathologie et évaluation des ponts existants : évaluation des ouvrages [texte imprimé] / Daniel Poineau, Auteur ; Jean-Armand Calgaro, Auteur . - 2011 . - 7 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 7 p.
Mots-clés : Ponts évaluation pathologie. Résumé : Lorsque l’on accroît progressivement l’intensité d’un système de charges appliqué à une structure, ses effets cessent d’être complètement réversibles au-delà d’un certain seuil de façon, soit apparente (par exemple, fissuration ou plastification), soit non immédiatement apparente (fatigue). En d’autres termes, la structure perd graduellement de sa « valeur ». De façon schématique, cette fonction de « perte de valeur » possède deux paliers, correspondant à l’apparition de deux familles de phénomènes que l’on idéalise à travers les concepts d’« états limites de service » et d’« états limites ultimes ». L’apparition de désordres est le signe tangible du dépassement de certains états limites de service.
L’évaluation d’un ouvrage existant consiste à en apprécier l’état physique et mécanique. Elle est nécessaire lorsqu’il est envisagé de modifier ses conditions d’exploitation (par exemple, augmentation du nombre de voies de circulation), ou de remédier à certains désordres révélateurs d’une pathologie (affectant la structure et/ou les matériaux) naissante ou avancée. L’une des composantes de l’évaluation est l’estimation de la fiabilité structurale de l’ouvrage considéré. Il s’agit d’une notion complexe mettant en jeu à la fois :
des données déterminées et aléatoires ;
la connaissance plus ou moins précise de ces données ;
la fiabilité de cette connaissance.
D’autre part, les durées de vie, écoulée et résiduelle, peuvent prendre une certaine importance.
Les méthodes d’estimation de la fiabilité structurale d’un pont existant sont très sophistiquées et donnent lieu à de nombreuses recherches théoriques. Les développements qui suivent se bornent à décrire les bases d’une méthodologie d’évaluation des ouvrages existants.
Ce dossier fait suite à une serie d’articles TI auxquels le lecteur aura intérêt à se reporter [C 7 402], [C 7 403] et [C 7 404], tous disposant d'une même documentation commune [Doc. C 7 402].REFERENCE : C 7 405 DEWEY : 624 Date : Novembre 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-trac [...] Pathologie et évaluation des ponts existants / Daniel Poineau in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 10 p.
Titre : Pathologie et évaluation des ponts existants : méthodes d'auscultation Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Poineau, Auteur ; Jean-Armand Calgaro, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 10 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Ponts méthodes auscultation. Résumé : Les techniques d'auscultation diffèrent suivant la nature des désordres constatés, mais les choix sont guidés par l'idée que l'on peut se faire des causes probables de la pathologie constatée. Une auscultation efficace doit permettre d'apprécier la qualité du (ou des) matériau(x) en place et de caractériser le mode de fonctionnement actuel de la structure. L'évaluation des matériaux s'appuie à la fois sur des études et analyses sur prélèvements et sur des méthodes physiques d'examen en place. Les moyens permettant de caractériser le fonctionnement de la structure sont aussi très variés, et il est souvent nécessaire d'en associer plusieurs lors d'une même intervention. Il s'agit principalement de mesures topographiques ou géométriques (évolution du nivellement, mesure de déformation générale ou de déplacement sous chargement), de mesures directes de forces ou de mesures locales de fonctionnement. Ces différentes méthodes sont décrites dans ce qui suit. Voir également le document [BREYSSE (D.), ABRAHAM (O.) - Méthodologie d'évaluation non destructive de l'état d'altération des ouvrages en béton - Guide AFCG, Presses de l'ENPC (2005).] relatif aux techniques d'évaluation de l'altération des ouvrages en béton qui donne pour chaque méthode :
le principe des mesures ;
le matériel utilisable ;
le domaine d'application ;
les conditions d'interprétation des mesures ;
les difficultés pouvant être rencontrées....
