Les Inscriptions à la Bibliothèque sont ouvertes en
ligne via le site: https://biblio.enp.edu.dz
Les Réinscriptions se font à :
• La Bibliothèque Annexe pour les étudiants en
2ème Année CPST
• La Bibliothèque Centrale pour les étudiants en Spécialités
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les recherches... |
Détail de l'auteur
Auteur Millet, Pierre
Documents disponibles écrits par cet auteur
Affiner la rechercheElectrolyseurs de l’eau à membrane acide / Millet, Pierre
in Techniques de l'ingénieur : opérations unitaires. Génie de la réaction chimique Ti452. Réacteurs chimiques / Charpentier, Jean-Claude
Titre : Electrolyseurs de l’eau à membrane acide : réf. internet J4810 Type de document : texte imprimé Auteurs : Millet, Pierre, Auteur Année de publication : 2007 Importance : p. 349-365 Note générale : Bibliogr. p. 365 Langues : Français (fre) Mots-clés : Electrolyse de l’eau , Electrolyseurs , Membranes électrodes Note de contenu : Sommaire:
1. Procédés d’électrolyse de l’eau
2. Fondements théoriques
3. Description des cellules d’électrolyse
4. Préparation des assemblages membrane-électrode
5. Electrolyseurs
6. Equipement annexe de production
7. Domaines d’application
8. Limitations et perspectives
in Techniques de l'ingénieur : opérations unitaires. Génie de la réaction chimique Ti452. Réacteurs chimiques / Charpentier, Jean-Claude
Electrolyseurs de l’eau à membrane acide : réf. internet J4810 [texte imprimé] / Millet, Pierre, Auteur . - 2007 . - p. 349-365.
Bibliogr. p. 365
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Electrolyse de l’eau , Electrolyseurs , Membranes électrodes Note de contenu : Sommaire:
1. Procédés d’électrolyse de l’eau
2. Fondements théoriques
3. Description des cellules d’électrolyse
4. Préparation des assemblages membrane-électrode
5. Electrolyseurs
6. Equipement annexe de production
7. Domaines d’application
8. Limitations et perspectivesExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
[article]
in Techniques de l'Ingénieur F > Vol. F1 (Trimestriel) . - 20 p.
Titre : Liquide alimentaires : conditionnement spéciaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Millet, Pierre, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 20 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Liquide alimentaire Conditionnements Résumé : Comme il se doit, l'emballage et le conditionnement des liquides alimentaires va présenter des cas particuliers qui sortent des schémas types.
Les exigences économiques sous prétexte de satisfaire une demande du consommateur ont fait apparaître des emballages fabriqués dans des matériaux nouveaux, comme les matériaux composites multicouches destinés prioritairement au lait et aux jus de fruit. Pour ceux-ci, chaque couche du matériau a une fonction qui lui est propre dans l'emballage et dont l'argument publicitaire est de protéger au mieux le liquide alimentaire de la lumière, mais également d'offrir aux emballages :
une section rectangulaire propice aux regroupements ;
une surface de communication importante ;
une machinabilité remarquable dans un procédé form fill and seal où intervient un remplissage aseptique ou apparenté.
Le fait qu'il existait, bien avant ce type de conditionnement, un flaconnage opaque pour le lait et les jus de fruit montre quand même que la brique n'est pas le seul emballage à bénéficier des avantages cités liés à la qualité du produit et que, si la brique présente, pour le conditionneur, une facilité d'arrangement en emballage secondaire et une réduction des encombrements des machines de conditionnement, il n'y a rien en cela qui concerne le consommateur.
Le conditionnement du vin de champagne, ou des autres vins élaborés selon la méthode dite « traditionnelle » fait appel à un conditionnement très particulier, pour lequel une bouteille va subir :
un remplissage ;
un bouchage couronne ;
puis un débouchage avec prélèvement d'une partie de produit « liquide + dépôt » ;
un remplissage de mise à niveau après introduction d'un autre liquide (liqueur d'expédition) ;
un bouchage définitif liège et muselet.
