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Éditeur Ecole Polytechnique de l'Université de Lausanne
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Titre : Algorithmes et machines pour le calcul automatique de systèmes logiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Mange, Daniel, Auteur ; Dessoulavy, R., Directeur de thèse Editeur : Ecole Polytechnique de l'Université de Lausanne Année de publication : 1968 Importance : 43 f. Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Thèse de Doctorat : Génie Electrique : Lausanne, Ecole Polytechnique de l'Université de Lausanne : 1968
Bibliogr. [6] f.Langues : Français (fre) Mots-clés : Équations logiques
Compteurs synchronesIndex. décimale : D000668 Résumé : Calculatrice spécialisée "PIM 4" pour la simplification automatique des fonctions logiques est l'étude des systèmes logiques combinatoires à sortie unique conduit en général à la simplification d'une fonction mise sous la forme canonique.
La méthode systèmatique de McCluskey permet alors de projeter et de construire une calculatrice spécialisée réalisant une telle simplification pour des fonctions de 4 variables logiques au plus.
Cette machine - qui est elle-même combinatoire - détermine tout d'abord l'ensemble des impliquants premiers de la fonction donnée et les affiche simultanément sur un tableau synoptique lumineux; l'introduction des conditions <<Ø>> (<>) permet de plus d'éliminer certains impliquants de la fonction ainsi simplifiée.
Dans les équations logiques du flip-flop, le flip-flop déclenché est considéré comme un circuit logique combinationnel donné par une fonction logique Q+ (caractéristique de l'état futur) de cinq variables: Q (caractéristique de l'état passé), X, Y, V et W (grandeurs d'excitation).
L'introduction de contraintes sur les cinq varibles Q...W permet de retrouver les équations des types particuliers RS, JK, T et D.
Enfin, l'équation générale établie pour le flip-flop déclenché conduit à déterminer rigoureusement la structure logique du flip-flop statique.
La synthèse des compteurs synchrones à l'aide du flip-flop le plus général: alors que la synthèse d'un compteur synchrone à l'aide de flip-flops RS s'effectue de façon univoque, l'emploi de flip-flops plus généraux, du type XYVW, conduit par contre à des solutions multiples.
En montrant que le flip-flop XYVW est équivalent à un flip-flop RS muni de deux portes réalisant les équations logiques S = X•V et R = Y•W, il est alors possible de se ramener à la synthèse relative au type RS; si les fonctions représentatives de S et R se présentent alors sous la forme d'un seul produit élémentaire de variables logiques, il est alors aisé de tirer parti des deux précédentes équations pour minimiser le matériel combinatoire exigé par le compteur donné.
Les équations de synthèse du flip-flop: pour réaliser la synthèse des compteurs synchrones à l'aide de flip-flops RS de manière purement algébrique, il a fallu résoudre l'équation générale de ce flip-flop: Q+ = S + R•Q par rapport aux grandeurs S et R; les nouvelles relations obtenues -de la forme S = S(Q,Q+) et R = R(Q,Q+)- sont appelées <<équations de synthèse>> du flip-flop RS et sont définies chacune au moyen de deux fonctions binaires (S*,Sø et R*,Rø), permettant ainsi de représenter l'état <> (<<Ø>>) en plus des deux états logiques <<0>> et <<1>>.
En rappelant que le flip-flop XYVW est équivalent à un flip-flop RS muni de deux portes réalisant les équations logiques S = X•V et R = Y•W, il est ensuite possible de déduire des <<équations de synthèse>> du flip-flop RS celles relatives au type XYVW.
Calculatrice spécialisée <> pour la synthèse automatique des compteurs synchrones: à partir des <<équations de synthèse>> du flip-flop le plus général (type XYVW), il est possible de projeter une calculatrice spécialisée permettant la synthèse automatique des fonctions combinatoires < > X, Y, V et W des flip-flops d'un compteur synchrone dont la séquence des états est donnée à priori.
Pour quatre flip-flops au maximum, les 16 fonctions <> peuvent être alors synthétisées puis affichées séquentiellement sous leur forme canonique.
De plus, en imposant des contraintes aux grandeurs X, Y, V et/ou W, il est également possible de déterminer les fonctions combinatoires relatives à des flip-flops particuliers: RS, JK, T et D par exemple.Algorithmes et machines pour le calcul automatique de systèmes logiques [texte imprimé] / Mange, Daniel, Auteur ; Dessoulavy, R., Directeur de thèse . - [S.l.] : Ecole Polytechnique de l'Université de Lausanne, 1968 . - 43 f. : ill. ; 30 cm.