Ce dossier fait suite aux [C 7 402] et [C 7 403], respectivement consacrés aux désordres principaux et aux équipements dont appareils d'appui et éléments de protection.REFERENCE : C 7 404 DEWEY : 624 Date : Novembre 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-trac [...] [article] Pathologie et évaluation des ponts existants : méthodes d'auscultation [texte imprimé] / Daniel Poineau, Auteur ; Jean-Armand Calgaro, Auteur . - 2011 . - 10 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 10 p.
Mots-clés : Ponts méthodes auscultation. Résumé : Les techniques d'auscultation diffèrent suivant la nature des désordres constatés, mais les choix sont guidés par l'idée que l'on peut se faire des causes probables de la pathologie constatée. Une auscultation efficace doit permettre d'apprécier la qualité du (ou des) matériau(x) en place et de caractériser le mode de fonctionnement actuel de la structure. L'évaluation des matériaux s'appuie à la fois sur des études et analyses sur prélèvements et sur des méthodes physiques d'examen en place. Les moyens permettant de caractériser le fonctionnement de la structure sont aussi très variés, et il est souvent nécessaire d'en associer plusieurs lors d'une même intervention. Il s'agit principalement de mesures topographiques ou géométriques (évolution du nivellement, mesure de déformation générale ou de déplacement sous chargement), de mesures directes de forces ou de mesures locales de fonctionnement. Ces différentes méthodes sont décrites dans ce qui suit. Voir également le document [BREYSSE (D.), ABRAHAM (O.) - Méthodologie d'évaluation non destructive de l'état d'altération des ouvrages en béton - Guide AFCG, Presses de l'ENPC (2005).] relatif aux techniques d'évaluation de l'altération des ouvrages en béton qui donne pour chaque méthode :
le principe des mesures ;
le matériel utilisable ;
le domaine d'application ;
les conditions d'interprétation des mesures ;
les difficultés pouvant être rencontrées....
Ce dossier fait suite aux [C 7 402] et [C 7 403], respectivement consacrés aux désordres principaux et aux équipements dont appareils d'appui et éléments de protection.REFERENCE : C 7 404 DEWEY : 624 Date : Novembre 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-trac [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 13 p.
Titre : Pathologies du béton armé : erreurs de conception et de calcul Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Delefosse, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 13 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Pathologies Béton armé Résumé : Nous tenons tout d’abord à faire observer qu’une telle étude, en raison de son objet et donc de son étendue, peut difficilement être exhaustive.
À l’examen des statistiques portant sur les désordres de construction, il apparaît que ceux qui affectent les ouvrages de béton armé sont, heureusement, relativement peu nombreux, car :
* il est rare que l’étude des ouvrages de ce type ne soit pas confiée à un Bureau d’études, ou à un Ingénieur-Conseil, qui effectue calculs et plans ;
* des coefficients de sécurité importants, de l’ordre de 2 à 3, doivent réglementairement être appliqués ;
* un organisme spécialisé est souvent chargé du contrôle des études et des travaux.
Mais, s’ils sont proportionnellement rares, ils sont en revanche parfois très coûteux.
Dans l’étude qui suit, effectuée à partir de l’analyse de plus d’un millier de dossiers des sinistres, il est apparu logique de proposer de classer les divers types de pathologie affectant ces ouvrages, à partir de leur origine, ou de leur cause.
On verra d’ailleurs qu’il s’agit, la plupart du temps, d’erreurs, ou de fautes, que l’on peut qualifier de grossières et/ou d’élémentaires, et que, presque toujours, les désordres les plus graves ont pour cause l’oubli des principes fondamentaux, et/ou des règles les plus simples, et étaient aisément évitables, et aussi que les sinistres ont, bien souvent, plusieurs causes.
Enfin, nous avons cherché à tirer de cette étude des enseignements, ou recommandations, pouvant être utiles aux constructeurs en permettant d’améliorer la prévention des désordres.
REFERENCE : C 6100 DEWEY : 624 Date : Mai 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Pathologies du béton armé : erreurs de conception et de calcul [texte imprimé] / Jean Delefosse, Auteur . - 2011 . - 13 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 13 p.
Mots-clés : Pathologies Béton armé Résumé : Nous tenons tout d’abord à faire observer qu’une telle étude, en raison de son objet et donc de son étendue, peut difficilement être exhaustive.