Entre le premier remplissage et le bouchage définitif, il va se passer plusieurs mois (ou années) et, entre temps, le récipient aura connu des changements de position qui font partie du process.
Le conditionnement des grands récipients (tanks ou citerne) apparaît beaucoup plus simple que celui des petits récipients de par le fait qu'ils ne nécessitent pas de machinerie importante, tant pour leur remplissage que pour leur nettoyage. Toutefois, ils apparaissent sensibles à la pression et, surtout, au vide qui peut s'installer après une stérilisation à la vapeur et un lavage alcalin quand ils ont contenu un liquide carbonaté. D'autre part, ils seront difficiles à inerter avec une pureté de gaz élevée dans l'atmosphère de substitution.
Le fût pression destiné aux boissons gazeuses est l'aboutissement d'une recherche qui, depuis le tonneau en bois de nos ancêtres, a essayé, sans y parvenir de façon élégante d'offrir un emballage inviolable que l'on puisse rendre propre et stérile avant son remplissage à chaque réutilisation, dans un temps raisonnable compatible avec une production industrialisée. La démarche du fût à plongeur incorporé est née de l'espoir que le fût revenant chez le conditionneur clos, et contenant encore du gaz de tirage, serait plus facilement nettoyable et stérilisable. C'est plutôt l'inverse qui s'est produit et, aujourd'hui, seule la structure en acier inoxydable de ce fût permet une stérilisation drastique à la vapeur sur une paroi incomplètement nettoyée de ses salissures.
REFERENCE : AG 6 524 Date : Juillet 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/genie-industriel-th6/emball [...] [article] Liquide alimentaires : conditionnement spéciaux [texte imprimé] / Millet, Pierre, Auteur . - 2007 . - 20 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur F > Vol. F1 (Trimestriel) . - 20 p.
Mots-clés : Liquide alimentaire Conditionnements Résumé : Comme il se doit, l'emballage et le conditionnement des liquides alimentaires va présenter des cas particuliers qui sortent des schémas types.
Les exigences économiques sous prétexte de satisfaire une demande du consommateur ont fait apparaître des emballages fabriqués dans des matériaux nouveaux, comme les matériaux composites multicouches destinés prioritairement au lait et aux jus de fruit. Pour ceux-ci, chaque couche du matériau a une fonction qui lui est propre dans l'emballage et dont l'argument publicitaire est de protéger au mieux le liquide alimentaire de la lumière, mais également d'offrir aux emballages :
une section rectangulaire propice aux regroupements ;
une surface de communication importante ;
une machinabilité remarquable dans un procédé form fill and seal où intervient un remplissage aseptique ou apparenté.
Le fait qu'il existait, bien avant ce type de conditionnement, un flaconnage opaque pour le lait et les jus de fruit montre quand même que la brique n'est pas le seul emballage à bénéficier des avantages cités liés à la qualité du produit et que, si la brique présente, pour le conditionneur, une facilité d'arrangement en emballage secondaire et une réduction des encombrements des machines de conditionnement, il n'y a rien en cela qui concerne le consommateur.
Le conditionnement du vin de champagne, ou des autres vins élaborés selon la méthode dite « traditionnelle » fait appel à un conditionnement très particulier, pour lequel une bouteille va subir :
un remplissage ;
un bouchage couronne ;
puis un débouchage avec prélèvement d'une partie de produit « liquide + dépôt » ;
un remplissage de mise à niveau après introduction d'un autre liquide (liqueur d'expédition) ;
un bouchage définitif liège et muselet.
Entre le premier remplissage et le bouchage définitif, il va se passer plusieurs mois (ou années) et, entre temps, le récipient aura connu des changements de position qui font partie du process.
