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Techniques de l'ingénieur TRI / Blanc, André . Vol. TRI 2TribologieMention de date : Autre Paru le : 22/05/2011 |
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Ajouter le résultat dans votre panierApproche scientifique des surfaces / Gérard Béranger in Techniques de l'ingénieur TRI, Vol. TRI 2 (Autre)
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 21 p.
Titre : Approche scientifique des surfaces : Caractérisation et propriétés Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérard Béranger, Auteur ; Henri Mazille, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 21 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Cristallographie Thermodynamique énergétique. Résumé : Il existe différentes façons d’appréhender les surfaces, par exemple en termes d’échelle ou de propreté. Mais on peut aussi distinguer les surfaces modèles des surfaces industrielles, donc réelles. Les caractéristiques correspondantes ne seront pas nécessairement les mêmes. Si le physicien du solide va s’intéresser à la structure électronique des atomes de surface et observer celle-ci à l’échelle nanométrique, l’ingénieur et le technicien vont regarder la surface comme une empreinte de l’outil qui a permis de l’obtenir ou de la conditionner. L’échelle de l’observation ne sera pas la même : de nanométrique voire microscopique dans le premier cas, elle sera méso- et le plus souvent macroscopique dans le second [9] [10].
Quelle que soit la discipline, la surface est communément définie comme la partie ou la limite externe d’un solide. Compte tenu du fait que tout matériau est généralement utilisé dans un environnement donné (air, gaz, milieu aqueux, phase condensée, lubrifiant, etc.), la surface doit être considérée comme une interface : solide – gaz, solide – liquide, voire solide – solide. Dans ce contexte, compte tenu des profils de composition ou de caractéristiques dans la zone voisine de la surface, on introduit même la notion d’interphase, ce qui permet d’introduire celle de propriétés adaptatives (gradient d’indices de réfraction par exemple).REFERENCE : M 1425 DEWEY : 621.8 Date : Mars 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/traitements- [...] [article] Approche scientifique des surfaces : Caractérisation et propriétés [texte imprimé] / Gérard Béranger, Auteur ; Henri Mazille, Auteur . - 2011 . - 21 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 21 p.
Mots-clés : Cristallographie Thermodynamique énergétique. Résumé : Il existe différentes façons d’appréhender les surfaces, par exemple en termes d’échelle ou de propreté. Mais on peut aussi distinguer les surfaces modèles des surfaces industrielles, donc réelles. Les caractéristiques correspondantes ne seront pas nécessairement les mêmes. Si le physicien du solide va s’intéresser à la structure électronique des atomes de surface et observer celle-ci à l’échelle nanométrique, l’ingénieur et le technicien vont regarder la surface comme une empreinte de l’outil qui a permis de l’obtenir ou de la conditionner. L’échelle de l’observation ne sera pas la même : de nanométrique voire microscopique dans le premier cas, elle sera méso- et le plus souvent macroscopique dans le second [9] [10].
Quelle que soit la discipline, la surface est communément définie comme la partie ou la limite externe d’un solide. Compte tenu du fait que tout matériau est généralement utilisé dans un environnement donné (air, gaz, milieu aqueux, phase condensée, lubrifiant, etc.), la surface doit être considérée comme une interface : solide – gaz, solide – liquide, voire solide – solide. Dans ce contexte, compte tenu des profils de composition ou de caractéristiques dans la zone voisine de la surface, on introduit même la notion d’interphase, ce qui permet d’introduire celle de propriétés adaptatives (gradient d’indices de réfraction par exemple).REFERENCE : M 1425 DEWEY : 621.8 Date : Mars 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/traitements- [...] Effet thermique de la mise en forme / Eric Felder in Techniques de l'ingénieur TRI, Vol. TRI 2 (Autre)
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 28 p.
Titre : Effet thermique de la mise en forme : phénomènes superficiels et modélisation Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Felder, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 28 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Transfert thermique Simulation numérique. Résumé : Nous poursuivons, dans cet article, l’étude des phénomènes évoqués dans l’article Effet thermique de la mise en forme- Théorie et phénomènes volumiques [Effet thermique de la mise en forme- Théorie et phénomènes volumiques] .
Après avoir rappelé les équations mécaniques de l’écoulement plastique d’un métal lors de sa mise en forme, nous avions présenté les équations décrivant l’évolution du champ de température au cœur de l’écoulement et à sa surface, puis nous en avions commenté les conséquences physiques à partir des ordres de grandeur des diverses grandeurs physiques conditionnant ces effets thermiques pour les principaux alliages métalliques et les divers mécanismes de transfert superficiels. Nous avions estimé ensuite l’échauffement induit par la déformation plastique : du fait de leur vitesse élevée, la plupart des opérations de mise en forme sont adiabatiques et l’échauffement induit par la déformation n’a qu’une faible influence sur la morphologie de l’écoulement ; les exceptions importantes sont certains filages et les usinages, opérations induisant une déformation plastique élevée et où la dissipation d’énergie a une forte influence sur le champ de contrainte et l’écoulement plastique. Nous analysons dans cet article, de manière élémentaire, les variations de température de part et d’autre de l’interface métal‐outil induites par la différence de température entre le métal et l’outil et l’énergie dissipée par frottement. En dernier lieu, nous précisons les conséquences thermiques de la mise en forme sur les outillages (température, contraintes, évolution de structure, endommagements). Cela nous permet de préciser les conditions d’une bonne simulation numérique de ces effets thermiques.
Nota : Cet exposé se compose de deux articles :
Effet thermique de la mise en forme- Théorie et phénomènes volumiques [Effet thermique de la mise en forme- Théorie et phénomènes volumiques] Effet thermique de la mise en forme. Théorie et phénomènes volumiques ;
[M 3 013] Effet thermique de la mise en forme. Phénomènes superficiels et modélisationREFERENCE : M 3 013 DEWEY : 621.8 Date : Septembre 2001 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/mise-en-form [...] [article] Effet thermique de la mise en forme : phénomènes superficiels et modélisation [texte imprimé] / Eric Felder, Auteur . - 2011 . - 28 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 28 p.
Mots-clés : Transfert thermique Simulation numérique. Résumé : Nous poursuivons, dans cet article, l’étude des phénomènes évoqués dans l’article Effet thermique de la mise en forme- Théorie et phénomènes volumiques [Effet thermique de la mise en forme- Théorie et phénomènes volumiques] .
Après avoir rappelé les équations mécaniques de l’écoulement plastique d’un métal lors de sa mise en forme, nous avions présenté les équations décrivant l’évolution du champ de température au cœur de l’écoulement et à sa surface, puis nous en avions commenté les conséquences physiques à partir des ordres de grandeur des diverses grandeurs physiques conditionnant ces effets thermiques pour les principaux alliages métalliques et les divers mécanismes de transfert superficiels. Nous avions estimé ensuite l’échauffement induit par la déformation plastique : du fait de leur vitesse élevée, la plupart des opérations de mise en forme sont adiabatiques et l’échauffement induit par la déformation n’a qu’une faible influence sur la morphologie de l’écoulement ; les exceptions importantes sont certains filages et les usinages, opérations induisant une déformation plastique élevée et où la dissipation d’énergie a une forte influence sur le champ de contrainte et l’écoulement plastique. Nous analysons dans cet article, de manière élémentaire, les variations de température de part et d’autre de l’interface métal‐outil induites par la différence de température entre le métal et l’outil et l’énergie dissipée par frottement. En dernier lieu, nous précisons les conséquences thermiques de la mise en forme sur les outillages (température, contraintes, évolution de structure, endommagements). Cela nous permet de préciser les conditions d’une bonne simulation numérique de ces effets thermiques.
Nota : Cet exposé se compose de deux articles :
Effet thermique de la mise en forme- Théorie et phénomènes volumiques [Effet thermique de la mise en forme- Théorie et phénomènes volumiques] Effet thermique de la mise en forme. Théorie et phénomènes volumiques ;
[M 3 013] Effet thermique de la mise en forme. Phénomènes superficiels et modélisationREFERENCE : M 3 013 DEWEY : 621.8 Date : Septembre 2001 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/mise-en-form [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 17 p.
Titre : Lubrification en mise en forme : principes généraux et choix Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Felder, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 17 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Lubrification Mécanique frottement. Résumé : Le but de ce dossier est de présenter les modalités spécifiques de la lubrification des procédés de mise en forme des métaux. Ces aspects sont en pratique extrêmement importants : en effet, le choix du lubrifiant et sa mise en œuvre conditionnent directement le succès de l’opération de mise en forme. De mauvaises conditions de lubrification peuvent conduire à :
un non-respect des dimensions du produit (défaut de remplissage des outils, incapacité de la machine de formage à fournir l’énergie ou la force nécessaire pour former totalement le produit du fait d’un frottement excessif...) ;
conférer au produit un mauvais état de surface (rugosité excessive, défauts de surface type rayures, incrustations...) ou de mauvaises propriétés mécaniques (endommagement interne ou superficiel) ;
engendrer une usure rapide de l’outil qui fait sortir le produit de ses tolérances dimensionnelles et oblige à réparer ou rebuter l’outil
dans les cas extrêmes, conduire à la rupture de l’outil ou de la pièce.
Dans ce dossier, nous présentons les principes généraux de la lubrification, puis les règles à respecter dans le choix du lubrifiant selon le procédé.
Cet exposé sur la lubrification lors de la mise en forme fait l’objet de plusieurs dossiers :
« Lubrification en mise en forme. Caractérisation du frottement et de l’usure » ;
« Lubrification en mise en forme. Maîtrise des régimes de lubrification ».
Une fiche documentaire fournit les modalités courantes de lubrification des principaux procédés de mise en forme des alliages métalliques usuels. Enfin les dossiers consacrés aux lubrifiants [BM 5 340] [BM 5 341] [BM 5 343] [BM 5 344] et [BM 7 065] de la base documentaire « Génie mécanique » contiennent un ensemble d’informations pratiques (fournisseurs, nature précise...) sur ces principaux lubrifiants.
Le lecteur pourra consulter utilement les dossiers spécialisés de la rubrique « Mise en forme » de la base documentaire « Matériaux métalliques ». Une présentation plus détaillée des aspects scientifiques est faite en [1] et pour le laminage en [2] ; le lecteur pourra également se reporter à la référence [3].REFERENCE : M 3 015 DEWEY : 621.8 Date : Avril 2006 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/mise-en-form [...] [article] Lubrification en mise en forme : principes généraux et choix [texte imprimé] / Eric Felder, Auteur . - 2011 . - 17 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 17 p.
Mots-clés : Lubrification Mécanique frottement. Résumé : Le but de ce dossier est de présenter les modalités spécifiques de la lubrification des procédés de mise en forme des métaux. Ces aspects sont en pratique extrêmement importants : en effet, le choix du lubrifiant et sa mise en œuvre conditionnent directement le succès de l’opération de mise en forme. De mauvaises conditions de lubrification peuvent conduire à :
un non-respect des dimensions du produit (défaut de remplissage des outils, incapacité de la machine de formage à fournir l’énergie ou la force nécessaire pour former totalement le produit du fait d’un frottement excessif...) ;
conférer au produit un mauvais état de surface (rugosité excessive, défauts de surface type rayures, incrustations...) ou de mauvaises propriétés mécaniques (endommagement interne ou superficiel) ;
engendrer une usure rapide de l’outil qui fait sortir le produit de ses tolérances dimensionnelles et oblige à réparer ou rebuter l’outil
dans les cas extrêmes, conduire à la rupture de l’outil ou de la pièce.
Dans ce dossier, nous présentons les principes généraux de la lubrification, puis les règles à respecter dans le choix du lubrifiant selon le procédé.
Cet exposé sur la lubrification lors de la mise en forme fait l’objet de plusieurs dossiers :
« Lubrification en mise en forme. Caractérisation du frottement et de l’usure » ;
« Lubrification en mise en forme. Maîtrise des régimes de lubrification ».
Une fiche documentaire fournit les modalités courantes de lubrification des principaux procédés de mise en forme des alliages métalliques usuels. Enfin les dossiers consacrés aux lubrifiants [BM 5 340] [BM 5 341] [BM 5 343] [BM 5 344] et [BM 7 065] de la base documentaire « Génie mécanique » contiennent un ensemble d’informations pratiques (fournisseurs, nature précise...) sur ces principaux lubrifiants.
Le lecteur pourra consulter utilement les dossiers spécialisés de la rubrique « Mise en forme » de la base documentaire « Matériaux métalliques ». Une présentation plus détaillée des aspects scientifiques est faite en [1] et pour le laminage en [2] ; le lecteur pourra également se reporter à la référence [3].REFERENCE : M 3 015 DEWEY : 621.8 Date : Avril 2006 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/mise-en-form [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 10 p.
Titre : Lubrification en mise en forme : frottement et usure : caractérisation Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Felder, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 10 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Lubrification Tribométrique. Résumé : Dans ce dossier, qui fait suite au fascicule [M 3 015], nous présentons les essais de frottement et d'usure, voie indispensable pour préciser les performances d'un lubrifiant de mise en forme. Nous allons ainsi successivement présenter :
les objectifs et les conditions de mise en œuvre des essais
les essais tribométriques standards ;
les essais d'écrasement plastique ;
comment caractériser l'usure.
Quelques compléments sur les moyens d'essais sont présentés dans les dossiers suivants qui traitent encore ce sujet.
Il faut noter que le développement des techniques de simulation numérique Lubrification en mise en forme- Frottement et usure : caractérisation [Lubrification en mise en forme- Frottement et usure : caractérisation] [1] Lubrification en mise en forme- Frottement et usure : caractérisation [Lubrification en mise en forme- Frottement et usure : caractérisation] [2] Lubrification en mise en forme- Frottement et usure : caractérisation [Lubrification en mise en forme- Frottement et usure : caractérisation] [3] a permis, durant ces dernières années, de s'affranchir de la plupart des hypothèses simplificatrices, mais parfois peu réalistes, sur la géométrie des opérations de mise en forme ou des essais et la rhéologie du métal ; de ce fait, il a fortement modifié l'approche de ces problèmes et la mise en œuvre des essais de frottement. Les méthodes de simulation numériques apportent en effet la possibilité d'analyser finement les conditions de contact métal/outil dans les essais et les procédés : pression de contact, vitesse de glissement, température... La simulation numérique apporte ainsi une amélioration de la fiabilité des résultats des essais par optimisation des conditions de mise en œuvre des essais, de leur interprétation et de leur application. Nous illustrons ce point dans ce dossier. La simulation numérique permet également de modéliser les phénomènes physiques qui, à l'échelle microscopique, conditionnent les performances du lubrifiant, ce dernier aspect, le plus complexe, est toutefois le moins achevé (voir les dossiers suivants qui traitent ce sujet).
Ce dossier fait partie d'une série de textes sur la « Lubrification en mise en forme ».
Les symboles utilisés dans ce texte ont, pour la plupart, été introduits en [M 3 015]. Le lecteur se reportera utilement à son tableau de symboles.
Les références bibliographiques sont données dans la fiche « Pour en savoir plus » : Lubrification en mise en forme- Frottement et usure : caractérisation [Lubrification en mise en forme- Frottement et usure : caractérisation] [Doc. M 3 016].REFERENCE : M 3 016 DEWEY : 621.8 Date : Janvier 2007 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/mise-en-form [...] [article] Lubrification en mise en forme : frottement et usure : caractérisation [texte imprimé] / Eric Felder, Auteur . - 2011 . - 10 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 10 p.