À l’examen des statistiques portant sur les désordres de construction, il apparaît que ceux qui affectent les ouvrages de béton armé sont, heureusement, relativement peu nombreux, car :
* il est rare que l’étude des ouvrages de ce type ne soit pas confiée à un Bureau d’études, ou à un Ingénieur-Conseil, qui effectue calculs et plans ;
* des coefficients de sécurité importants, de l’ordre de 2 à 3, doivent réglementairement être appliqués ;
* un organisme spécialisé est souvent chargé du contrôle des études et des travaux.
Mais, s’ils sont proportionnellement rares, ils sont en revanche parfois très coûteux.
Dans l’étude qui suit, effectuée à partir de l’analyse de plus d’un millier de dossiers des sinistres, il est apparu logique de proposer de classer les divers types de pathologie affectant ces ouvrages, à partir de leur origine, ou de leur cause.
On verra d’ailleurs qu’il s’agit, la plupart du temps, d’erreurs, ou de fautes, que l’on peut qualifier de grossières et/ou d’élémentaires, et que, presque toujours, les désordres les plus graves ont pour cause l’oubli des principes fondamentaux, et/ou des règles les plus simples, et étaient aisément évitables, et aussi que les sinistres ont, bien souvent, plusieurs causes.
Enfin, nous avons cherché à tirer de cette étude des enseignements, ou recommandations, pouvant être utiles aux constructeurs en permettant d’améliorer la prévention des désordres.
REFERENCE : C 6100 DEWEY : 624 Date : Mai 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Pathologies du béton armé / Jean Delefosse in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 15 p.
Titre : Pathologies du béton armé : origine des désordres Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Delefosse, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 15 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Pathologies Béton armé Résumé : Après avoir traité, dans [C 6 100] des fautes de conception et de calculs, cette étude consacrée à la pathologie des ouvrages en béton armé se poursuit dans cet article et le suivant [C 6 200], on examinera les désordres dont l’origine tient aux :
* erreurs de dessins et défauts d’exécution ;
* actions physico-chimiques pouvant affecter les matériaux constitutifs (béton et acier).
Dans l'article [C 6 200], nous nous intéressons également aux cas particuliers et aux ouvrages spécifiques, avant de terminer par quelques recommandations ou enseignements à retirer de cette étude.
REFERENCE : C 6 150 DEWEY : 624 Date : Nouvembre 2011 [article] Pathologies du béton armé : origine des désordres [texte imprimé] / Jean Delefosse, Auteur . - 2011 . - 15 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 15 p.
Mots-clés : Pathologies Béton armé Résumé : Après avoir traité, dans [C 6 100] des fautes de conception et de calculs, cette étude consacrée à la pathologie des ouvrages en béton armé se poursuit dans cet article et le suivant [C 6 200], on examinera les désordres dont l’origine tient aux :
* erreurs de dessins et défauts d’exécution ;
* actions physico-chimiques pouvant affecter les matériaux constitutifs (béton et acier).
Dans l'article [C 6 200], nous nous intéressons également aux cas particuliers et aux ouvrages spécifiques, avant de terminer par quelques recommandations ou enseignements à retirer de cette étude.
REFERENCE : C 6 150 DEWEY : 624 Date : Nouvembre 2011
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 20 p.
Titre : Pathologies du béton armé : actions physico-chimiques et cas particuliers Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Delefosse, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 20 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Pathologies Béton armé Physique-chimie Résumé : Cette étude consacrée aux pathologies affectant les ouvrages en béton armé, se termine par l’examen de quelques cas particuliers et de pathologies affectant certains ouvrages spécifiques (réservoirs, cuvelages... etc).
Nous rappelons avoir déjà examiné celles dont l’origine est à rechercher dans des :
* fautes de conception et de calculs [C 6 100] ;
* erreurs de dessin et fautes d’exécution [C 6 150].
REFERENCE : C 6 200 DEWEY : 624 Date : Nouvembre 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Pathologies du béton armé : actions physico-chimiques et cas particuliers [texte imprimé] / Jean Delefosse, Auteur . - 2011 . - 20 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 20 p.
