Titre : | Valorisation des rejets de l'industrie pharmaceutique dans le traitement des eaux chargées en métaux | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Tassist, Amina, Auteur ; Mameri, Nabil, Directeur de thèse ; Lounici, Hakim, Directeur de thèse | Editeur : | [S.l.] : [s.n.] | Année de publication : | 2011 | Importance : | 164 f. | Présentation : | ill. | Format : | 30 cm. | Accompagnement : | 1 CD-ROM. | Note générale : | Thèse de Doctorat : Génie de l'Environnement : Alger, Ecole Nationale Polytechnique : 2011
Bibliogr. [12] f. Annexes [27] f | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Aluminium
Zinc
Cuivre
S. rimisus
Biosorption
Désorption | Index. décimale : | D001511 | Résumé : | Ce travail cible une étude cinétique, thermodynamique et à l'équilibre de la biosorption de l'aluminium, du zinc et du cuivre sur S rimosus.
La caractérisation par infrarouge révèle que S rimosus présente les groupements: hydroxyle, méthyle, carboxyle, amine, thiol et phosphate.
Les capacités maximales de biosorption sont 11,76 mg.g-1 pour l'aluminium, 18 mg.g-1 pour le zinc et 90,9 mg.g-1 pour le cuivre sous les conditions optimisées.
Les modèles de Langmuir, Freundlich et Dubinin-Radushkevich (D-R) sont appliqués pour décrire les isothermes de biosorption.
Le mécanisme de la biosorption des ions métallique sur S rimosus est établi, en se basant sur les paramètres thermodynamiques, l'énergie d'activation (Ea) et l'énergie de la biosorption calculée par le modèle de Dubinin-Radushkevich.
Il semble être un échange d'ions dans le cas de l'aluminium et un mécanisme mixte dans le cas du zinc et du cuivre.
La comparaison entre la biomasse native et celle traitée à la soude (0,1N) révèle que ce traitement basique n'améliore pas la capacité de biosorption de S rimosus vis-à-vis de l'aluminium et du zinc et diminue la capacité de fixation du cuivre (qm=25,33mg.g-1).
Les taux de régénération sont de 99,77% pour la biomasse traitée (H2SO4, pH 1,5 m = 4,5 g.L-1, I = 0,1A) et de 18,68% pour la biomasse native (H2SO4, pH=1,5, m=200g.L-1).
La capacité maximale de biosorption du cuivre pour la biomasse native régénérée est de 39 mg.g-1. |
Valorisation des rejets de l'industrie pharmaceutique dans le traitement des eaux chargées en métaux [texte imprimé] / Tassist, Amina, Auteur ; Mameri, Nabil, Directeur de thèse ; Lounici, Hakim, Directeur de thèse . - [S.l.] : [s.n.], 2011 . - 164 f. : ill. ; 30 cm. + 1 CD-ROM. Thèse de Doctorat : Génie de l'Environnement : Alger, Ecole Nationale Polytechnique : 2011
Bibliogr. [12] f. Annexes [27] f Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Aluminium
Zinc
Cuivre
S. rimisus
Biosorption
Désorption | Index. décimale : | D001511 | Résumé : | Ce travail cible une étude cinétique, thermodynamique et à l'équilibre de la biosorption de l'aluminium, du zinc et du cuivre sur S rimosus.
La caractérisation par infrarouge révèle que S rimosus présente les groupements: hydroxyle, méthyle, carboxyle, amine, thiol et phosphate.
Les capacités maximales de biosorption sont 11,76 mg.g-1 pour l'aluminium, 18 mg.g-1 pour le zinc et 90,9 mg.g-1 pour le cuivre sous les conditions optimisées.
Les modèles de Langmuir, Freundlich et Dubinin-Radushkevich (D-R) sont appliqués pour décrire les isothermes de biosorption.
Le mécanisme de la biosorption des ions métallique sur S rimosus est établi, en se basant sur les paramètres thermodynamiques, l'énergie d'activation (Ea) et l'énergie de la biosorption calculée par le modèle de Dubinin-Radushkevich.
Il semble être un échange d'ions dans le cas de l'aluminium et un mécanisme mixte dans le cas du zinc et du cuivre.
La comparaison entre la biomasse native et celle traitée à la soude (0,1N) révèle que ce traitement basique n'améliore pas la capacité de biosorption de S rimosus vis-à-vis de l'aluminium et du zinc et diminue la capacité de fixation du cuivre (qm=25,33mg.g-1).
Les taux de régénération sont de 99,77% pour la biomasse traitée (H2SO4, pH 1,5 m = 4,5 g.L-1, I = 0,1A) et de 18,68% pour la biomasse native (H2SO4, pH=1,5, m=200g.L-1).
La capacité maximale de biosorption du cuivre pour la biomasse native régénérée est de 39 mg.g-1. |
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