Thèse de Doctorat : Génie Electrique : Lausanne, Ecole Polytechnique de l'Université de Lausanne : 1968
Bibliogr. [6] f.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Équations logiques
Compteurs synchronesIndex. décimale : D000668 Résumé : Calculatrice spécialisée "PIM 4" pour la simplification automatique des fonctions logiques est l'étude des systèmes logiques combinatoires à sortie unique conduit en général à la simplification d'une fonction mise sous la forme canonique.
La méthode systèmatique de McCluskey permet alors de projeter et de construire une calculatrice spécialisée réalisant une telle simplification pour des fonctions de 4 variables logiques au plus.
Cette machine - qui est elle-même combinatoire - détermine tout d'abord l'ensemble des impliquants premiers de la fonction donnée et les affiche simultanément sur un tableau synoptique lumineux; l'introduction des conditions <<Ø>> (<>) permet de plus d'éliminer certains impliquants de la fonction ainsi simplifiée.
Dans les équations logiques du flip-flop, le flip-flop déclenché est considéré comme un circuit logique combinationnel donné par une fonction logique Q+ (caractéristique de l'état futur) de cinq variables: Q (caractéristique de l'état passé), X, Y, V et W (grandeurs d'excitation).
L'introduction de contraintes sur les cinq varibles Q...W permet de retrouver les équations des types particuliers RS, JK, T et D.
Enfin, l'équation générale établie pour le flip-flop déclenché conduit à déterminer rigoureusement la structure logique du flip-flop statique.
La synthèse des compteurs synchrones à l'aide du flip-flop le plus général: alors que la synthèse d'un compteur synchrone à l'aide de flip-flops RS s'effectue de façon univoque, l'emploi de flip-flops plus généraux, du type XYVW, conduit par contre à des solutions multiples.
En montrant que le flip-flop XYVW est équivalent à un flip-flop RS muni de deux portes réalisant les équations logiques S = X•V et R = Y•W, il est alors possible de se ramener à la synthèse relative au type RS; si les fonctions représentatives de S et R se présentent alors sous la forme d'un seul produit élémentaire de variables logiques, il est alors aisé de tirer parti des deux précédentes équations pour minimiser le matériel combinatoire exigé par le compteur donné.
Les équations de synthèse du flip-flop: pour réaliser la synthèse des compteurs synchrones à l'aide de flip-flops RS de manière purement algébrique, il a fallu résoudre l'équation générale de ce flip-flop: Q+ = S + R•Q par rapport aux grandeurs S et R; les nouvelles relations obtenues -de la forme S = S(Q,Q+) et R = R(Q,Q+)- sont appelées <<équations de synthèse>> du flip-flop RS et sont définies chacune au moyen de deux fonctions binaires (S*,Sø et R*,Rø), permettant ainsi de représenter l'état <> (<<Ø>>) en plus des deux états logiques <<0>> et <<1>>.
En rappelant que le flip-flop XYVW est équivalent à un flip-flop RS muni de deux portes réalisant les équations logiques S = X•V et R = Y•W, il est ensuite possible de déduire des <<équations de synthèse>> du flip-flop RS celles relatives au type XYVW.
Calculatrice spécialisée <> pour la synthèse automatique des compteurs synchrones: à partir des <<équations de synthèse>> du flip-flop le plus général (type XYVW), il est possible de projeter une calculatrice spécialisée permettant la synthèse automatique des fonctions combinatoires < > X, Y, V et W des flip-flops d'un compteur synchrone dont la séquence des états est donnée à priori.
Pour quatre flip-flops au maximum, les 16 fonctions <> peuvent être alors synthétisées puis affichées séquentiellement sous leur forme canonique.