Mots-clés : Pathologies Béton armé Physique-chimie Résumé : Cette étude consacrée aux pathologies affectant les ouvrages en béton armé, se termine par l’examen de quelques cas particuliers et de pathologies affectant certains ouvrages spécifiques (réservoirs, cuvelages... etc).
Nous rappelons avoir déjà examiné celles dont l’origine est à rechercher dans des :
* fautes de conception et de calculs [C 6 100] ;
* erreurs de dessin et fautes d’exécution [C 6 150].
REFERENCE : C 6 200 DEWEY : 624 Date : Nouvembre 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 28 p.
Titre : Pathologie de l'humidité : parois revêtues en bâtiment: étude d'un cas concret Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Dahan, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 28 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : bâtiment, Humidité Résumé : Cette étude de cas a pour objectif de comprendre, par une approche scientifique, la pathologie qui est survenue, en moins de 10 ans, sur les murs périmétriques d’un ensemble pavillonnaire R + 1 (rez-de-chaussée + 1 étage).
Les caractéristiques physiques des matériaux de construction, les tables de Regnault et les coefficients d'échanges superficiels conventionnels sont consultables dans l'article TI C7137REFERENCE : C 7 146v2 Date : Novembre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Pathologie de l'humidité : parois revêtues en bâtiment: étude d'un cas concret [texte imprimé] / Paul Dahan, Auteur . - 2011 . - 28 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 28 p.
Mots-clés : bâtiment, Humidité Résumé : Cette étude de cas a pour objectif de comprendre, par une approche scientifique, la pathologie qui est survenue, en moins de 10 ans, sur les murs périmétriques d’un ensemble pavillonnaire R + 1 (rez-de-chaussée + 1 étage).
Les caractéristiques physiques des matériaux de construction, les tables de Regnault et les coefficients d'échanges superficiels conventionnels sont consultables dans l'article TI C7137REFERENCE : C 7 146v2 Date : Novembre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Pathologie de l’humidité. Parois revêtues en bâtiment - Étude d’un cas concret / Paul Dahan in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 27 p.
Titre : Pathologie de l’humidité. Parois revêtues en bâtiment - Étude d’un cas concret Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Dahan, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 27 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Bâtiment; Humidité Résumé : Cette étude de cas a pour objectif de comprendre, par une approche scientifique, la pathologie qui est survenue, en moins de 10 ans, sur les murs périmétriques d’un ensemble pavillonnaire R + 1 (rez-de-chaussée + 1 étage).
Les caractéristiques physiques des matériaux de construction, les tables de Regnault et les coefficients d'échanges superficiels conventionnels sont consultables dans l'article TI C7137
REFERENCE : C 7 146V2 Date : MAI 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Pathologie de l’humidité. Parois revêtues en bâtiment - Étude d’un cas concret [texte imprimé] / Paul Dahan, Auteur . - 2011 . - 27 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 27 p.
Mots-clés : Bâtiment; Humidité Résumé : Cette étude de cas a pour objectif de comprendre, par une approche scientifique, la pathologie qui est survenue, en moins de 10 ans, sur les murs périmétriques d’un ensemble pavillonnaire R + 1 (rez-de-chaussée + 1 étage).
Les caractéristiques physiques des matériaux de construction, les tables de Regnault et les coefficients d'échanges superficiels conventionnels sont consultables dans l'article TI C7137
REFERENCE : C 7 146V2 Date : MAI 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] Pathologies des murs de soutènement / Jean Delefosse in Techniques de l'ingénieur CF, Vol. CF 1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 23 p.
Titre : Pathologies des murs de soutènement Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Delefosse, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 23 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Bâtiment; Mur de soutènement; Architecture; Pathologie Résumé : Les soutènements qu’ils soient provisoires ou définitifs, font appel à une matière technique relativement complexe, et dépendent de nombreux paramètres dont ceux de la structure, du terrain, et même des conditions atmosphériques, faisant apparaître des aléas divers.