Le conditionnement des grands récipients (tanks ou citerne) apparaît beaucoup plus simple que celui des petits récipients de par le fait qu'ils ne nécessitent pas de machinerie importante, tant pour leur remplissage que pour leur nettoyage. Toutefois, ils apparaissent sensibles à la pression et, surtout, au vide qui peut s'installer après une stérilisation à la vapeur et un lavage alcalin quand ils ont contenu un liquide carbonaté. D'autre part, ils seront difficiles à inerter avec une pureté de gaz élevée dans l'atmosphère de substitution.
Le fût pression destiné aux boissons gazeuses est l'aboutissement d'une recherche qui, depuis le tonneau en bois de nos ancêtres, a essayé, sans y parvenir de façon élégante d'offrir un emballage inviolable que l'on puisse rendre propre et stérile avant son remplissage à chaque réutilisation, dans un temps raisonnable compatible avec une production industrialisée. La démarche du fût à plongeur incorporé est née de l'espoir que le fût revenant chez le conditionneur clos, et contenant encore du gaz de tirage, serait plus facilement nettoyable et stérilisable. C'est plutôt l'inverse qui s'est produit et, aujourd'hui, seule la structure en acier inoxydable de ce fût permet une stérilisation drastique à la vapeur sur une paroi incomplètement nettoyée de ses salissures.
REFERENCE : AG 6 524 Date : Juillet 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/genie-industriel-th6/emball [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur AGE > Vol. AGE1 (Trimestrielle) . - 22 p.
Titre : Liquides alimentaires : Condidionnement et stabilisation en emballages primaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Millet, Pierre, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : 22 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Liquides alimentaies; Conditionnement; Stabilisation; Emballages Résumé : Stabiliser un liquide alimentaire consiste à le débarrasser de tous les agents parasites qui peuvent l'accompagner, en dehors des gaz dissous comme l'oxygène. Ceci concerne surtout les particules solides indésirables, qui le troublent et sédimentent au fond des récipients et les micro-organismes qui l'accompagnent et sont responsables de ses mauvaises stabilités organoleptique, physique et biologique dans le temps.
Les techniques utilisées pour assurer la stabilisation d'un liquide alimentaire sont essentiellement séparatives ou mettent en œuvre un traitement thermique. D'autres procédés sont apparus ces 3 dernières décennies usant d'autres moyens comme l'ionisation, les hautes pressions, la lumière pulsée, etc.
La stabilisation des liquides alimentaires nécessite :
* des conditions d'environnement précises ;
* une contamination initiale très faible ;
* des protocoles d'application ;
* des traitements rigoureux ;
* des contrôles permanents.
La méfiance des consommateurs, entretenue par les médias pour les additifs qui accompagnent les produits alimentaires et, en particulier, les antiferments, font que ceux-ci sont modérément introduits parmi les techniques de stabilisation.
La généralisation du conditionnement aseptique, malgré les difficultés de sa mise en œuvre, a amené les industriels à mettre au point des procédés sensés le dédramatiser et, surtout, le rendre moins contraignant.
REFERENCE : AG 6 521 DEWEY : 658 Date : Juillet 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr [article] Liquides alimentaires : Condidionnement et stabilisation en emballages primaires [texte imprimé] / Millet, Pierre, Auteur . - 2010 . - 22 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur AGE > Vol. AGE1 (Trimestrielle) . - 22 p.
Mots-clés : Liquides alimentaies; Conditionnement; Stabilisation; Emballages Résumé : Stabiliser un liquide alimentaire consiste à le débarrasser de tous les agents parasites qui peuvent l'accompagner, en dehors des gaz dissous comme l'oxygène. Ceci concerne surtout les particules solides indésirables, qui le troublent et sédimentent au fond des récipients et les micro-organismes qui l'accompagnent et sont responsables de ses mauvaises stabilités organoleptique, physique et biologique dans le temps.
Les techniques utilisées pour assurer la stabilisation d'un liquide alimentaire sont essentiellement séparatives ou mettent en œuvre un traitement thermique. D'autres procédés sont apparus ces 3 dernières décennies usant d'autres moyens comme l'ionisation, les hautes pressions, la lumière pulsée, etc.