Mots-clés : Lubrification Tribométrique. Résumé : Dans ce dossier, qui fait suite au fascicule [M 3 015], nous présentons les essais de frottement et d'usure, voie indispensable pour préciser les performances d'un lubrifiant de mise en forme. Nous allons ainsi successivement présenter :
les objectifs et les conditions de mise en œuvre des essais
les essais tribométriques standards ;
les essais d'écrasement plastique ;
comment caractériser l'usure.
Quelques compléments sur les moyens d'essais sont présentés dans les dossiers suivants qui traitent encore ce sujet.
Il faut noter que le développement des techniques de simulation numérique Lubrification en mise en forme- Frottement et usure : caractérisation [Lubrification en mise en forme- Frottement et usure : caractérisation] [1] Lubrification en mise en forme- Frottement et usure : caractérisation [Lubrification en mise en forme- Frottement et usure : caractérisation] [2] Lubrification en mise en forme- Frottement et usure : caractérisation [Lubrification en mise en forme- Frottement et usure : caractérisation] [3] a permis, durant ces dernières années, de s'affranchir de la plupart des hypothèses simplificatrices, mais parfois peu réalistes, sur la géométrie des opérations de mise en forme ou des essais et la rhéologie du métal ; de ce fait, il a fortement modifié l'approche de ces problèmes et la mise en œuvre des essais de frottement. Les méthodes de simulation numériques apportent en effet la possibilité d'analyser finement les conditions de contact métal/outil dans les essais et les procédés : pression de contact, vitesse de glissement, température... La simulation numérique apporte ainsi une amélioration de la fiabilité des résultats des essais par optimisation des conditions de mise en œuvre des essais, de leur interprétation et de leur application. Nous illustrons ce point dans ce dossier. La simulation numérique permet également de modéliser les phénomènes physiques qui, à l'échelle microscopique, conditionnent les performances du lubrifiant, ce dernier aspect, le plus complexe, est toutefois le moins achevé (voir les dossiers suivants qui traitent ce sujet).
Ce dossier fait partie d'une série de textes sur la « Lubrification en mise en forme ».
Les symboles utilisés dans ce texte ont, pour la plupart, été introduits en [M 3 015]. Le lecteur se reportera utilement à son tableau de symboles.
Les références bibliographiques sont données dans la fiche « Pour en savoir plus » : Lubrification en mise en forme- Frottement et usure : caractérisation [Lubrification en mise en forme- Frottement et usure : caractérisation] [Doc. M 3 016].REFERENCE : M 3 016 DEWEY : 621.8 Date : Janvier 2007 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/mise-en-form [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 15 p.
Titre : Lubrification en mise en forme : régime de lubrification par films épais Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Felder, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 15 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Lubrification films épais. Résumé : Nous poursuivons dans ce dossier la présentation des problèmes de lubrification des procédés de mise en forme. Dans les deux premières parties, nous avions présenté les principes généraux de la lubrification, puis les règles à respecter dans le choix du lubrifiant selon le procédé et finalement les moyens d'essais, voie indispensable pour préciser les performances d'un lubrifiant en terme de frottement et d'usure de l'outil. Dans cette partie, nous analysons le régime de lubrification par films épais (épaisseur de l'ordre du micromètre) formés :
à froid, grâce à la viscosité des lubrifiants liquides et la consistance des lubrifiants dits solides (savons métalliques, revêtements métalliques) ;
à chaud, par viscosité des revêtements à base de verres métalliques.
Cet exposé se compose de quatre dossiers :
[M 3 015] Principes généraux et choix ;
[M 3 016] Frottement et usure : caractérisation
[M 3 017] Régime de lubrification par films épais ;
[M 3 018] Régime de lubrification mixte.
Les symboles utilisés dans ce texte ont, pour la plupart, été introduits en [M 3 015]. Le lecteur se reportera utilement à son tableau de symboles.
Les références bibliographiques sont données dans la fiche « Pour en savoir plus » : Lubrification en mise en forme- Régime de lubrification par films épais [Lubrification en mise en forme- Régime de lubrification par films épais] [Doc. M 3 017].REFERENCE : M 3 017 DEWEY : 621.8 Date : Décembre 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/mise-en-form [...] [article] Lubrification en mise en forme : régime de lubrification par films épais [texte imprimé] / Eric Felder, Auteur . - 2011 . - 15 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 15 p.
Mots-clés : Lubrification films épais. Résumé : Nous poursuivons dans ce dossier la présentation des problèmes de lubrification des procédés de mise en forme. Dans les deux premières parties, nous avions présenté les principes généraux de la lubrification, puis les règles à respecter dans le choix du lubrifiant selon le procédé et finalement les moyens d'essais, voie indispensable pour préciser les performances d'un lubrifiant en terme de frottement et d'usure de l'outil. Dans cette partie, nous analysons le régime de lubrification par films épais (épaisseur de l'ordre du micromètre) formés :
à froid, grâce à la viscosité des lubrifiants liquides et la consistance des lubrifiants dits solides (savons métalliques, revêtements métalliques) ;
à chaud, par viscosité des revêtements à base de verres métalliques.
Cet exposé se compose de quatre dossiers :
[M 3 015] Principes généraux et choix ;
[M 3 016] Frottement et usure : caractérisation
[M 3 017] Régime de lubrification par films épais ;
[M 3 018] Régime de lubrification mixte.
Les symboles utilisés dans ce texte ont, pour la plupart, été introduits en [M 3 015]. Le lecteur se reportera utilement à son tableau de symboles.
Les références bibliographiques sont données dans la fiche « Pour en savoir plus » : Lubrification en mise en forme- Régime de lubrification par films épais [Lubrification en mise en forme- Régime de lubrification par films épais] [Doc. M 3 017].REFERENCE : M 3 017 DEWEY : 621.8 Date : Décembre 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/mise-en-form [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 14 p.
Titre : Lubrification en mise en forme : régime de lubrification mixte Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Felder, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Lubrification mixte. Résumé : Ce dossier doit se lire à la suite du fascicule [M 3 017] consacré à la description du régime de lubrification par films épais. Dans cette partie, nous décrivons, sur un plan mécanique, les caractéristiques du régime poches-plateaux (mixte) où coexistent le long de l'interface :
des poches de lubrifiants d'épaisseur significative (de l'ordre du micromètre)
et sur la partie complémentaire de l'aire apparente de contact des films très minces (épaisseur de l'ordre de quelques dizaines de nanomètres).
Ensuite, nous précisons les caractéristiques de ces films minces engendrés par la réactivité chimique des additifs du lubrifiant.
Cet exposé se compose de quatre dossiers :
[M 3 015] Principes généraux et choix
[M 3 016] Frottement et usure : caractérisation
[M 3 017] Régime de lubrification par films épais
[M 3 018] Régime de lubrification mixte
Les symboles utilisés dans ce texte ont, pour la plupart, été introduits en [M 3 015]. Le lecteur se reportera à son tableau de symboles.
Les références bibliographiques sont données dans la fiche « Pour en savoir plus » : Lubrification en mise en forme- Régime de lubrification mixte [Lubrification en mise en forme- Régime de lubrification mixte] [Doc. M 3 018].REFERENCE : M 3018 DEWEY : 621.8 Date : Décembre 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/mise-en-form [...] [article] Lubrification en mise en forme : régime de lubrification mixte [texte imprimé] / Eric Felder, Auteur . - 2011 . - 14 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 14 p.
Mots-clés : Lubrification mixte. Résumé : Ce dossier doit se lire à la suite du fascicule [M 3 017] consacré à la description du régime de lubrification par films épais. Dans cette partie, nous décrivons, sur un plan mécanique, les caractéristiques du régime poches-plateaux (mixte) où coexistent le long de l'interface :
des poches de lubrifiants d'épaisseur significative (de l'ordre du micromètre)
et sur la partie complémentaire de l'aire apparente de contact des films très minces (épaisseur de l'ordre de quelques dizaines de nanomètres).
Ensuite, nous précisons les caractéristiques de ces films minces engendrés par la réactivité chimique des additifs du lubrifiant.
Cet exposé se compose de quatre dossiers :
[M 3 015] Principes généraux et choix
[M 3 016] Frottement et usure : caractérisation
[M 3 017] Régime de lubrification par films épais
[M 3 018] Régime de lubrification mixte
Les symboles utilisés dans ce texte ont, pour la plupart, été introduits en [M 3 015]. Le lecteur se reportera à son tableau de symboles.
Les références bibliographiques sont données dans la fiche « Pour en savoir plus » : Lubrification en mise en forme- Régime de lubrification mixte [Lubrification en mise en forme- Régime de lubrification mixte] [Doc. M 3 018].REFERENCE : M 3018 DEWEY : 621.8 Date : Décembre 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/mise-en-form [...] Essais mécaniques des métaux / Dominique François in Techniques de l'ingénieur TRI, Vol. TRI 2 (Autre)
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 17 p.
Titre : Essais mécaniques des métaux : essais de dureté Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique François, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 17 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Métaux Essais dureté. Résumé : Dans cette rubrique Essais mécaniques des métaux, le lecteur pourra également se reporter aux articles spécialisés suivants :
« Détermination des lois de comportement » [M 120] ;
« Essais d’aptitude à la mise en forme » [M 125]
« Essais de rupture » [M 126].
Si la notion de dureté est l’une des plus intuitives, sa mesure correspond en pratique à celle de la résistance à la pénétration locale du matériau considéré. La dureté est alors une propriété physique complexe et difficile à interpréter, qui dépend non seulement des caractéristiques de ce matériau, mais aussi de la nature et de la forme du pénétrateur et du mode de pénétration. C’est ainsi que le cuivre écroui offre une plus grande résistance à la pénétration que l’acier doux, mais il est rayé par lui.
Les essais habituels de dureté sont simples, rapides, et généralement non destructifs sauf très localement ; ils offrent donc un moyen très commode, et très utilisé dans les ateliers, pour vérifier l’évolution des propriétés d’une pièce métallique, notamment lors des traitements thermiques et mécaniques, ou pour contrôler la conformité des fournitures. De plus, la dureté permet d’apprécier, dans une certaine mesure, la résistance mécanique, la résistance à l’abrasion, la conservation du poli, la difficulté d’usinage, etc. Elle permet d’apprécier la résistance des corps fragiles (carbures, composés intermétalliques, etc.). Enfin, la mise au point des méthodes de mesure de la microdureté permet de résoudre de nombreux problèmes : évaluation de la dureté des couches minces ou superficielles, exploration d’alliages à phases multiples, évaluation de l’écrouissage local, etc. Depuis quelques années, la mise au point des techniques de mesure à l’échelle nanométrique ouvre, grâce à la nanodureté, des possibilités encore plus grandes dans ces domaines.
De très nombreuses méthodes d’évaluation de la dureté ont été proposées. Les plus courantes et les plus familières consistent à mesurer la résistance à la pénétration, mais les essais par rayage, par rebondissement ou par oscillations de pendules peuvent dans certains cas offrir des possibilités intéressantes.
Les sigles et symboles sont explicités en p. 16.REFERENCE : M 4 160 DEWEY : 621.8 Date : Mars 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/etude-et-pro [...] [article] Essais mécaniques des métaux : essais de dureté [texte imprimé] / Dominique François, Auteur . - 2011 . - 17 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 17 p.
Mots-clés : Métaux Essais dureté. Résumé : Dans cette rubrique Essais mécaniques des métaux, le lecteur pourra également se reporter aux articles spécialisés suivants :
« Détermination des lois de comportement » [M 120] ;
« Essais d’aptitude à la mise en forme » [M 125]
« Essais de rupture » [M 126].
Si la notion de dureté est l’une des plus intuitives, sa mesure correspond en pratique à celle de la résistance à la pénétration locale du matériau considéré. La dureté est alors une propriété physique complexe et difficile à interpréter, qui dépend non seulement des caractéristiques de ce matériau, mais aussi de la nature et de la forme du pénétrateur et du mode de pénétration. C’est ainsi que le cuivre écroui offre une plus grande résistance à la pénétration que l’acier doux, mais il est rayé par lui.
Les essais habituels de dureté sont simples, rapides, et généralement non destructifs sauf très localement ; ils offrent donc un moyen très commode, et très utilisé dans les ateliers, pour vérifier l’évolution des propriétés d’une pièce métallique, notamment lors des traitements thermiques et mécaniques, ou pour contrôler la conformité des fournitures. De plus, la dureté permet d’apprécier, dans une certaine mesure, la résistance mécanique, la résistance à l’abrasion, la conservation du poli, la difficulté d’usinage, etc. Elle permet d’apprécier la résistance des corps fragiles (carbures, composés intermétalliques, etc.). Enfin, la mise au point des méthodes de mesure de la microdureté permet de résoudre de nombreux problèmes : évaluation de la dureté des couches minces ou superficielles, exploration d’alliages à phases multiples, évaluation de l’écrouissage local, etc. Depuis quelques années, la mise au point des techniques de mesure à l’échelle nanométrique ouvre, grâce à la nanodureté, des possibilités encore plus grandes dans ces domaines.
De très nombreuses méthodes d’évaluation de la dureté ont été proposées. Les plus courantes et les plus familières consistent à mesurer la résistance à la pénétration, mais les essais par rayage, par rebondissement ou par oscillations de pendules peuvent dans certains cas offrir des possibilités intéressantes.
Les sigles et symboles sont explicités en p. 16.REFERENCE : M 4 160 DEWEY : 621.8 Date : Mars 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/etude-et-pro [...] Mesure de frottement interne / Juan-Jorge Martinez-Vega in Techniques de l'ingénieur TRI, Vol. TRI 2 (Autre)
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 8 p.
Titre : Mesure de frottement interne Type de document : texte imprimé Auteurs : Juan-Jorge Martinez-Vega, Auteur ; André Riviere, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 8 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Frottement interne Métaux. Résumé : Un matériau parfaitement élastique, donc obéissant à la loi de Hooke, soumis à une contrainte cyclique, vibrera, dans le domaine élastique, sans perte d’énergie sauf par frottement éventuel avec l’atmosphère. En réalité, les matériaux ne présentent pas un comportement aussi idéal et leurs vibrations sont amorties plus vite que ne peut l’expliquer la perte d’énergie due au frottement externe.
On appelle frottement interne la propriété que possèdent les matériaux solides soumis à des contraintes cycliques, d’absorber de l’énergie, en transformant l’énergie mécanique en chaleur. Cet effet se manifeste dans le cas des faibles déformations caractéristiques du domaine élastique.
Les premières techniques utilisées pour mesurer le frottement interne permettaient généralement des mesures à fréquence fixe ou dans un domaine restreint de fréquence. Ainsi, un pendule, le plus souvent inversé pour éviter les contraintes sur l’échantillon, permet des mesures à des fréquences de l’ordre du hertz ; dans ce cas, le frottement interne est δ/π où δ est le décrément logarithmique des oscillations libres. Les mesures dans la gamme du kilohertz sont effectuées sur des lames ou des barreaux résonants, le frottement interne étant cette fois relié à la largeur à 1/e du pic de résonance. Enfin, l’atténuation des ondes ultrasonores permet une mesure dans la gamme du mégahertz. Avec ces techniques, il est donc nécessaire de faire varier la température de mesure pour décrire complètement les comportements anélastiques en supposant une équivalence fréquence-température qui, en fait, est rarement vérifiée.