De plus, en imposant des contraintes aux grandeurs X, Y, V et/ou W, il est également possible de déterminer les fonctions combinatoires relatives à des flip-flops particuliers: RS, JK, T et D par exemple.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Spécialité Etat_Exemplaire D000668 D000668 Papier + ressource électronique Bibliothèque centrale Thèse de Doctorat Disponible Genie_Electrique Consultation sur place/Téléchargeable Documents numériques
MANGE.Daniel.pdfURL
Titre : Théorie PL multigroupe et tridimensionnelle à paramètres variables : application à des joints d'éléments combustibles Type de document : texte imprimé Auteurs : Juillerat, Tristan, Auteur ; Vittoz, B., Directeur de thèse Editeur : Ecole Polytechnique de l'Université de Lausanne Année de publication : 1968 Importance : 89 f. Présentation : ill. Format : 30 cm. Note générale : Thèse de doctorat : Physique : Lausanne, Ecole Polytechnique de l'Université de Lausanne : 1968
Annexe f. 46 - 87 . Bibliogr. f. 88 - 89Langues : Français (fre) Mots-clés : Théorie PL multigroupe
Tridimensionnelle
Paramètres variables
Système différentiel
Equation de Boltzmann
Relations algébriques
Moments continus
Moments FMR
Matrices de transfert
Elements combustiblesIndex. décimale : D000468 Résumé : L'objet de ce travail est la détermination de la répartition spatiale du flux dans un milieu formé de régions coaxiales; ces régions peuvent être multiplicatrices et posséder des propriétés neutroniques dépendant de la cote z.
Ce milieu, de hauteur finie, peut être limité en haut et en bas par du vide, ou alors il peut représenter le tronçon caractéristique d'un arrangement périodique infini selon z.
La cellule est un cas particulier important de la première possibilité.
Nous énumérons ci-dessous les derniers travaux dans cette voie:
- Davison, résoud le problème unidimensionnel et multigroupe.
- Dede, traite le problème tridimensionnel, dépendant de l'énergie, à l'aide d'un formalisme qui entraîne la résolution d'un déterminant caractéristique.
- Auerbach et Mennig, développent la théorie monoénergétique dans la géométrie bidimensionnelle r-θ.
- Maeder, donne la solution du cas monoénergétique dans la géométrie tridimensionnelle r-θ-z.
Toutes ces études ne prennent pas en considération la variation selon z des propriétés neutroniques.
Le présent travail tient compte de la dépendance selon z dans un formalisme multigroupe et dans une géométrie tridimensionnelle r-θ-z.
Parmi les applications importantes de cette théorie, nous relevons:
- Le calcul du flux dans une cellule comportant un élément de combustible irradié;
- Le calcul du flux dans une cellule d'un réacteur à eau bouillante;
- Le calcul de l'augmentation du flux thermique aux joints d'éléments combustibles;
- Le calcul du flux au voisinage et dans un élément, pour une théorie hétérogène tridimensionnelle.Théorie PL multigroupe et tridimensionnelle à paramètres variables : application à des joints d'éléments combustibles [texte imprimé] / Juillerat, Tristan, Auteur ; Vittoz, B., Directeur de thèse . - [S.l.] : Ecole Polytechnique de l'Université de Lausanne, 1968 . - 89 f. : ill. ; 30 cm.
Thèse de doctorat : Physique : Lausanne, Ecole Polytechnique de l'Université de Lausanne : 1968
Annexe f. 46 - 87 . Bibliogr. f. 88 - 89
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Théorie PL multigroupe
Tridimensionnelle
Paramètres variables
Système différentiel
Equation de Boltzmann
Relations algébriques
Moments continus
Moments FMR
Matrices de transfert
Elements combustiblesIndex. décimale : D000468 Résumé : L'objet de ce travail est la détermination de la répartition spatiale du flux dans un milieu formé de régions coaxiales; ces régions peuvent être multiplicatrices et posséder des propriétés neutroniques dépendant de la cote z.
Ce milieu, de hauteur finie, peut être limité en haut et en bas par du vide, ou alors il peut représenter le tronçon caractéristique d'un arrangement périodique infini selon z.
La cellule est un cas particulier important de la première possibilité.
Nous énumérons ci-dessous les derniers travaux dans cette voie:
- Davison, résoud le problème unidimensionnel et multigroupe.
- Dede, traite le problème tridimensionnel, dépendant de l'énergie, à l'aide d'un formalisme qui entraîne la résolution d'un déterminant caractéristique.
- Auerbach et Mennig, développent la théorie monoénergétique dans la géométrie bidimensionnelle r-θ.
- Maeder, donne la solution du cas monoénergétique dans la géométrie tridimensionnelle r-θ-z.
Toutes ces études ne prennent pas en considération la variation selon z des propriétés neutroniques.