La stabilisation des liquides alimentaires nécessite :
* des conditions d'environnement précises ;
* une contamination initiale très faible ;
* des protocoles d'application ;
* des traitements rigoureux ;
* des contrôles permanents.
La méfiance des consommateurs, entretenue par les médias pour les additifs qui accompagnent les produits alimentaires et, en particulier, les antiferments, font que ceux-ci sont modérément introduits parmi les techniques de stabilisation.
La généralisation du conditionnement aseptique, malgré les difficultés de sa mise en œuvre, a amené les industriels à mettre au point des procédés sensés le dédramatiser et, surtout, le rendre moins contraignant.
REFERENCE : AG 6 521 DEWEY : 658 Date : Juillet 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr Liquides alimentaires: conditionnements spéciaux / Millet, Pierre in Techniques de l'ingénieur AGE, Vol. AGE2 (Trimestrielle)
[article]
in Techniques de l'ingénieur AGE > Vol. AGE2 (Trimestrielle) . - 20 p.
Titre : Liquides alimentaires: conditionnements spéciaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Millet, Pierre, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 20 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Liquides alimentaires Résumé :
Comme il se doit, l'emballage et le conditionnement des liquides alimentaires va présenter des cas particuliers qui sortent des schémas types.
Les exigences économiques sous prétexte de satisfaire une demande du consommateur ont fait apparaître des emballages fabriqués dans des matériaux nouveaux, comme les matériaux composites multicouches destinés prioritairement au lait et aux jus de fruit. Pour ceux-ci, chaque couche du matériau a une fonction qui lui est propre dans l'emballage et dont l'argument publicitaire est de protéger au mieux le liquide alimentaire de la lumière, mais également d'offrir aux emballages :
une section rectangulaire propice aux regroupements ;
une surface de communication importante ;
une machinabilité remarquable dans un procédé form fill and seal où intervient un remplissage aseptique ou apparenté.
Le fait qu'il existait, bien avant ce type de conditionnement, un flaconnage opaque pour le lait et les jus de fruit montre quand même que la brique n'est pas le seul emballage à bénéficier des avantages cités liés à la qualité du produit et que, si la brique présente, pour le conditionneur, une facilité d'arrangement en emballage secondaire et une réduction des encombrements des machines de conditionnement, il n'y a rien en cela qui concerne le consommateur.
Le conditionnement du vin de champagne, ou des autres vins élaborés selon la méthode dite « traditionnelle » fait appel à un conditionnement très particulier, pour lequel une bouteille va subir :
un remplissage ;
un bouchage couronne ;
puis un débouchage avec prélèvement d'une partie de produit « liquide + dépôt » ;
un remplissage de mise à niveau après introduction d'un autre liquide (liqueur d'expédition) ;
un bouchage définitif liège et muselet.
Entre le premier remplissage et le bouchage définitif, il va se passer plusieurs mois (ou années) et, entre temps, le récipient aura connu des changements de position qui font partie du process.
Le conditionnement des grands récipients (tanks ou citerne) apparaît beaucoup plus simple que celui des petits récipients de par le fait qu'ils ne nécessitent pas de machinerie importante, tant pour leur remplissage que pour leur nettoyage. Toutefois, ils apparaissent sensibles à la pression et, surtout, au vide qui peut s'installer après une stérilisation à la vapeur et un lavage alcalin quand ils ont contenu un liquide carbonaté. D'autre part, ils seront difficiles à inerter avec une pureté de gaz élevée dans l'atmosphère de substitution.
Le fût pression destiné aux boissons gazeuses est l'aboutissement d'une recherche qui, depuis le tonneau en bois de nos ancêtres, a essayé, sans y parvenir de façon élégante d'offrir un emballage inviolable que l'on puisse rendre propre et stérile avant son remplissage à chaque réutilisation, dans un temps raisonnable compatible avec une production industrialisée. La démarche du fût à plongeur incorporé est née de l'espoir que le fût revenant chez le conditionneur clos, et contenant encore du gaz de tirage, serait plus facilement nettoyable et stérilisable. C'est plutôt l'inverse qui s'est produit et, aujourd'hui, seule la structure en acier inoxydable de ce fût permet une stérilisation drastique à la vapeur sur une paroi incomplètement nettoyée de ses salissures.