C’est pourquoi il est préférable de pouvoir mesurer le frottement interne directement sur une grande gamme de fréquence (5 ou 6 décades) soit à l’aide d’analyseurs dynamiques utilisés principalement pour l’étude des polymères, soit à l’aide de pendules à très haute fréquence propre (200 Hz) utilisés en vibrations forcées subrésonantes. Dans ces deux cas, le frottement interne est directement relié à la tangente de l’angle de déphasage entre la contrainte appliquée et la déformation résultante.
Le frottement interne peut être associé à divers mécanismes, parmi lesquels en général on distingue :
le processus de relaxation dans le cas d’un matériau viscoélastique ;
l’hystérésis mécanique ;
la résonance dans un solide pouvant être considéré comme un milieu visqueux.
Le frottement interne par hystérésis dépend de l’amplitude de vibration, contrairement aux deux autres cas.
Nous nous limiterons ici au frottement interne par relaxation dont nous établirons le formalisme après avoir défini le comportement viscoélastique ; des exemples correspondant à divers types de matériaux seront ensuite présentésREFERENCE : P 1 310 DEWEY : 621.8 Date : Mars 2000 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...] [article] Mesure de frottement interne [texte imprimé] / Juan-Jorge Martinez-Vega, Auteur ; André Riviere, Auteur . - 2011 . - 8 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 8 p.
Mots-clés : Frottement interne Métaux. Résumé : Un matériau parfaitement élastique, donc obéissant à la loi de Hooke, soumis à une contrainte cyclique, vibrera, dans le domaine élastique, sans perte d’énergie sauf par frottement éventuel avec l’atmosphère. En réalité, les matériaux ne présentent pas un comportement aussi idéal et leurs vibrations sont amorties plus vite que ne peut l’expliquer la perte d’énergie due au frottement externe.
On appelle frottement interne la propriété que possèdent les matériaux solides soumis à des contraintes cycliques, d’absorber de l’énergie, en transformant l’énergie mécanique en chaleur. Cet effet se manifeste dans le cas des faibles déformations caractéristiques du domaine élastique.
Les premières techniques utilisées pour mesurer le frottement interne permettaient généralement des mesures à fréquence fixe ou dans un domaine restreint de fréquence. Ainsi, un pendule, le plus souvent inversé pour éviter les contraintes sur l’échantillon, permet des mesures à des fréquences de l’ordre du hertz ; dans ce cas, le frottement interne est δ/π où δ est le décrément logarithmique des oscillations libres. Les mesures dans la gamme du kilohertz sont effectuées sur des lames ou des barreaux résonants, le frottement interne étant cette fois relié à la largeur à 1/e du pic de résonance. Enfin, l’atténuation des ondes ultrasonores permet une mesure dans la gamme du mégahertz. Avec ces techniques, il est donc nécessaire de faire varier la température de mesure pour décrire complètement les comportements anélastiques en supposant une équivalence fréquence-température qui, en fait, est rarement vérifiée.
C’est pourquoi il est préférable de pouvoir mesurer le frottement interne directement sur une grande gamme de fréquence (5 ou 6 décades) soit à l’aide d’analyseurs dynamiques utilisés principalement pour l’étude des polymères, soit à l’aide de pendules à très haute fréquence propre (200 Hz) utilisés en vibrations forcées subrésonantes. Dans ces deux cas, le frottement interne est directement relié à la tangente de l’angle de déphasage entre la contrainte appliquée et la déformation résultante.
Le frottement interne peut être associé à divers mécanismes, parmi lesquels en général on distingue :
le processus de relaxation dans le cas d’un matériau viscoélastique ;
l’hystérésis mécanique ;
la résonance dans un solide pouvant être considéré comme un milieu visqueux.
Le frottement interne par hystérésis dépend de l’amplitude de vibration, contrairement aux deux autres cas.
Nous nous limiterons ici au frottement interne par relaxation dont nous établirons le formalisme après avoir défini le comportement viscoélastique ; des exemples correspondant à divers types de matériaux seront ensuite présentésREFERENCE : P 1 310 DEWEY : 621.8 Date : Mars 2000 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 21 p.
Titre : Balances et pesées Type de document : texte imprimé Auteurs : Denis Louvel, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 21 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Balances Influences physiques pesée. Résumé : Afin de répondre aux exigences métrologiques, il est nécessaire d’effectuer la qualification et la vérification régulière des balances. Ce dossier permet au lecteur de mettre en place des procédures correspondantes, de démontrer à tout moment la traçabilité aux étalons nationaux, de faire connaître les critères de fonctionnement retenus et de gérer le risque de dérive des balances. REFERENCE : P 1 380v2 DEWEY : 621.8 Date : Septembre 2006 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...] [article] Balances et pesées [texte imprimé] / Denis Louvel, Auteur . - 2011 . - 21 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 21 p.
Mots-clés : Balances Influences physiques pesée. Résumé : Afin de répondre aux exigences métrologiques, il est nécessaire d’effectuer la qualification et la vérification régulière des balances. Ce dossier permet au lecteur de mettre en place des procédures correspondantes, de démontrer à tout moment la traçabilité aux étalons nationaux, de faire connaître les critères de fonctionnement retenus et de gérer le risque de dérive des balances. REFERENCE : P 1 380v2 DEWEY : 621.8 Date : Septembre 2006 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 12 p.
Titre : Pesée minimale : son importance dans un processus Type de document : texte imprimé Auteurs : Denis Louvel, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 12 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Pesée minimale Métrologie légale. Résumé : En routine, de nombreux utilisateurs pèsent des prises d'essai de quantité infime. Ils n'exploitent en général que 1 à 10 % de la portée de pesage d'une balance. Mais c'est dans cette zone que les incertitudes de mesure sont les plus élevées.
Il est courant de devoir peser 2 à 20 mg pour préparer une solution étalon pour une analyse en chromatographie liquide ou gazeuse.
La question centrale est de savoir désormais si cette quantité à peser est compatible avec les exigences de l'AQ (assurance qualité) et les performances de la balance utilisée.
La détermination de la pesée minimale accroît la certitude que toutes les fois qu'un utilisateur de balance pèse une quantité supérieure à la pesée minimale, ses mesures sont dans les limites des tolérances pour assurer la qualité du produit.
Cette connaissance apporte la certitude que l'usine fabrique toujours des produits de qualité constante ou que le laboratoire réalise toujours des analyses de qualité constante. Une qualité établie pour le processus en utilisant le bon instrument de pesage, et non une qualité obtenue en faisant beaucoup d'analyses et en triant les produits qui ne correspondaient pas aux spécifications.
D'autre part, l'utilisateur a la tranquillité d'esprit, certain qu'il passera facilement le prochain audit ou la prochaine inspection, car maintenant il dispose d'une documentation démontrant que ses instruments sont conformes aux exigences du processus.
Cet article vous propose de résoudre cette délicate question en fonction de plusieurs situations.REFERENCE : P 1 382 DEWEY : 621.8 Date : Juin 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...] [article] Pesée minimale : son importance dans un processus [texte imprimé] / Denis Louvel, Auteur . - 2011 . - 12 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 12 p.
Mots-clés : Pesée minimale Métrologie légale. Résumé : En routine, de nombreux utilisateurs pèsent des prises d'essai de quantité infime. Ils n'exploitent en général que 1 à 10 % de la portée de pesage d'une balance. Mais c'est dans cette zone que les incertitudes de mesure sont les plus élevées.
Il est courant de devoir peser 2 à 20 mg pour préparer une solution étalon pour une analyse en chromatographie liquide ou gazeuse.
La question centrale est de savoir désormais si cette quantité à peser est compatible avec les exigences de l'AQ (assurance qualité) et les performances de la balance utilisée.
La détermination de la pesée minimale accroît la certitude que toutes les fois qu'un utilisateur de balance pèse une quantité supérieure à la pesée minimale, ses mesures sont dans les limites des tolérances pour assurer la qualité du produit.
Cette connaissance apporte la certitude que l'usine fabrique toujours des produits de qualité constante ou que le laboratoire réalise toujours des analyses de qualité constante. Une qualité établie pour le processus en utilisant le bon instrument de pesage, et non une qualité obtenue en faisant beaucoup d'analyses et en triant les produits qui ne correspondaient pas aux spécifications.
D'autre part, l'utilisateur a la tranquillité d'esprit, certain qu'il passera facilement le prochain audit ou la prochaine inspection, car maintenant il dispose d'une documentation démontrant que ses instruments sont conformes aux exigences du processus.
Cet article vous propose de résoudre cette délicate question en fonction de plusieurs situations.REFERENCE : P 1 382 DEWEY : 621.8 Date : Juin 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 22 p.
Titre : États de surface : caractérisation Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Raphet, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 22 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : États surface conception mesure. Résumé : Les propriétés des solides et leur comportement dépendent, souvent, davantage des caractéristiques de leurs surfaces que de leurs propriétés massiques ou volumiques. La surface d’un corps solide est la partie de ce solide qui le limite dans l’espace et le sépare du milieu environnant. Elle est prépondérante pour assurer des fonctions telles que l’aptitude aux frottements, la résistance à l’usure ou la corrosion, conduction thermique et électrique, résistance aux contraintes mécaniques, étanchéité statique ou dynamique, aspect, etc.
Les surfaces industrielles produites par des moyens techniques présentent toujours des irrégularités par rapport à la surface idéale. Pour les décrire en toute rigueur, il faudrait utiliser une fonction continue z (x, y) donnant l’altitude de chaque point par rapport à la surface idéale.
Connaître l’influence de l’état d’une surface sur le fonctionnement d’une pièce et son comportement dans le temps nécessite de pouvoir caractériser sa géométrie, macro, micro, voire même nanogéométrie dans certains cas.
Seule la caractérisation des états de surface effectué sur un profil est normalisée. Le développement des technologies et des équipements permet de disposer d’une représentation tridimensionnelle de la surface (topographie). Si cette approche est actuellement le moyen le plus fidèle pour caractériser une surface, elle n’est pas encore reconnue et son application n’est pas envisageable en production.
Les problèmes relatifs à la géométrie des surfaces se posent à trois niveaux :
la conception : quel état de surface convient à la fonction à assurer et comment doit-on le spécifier sur un dessin
la réalisation de la surface : quels moyens mettre en œuvre pour obtenir l’état de surface souhaité ?
la mesure de la surface : quels moyens et quelles conditions de mesure pour vérifier que la surface correspond aux spécifications ? Cet aspect sera traité dans le dossier .
Ce dossier et le suivant étudient essentiellement les aspects industriels de la caractérisation et de la mesure d’états de surface, en fonction de la normalisation en vigueur à ce jour et des travaux en cours.
Les éléments concernant les imperfections (retassures, rayures, pores...) et l’aspect (couleur, brillance) des surfaces ne sont pas traitées dans ce dossier.
La caractérisation des états de surface sur un profil est actuellement la seule méthode normalisée.
La normalisation actuelle est une réelle avancée, avec le concept GPS (Spécification Géométrique des Produits) reconnu et repris par les principaux pays industriels. Il convient donc de l’utiliser pour spécifier et mesurer les états de surface, notamment lors d’échanges commerciaux.
Si ce système est très adapté à des surfaces obtenues avec des moyens d’obtention donnant des profils pratiquement constants (tournage, fraisage, rectification,...), il l’est beaucoup moins pour d’autres surfaces où les irrégularités sont inégalement réparties (électroérosion, surface revêtue,...) qui nécessiteraient une caractérisation tridimensionnelle.
Pour les concepteurs de produits, l’amélioration des performances passe généralement par la réduction des tolérances dimensionnelles et géométriques, ce qui permet implicitement d’obtenir des états de surface plus fins. Mais à quel prix ? S’il est évident que l’état de surface est un facteur important dans la performance d’un produit, le choix du ou des paramètres à spécifier reste toujours un problème délicat. Le manque de connaissance des relations entre les fonctions d’une surface et les paramètres d’états de surface fait que le concepteur spécifie ses produits avec un nombre très restreint de paramètres, souvent les mêmes, par habitude.REFERENCE : R 1 230 DEWEY : 621.8 Date : Decembre 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...] [article] États de surface : caractérisation [texte imprimé] / Bernard Raphet, Auteur . - 2011 . - 22 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 22 p.
Mots-clés : États surface conception mesure. Résumé : Les propriétés des solides et leur comportement dépendent, souvent, davantage des caractéristiques de leurs surfaces que de leurs propriétés massiques ou volumiques. La surface d’un corps solide est la partie de ce solide qui le limite dans l’espace et le sépare du milieu environnant. Elle est prépondérante pour assurer des fonctions telles que l’aptitude aux frottements, la résistance à l’usure ou la corrosion, conduction thermique et électrique, résistance aux contraintes mécaniques, étanchéité statique ou dynamique, aspect, etc.
Les surfaces industrielles produites par des moyens techniques présentent toujours des irrégularités par rapport à la surface idéale. Pour les décrire en toute rigueur, il faudrait utiliser une fonction continue z (x, y) donnant l’altitude de chaque point par rapport à la surface idéale.
Connaître l’influence de l’état d’une surface sur le fonctionnement d’une pièce et son comportement dans le temps nécessite de pouvoir caractériser sa géométrie, macro, micro, voire même nanogéométrie dans certains cas.
Seule la caractérisation des états de surface effectué sur un profil est normalisée. Le développement des technologies et des équipements permet de disposer d’une représentation tridimensionnelle de la surface (topographie). Si cette approche est actuellement le moyen le plus fidèle pour caractériser une surface, elle n’est pas encore reconnue et son application n’est pas envisageable en production.
Les problèmes relatifs à la géométrie des surfaces se posent à trois niveaux :
la conception : quel état de surface convient à la fonction à assurer et comment doit-on le spécifier sur un dessin
la réalisation de la surface : quels moyens mettre en œuvre pour obtenir l’état de surface souhaité ?
la mesure de la surface : quels moyens et quelles conditions de mesure pour vérifier que la surface correspond aux spécifications ? Cet aspect sera traité dans le dossier .
Ce dossier et le suivant étudient essentiellement les aspects industriels de la caractérisation et de la mesure d’états de surface, en fonction de la normalisation en vigueur à ce jour et des travaux en cours.
Les éléments concernant les imperfections (retassures, rayures, pores...) et l’aspect (couleur, brillance) des surfaces ne sont pas traitées dans ce dossier.
La caractérisation des états de surface sur un profil est actuellement la seule méthode normalisée.
La normalisation actuelle est une réelle avancée, avec le concept GPS (Spécification Géométrique des Produits) reconnu et repris par les principaux pays industriels. Il convient donc de l’utiliser pour spécifier et mesurer les états de surface, notamment lors d’échanges commerciaux.
Si ce système est très adapté à des surfaces obtenues avec des moyens d’obtention donnant des profils pratiquement constants (tournage, fraisage, rectification,...), il l’est beaucoup moins pour d’autres surfaces où les irrégularités sont inégalement réparties (électroérosion, surface revêtue,...) qui nécessiteraient une caractérisation tridimensionnelle.