Cet ensemble d’incertitudes conduit parfois, et faute de maitrise, à des désordres plus ou moins graves. Les ouvrages de soutènement constituent donc des ouvrages à risque.
En général, les pathologies de soutènements génèrent des dégâts importants: matériels et parfois corporels.
Cet article projette donc d’enseigner, par l’expérience de la pathologie des ouvrages de soutènements, la mesure du risque et des contraintes à considérer pour s’en prémunir ou y remédier.
REFERENCE : C 7 201 Date : MAI 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Pathologies des murs de soutènement [texte imprimé] / Jean Delefosse, Auteur . - 2011 . - 23 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 23 p.
Mots-clés : Bâtiment; Mur de soutènement; Architecture; Pathologie Résumé : Les soutènements qu’ils soient provisoires ou définitifs, font appel à une matière technique relativement complexe, et dépendent de nombreux paramètres dont ceux de la structure, du terrain, et même des conditions atmosphériques, faisant apparaître des aléas divers.
Cet ensemble d’incertitudes conduit parfois, et faute de maitrise, à des désordres plus ou moins graves. Les ouvrages de soutènement constituent donc des ouvrages à risque.
En général, les pathologies de soutènements génèrent des dégâts importants: matériels et parfois corporels.
Cet article projette donc d’enseigner, par l’expérience de la pathologie des ouvrages de soutènements, la mesure du risque et des contraintes à considérer pour s’en prémunir ou y remédier.
REFERENCE : C 7 201 Date : MAI 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - pp. 1-20
Titre : Pathologies du béton armé : Actions physico-chimiques, cas particuliers et ouvrages spécifiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Delefosse, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp. 1-20 Note générale : Construction Langues : Français (fre) Mots-clés : Pathologies; Béton armé; Actions physico-chimiques; cas particuliers; Ouvrages spécifiques Résumé : En dehors des fautes de conception et de calculs, des erreurs de dessins et des fautes d’exécution, les actions physico-chimiques peuvent jouer un rôle majeur dans les pathologies des ouvrages en béton armé. Parmi elles, le retrait, les variations de température et les contraintes thermiques sont à l’origine de près de la moitié de ce type de désordres, entraînant des fissurations et éventuellement la corrosion des aciers. L’installation de fluage, donc de déformations qui augmentent avec le temps, est également une source importante de sinistres. Des ouvrages plus spécifiques sont l’objet de pathologies quasi récurrentes. Citons le cas des réservoirs, des cuvelages, des ouvrages préfabriqués, ces derniers présentant pourtant une pathologie comparativement assez réduite. En conclusion, la technique du béton ne s’improvise pas et nécessite une étude spécifique qui doit être confiée à un bureau d’études. Note de contenu : Bibliogr. REFERENCE : C 6200v2 Date : Novombre 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] [article] Pathologies du béton armé : Actions physico-chimiques, cas particuliers et ouvrages spécifiques [texte imprimé] / Jean Delefosse, Auteur . - 2011 . - pp. 1-20.
Construction
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - pp. 1-20
Mots-clés : Pathologies; Béton armé; Actions physico-chimiques; cas particuliers; Ouvrages spécifiques Résumé : En dehors des fautes de conception et de calculs, des erreurs de dessins et des fautes d’exécution, les actions physico-chimiques peuvent jouer un rôle majeur dans les pathologies des ouvrages en béton armé. Parmi elles, le retrait, les variations de température et les contraintes thermiques sont à l’origine de près de la moitié de ce type de désordres, entraînant des fissurations et éventuellement la corrosion des aciers. L’installation de fluage, donc de déformations qui augmentent avec le temps, est également une source importante de sinistres. Des ouvrages plus spécifiques sont l’objet de pathologies quasi récurrentes. Citons le cas des réservoirs, des cuvelages, des ouvrages préfabriqués, ces derniers présentant pourtant une pathologie comparativement assez réduite. En conclusion, la technique du béton ne s’improvise pas et nécessite une étude spécifique qui doit être confiée à un bureau d’études. Note de contenu : Bibliogr. REFERENCE : C 6200v2 Date : Novombre 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...]
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