REFERENCE : AG 6 524 Date : Juillet 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/genie-industriel-th6/emball [...] [article] Liquides alimentaires: conditionnements spéciaux [texte imprimé] / Millet, Pierre, Auteur . - 2011 . - 20 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur AGE > Vol. AGE2 (Trimestrielle) . - 20 p.
Mots-clés : Liquides alimentaires Résumé :
Comme il se doit, l'emballage et le conditionnement des liquides alimentaires va présenter des cas particuliers qui sortent des schémas types.
Les exigences économiques sous prétexte de satisfaire une demande du consommateur ont fait apparaître des emballages fabriqués dans des matériaux nouveaux, comme les matériaux composites multicouches destinés prioritairement au lait et aux jus de fruit. Pour ceux-ci, chaque couche du matériau a une fonction qui lui est propre dans l'emballage et dont l'argument publicitaire est de protéger au mieux le liquide alimentaire de la lumière, mais également d'offrir aux emballages :
une section rectangulaire propice aux regroupements ;
une surface de communication importante ;
une machinabilité remarquable dans un procédé form fill and seal où intervient un remplissage aseptique ou apparenté.
Le fait qu'il existait, bien avant ce type de conditionnement, un flaconnage opaque pour le lait et les jus de fruit montre quand même que la brique n'est pas le seul emballage à bénéficier des avantages cités liés à la qualité du produit et que, si la brique présente, pour le conditionneur, une facilité d'arrangement en emballage secondaire et une réduction des encombrements des machines de conditionnement, il n'y a rien en cela qui concerne le consommateur.
Le conditionnement du vin de champagne, ou des autres vins élaborés selon la méthode dite « traditionnelle » fait appel à un conditionnement très particulier, pour lequel une bouteille va subir :
un remplissage ;
un bouchage couronne ;
puis un débouchage avec prélèvement d'une partie de produit « liquide + dépôt » ;
un remplissage de mise à niveau après introduction d'un autre liquide (liqueur d'expédition) ;
un bouchage définitif liège et muselet.
Entre le premier remplissage et le bouchage définitif, il va se passer plusieurs mois (ou années) et, entre temps, le récipient aura connu des changements de position qui font partie du process.
Le conditionnement des grands récipients (tanks ou citerne) apparaît beaucoup plus simple que celui des petits récipients de par le fait qu'ils ne nécessitent pas de machinerie importante, tant pour leur remplissage que pour leur nettoyage. Toutefois, ils apparaissent sensibles à la pression et, surtout, au vide qui peut s'installer après une stérilisation à la vapeur et un lavage alcalin quand ils ont contenu un liquide carbonaté. D'autre part, ils seront difficiles à inerter avec une pureté de gaz élevée dans l'atmosphère de substitution.
Le fût pression destiné aux boissons gazeuses est l'aboutissement d'une recherche qui, depuis le tonneau en bois de nos ancêtres, a essayé, sans y parvenir de façon élégante d'offrir un emballage inviolable que l'on puisse rendre propre et stérile avant son remplissage à chaque réutilisation, dans un temps raisonnable compatible avec une production industrialisée. La démarche du fût à plongeur incorporé est née de l'espoir que le fût revenant chez le conditionneur clos, et contenant encore du gaz de tirage, serait plus facilement nettoyable et stérilisable. C'est plutôt l'inverse qui s'est produit et, aujourd'hui, seule la structure en acier inoxydable de ce fût permet une stérilisation drastique à la vapeur sur une paroi incomplètement nettoyée de ses salissures.
REFERENCE : AG 6 524 Date : Juillet 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/genie-industriel-th6/emball [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur AGE > Vol. AGE1 (Trimestrielle) . - 19 p.