Pour les concepteurs de produits, l’amélioration des performances passe généralement par la réduction des tolérances dimensionnelles et géométriques, ce qui permet implicitement d’obtenir des états de surface plus fins. Mais à quel prix ? S’il est évident que l’état de surface est un facteur important dans la performance d’un produit, le choix du ou des paramètres à spécifier reste toujours un problème délicat. Le manque de connaissance des relations entre les fonctions d’une surface et les paramètres d’états de surface fait que le concepteur spécifie ses produits avec un nombre très restreint de paramètres, souvent les mêmes, par habitude.REFERENCE : R 1 230 DEWEY : 621.8 Date : Decembre 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 17 p.
Titre : Etats de surface : mesure Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Raphet, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 17 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Mesure états surface Topographie. Résumé : C e document est à lire à la suite du dossier États de surface- Caractérisation [États de surface- Caractérisation] .
Les dossiers États de surface- Caractérisation [États de surface- Caractérisation] et [R 1 231] présentent, d’une manière non exhaustive, les connaissances actuellement admises dans le domaine de la caractérisation de surface à partir essentiellement d’une étude bibliographique et de l’expérience de l’auteur.
Dans le monde industriel, on retrouve aujourd’hui, la présence :
de plans avec des paramètres correspondants aux anciennes normes (définitions différentes suivant les pays d’origine) ;
de matériels d’ancienne génération (paramètres suivants anciennes normes avec un traitement du signal plus normalisé) de plans et équipements conformes à la normalisation en vigueur, mais que peu de gens utilisent correctement ;
d’équipements permettant la caractérisation tridimensionnelle de l’état de surface, avec des méthodes de traitement différentes ;
de documents prénormatifs des paramètres de surface
Cette situation est due à la récente évolution de la normalisation, et au développement des équipements, à l’augmentation des performances du matériel informatique et des logiciels.
La mesure tridimensionnelle de la microgéométrie est actuellement le moyen le plus fidèle pour caractériser une surface. Elle permet l’observation, l’identification et la quantification des irrégularités. Elle permet également la réalisation d’études sur les corrélations entre la microgéométrie et la fonction ou le comportement d’une surface. Ces études devraient permettre notamment de préciser ou redéfinir les limites entre les différents écarts géométriques (forme, ondulation et rugosité), que ce soit sur un profil ou sur une surface. En effet, si certaines fonctions nécessite la prise en compte de ces écarts géométriques séparément, d’autres nécessitent de les caractériser plus globalement (par exemple : forme + ondulation ou ondulation + rugosité ou forme + ondulation + rugosité).
Historiquement, l’état de surface a été évalué visuellement et/ou tactilement, puis mesuré sur un profil à l’aide de capteurs avec un traitement du signal plus ou moins performants (profilométrie), et enfin mesuré sur une partie de la surface (topographie). Les techniques tridimensionnelles ne sont plus réservées aux laboratoires de recherche. Les prototypes sont devenus des équipements industriels que l’on retrouve dans des laboratoires d’entreprises ou de sociétés de services. On peut imaginer qu’au niveau des équipements, les prochaines étapes seront la mesure tridimensionnelle d’état de surface en production et la mesure intégrale d’une surface entière (macro, microgéométrie, soit de façon séparée soit de façon globale).REFERENCE : R 1 231 DEWEY : 621.8 Date : Juin 2006 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...] [article] Etats de surface : mesure [texte imprimé] / Bernard Raphet, Auteur . - 2011 . - 17 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 17 p.
Mots-clés : Mesure états surface Topographie. Résumé : C e document est à lire à la suite du dossier États de surface- Caractérisation [États de surface- Caractérisation] .
Les dossiers États de surface- Caractérisation [États de surface- Caractérisation] et [R 1 231] présentent, d’une manière non exhaustive, les connaissances actuellement admises dans le domaine de la caractérisation de surface à partir essentiellement d’une étude bibliographique et de l’expérience de l’auteur.
Dans le monde industriel, on retrouve aujourd’hui, la présence :
de plans avec des paramètres correspondants aux anciennes normes (définitions différentes suivant les pays d’origine) ;
de matériels d’ancienne génération (paramètres suivants anciennes normes avec un traitement du signal plus normalisé) de plans et équipements conformes à la normalisation en vigueur, mais que peu de gens utilisent correctement ;
d’équipements permettant la caractérisation tridimensionnelle de l’état de surface, avec des méthodes de traitement différentes ;
de documents prénormatifs des paramètres de surface
Cette situation est due à la récente évolution de la normalisation, et au développement des équipements, à l’augmentation des performances du matériel informatique et des logiciels.
La mesure tridimensionnelle de la microgéométrie est actuellement le moyen le plus fidèle pour caractériser une surface. Elle permet l’observation, l’identification et la quantification des irrégularités. Elle permet également la réalisation d’études sur les corrélations entre la microgéométrie et la fonction ou le comportement d’une surface. Ces études devraient permettre notamment de préciser ou redéfinir les limites entre les différents écarts géométriques (forme, ondulation et rugosité), que ce soit sur un profil ou sur une surface. En effet, si certaines fonctions nécessite la prise en compte de ces écarts géométriques séparément, d’autres nécessitent de les caractériser plus globalement (par exemple : forme + ondulation ou ondulation + rugosité ou forme + ondulation + rugosité).
Historiquement, l’état de surface a été évalué visuellement et/ou tactilement, puis mesuré sur un profil à l’aide de capteurs avec un traitement du signal plus ou moins performants (profilométrie), et enfin mesuré sur une partie de la surface (topographie). Les techniques tridimensionnelles ne sont plus réservées aux laboratoires de recherche. Les prototypes sont devenus des équipements industriels que l’on retrouve dans des laboratoires d’entreprises ou de sociétés de services. On peut imaginer qu’au niveau des équipements, les prochaines étapes seront la mesure tridimensionnelle d’état de surface en production et la mesure intégrale d’une surface entière (macro, microgéométrie, soit de façon séparée soit de façon globale).REFERENCE : R 1 231 DEWEY : 621.8 Date : Juin 2006 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 15 p.
Titre : Métrologie des surfaces Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Bouchareine, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 15 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Métrologie Résumé : La surface d’un solide est un domaine à deux dimensions où se situent les interactions du solide avec le monde extérieur. La physique des surfaces a beaucoup progressé en cette deuxième moitié du vingtième siècle, et de nombreux domaines d’activités industrielles sont directement concernés par cette discipline. C’est à la surface d’un solide que se produisent les réactions chimiques qui la font évoluer et que se manifestent les phénomènes de frottements, d’usure, des adsorptions de contaminants divers. Depuis la métrologie des masses jusqu’au fonctionnement des paliers, depuis les états rectifiés des surfaces mécaniques jusqu’au superpoli des surfaces optiques, la métrologie des surfaces joue un rôle essentiel dans le contrôle de composants mécaniques, optiques ou électroniques.
Les propriétés d'une surface sont extraordinairement nombreuses et complexes. On cherche à les caractériser par des paramètres simples qui ne donneront bien évidemment jamais une représentation complète de ces propriétés. C'est pourquoi l'expérience est essentielle pour pouvoir déduire des observations la réponse à la question : la surface remplira-t-elle correctement ses fonctions ?
Dans la plupart des normes qui traitent des surfaces, l'examen visuel et tactile est souvent le premier cité. Quoique qualitatif, il représente souvent une synthèse de paramètres difficilement quantifiables par d'autres moyens : texture, teinte, aspects en lumières diverses, sensations mécaniques et thermiques. Comme pour un médecin qui sait voir dans une radiographie ou un scanner les éléments qui lui permettront de déterminer son diagnostic, l'expérience seule permet à un ingénieur ou à un technicien de tirer des images directes ou indirectes mises à notre disposition par l'instrumentation moderne, les conclusions sur la conformité de la surface à un cahier des charges particulier.
Nous analyserons dans cet article diverses méthodes qui permettent de caractériser les surfaces par leurs propriétés géométriques macroscopiques (forme : rectitude, planéité ou circularité), et microscopiques (rugosité). Nous décrirons quelques instruments permettant d'accéder à ces propriétés et nous en citerons d'autres comme les microscopes en champ proche ou les microscopes à force atomique.
Nota :
nous ne parlerons pas de toute une catégorie d'analyses physico-chimiques des surfaces que l'on trouvera décrites en particulier dans le volume « Analyse et Caractérisation » :
Microscopie optique ;
Microscopies électroniques ;
Microscopie ionique à effet de champ ;
Analyse par émission ionique secondaire (SIMS) ;
Spectroscopie des électrons Auger ;
Spectroscopie de photo électrons : XPS ou ESCA et UPS.
On trouvera ailleurs une description plus complète des microscopes à effet tunnel (Techniques de l'Ingénieur, [P 895]).REFERENCE : R 1 390 DEWEY : 621.8 Date : Septembre 1999 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...] [article] Métrologie des surfaces [texte imprimé] / Patrick Bouchareine, Auteur . - 2011 . - 15 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 15 p.
Mots-clés : Métrologie Résumé : La surface d’un solide est un domaine à deux dimensions où se situent les interactions du solide avec le monde extérieur. La physique des surfaces a beaucoup progressé en cette deuxième moitié du vingtième siècle, et de nombreux domaines d’activités industrielles sont directement concernés par cette discipline. C’est à la surface d’un solide que se produisent les réactions chimiques qui la font évoluer et que se manifestent les phénomènes de frottements, d’usure, des adsorptions de contaminants divers. Depuis la métrologie des masses jusqu’au fonctionnement des paliers, depuis les états rectifiés des surfaces mécaniques jusqu’au superpoli des surfaces optiques, la métrologie des surfaces joue un rôle essentiel dans le contrôle de composants mécaniques, optiques ou électroniques.
Les propriétés d'une surface sont extraordinairement nombreuses et complexes. On cherche à les caractériser par des paramètres simples qui ne donneront bien évidemment jamais une représentation complète de ces propriétés. C'est pourquoi l'expérience est essentielle pour pouvoir déduire des observations la réponse à la question : la surface remplira-t-elle correctement ses fonctions ?
Dans la plupart des normes qui traitent des surfaces, l'examen visuel et tactile est souvent le premier cité. Quoique qualitatif, il représente souvent une synthèse de paramètres difficilement quantifiables par d'autres moyens : texture, teinte, aspects en lumières diverses, sensations mécaniques et thermiques. Comme pour un médecin qui sait voir dans une radiographie ou un scanner les éléments qui lui permettront de déterminer son diagnostic, l'expérience seule permet à un ingénieur ou à un technicien de tirer des images directes ou indirectes mises à notre disposition par l'instrumentation moderne, les conclusions sur la conformité de la surface à un cahier des charges particulier.
Nous analyserons dans cet article diverses méthodes qui permettent de caractériser les surfaces par leurs propriétés géométriques macroscopiques (forme : rectitude, planéité ou circularité), et microscopiques (rugosité). Nous décrirons quelques instruments permettant d'accéder à ces propriétés et nous en citerons d'autres comme les microscopes en champ proche ou les microscopes à force atomique.
Nota :
nous ne parlerons pas de toute une catégorie d'analyses physico-chimiques des surfaces que l'on trouvera décrites en particulier dans le volume « Analyse et Caractérisation » :
Microscopie optique ;
Microscopies électroniques ;
Microscopie ionique à effet de champ ;
Analyse par émission ionique secondaire (SIMS) ;
Spectroscopie des électrons Auger ;
Spectroscopie de photo électrons : XPS ou ESCA et UPS.
On trouvera ailleurs une description plus complète des microscopes à effet tunnel (Techniques de l'Ingénieur, [P 895]).REFERENCE : R 1 390 DEWEY : 621.8 Date : Septembre 1999 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 11 p.
Titre : Nanotribologie : les processus élémentaires du frottement Type de document : texte imprimé Auteurs : Carlos Drummond, Auteur ; Philippe Richetti, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 11 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Nanotribologie Processus frottement. Résumé : La tribologie est la science qui étudie les phénomènes qui se produisent lorsque deux surfaces en contact subissent un mouvement relatif. Elle couvre les phénomènes du frottement, de l'adhésion, de l'usure et de la lubrification. La tribologie est une science fondamentalement interdisciplinaire : elle utilise des concepts issus de la chimie, de la science des matériaux, de la mécanique des fluides, de la physique des solides, de la rhéologie, de la cristallographie, de la physico-chimie des surfaces, de la thermodynamique et des mathématiques.
L'étude des forces de frottement est généralement compliquée. Ces forces dépendent de nombreuses variables qui ne peuvent pas toujours être contrôlées simultanément. Souvent, il s'agit d'étudier une interface qui est difficilement observable pendant le glissement. De plus, un certain nombre de processus se déroulent à différentes échelles de longueur et de temps, pouvant aller du macroscopique à l'atomique, de la femtoseconde au siècle. Pour ces raisons, la compréhension fondamentale de l'origine des forces de frottement ou la caractérisation complète d'un comportement tribologique est toujours limitée par les moyens techniques. Lors des trente dernières années, la mise au point de nouvelles techniques expérimentales et l'avènement des simulations numériques, toujours plus sophistiquées, ont permis de réaliser des progrès très significatifs, apportant une meilleure compréhension de ces phénomènes.REFERENCE : TRI 1 400 DEWEY : 621.8 Date : Septembre 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...] [article] Nanotribologie : les processus élémentaires du frottement [texte imprimé] / Carlos Drummond, Auteur ; Philippe Richetti, Auteur . - 2011 . - 11 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 11 p.
Mots-clés : Nanotribologie Processus frottement. Résumé : La tribologie est la science qui étudie les phénomènes qui se produisent lorsque deux surfaces en contact subissent un mouvement relatif. Elle couvre les phénomènes du frottement, de l'adhésion, de l'usure et de la lubrification. La tribologie est une science fondamentalement interdisciplinaire : elle utilise des concepts issus de la chimie, de la science des matériaux, de la mécanique des fluides, de la physique des solides, de la rhéologie, de la cristallographie, de la physico-chimie des surfaces, de la thermodynamique et des mathématiques.
L'étude des forces de frottement est généralement compliquée. Ces forces dépendent de nombreuses variables qui ne peuvent pas toujours être contrôlées simultanément. Souvent, il s'agit d'étudier une interface qui est difficilement observable pendant le glissement. De plus, un certain nombre de processus se déroulent à différentes échelles de longueur et de temps, pouvant aller du macroscopique à l'atomique, de la femtoseconde au siècle. Pour ces raisons, la compréhension fondamentale de l'origine des forces de frottement ou la caractérisation complète d'un comportement tribologique est toujours limitée par les moyens techniques. Lors des trente dernières années, la mise au point de nouvelles techniques expérimentales et l'avènement des simulations numériques, toujours plus sophistiquées, ont permis de réaliser des progrès très significatifs, apportant une meilleure compréhension de ces phénomènes.REFERENCE : TRI 1 400 DEWEY : 621.8 Date : Septembre 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 21 p.
Titre : Régime de lubrification mixte Type de document : texte imprimé Auteurs : Robert Progri, Auteur ; François Robbe-Valloire, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 21 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Lubrification mixte. Résumé : La lubrification intervient non seulement dans un grand nombre d'applications industrielles où le fluide lubrifiant est généralement l'huile, mais aussi dans le domaine biomédical avec l'ensemble de nos articulations lubrifiées par le liquide synovial. En général, pour la plupart de ces applications, les faibles niveaux d'usure et de frottement sont obtenus grâce à l'absence totale de contact en raison de la présence d'un film séparant complètement les deux pièces antagonistes. En revanche, dans certains cas particuliers, ce film continu entre les deux pièces ne peut pas être maintenu et les interactions directes entre les deux pièces prennent alors place. La morphologie du film fluide doit être analysée à l'échelle de la microgéométrie.