Le présent travail tient compte de la dépendance selon z dans un formalisme multigroupe et dans une géométrie tridimensionnelle r-θ-z.
Parmi les applications importantes de cette théorie, nous relevons:
- Le calcul du flux dans une cellule comportant un élément de combustible irradié;
- Le calcul du flux dans une cellule d'un réacteur à eau bouillante;
- Le calcul de l'augmentation du flux thermique aux joints d'éléments combustibles;
- Le calcul du flux au voisinage et dans un élément, pour une théorie hétérogène tridimensionnelle.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Spécialité Etat_Exemplaire D000468 D000468 Papier Bibliothèque centrale Thèse de Doctorat Disponible Documents numériques
JUILLERAT.Tristan.pdfURL
Titre : Contribution à l'étude de la stabilité élastique Type de document : texte imprimé Auteurs : Dupuis, Georges, Auteur ; Blanc, Ch., Directeur de thèse Editeur : Ecole Polytechnique de l'Université de Lausanne Année de publication : 1968 Importance : 70 f. Présentation : ill. Format : 30 cm. Note générale : Thèse de doctorat : Génie Civil : Lausanne, Ecole Polytechnique de l'Université de Lausanne : 1968
Bibliogr. f. 71 - 72Langues : Français (fre) Mots-clés : Stabilité élastique
Ligne déformable
Déformations infinitesimales
Méthode des déplacements
Ligne élastique
Forces conservatives
Stabilité linéaire
Stabilité des structuresIndex. décimale : D000368 Résumé : Dans cette étude, nous définissons de manière générale le problème de la stabilité des structures composées de lignes déformables, à l'aide de la méthode de l'énergie.
L'étude de la stabilité d'une structure nécessite la connaissance préalable des contraintes relatives à une intensité donnée des forces extérieures.
Afin de déterminer ces contraintes, nous généralisons la méthodes des déplacements au cas d'une structure quelconque.
Le rapport critique d'une structure ne peut, en général, être déterminé que de manière approchée.
La méthode des éléments finis permet d'obtenir de telles approximations; elle conduit toutefois à la recherche des valeurs propres de grandes matrices, ce qui exige un temps de calcul considérable, même à l'aide d'une calculatrice puissante.
Nous proposons une méthode itérative dans laquelle chaque itération revient à déterminer les valeurs propres de matrices de dimensions égales au nombre de degrés de liberté de la structure.
Des exemples numériques montrent que, pour obtenir le rapport critique avec une précision pratiquement suffisante, il suffit d'effectuer trois ou quatre itérations.Contribution à l'étude de la stabilité élastique [texte imprimé] / Dupuis, Georges, Auteur ; Blanc, Ch., Directeur de thèse . - [S.l.] : Ecole Polytechnique de l'Université de Lausanne, 1968 . - 70 f. : ill. ; 30 cm.
Thèse de doctorat : Génie Civil : Lausanne, Ecole Polytechnique de l'Université de Lausanne : 1968
Bibliogr. f. 71 - 72
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Stabilité élastique
Ligne déformable
Déformations infinitesimales
Méthode des déplacements
Ligne élastique
Forces conservatives
Stabilité linéaire
Stabilité des structuresIndex. décimale : D000368 Résumé : Dans cette étude, nous définissons de manière générale le problème de la stabilité des structures composées de lignes déformables, à l'aide de la méthode de l'énergie.
L'étude de la stabilité d'une structure nécessite la connaissance préalable des contraintes relatives à une intensité donnée des forces extérieures.
Afin de déterminer ces contraintes, nous généralisons la méthodes des déplacements au cas d'une structure quelconque.
Le rapport critique d'une structure ne peut, en général, être déterminé que de manière approchée.
La méthode des éléments finis permet d'obtenir de telles approximations; elle conduit toutefois à la recherche des valeurs propres de grandes matrices, ce qui exige un temps de calcul considérable, même à l'aide d'une calculatrice puissante.
Nous proposons une méthode itérative dans laquelle chaque itération revient à déterminer les valeurs propres de matrices de dimensions égales au nombre de degrés de liberté de la structure.
Des exemples numériques montrent que, pour obtenir le rapport critique avec une précision pratiquement suffisante, il suffit d'effectuer trois ou quatre itérations.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Spécialité Etat_Exemplaire D000368 D000368 Papier Bibliothèque centrale Thèse de Doctorat Disponible Documents numériques
DUPUIS.Georges.pdfURL