Même si elle présente une certaine aptitude à la déformation, la microgéométrie des deux pièces ne permet pas d'assurer, dans la zone de contact, l'absence d'interpénétrations. Elle conduit donc à un morcellement du film d'huile au niveau des aspérités de l'une ou l'autre pièce les plus saillantes, les creux restant remplis par le film d'huile. La discontinuité du film d'huile est la caractéristique principale de la lubrification en régime mixte. Le contact est ainsi le siège de deux types de comportement, l'un similaire au film mince continu et l'autre proche d'un contact direct au niveau des aspérités les plus hautes.
Après une première section destinée à présenter les généralités de la lubrification mixte (son positionnement dans le contexte de la lubrification, puis une description phénoménologique), cet article détaillera les aspects pratiques liés à l'utilisation de la lubrification mixte (influence des paramètres, cas d'utilisation et choix des matériaux). La dernière partie du document présentera les différentes méthodes permettant l'étude de la lubrification mixte. Dans un premier temps, nous détaillerons les techniques expérimentales. Nous terminerons par une revue des différentes méthodes permettant de modéliser le comportement en présence de lubrification mixte.REFERENCE : TRI 1 520 DEWEY : 621.8 Date : Decembre 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...] [article] Régime de lubrification mixte [texte imprimé] / Robert Progri, Auteur ; François Robbe-Valloire, Auteur . - 2011 . - 21 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 21 p.
Mots-clés : Lubrification mixte. Résumé : La lubrification intervient non seulement dans un grand nombre d'applications industrielles où le fluide lubrifiant est généralement l'huile, mais aussi dans le domaine biomédical avec l'ensemble de nos articulations lubrifiées par le liquide synovial. En général, pour la plupart de ces applications, les faibles niveaux d'usure et de frottement sont obtenus grâce à l'absence totale de contact en raison de la présence d'un film séparant complètement les deux pièces antagonistes. En revanche, dans certains cas particuliers, ce film continu entre les deux pièces ne peut pas être maintenu et les interactions directes entre les deux pièces prennent alors place. La morphologie du film fluide doit être analysée à l'échelle de la microgéométrie.
Même si elle présente une certaine aptitude à la déformation, la microgéométrie des deux pièces ne permet pas d'assurer, dans la zone de contact, l'absence d'interpénétrations. Elle conduit donc à un morcellement du film d'huile au niveau des aspérités de l'une ou l'autre pièce les plus saillantes, les creux restant remplis par le film d'huile. La discontinuité du film d'huile est la caractéristique principale de la lubrification en régime mixte. Le contact est ainsi le siège de deux types de comportement, l'un similaire au film mince continu et l'autre proche d'un contact direct au niveau des aspérités les plus hautes.
Après une première section destinée à présenter les généralités de la lubrification mixte (son positionnement dans le contexte de la lubrification, puis une description phénoménologique), cet article détaillera les aspects pratiques liés à l'utilisation de la lubrification mixte (influence des paramètres, cas d'utilisation et choix des matériaux). La dernière partie du document présentera les différentes méthodes permettant l'étude de la lubrification mixte. Dans un premier temps, nous détaillerons les techniques expérimentales. Nous terminerons par une revue des différentes méthodes permettant de modéliser le comportement en présence de lubrification mixte.REFERENCE : TRI 1 520 DEWEY : 621.8 Date : Decembre 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...] Simulations numériques en tribologie / Mathieu Renouf in Techniques de l'ingénieur TRI, Vol. TRI 2 (Autre)
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 8 p.
Titre : Simulations numériques en tribologie : contact sec et lubrification solide Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathieu Renouf, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 8 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Tribologie numérique Lubrification. Résumé : Comprendre les causes et les conséquences du frottement sur le comportement des corps en contact est bien le quotidien des tribologues depuis de nombreux siècles. En fait ce n'est pas seulement les corps en contact qui sont concernés, mais aussi le ou les mécanismes qui les contiennent ainsi que l'interface qui les sépare.
Cette compréhension n'est pas simplement une curiosité scientifique, mais bel et bien la clé d'importants enjeux industriels. Le contrôle de la durée de vie des mécanismes (disques de frein automobile et aéronautique, roulements, appareils électroménagers...) et des outils de mise en forme des matériaux, la sécurité (problème de shuntage dans le contact roue-rail ou de la collecte du courant dans le contact pentographe/caténaire...), la santé publique (usure des implants articulaires), l'environnement (réduction du crissement, amélioration des lubrifiants...) sont des problèmes liés directement aux conséquences du frottement.
Parce que l'expérimentation trouve parfois ses limites dans l'analyse dynamique de tels systèmes, surtout lors de sollicitations sévères (fortes pression et vitesse de cisaillement), des outils numériques ont vu le jour pour venir combler le manque d'informations laissé par les approches expérimentales aussi bien pour des conditions dites de « contact sec » (pas de lubrifiant ajouté) que celles dites de « contact lubrifié » (huile, graisse...). Aujourd'hui, bien plus qu'un simple outil complémentaire, les approches numériques servent à part entière dans la compréhension des phénomènes et tendent à devenir des outils prédictifs.
De nombreuses approches numériques existent aussi bien pour les aspects secs que pour les aspects lubrifiés, évoqués précedement. Dans ces quelques pages, le choix a été fait de se focaliser uniquement sur le contact dit sec. Les aspects « contact lubrifié », au sens lubrification fluide, ne seront que rapidement survoler.REFERENCE : TRI 2 800 DEWEY : 621.8 Date : Juin 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...] [article] Simulations numériques en tribologie : contact sec et lubrification solide [texte imprimé] / Mathieu Renouf, Auteur . - 2011 . - 8 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 8 p.
Mots-clés : Tribologie numérique Lubrification. Résumé : Comprendre les causes et les conséquences du frottement sur le comportement des corps en contact est bien le quotidien des tribologues depuis de nombreux siècles. En fait ce n'est pas seulement les corps en contact qui sont concernés, mais aussi le ou les mécanismes qui les contiennent ainsi que l'interface qui les sépare.
Cette compréhension n'est pas simplement une curiosité scientifique, mais bel et bien la clé d'importants enjeux industriels. Le contrôle de la durée de vie des mécanismes (disques de frein automobile et aéronautique, roulements, appareils électroménagers...) et des outils de mise en forme des matériaux, la sécurité (problème de shuntage dans le contact roue-rail ou de la collecte du courant dans le contact pentographe/caténaire...), la santé publique (usure des implants articulaires), l'environnement (réduction du crissement, amélioration des lubrifiants...) sont des problèmes liés directement aux conséquences du frottement.
Parce que l'expérimentation trouve parfois ses limites dans l'analyse dynamique de tels systèmes, surtout lors de sollicitations sévères (fortes pression et vitesse de cisaillement), des outils numériques ont vu le jour pour venir combler le manque d'informations laissé par les approches expérimentales aussi bien pour des conditions dites de « contact sec » (pas de lubrifiant ajouté) que celles dites de « contact lubrifié » (huile, graisse...). Aujourd'hui, bien plus qu'un simple outil complémentaire, les approches numériques servent à part entière dans la compréhension des phénomènes et tendent à devenir des outils prédictifs.
De nombreuses approches numériques existent aussi bien pour les aspects secs que pour les aspects lubrifiés, évoqués précedement. Dans ces quelques pages, le choix a été fait de se focaliser uniquement sur le contact dit sec. Les aspects « contact lubrifié », au sens lubrification fluide, ne seront que rapidement survoler.REFERENCE : TRI 2 800 DEWEY : 621.8 Date : Juin 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...] Tribologie des matériaux caoutchouteux / Michel Barquins in Techniques de l'ingénieur TRI, Vol. TRI 2 (Autre)
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 24 p.
Titre : Tribologie des matériaux caoutchouteux Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Barquins, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 24 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Tribologie Comportement mécanique. Résumé : La non-trivialité des propriétés mécaniques du caoutchouc naturel, chargé en noir de carbone ou non, et de ses homologues synthétiques d'aspects variés fait que ces matériaux particuliers sont fréquemment utilisés dans la vie quotidienne, pour leur caractère extensible notoire (bracelets élastiques, fibres élasthanne, chewing-gums, tendeurs, bretelles, jarretelles, garrots, soufflets, appareils de saut dit « à l'élastique », etc.) et comme protections diverses du fait de leur imperméabilité à l'air et à de nombreux fluides (cirés, gants, tabliers, bavettes, bottes, imperméables, chambres à air, bateaux pneumatiques, préservatifs, tuyaux, ballons d'enfants, tétines, etc.).
Ils entrent également dans la construction d'organes mécaniques dans lesquels interviennent le contact statique, le frottement et le roulement. Citons à titre d'exemple, les joints d'étanchéité, les appareils d'appui de ponts, les appareils d'appui antisismiques, les patins de rails, les embouts antidérapants, les blocs d'amortissement, les pneumatiques de toutes formes et dimensions (patinettes, poussettes d'enfants, bicyclettes, motos, voitures de tourisme, camionnettes, certains métros et tramways, véhicules poids lourds, engins de génie civil, avions, bolides de formule 1, etc.), les courroies de transmission, les raclettes de balais d'essuie-glace, les lèche-vitres, les semelles de chaussures, les tapis transporteurs, les patins de freins de bicyclettes, corps de vannes, gomme à effacer, etc. Ces exemples récents ne doivent pas faire oublier que le caoutchouc naturel issu du latex était connu des populations amérindiennes il y a quelque trente siècles.
La multiplicité des utilisations des matériaux caoutchouteux, naturel et synthétiques, n'est bien évidemment pas fortuite ; elle résulte des propriétés mécaniques surprenantes que leur confèrent leurs structures chimique et macromoléculaire particulières. Les matériaux caoutchouteux se caractérisent par une grande souplesse, ils sont capables de supporter à température ambiante des allongements importants (jusqu'à sept fois leur dimension au repos) et de reprendre dans un temps très bref leur dimension initiale. De plus, le coefficient de frottement des matériaux caoutchouteux est très élevé : c'est la raison pour laquelle on les utilise dans la fabrication des pneumatiques. Très précisément, c'est le frottement élevé entre la bande de roulement d'un pneumatique et le revêtement routier qui assure la tenue de route des véhicules automobiles.
Après un bref rappel de la découverte et de l'utilisation du caoutchouc naturel par les amérindiens il y a quelque trente siècles et de la mise en œuvre de ses premiers homologues synthétiques, on décrit les principales propriétés volumiques et superficielles des matériaux caoutchouteux qui leur confèrent des propriétés tribologiques particulières (adhérence, glissance, roulement et usure) mises à profit dans le fonctionnement de nombreux systèmes mécaniques et tout particulièrement dans celui des pneumatiques.REFERENCE : TRI 4 500 DEWEY : 621.8 Date : Decembre 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...] [article] Tribologie des matériaux caoutchouteux [texte imprimé] / Michel Barquins, Auteur . - 2011 . - 24 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 24 p.
Mots-clés : Tribologie Comportement mécanique. Résumé : La non-trivialité des propriétés mécaniques du caoutchouc naturel, chargé en noir de carbone ou non, et de ses homologues synthétiques d'aspects variés fait que ces matériaux particuliers sont fréquemment utilisés dans la vie quotidienne, pour leur caractère extensible notoire (bracelets élastiques, fibres élasthanne, chewing-gums, tendeurs, bretelles, jarretelles, garrots, soufflets, appareils de saut dit « à l'élastique », etc.) et comme protections diverses du fait de leur imperméabilité à l'air et à de nombreux fluides (cirés, gants, tabliers, bavettes, bottes, imperméables, chambres à air, bateaux pneumatiques, préservatifs, tuyaux, ballons d'enfants, tétines, etc.).
Ils entrent également dans la construction d'organes mécaniques dans lesquels interviennent le contact statique, le frottement et le roulement. Citons à titre d'exemple, les joints d'étanchéité, les appareils d'appui de ponts, les appareils d'appui antisismiques, les patins de rails, les embouts antidérapants, les blocs d'amortissement, les pneumatiques de toutes formes et dimensions (patinettes, poussettes d'enfants, bicyclettes, motos, voitures de tourisme, camionnettes, certains métros et tramways, véhicules poids lourds, engins de génie civil, avions, bolides de formule 1, etc.), les courroies de transmission, les raclettes de balais d'essuie-glace, les lèche-vitres, les semelles de chaussures, les tapis transporteurs, les patins de freins de bicyclettes, corps de vannes, gomme à effacer, etc. Ces exemples récents ne doivent pas faire oublier que le caoutchouc naturel issu du latex était connu des populations amérindiennes il y a quelque trente siècles.
La multiplicité des utilisations des matériaux caoutchouteux, naturel et synthétiques, n'est bien évidemment pas fortuite ; elle résulte des propriétés mécaniques surprenantes que leur confèrent leurs structures chimique et macromoléculaire particulières. Les matériaux caoutchouteux se caractérisent par une grande souplesse, ils sont capables de supporter à température ambiante des allongements importants (jusqu'à sept fois leur dimension au repos) et de reprendre dans un temps très bref leur dimension initiale. De plus, le coefficient de frottement des matériaux caoutchouteux est très élevé : c'est la raison pour laquelle on les utilise dans la fabrication des pneumatiques. Très précisément, c'est le frottement élevé entre la bande de roulement d'un pneumatique et le revêtement routier qui assure la tenue de route des véhicules automobiles.
Après un bref rappel de la découverte et de l'utilisation du caoutchouc naturel par les amérindiens il y a quelque trente siècles et de la mise en œuvre de ses premiers homologues synthétiques, on décrit les principales propriétés volumiques et superficielles des matériaux caoutchouteux qui leur confèrent des propriétés tribologiques particulières (adhérence, glissance, roulement et usure) mises à profit dans le fonctionnement de nombreux systèmes mécaniques et tout particulièrement dans celui des pneumatiques.REFERENCE : TRI 4 500 DEWEY : 621.8 Date : Decembre 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...] Traitements et revêtements de surface à usage tribologique / René Gras in Techniques de l'ingénieur TRI, Vol. TRI 2 (Autre)
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 23 p.
Titre : Traitements et revêtements de surface à usage tribologique Type de document : texte imprimé Auteurs : René Gras, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 23 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Sollicitations tribologiques Traitements revêtements. Résumé : En cours de fonctionnement, les surfaces des composants mécaniques sont soumises à des sollicitations de type mécanique, thermiques et/ou physicochimique.
Les efforts mécaniques se traduisent par des contraintes qui deviennent maximales près des surfaces ; c'est le cas en sollicitations de flexion ou de torsion. De plus, les irrégularités de surface, forme et rugosité, peuvent entraîner des concentrations de contraintes qui induisent des zones de fragilité supplémentaires.
Les sollicitations thermiques peuvent avoir pour origine l'environnement général ou la chaleur générée par le frottement dans le contact.
Les sollicitations physicochimiques sont le fait des agressions environnementales du milieu extérieur pouvant se traduire par des phénomènes de corrosion ou d'oxydation ou dans certaines circonstances par des phénomènes de fragilisation.
Pour les composants à fonctions tribologiques, à ces sollicitations s'ajoutent celles générées par les actions de contact et qui peuvent être d'origines mécaniques, thermiques, électriques et physicochimiques.
Il importe donc que les propriétés des couches superficielles soient supérieures à celles requises pour les matériaux en volume. Réaliser des propriétés de haut niveau sur tout le volume des composants, exigerait, en effet, des matériaux d'un coût trop élevé et de mise en œuvre difficile ou pourrait même entraîner des inconvénients tels qu'une fragilisation ou un manque de souplesse du composant.
Ces difficultés peuvent être résolues par les traitements ou revêtements des surfaces qui permettent de donner aux surfaces des propriétés leur assurant une résistance satisfaisante aux différents types de sollicitation qu'elles subissent, tout en gardant à cœur des matériaux aux propriétés moins élevées, moins onéreux ou de mise en œuvre plus facile.
Les traitements et revêtements de surfaces ont fait l'objet, au cours des dernières décennies, de développements et modifications qui ont permis d'offrir un choix important de possibilités pour améliorer les propriétés mécaniques des composants, leurs propriétés de résistance aux agressions physicochimiques, ou leurs propriétés pour remplir des fonctions tribologiques. On se propose dans ce dossier de regrouper des éléments permettant de réaliser ce dernier point.REFERENCE : TRI 5 100 DEWEY : 621.8 Date : Février 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...] [article] Traitements et revêtements de surface à usage tribologique [texte imprimé] / René Gras, Auteur . - 2011 . - 23 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 23 p.
Mots-clés : Sollicitations tribologiques Traitements revêtements. Résumé : En cours de fonctionnement, les surfaces des composants mécaniques sont soumises à des sollicitations de type mécanique, thermiques et/ou physicochimique.
Les efforts mécaniques se traduisent par des contraintes qui deviennent maximales près des surfaces ; c'est le cas en sollicitations de flexion ou de torsion. De plus, les irrégularités de surface, forme et rugosité, peuvent entraîner des concentrations de contraintes qui induisent des zones de fragilité supplémentaires.
Les sollicitations thermiques peuvent avoir pour origine l'environnement général ou la chaleur générée par le frottement dans le contact.
Les sollicitations physicochimiques sont le fait des agressions environnementales du milieu extérieur pouvant se traduire par des phénomènes de corrosion ou d'oxydation ou dans certaines circonstances par des phénomènes de fragilisation.
Pour les composants à fonctions tribologiques, à ces sollicitations s'ajoutent celles générées par les actions de contact et qui peuvent être d'origines mécaniques, thermiques, électriques et physicochimiques.
Il importe donc que les propriétés des couches superficielles soient supérieures à celles requises pour les matériaux en volume. Réaliser des propriétés de haut niveau sur tout le volume des composants, exigerait, en effet, des matériaux d'un coût trop élevé et de mise en œuvre difficile ou pourrait même entraîner des inconvénients tels qu'une fragilisation ou un manque de souplesse du composant.
Ces difficultés peuvent être résolues par les traitements ou revêtements des surfaces qui permettent de donner aux surfaces des propriétés leur assurant une résistance satisfaisante aux différents types de sollicitation qu'elles subissent, tout en gardant à cœur des matériaux aux propriétés moins élevées, moins onéreux ou de mise en œuvre plus facile.
Les traitements et revêtements de surfaces ont fait l'objet, au cours des dernières décennies, de développements et modifications qui ont permis d'offrir un choix important de possibilités pour améliorer les propriétés mécaniques des composants, leurs propriétés de résistance aux agressions physicochimiques, ou leurs propriétés pour remplir des fonctions tribologiques. On se propose dans ce dossier de regrouper des éléments permettant de réaliser ce dernier point.REFERENCE : TRI 5 100 DEWEY : 621.8 Date : Février 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...] Théorie du contact de Hertz: contacts ponctuels ou linéiques / Inglebert, Geneviève in Techniques de l'ingénieur TRI, Vol. TRI 2 (Autre)
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 9 p.
Titre : Théorie du contact de Hertz: contacts ponctuels ou linéiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Inglebert, Geneviève, Auteur ; Da Silva Botelho, Tony, Auteur ; Lemaire Caron, Isabelle, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 9 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Contact Hertz Contacts ponctuels Linéquides Résumé : De nombreux contacts intervenant dans les ensembles mécaniques correspondent à un contact suivant un point ou une ligne si l'on idéalise les pièces en présence en les supposant rigides ; ce type de contact constitue la famille des contacts hertziens pour lesquels les premiers éléments de solution ont été proposés par Heinrich Hertz entre 1881 et 1895.
En pratique, sous l'effet d'une force normale au plan tangent commun aux deux pièces, une surface de contact se crée à travers laquelle les efforts sont transmis d'une pièce à l'autre. Ces efforts surfaciques génèrent une répartition spécifique de contraintes (efforts de cohésion) dans la région du contact qui peut entraîner des déformations permanentes ou des endommagements ; il est important de pouvoir les prévoir.
L'application de la théorie de Hertz [HERTZ (H.) - Ueber die Berührung fester elastische rKörper.] à ce contact permet de prévoir la forme et les dimensions de la surface de contact, la répartition d'effort sur cette surface, puis la répartition des contraintes ou efforts de cohésion en sous-couche au voisinage du contact ; on peut ainsi déterminer dans chacun des éléments en contact la zone la plus sollicitée et choisir le matériau ou les techniques de renforcement adaptés.
Les informations à rassembler pour l'étude sont les géométries des deux pièces au voisinage du contact, leur positionnement relatif, le torseur de liaison entre ces deux corps et en particulier la composante normale de sa résultante, les propriétés d'élasticité (module de Young et coefficient de Poisson) des matériaux en contact. Pour le dimensionnement, les limites d'élasticité, de rupture ou de fatigue pourront être nécessaires.
REFERENCE : TRI 200 DEWEY : 621.8 Date : Septembre 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...] [article] Théorie du contact de Hertz: contacts ponctuels ou linéiques [texte imprimé] / Inglebert, Geneviève, Auteur ; Da Silva Botelho, Tony, Auteur ; Lemaire Caron, Isabelle, Auteur . - 2011 . - 9 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 9 p.
Mots-clés : Contact Hertz Contacts ponctuels Linéquides Résumé : De nombreux contacts intervenant dans les ensembles mécaniques correspondent à un contact suivant un point ou une ligne si l'on idéalise les pièces en présence en les supposant rigides ; ce type de contact constitue la famille des contacts hertziens pour lesquels les premiers éléments de solution ont été proposés par Heinrich Hertz entre 1881 et 1895.
En pratique, sous l'effet d'une force normale au plan tangent commun aux deux pièces, une surface de contact se crée à travers laquelle les efforts sont transmis d'une pièce à l'autre. Ces efforts surfaciques génèrent une répartition spécifique de contraintes (efforts de cohésion) dans la région du contact qui peut entraîner des déformations permanentes ou des endommagements ; il est important de pouvoir les prévoir.
L'application de la théorie de Hertz [HERTZ (H.) - Ueber die Berührung fester elastische rKörper.] à ce contact permet de prévoir la forme et les dimensions de la surface de contact, la répartition d'effort sur cette surface, puis la répartition des contraintes ou efforts de cohésion en sous-couche au voisinage du contact ; on peut ainsi déterminer dans chacun des éléments en contact la zone la plus sollicitée et choisir le matériau ou les techniques de renforcement adaptés.
Les informations à rassembler pour l'étude sont les géométries des deux pièces au voisinage du contact, leur positionnement relatif, le torseur de liaison entre ces deux corps et en particulier la composante normale de sa résultante, les propriétés d'élasticité (module de Young et coefficient de Poisson) des matériaux en contact. Pour le dimensionnement, les limites d'élasticité, de rupture ou de fatigue pourront être nécessaires.
REFERENCE : TRI 200 DEWEY : 621.8 Date : Septembre 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 11 p.
Titre : Biolubrifiants Type de document : texte imprimé Auteurs : Woydt, Mathias, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 11 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Biolubrifiants Réglementations Résumé : Un point de départ pour la mise en route des lubrifiants « neutre à l'environnement » ont été les huiles perdues et les fuites accidentelles, les lubrifiants perdus rejoignant les sols et les eaux (voir lac de Constance).
Même en prenant en compte les voies du recyclage, la combustion dans les moteurs et les fuites connues, environ 30 % (entre 20 % et 40 %, selon les études) du volume de lubrifiants entre dans l'environnement par des voies non attribuables ou est probablement mis en décharge de manière illégale.
Avec de tels chiffres publics, les arguments des lobbyistes de l'industrie pétrochimique, affirmant que, dans la plupart des applications, les fluides sont enfermés dans des réservoirs clos et étanches, ne convainquent pas les politiques. C'est aussi peut-être parce que, en Allemagne, environ 60 % des particuliers changent leur huile eux-mêmes.
Dans une année d'économie normale, environ 4,5 millions de tonnes de lubrifiants neufs sont vendues dans l'Europe des 15.
Au début des années 1990, un ensemble de lois et décrets sur l'environnement, ainsi que des normes techniques, ont été imposés en Allemagne, Autriche, Suisse, Suède et ont trouvé entre-temps leurs homologues européens. La tendance a été, dans un premier temps, de réduire les risques pour l'environnement et de protéger les ressources d'eau potable, les forêts et la nature contre des fluides hasardeux émis en cas de fuites, d'avaries et de vidanges par les industries, les particuliers et les chantiers de constructions.
Le « scope » de la ISO 15380 pour huiles hydrauliques souligne au niveau international cette approche.
Les huiles non dommageables pour l'environnement avaient, dès le début, intéressé les ministères de l'agriculture plus par la vision « agrolube/agrilube », ou « biosourcés », que par le souci d'approvisionner le marché en « biolubrifiants ». Il s'agissait de maintenir une activité économique en agriculture, de créer et soutenir des emplois ainsi que d'assurer la gestion des territoires. En conséquence, les esters à base de ressources végétales étaient favorisés, même si les définitions de « biobasées » incluent les ressources végétales et animales ainsi marines. Les huiles végétales se trouvent en abondance dans la nature sous formes d'esters gras appelés triglycérides (voir 3) tels que :
* le colza et le tournesol (Europe) ;
* le colza, le tournesol, le soja, le coco, l'olive, la palme (Chine, Malaisie, Thaïlande, Russie, Argentine, Philippines, Indonésie) ;
* le jatropha (régions sémi-arides telles que l'Inde et l'Afrique)
* les algues ;
* les huiles alimentaires recyclées.
Les aspects scientifiques et technologiques, ainsi que les relations structure-propriété des huiles de base, répondant aux critères des « biolubrifiants », sont détaillés dans les références [RANDLES (S.J.) - Esters,] [RANDLES (S.J.) et WRIGHT (M.) - Environmentally considerate Ester Lubricants for the Automotive and Engineering Industry,] [TEPINA (V.) et VESEL (V.) - Lubricants and Special Fluids] pour les esters, [MATLOCK (P.L.), BROWN (W.L.) et CLINTON (N.A.) - Polyalkylene glycols,] [WOYDT (M.) - Polyalkyleneglycols as next generation engine oils] pour les polyglycols et plus généralement dans [BRIANT (J.), DENIS (J.) et PARC (G.) - Propriétés rhéologiques des lubrifiants ] [WOYDT (M.) - No /Low SAP and Alternative Engine Oil Development and Testing] .
REFERENCE : TRI 1 800 DEWEY : 621.8 Date : Septembre 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...] [article] Biolubrifiants [texte imprimé] / Woydt, Mathias, Auteur . - 2011 . - 11 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 11 p.
Mots-clés : Biolubrifiants Réglementations Résumé : Un point de départ pour la mise en route des lubrifiants « neutre à l'environnement » ont été les huiles perdues et les fuites accidentelles, les lubrifiants perdus rejoignant les sols et les eaux (voir lac de Constance).
Même en prenant en compte les voies du recyclage, la combustion dans les moteurs et les fuites connues, environ 30 % (entre 20 % et 40 %, selon les études) du volume de lubrifiants entre dans l'environnement par des voies non attribuables ou est probablement mis en décharge de manière illégale.
Avec de tels chiffres publics, les arguments des lobbyistes de l'industrie pétrochimique, affirmant que, dans la plupart des applications, les fluides sont enfermés dans des réservoirs clos et étanches, ne convainquent pas les politiques. C'est aussi peut-être parce que, en Allemagne, environ 60 % des particuliers changent leur huile eux-mêmes.
Dans une année d'économie normale, environ 4,5 millions de tonnes de lubrifiants neufs sont vendues dans l'Europe des 15.
Au début des années 1990, un ensemble de lois et décrets sur l'environnement, ainsi que des normes techniques, ont été imposés en Allemagne, Autriche, Suisse, Suède et ont trouvé entre-temps leurs homologues européens. La tendance a été, dans un premier temps, de réduire les risques pour l'environnement et de protéger les ressources d'eau potable, les forêts et la nature contre des fluides hasardeux émis en cas de fuites, d'avaries et de vidanges par les industries, les particuliers et les chantiers de constructions.
Le « scope » de la ISO 15380 pour huiles hydrauliques souligne au niveau international cette approche.
Les huiles non dommageables pour l'environnement avaient, dès le début, intéressé les ministères de l'agriculture plus par la vision « agrolube/agrilube », ou « biosourcés », que par le souci d'approvisionner le marché en « biolubrifiants ». Il s'agissait de maintenir une activité économique en agriculture, de créer et soutenir des emplois ainsi que d'assurer la gestion des territoires. En conséquence, les esters à base de ressources végétales étaient favorisés, même si les définitions de « biobasées » incluent les ressources végétales et animales ainsi marines. Les huiles végétales se trouvent en abondance dans la nature sous formes d'esters gras appelés triglycérides (voir 3) tels que :
* le colza et le tournesol (Europe) ;
* le colza, le tournesol, le soja, le coco, l'olive, la palme (Chine, Malaisie, Thaïlande, Russie, Argentine, Philippines, Indonésie) ;
* le jatropha (régions sémi-arides telles que l'Inde et l'Afrique)
* les algues ;
* les huiles alimentaires recyclées.
Les aspects scientifiques et technologiques, ainsi que les relations structure-propriété des huiles de base, répondant aux critères des « biolubrifiants », sont détaillés dans les références [RANDLES (S.J.) - Esters,] [RANDLES (S.J.) et WRIGHT (M.) - Environmentally considerate Ester Lubricants for the Automotive and Engineering Industry,] [TEPINA (V.) et VESEL (V.) - Lubricants and Special Fluids] pour les esters, [MATLOCK (P.L.), BROWN (W.L.) et CLINTON (N.A.) - Polyalkylene glycols,] [WOYDT (M.) - Polyalkyleneglycols as next generation engine oils] pour les polyglycols et plus généralement dans [BRIANT (J.), DENIS (J.) et PARC (G.) - Propriétés rhéologiques des lubrifiants ] [WOYDT (M.) - No /Low SAP and Alternative Engine Oil Development and Testing] .
REFERENCE : TRI 1 800 DEWEY : 621.8 Date : Septembre 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/tribologie-ti [...] Tribologie des textiles / Marie-Ange Bueno in Techniques de l'ingénieur TRI, Vol. TRI 2 (Autre)
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 18 p.
Titre : Tribologie des textiles Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Ange Bueno, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 18 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Triboligie Textiles Résumé : Les textiles sont des matériaux multi-échelles, comme tout matériau, mais dont les éléments aux différentes échelles sont visibles à l'œil nu. De plus, ces éléments sont élancés : au moins une de leur dimension est négligeable devant les autres. L'entité élémentaire est la fibre. Plusieurs fibres sont assemblées pour former un fil. Les fils linéiques sont transformés en surface par tricotage, tissage ou tressage. Il est également possible de réaliser une surface textile directement par assemblage de fibres, il s'agit des non-tissés. La cohésion du fil, du tissu, du tricot, de la tresse ou encore de la plupart des non-tissés est due uniquement au frottement.
Les forces de frottement entre les fibres ou entre les fils sont plus faibles que les forces physico-chimiques reliant les molécules à l'origine de la cohésion des matériaux homogènes. Les matériaux textiles sont alors plus souples que les matériaux homogènes équivalents (même masse linéique ou surfacique et même matériau de constitution).
Le tissage ou le tressage permettent d'augmenter la cohésion du fil précurseur, donc sa force de rupture.
Le frottement dans le matériau textile est donc à l'origine de sa grande souplesse et résistance mécanique et de sa capacité à être mis en forme sous faibles sollicitations, d'où une utilisation non seulement en habillement, mais également comme renfort de matériaux composites, en génie civil, dans l'industrie, dans le secteur médical...
Outre les frottements dans le matériau textile, le comportement tribologique d'un textile lors du contact avec d'autres matériaux est important :
* lors du procédé de fabrication dans le cas du contact avec les organes des machines, au cours de la formation du textile linéique ou surfacique ou encore pendant les opérations d'ennoblissement (traitements chimiques et mécaniques visant à conférer au textile ses propriétés organoleptiques et fonctionnelles finales) ;
* lors de son utilisation finale avec les cas particuliers des contacts peau-textile dans l'habillement ou le vêtement de sport, et textiles-textiles [B 5330] par exemple.
Nota
un matériau est élancé lorsqu'au moins une de ses dimensions est négligeable devant les autres, le rapport entre les longueurs doit être de quelques dizaines au minimum.
REFERENCE : TRI 4 400 DEWEY : 621.8 Date : Septembre 2011 [article] Tribologie des textiles [texte imprimé] / Marie-Ange Bueno, Auteur . - 2011 . - 18 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 18 p.
Mots-clés : Triboligie Textiles Résumé : Les textiles sont des matériaux multi-échelles, comme tout matériau, mais dont les éléments aux différentes échelles sont visibles à l'œil nu. De plus, ces éléments sont élancés : au moins une de leur dimension est négligeable devant les autres. L'entité élémentaire est la fibre. Plusieurs fibres sont assemblées pour former un fil. Les fils linéiques sont transformés en surface par tricotage, tissage ou tressage. Il est également possible de réaliser une surface textile directement par assemblage de fibres, il s'agit des non-tissés. La cohésion du fil, du tissu, du tricot, de la tresse ou encore de la plupart des non-tissés est due uniquement au frottement.
Les forces de frottement entre les fibres ou entre les fils sont plus faibles que les forces physico-chimiques reliant les molécules à l'origine de la cohésion des matériaux homogènes. Les matériaux textiles sont alors plus souples que les matériaux homogènes équivalents (même masse linéique ou surfacique et même matériau de constitution).
Le tissage ou le tressage permettent d'augmenter la cohésion du fil précurseur, donc sa force de rupture.
Le frottement dans le matériau textile est donc à l'origine de sa grande souplesse et résistance mécanique et de sa capacité à être mis en forme sous faibles sollicitations, d'où une utilisation non seulement en habillement, mais également comme renfort de matériaux composites, en génie civil, dans l'industrie, dans le secteur médical...
Outre les frottements dans le matériau textile, le comportement tribologique d'un textile lors du contact avec d'autres matériaux est important :
* lors du procédé de fabrication dans le cas du contact avec les organes des machines, au cours de la formation du textile linéique ou surfacique ou encore pendant les opérations d'ennoblissement (traitements chimiques et mécaniques visant à conférer au textile ses propriétés organoleptiques et fonctionnelles finales) ;
* lors de son utilisation finale avec les cas particuliers des contacts peau-textile dans l'habillement ou le vêtement de sport, et textiles-textiles [B 5330] par exemple.
Nota
un matériau est élancé lorsqu'au moins une de ses dimensions est négligeable devant les autres, le rapport entre les longueurs doit être de quelques dizaines au minimum.
REFERENCE : TRI 4 400 DEWEY : 621.8 Date : Septembre 2011
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 12 p.
Titre : Introduction à la tribologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Frêne, Jean, Auteur ; Hamid Zaïdi, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 12 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Résumé : Le nom tribologie a été créé en Angleterre ; il a été utilisé pour la première fois dans le rapport [1] présenté le 23 novembre 1965 au Minister of State for Education and Science et publié en février 1966. Ce nom vient du grec τρβειν (tribein : frotter) et λóγος (logos : parole, étude ou science ); ainsi la tribologie est l'étude ou la science du frottement. Plus généralement la tribologie concerne l'étude des surfaces en contact et en mouvement relatif, elle regroupe ainsi la lubrification, le frottement et l'usure des éléments de machine. Notons que la notion de frottement a été définie dans les études remarquables [2] de Léonard de Vinci, de Guillaume Amontons et de Charles Coulomb aux xve, xvie et xviiie siècles. Le frottement fait intervenir de nombreux phénomènes, mais de façon simple on peut le définir comme étant l'action qui tend à s'opposer au déplacement relatif de deux solides en contact. De même l'usure, qui peut prendre de très nombreuses formes, correspond à la détérioration des surfaces au cours de leur utilisation.
La tribologie est présente dans la plupart des activités humaines et son domaine, depuis ces cinquante dernières années, s'est largement développé. On peut citer, entre autres, la marche humaine avec l'adhérence au sol, le comportement des articulations et le développement des prothèses, la tenue d'objets à la main, ou encore la tenue du fœtus dans le placenta, la tenue sur route des roues de voitures qui se trouvent paralysées les jours de verglas ou de neige, le ski sur piste, le patinage artistique, la production de sons musicaux par frottement d'un archet contre les cordes tendues d'un violon, les têtes de lecture des disques magnétiques des ordinateurs, le vernis antirayures des verres de lunettes, la mise en forme des matériaux... et même la recherche sur les activités de l'homme, pendant la Préhistoire. Cette énumération n'est bien évidemment pas exhaustive.
Pour souligner l'importance de la tribologie, il faut noter que, dans les pays développés, les pertes par frottement et usure représentent entre 3,5 et 4 % du PIB et que dans une automobile moderne plus de 25 % de la puissance affichée du moteur est perdue en frottement. Enfin selon une étude récente du CETIM, 80 % des avaries des pièces mécaniques commencent en surface ; ainsi la surface est actuellement une réelle butée technologique.REFERENCE : TRI 100 DEWEY : 621.8 Date : Décembre 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/frottement-et [...] [article] Introduction à la tribologie [texte imprimé] / Frêne, Jean, Auteur ; Hamid Zaïdi, Auteur . - 2011 . - 12 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 12 p.
Résumé : Le nom tribologie a été créé en Angleterre ; il a été utilisé pour la première fois dans le rapport [1] présenté le 23 novembre 1965 au Minister of State for Education and Science et publié en février 1966. Ce nom vient du grec τρβειν (tribein : frotter) et λóγος (logos : parole, étude ou science ); ainsi la tribologie est l'étude ou la science du frottement. Plus généralement la tribologie concerne l'étude des surfaces en contact et en mouvement relatif, elle regroupe ainsi la lubrification, le frottement et l'usure des éléments de machine. Notons que la notion de frottement a été définie dans les études remarquables [2] de Léonard de Vinci, de Guillaume Amontons et de Charles Coulomb aux xve, xvie et xviiie siècles. Le frottement fait intervenir de nombreux phénomènes, mais de façon simple on peut le définir comme étant l'action qui tend à s'opposer au déplacement relatif de deux solides en contact. De même l'usure, qui peut prendre de très nombreuses formes, correspond à la détérioration des surfaces au cours de leur utilisation.
La tribologie est présente dans la plupart des activités humaines et son domaine, depuis ces cinquante dernières années, s'est largement développé. On peut citer, entre autres, la marche humaine avec l'adhérence au sol, le comportement des articulations et le développement des prothèses, la tenue d'objets à la main, ou encore la tenue du fœtus dans le placenta, la tenue sur route des roues de voitures qui se trouvent paralysées les jours de verglas ou de neige, le ski sur piste, le patinage artistique, la production de sons musicaux par frottement d'un archet contre les cordes tendues d'un violon, les têtes de lecture des disques magnétiques des ordinateurs, le vernis antirayures des verres de lunettes, la mise en forme des matériaux... et même la recherche sur les activités de l'homme, pendant la Préhistoire. Cette énumération n'est bien évidemment pas exhaustive.
Pour souligner l'importance de la tribologie, il faut noter que, dans les pays développés, les pertes par frottement et usure représentent entre 3,5 et 4 % du PIB et que dans une automobile moderne plus de 25 % de la puissance affichée du moteur est perdue en frottement. Enfin selon une étude récente du CETIM, 80 % des avaries des pièces mécaniques commencent en surface ; ainsi la surface est actuellement une réelle butée technologique.REFERENCE : TRI 100 DEWEY : 621.8 Date : Décembre 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/frottement-et [...] Caractérisation physico-chimique de revêtements et films minces à applications tribologiques / Darque-Cretti, Évelyne in Techniques de l'ingénieur TRI, Vol. TRI 2 (Autre)
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 15 p.
Titre : Caractérisation physico-chimique de revêtements et films minces à applications tribologiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Darque-Cretti, Évelyne, Auteur ; Eric Felder, Auteur ; Monasse, Bernard, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 15 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Applications tribologiques Résumé : Lorsque deux corps solides sont en contact, il faut exercer une force ou un couple pour vaincre la résistance au mouvement relatif : c'est le frottement et, plus précisément, le frottement dit statique qui s'oppose à ce mouvement relatif. Au fur et à mesure que se poursuit le mouvement relatif des deux corps, le frottement évolue (frottement dynamique) et il se produit un endommagement de leur surface : formation de rayures, changement d'aspect, perte ou gain de matière (usure ou transfert), transformation physico-chimique. Pour maîtriser le frottement, limiter l'usure, le transfert et la dégradation superficielle, on peut lubrifier le contact, c'est-à-dire interposer un corps fluide ou solide aisément cisaillable, et/ou revêtir les corps d'un film d'épaisseur submicronique ou micronique. La tribologie est l'étude de ces phénomènes de frottement, lubrification et usure qui concernent aussi bien les éléments de machine que les contacts roue-rail et pneumatique/revêtements routiers, le freinage, la mise en forme des matériaux. Dans cet article des exemples sont traités, ils servent d'illustration aux modes de fonctionnement. Ils concernent des solutions classiques ou des solutions futures qui sont actuellement l'objet de recherches. Mais il faut noter que pour une application décrite les objectifs peuvent être multiples : en effet il est parfois nécessaire de maîtriser le frottement et en même temps de limiter l'usure et l'endommagement. Les exemples seront donc traités en conséquence. Le but est de comprendre le lien entre la tribologie, qui est généralement une approche mécanique des matériaux, et la physico-chimie. On notera que l'épaisseur des revêtements est adaptée à l'application. On montrera l'intérêt de la solution revêtue par rapport au substrat nu. Ceci nécessite au premier chef que le revêtement adhère bien au substrat. En préambule, on discute donc le problème de son adhésion sur le substrat. REFERENCE : TRI 5 110 Date : Mars 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/frottement-et [...] [article] Caractérisation physico-chimique de revêtements et films minces à applications tribologiques [texte imprimé] / Darque-Cretti, Évelyne, Auteur ; Eric Felder, Auteur ; Monasse, Bernard, Auteur . - 2011 . - 15 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 15 p.
Mots-clés : Applications tribologiques Résumé : Lorsque deux corps solides sont en contact, il faut exercer une force ou un couple pour vaincre la résistance au mouvement relatif : c'est le frottement et, plus précisément, le frottement dit statique qui s'oppose à ce mouvement relatif. Au fur et à mesure que se poursuit le mouvement relatif des deux corps, le frottement évolue (frottement dynamique) et il se produit un endommagement de leur surface : formation de rayures, changement d'aspect, perte ou gain de matière (usure ou transfert), transformation physico-chimique. Pour maîtriser le frottement, limiter l'usure, le transfert et la dégradation superficielle, on peut lubrifier le contact, c'est-à-dire interposer un corps fluide ou solide aisément cisaillable, et/ou revêtir les corps d'un film d'épaisseur submicronique ou micronique. La tribologie est l'étude de ces phénomènes de frottement, lubrification et usure qui concernent aussi bien les éléments de machine que les contacts roue-rail et pneumatique/revêtements routiers, le freinage, la mise en forme des matériaux. Dans cet article des exemples sont traités, ils servent d'illustration aux modes de fonctionnement. Ils concernent des solutions classiques ou des solutions futures qui sont actuellement l'objet de recherches. Mais il faut noter que pour une application décrite les objectifs peuvent être multiples : en effet il est parfois nécessaire de maîtriser le frottement et en même temps de limiter l'usure et l'endommagement. Les exemples seront donc traités en conséquence. Le but est de comprendre le lien entre la tribologie, qui est généralement une approche mécanique des matériaux, et la physico-chimie. On notera que l'épaisseur des revêtements est adaptée à l'application. On montrera l'intérêt de la solution revêtue par rapport au substrat nu. Ceci nécessite au premier chef que le revêtement adhère bien au substrat. En préambule, on discute donc le problème de son adhésion sur le substrat. REFERENCE : TRI 5 110 Date : Mars 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/frottement-et [...] Tribologie des bétons à ultra-haute performance / Matthieu Horgnies in Techniques de l'ingénieur TRI, Vol. TRI 2 (Autre)
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 21 p.
Titre : Tribologie des bétons à ultra-haute performance : propriétés de surface et revêtements de protection Type de document : texte imprimé Auteurs : Matthieu Horgnies, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 21 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Esthétique Revêtement de protection Adhésion Tâchage Résumé : Les bétons à ultra-haute performance (BUHP) sont de plus en plus utilisés comme éléments de façades ou d’intérieur. Leur formulation et des conditions de coffrage spécifiques induisent un aspect minéral uniforme après décoffrage. Leurs caractéristiques de surface peuvent néanmoins favoriser l’apparition de taches et d’efflorescences et influencer l’adhésion des revêtements protecteurs. Il est donc nécessaire de cerner les agressions/taches que subira le BUHP lors de son exposition afin d’effectuer le traitement de surface adéquat. REFERENCE : TRI 4 600 Date : Juin 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/les-betons [...] [article] Tribologie des bétons à ultra-haute performance : propriétés de surface et revêtements de protection [texte imprimé] / Matthieu Horgnies, Auteur . - 2011 . - 21 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 21 p.
Mots-clés : Esthétique Revêtement de protection Adhésion Tâchage Résumé : Les bétons à ultra-haute performance (BUHP) sont de plus en plus utilisés comme éléments de façades ou d’intérieur. Leur formulation et des conditions de coffrage spécifiques induisent un aspect minéral uniforme après décoffrage. Leurs caractéristiques de surface peuvent néanmoins favoriser l’apparition de taches et d’efflorescences et influencer l’adhésion des revêtements protecteurs. Il est donc nécessaire de cerner les agressions/taches que subira le BUHP lors de son exposition afin d’effectuer le traitement de surface adéquat. REFERENCE : TRI 4 600 Date : Juin 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/les-betons [...] Tribologie des couches minces appliquée au contact ohmique des microrelais / Arrazat, Brice in Techniques de l'ingénieur TRI, Vol. TRI 2 (Autre)
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 18 p.
Titre : Tribologie des couches minces appliquée au contact ohmique des microrelais Type de document : texte imprimé Auteurs : Arrazat, Brice, Auteur ; Inal, Karim, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 18 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Film mince Nano-indentation Nanorugosités Adhésion Microélectronique Microrelais MEMS ohmique Résumé : Afin d’étudier la tribologie des couches minces d’or, des expériences de nano-indentation sphérique aux faibles forces (< 2mN) sont couplées à des traitements d’images réalisées au microscope à force atomique. Ainsi, l’évolution des forces d’adhésion, et donc le risque de stiction du contact, est interprétée en fonction de la rugosité RMS, du rayon de courbure moyen et de la répartition en hauteur du sommet des aspérités de la surface. Une approche discrète est proposée et confrontée à une modélisation étendue du contact rugueux, prenant en compte la déformation de chaque aspérité (de quelques nanomètres), mettant en évidence le faible nombre d’aspérités finalement en contact (< 50 %) et une aire réelle de contact associé de l’ordre de 25 % de l’aire apparente de contact. REFERENCE : TRI 4 700 Date : Septembre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/materiaux-et- [...] [article] Tribologie des couches minces appliquée au contact ohmique des microrelais [texte imprimé] / Arrazat, Brice, Auteur ; Inal, Karim, Auteur . - 2011 . - 18 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 18 p.
Mots-clés : Film mince Nano-indentation Nanorugosités Adhésion Microélectronique Microrelais MEMS ohmique Résumé : Afin d’étudier la tribologie des couches minces d’or, des expériences de nano-indentation sphérique aux faibles forces (< 2mN) sont couplées à des traitements d’images réalisées au microscope à force atomique. Ainsi, l’évolution des forces d’adhésion, et donc le risque de stiction du contact, est interprétée en fonction de la rugosité RMS, du rayon de courbure moyen et de la répartition en hauteur du sommet des aspérités de la surface. Une approche discrète est proposée et confrontée à une modélisation étendue du contact rugueux, prenant en compte la déformation de chaque aspérité (de quelques nanomètres), mettant en évidence le faible nombre d’aspérités finalement en contact (< 50 %) et une aire réelle de contact associé de l’ordre de 25 % de l’aire apparente de contact. REFERENCE : TRI 4 700 Date : Septembre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/materiaux-et- [...] Dégradation et usure des revêtements routiers souples / Hassan Baaj in Techniques de l'ingénieur TRI, Vol. TRI 2 (Autre)
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 13 p.
Titre : Dégradation et usure des revêtements routiers souples Type de document : texte imprimé Auteurs : Hassan Baaj, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 13 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Usure, Revêtements routiers, Dégradation, Construction routière Réhabilitation routière, Enrobé bitumineux, Génie civil, Matériaux de construction Résumé : Cet article présente un panorama des principaux modes de dégradation et d’usure des revêtements routiers souples. La chaussée subit pendant sa vie plusieurs types de sollicitation. Le trafic des véhicules lourds ainsi que les variations thermiques sont les principales causes de dégradation d’une route. L’article aborde le rôle de ces sollicitations sur le comportement de la chaussée. Les modes de dégradation sont également présentés avec des explications des phénomènes qui mènent à leurs apparitions. REFERENCE : TRI 4 620 Date : Décembre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/les-routes [...] [article] Dégradation et usure des revêtements routiers souples [texte imprimé] / Hassan Baaj, Auteur . - 2011 . - 13 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 13 p.
Mots-clés : Usure, Revêtements routiers, Dégradation, Construction routière Réhabilitation routière, Enrobé bitumineux, Génie civil, Matériaux de construction Résumé : Cet article présente un panorama des principaux modes de dégradation et d’usure des revêtements routiers souples. La chaussée subit pendant sa vie plusieurs types de sollicitation. Le trafic des véhicules lourds ainsi que les variations thermiques sont les principales causes de dégradation d’une route. L’article aborde le rôle de ces sollicitations sur le comportement de la chaussée. Les modes de dégradation sont également présentés avec des explications des phénomènes qui mènent à leurs apparitions. REFERENCE : TRI 4 620 Date : Décembre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/les-routes [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 14 p.
Titre : Tribologie des céramiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Woydt, Mathias, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Tribologie; Céramiques Résumé : Les céramiques modernes sont différentes des céramiques traditionnelles (carrelage, matériaux de construction, porcelaine) ; on les distingue par des adjectifs tels que « techniques », « industrielles » ou « thermomécaniques ».
Les céramiques industrielles sont caractérisées par leur caractère réfractaire marqué et de grandes duretés. Leur médiocre ténacité explique leur sensibilité à la présence de défauts, d'où leur réputation d´être peu résistantes et cassantes.
Les céramiques techniques sont utilisées pour :
leurs propriétés électriques ou diélectriques ;
leurs propriétés magnétiques et de supraconducteurs ;
leurs propriétés optiques ;
leurs propriétés chimiques ;
leurs propriétés biologiques ;
leurs propriétés nucléaires.
En outre, elles sont employées pour leurs propriétés mécaniques, thermo-mécaniques et tribologiques, ainsi que pour leur tenue face à la corrosion. Nous allons nous concentrer sur leur comportement tribologique.
REFERENCE : TRI 4 550 Date : Mars 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/ceramiques-i [...] [article] Tribologie des céramiques [texte imprimé] / Woydt, Mathias, Auteur . - 2011 . - 14 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 14 p.
Mots-clés : Tribologie; Céramiques Résumé : Les céramiques modernes sont différentes des céramiques traditionnelles (carrelage, matériaux de construction, porcelaine) ; on les distingue par des adjectifs tels que « techniques », « industrielles » ou « thermomécaniques ».
Les céramiques industrielles sont caractérisées par leur caractère réfractaire marqué et de grandes duretés. Leur médiocre ténacité explique leur sensibilité à la présence de défauts, d'où leur réputation d´être peu résistantes et cassantes.
Les céramiques techniques sont utilisées pour :
leurs propriétés électriques ou diélectriques ;
leurs propriétés magnétiques et de supraconducteurs ;
leurs propriétés optiques ;
leurs propriétés chimiques ;
leurs propriétés biologiques ;
leurs propriétés nucléaires.
En outre, elles sont employées pour leurs propriétés mécaniques, thermo-mécaniques et tribologiques, ainsi que pour leur tenue face à la corrosion. Nous allons nous concentrer sur leur comportement tribologique.
REFERENCE : TRI 4 550 Date : Mars 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/ceramiques-i [...] Débris d'usure - Indices connexes en tribologie / Richard, Caroline in Techniques de l'ingénieur TRI, Vol. TRI 2 (Autre)
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 13 p.
Titre : Débris d'usure - Indices connexes en tribologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Richard, Caroline, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 13 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Débris d'usure; Troisième corps; Contamination of tribological contacts; Ferrographie; Analyse d'image Résumé : Quel que soit le type de contact entre deux pièces mécaniques, le frottement et l’usure qui en découlent peuvent amener à la génération de débris. Ceux-ci peuvent se révéler d’excellents indices afin d’expliciter les mécanismes d’usure intervenus. Ici sont répertoriés les notions de troisième corps, de circuit tribologique ainsi que les différents paramètres et méthodes permettant de caractériser la morphologie des particules d’usure. Un exemple typique est donné concernant les débris d’usure souvent désignés comme responsables de l’échec d’implantation des prothèses orthopédiques. REFERENCE : TRI 1 450 Date : JUIN 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/frottement-et [...] [article] Débris d'usure - Indices connexes en tribologie [texte imprimé] / Richard, Caroline, Auteur . - 2011 . - 13 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - 13 p.
Mots-clés : Débris d'usure; Troisième corps; Contamination of tribological contacts; Ferrographie; Analyse d'image Résumé : Quel que soit le type de contact entre deux pièces mécaniques, le frottement et l’usure qui en découlent peuvent amener à la génération de débris. Ceux-ci peuvent se révéler d’excellents indices afin d’expliciter les mécanismes d’usure intervenus. Ici sont répertoriés les notions de troisième corps, de circuit tribologique ainsi que les différents paramètres et méthodes permettant de caractériser la morphologie des particules d’usure. Un exemple typique est donné concernant les débris d’usure souvent désignés comme responsables de l’échec d’implantation des prothèses orthopédiques. REFERENCE : TRI 1 450 Date : JUIN 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/frottement-et [...] Tribologie des prothèses de hanche / Stefano Mischler in Techniques de l'ingénieur TRI, Vol. TRI 2 (Autre)
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - pp. 1-8
Titre : Tribologie des prothèses de hanche Type de document : texte imprimé Auteurs : Stefano Mischler, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp. 1-8 Note générale : Matériaux fonctionnels Langues : Français (fre) Mots-clés : frottement; usure; lubrification; prothèse de hanche Résumé : L'implantation d'une prothèse d"articulation de hanche est devenue une opération courante en chirurgie orthopédique avec un fort taux de succès. Dans le monde, le nombre de prothèses de hanche implantées annuellement se chiffre désormais en centaines de milliers voire en millions. La réussite d'une opération d'arthroplastie de la hanche requiert, d'une part, des prothèses mécaniquement et chimiquement stables et, d'autre part, des procédures cliniques adaptées. Du point de vue de l'ingénierie, le challenge est très complexe et consiste à produire des prothèses de forme adaptée à l'anatomie humaine et qui assurent à la fois leur rôle structurel et de répartition des charges ainsi que la fonctionnalité articulaire. Les matériaux utilisés doivent répondre à une série de spécifications : absence de toxicité, bonne biocompatibilité, résistance mécanique, bonne endurance à la fatigue, résistance aux chocs, tenue à la corrosion par les fluides corporels. Pour les parties articulaires et d'ancrage avec l'os s'ajoute la nécessité d'un comportement tribologique approprié. Dans cet article, la thématique de prothèses de hanche sera considérée uniquement du point de vue tribologique avec l'intention d'illustrer l'application, dans l'ingénierie des implants, des concepts de base liés au frottement, à la lubrification et à l'usure. L'article se concentrera sur la tribologie du joint articulaire et ne traitera pas, pour des raisons d'espace, la thématique de l'ancrage de la prothèse dans l'os et des points de contact statiques dans les prothèses modulaires.
L'article comporte, après cette introduction, une section énonçant les principaux matériaux utilisés pour la réalisation de prothèses suivie d'une section décrivant les aspects tribologiques de l'articulation synoviale naturelle. On présentera par la suite les concepts, avantages et limitations des prothèses à faible frottement et à faible usure. L'article se concluera par un bref bilan et un aperçu de perspectives de développement.Note de contenu : Bibliogr. REFERENCE : TRI 4800 Date : septembre 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-sp [...] [article] Tribologie des prothèses de hanche [texte imprimé] / Stefano Mischler, Auteur . - 2011 . - pp. 1-8.
Matériaux fonctionnels
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - pp. 1-8
Mots-clés : frottement; usure; lubrification; prothèse de hanche Résumé : L'implantation d'une prothèse d"articulation de hanche est devenue une opération courante en chirurgie orthopédique avec un fort taux de succès. Dans le monde, le nombre de prothèses de hanche implantées annuellement se chiffre désormais en centaines de milliers voire en millions. La réussite d'une opération d'arthroplastie de la hanche requiert, d'une part, des prothèses mécaniquement et chimiquement stables et, d'autre part, des procédures cliniques adaptées. Du point de vue de l'ingénierie, le challenge est très complexe et consiste à produire des prothèses de forme adaptée à l'anatomie humaine et qui assurent à la fois leur rôle structurel et de répartition des charges ainsi que la fonctionnalité articulaire. Les matériaux utilisés doivent répondre à une série de spécifications : absence de toxicité, bonne biocompatibilité, résistance mécanique, bonne endurance à la fatigue, résistance aux chocs, tenue à la corrosion par les fluides corporels. Pour les parties articulaires et d'ancrage avec l'os s'ajoute la nécessité d'un comportement tribologique approprié. Dans cet article, la thématique de prothèses de hanche sera considérée uniquement du point de vue tribologique avec l'intention d'illustrer l'application, dans l'ingénierie des implants, des concepts de base liés au frottement, à la lubrification et à l'usure. L'article se concentrera sur la tribologie du joint articulaire et ne traitera pas, pour des raisons d'espace, la thématique de l'ancrage de la prothèse dans l'os et des points de contact statiques dans les prothèses modulaires.
L'article comporte, après cette introduction, une section énonçant les principaux matériaux utilisés pour la réalisation de prothèses suivie d'une section décrivant les aspects tribologiques de l'articulation synoviale naturelle. On présentera par la suite les concepts, avantages et limitations des prothèses à faible frottement et à faible usure. L'article se concluera par un bref bilan et un aperçu de perspectives de développement.Note de contenu : Bibliogr. REFERENCE : TRI 4800 Date : septembre 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-sp [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - pp. 1-12
Titre : Biolubrifiants Type de document : texte imprimé Auteurs : Woydt, Mathias, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp. 1-12 Note générale : Tribologie Langues : Français (fre) Mots-clés : Biolubrifiants; Réglementations; Propriétés des biolubrifiants Résumé : En raison d'un trop grand doute sur la dispersion des lubrifiants dans l'environnement, des normes techniques ont été imposées dans certains pays européens. Ces lois et décrets ont permis de réduire les risques pour l'environnement et de protéger les ressources naturelles et les populations. Cependant, des lubrifiants « neutre à l'environnement » existent, mais ces derniers ont été jusqu'à maintenant favorisés dans l'idée de maintenir une activité économique en agriculture, de créer et soutenir des emplois, plutôt que dans un esprit de recherche de « biolubrifiants ». Dans cet article, sont analysées les propriétés des « biolubrifiants » (notamment les esthers végétaux et syntétiques) ainsi que leurs différentes applications. Note de contenu : Bibliogr. REFERENCE : TRI 1800v2 Date : Décembre 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/lubrification [...] [article] Biolubrifiants [texte imprimé] / Woydt, Mathias, Auteur . - 2011 . - pp. 1-12.
Tribologie
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur TRI > Vol. TRI 2 (Autre) . - pp. 1-12
Mots-clés : Biolubrifiants; Réglementations; Propriétés des biolubrifiants Résumé : En raison d'un trop grand doute sur la dispersion des lubrifiants dans l'environnement, des normes techniques ont été imposées dans certains pays européens. Ces lois et décrets ont permis de réduire les risques pour l'environnement et de protéger les ressources naturelles et les populations. Cependant, des lubrifiants « neutre à l'environnement » existent, mais ces derniers ont été jusqu'à maintenant favorisés dans l'idée de maintenir une activité économique en agriculture, de créer et soutenir des emplois, plutôt que dans un esprit de recherche de « biolubrifiants ». Dans cet article, sont analysées les propriétés des « biolubrifiants » (notamment les esthers végétaux et syntétiques) ainsi que leurs différentes applications. Note de contenu : Bibliogr. REFERENCE : TRI 1800v2 Date : Décembre 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/lubrification [...]
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