Titre : Liquides alimentaires : Emballage, conditionnement et caractéristiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Millet, Pierre, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : 19 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Liquide alimentaires; Emballage; Conditionnement Résumé : Conditionner un liquide alimentaire consiste à prélever une certaine quantité de ce liquide et à la loger dans une enceinte qui sera close après remplissage. C'est là le cas le plus général.
Dans l'esprit du consommateur, l'emballage sera relativement petit, de l'ordre du litre ou du kilogramme, et de quelques multiples et sous-multiples de ces unités. Il s'agira alors de bouteilles à col étroit, de flacons à col large, de bocaux et de boîtes boisson métalliques ou de briques en matériaux composites.
Cet emballage, directement en contact avec le liquide, est appelé « emballage primaire » et a pour fonction d'isoler son contenu de l'extérieur, et de le protéger en assurant au mieux son inviolabilité.
Un ensemble de ces emballages primaires pourra être regroupé par lot dans un emballage secondaire offert aux consommateurs sur le lieu de vente. Parmi les emballages secondaires les plus utilisés, on notera les packs, les fardeaux sous film, les casiers en plastique consignés et les caisses en carton. Pour satisfaire aux exigences de la logistique, ces emballages primaires et/ou secondaires seront eux-mêmes rassemblés dans des emballages tertiaires de transport, manutention ou stockage.
Les emballages primaires et secondaires doivent permettre, en plus de leur rôle protecteur, d'identifier le produit et de renseigner le consommateur sur le volume ou le poids de liquide contenu, l'identité du fabriquant et/ou du pré-emballeur, d'apporter des précisions sur la date limite de vente (DLV), d'utilisation optimum (DLUO) ou de consommation (DLC) du produit lui-même, ou encore renseigner sur sa composition, sa valeur énergétique, sa teneur en alcool et, éventuellement, les additifs de stabilisation utilisés. Ces renseignements, dont certains sont obligatoires et précisés par le législateur, seront mentionnés par étiquetage ou, à la limite, imprimés directement sur l'emballage ou sur son système d'obturation.
Les liquides alimentaires sont caractérisés par des critères physiques, chimiques et biologiques qui justifieront des traitements spécifiques lors de leur conditionnement et feront appel à des emballages bien adaptés à ces traitements. On envisagera leur conditionnement en fonction des critères suivants :
* plats ou gazeux ;
* appartiennent, ou non, au domaine de la bactériologie acide ;
* présentent, ou non, une sensibilité a l'oxydation ;
* tolèrent, ou non, un traitement thermique de stabilisation ;
* possèdent dans leur composition des éléments chimiques particuliers susceptibles d'évoluer après leur conditionnement.
REFERENCE : AG 6 520 DEWEY : 658 Date : Janvier 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr [article] Liquides alimentaires : Emballage, conditionnement et caractéristiques [texte imprimé] / Millet, Pierre, Auteur . - 2010 . - 19 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur AGE > Vol. AGE1 (Trimestrielle) . - 19 p.
Mots-clés : Liquide alimentaires; Emballage; Conditionnement Résumé : Conditionner un liquide alimentaire consiste à prélever une certaine quantité de ce liquide et à la loger dans une enceinte qui sera close après remplissage. C'est là le cas le plus général.
Dans l'esprit du consommateur, l'emballage sera relativement petit, de l'ordre du litre ou du kilogramme, et de quelques multiples et sous-multiples de ces unités. Il s'agira alors de bouteilles à col étroit, de flacons à col large, de bocaux et de boîtes boisson métalliques ou de briques en matériaux composites.
Cet emballage, directement en contact avec le liquide, est appelé « emballage primaire » et a pour fonction d'isoler son contenu de l'extérieur, et de le protéger en assurant au mieux son inviolabilité.
Un ensemble de ces emballages primaires pourra être regroupé par lot dans un emballage secondaire offert aux consommateurs sur le lieu de vente. Parmi les emballages secondaires les plus utilisés, on notera les packs, les fardeaux sous film, les casiers en plastique consignés et les caisses en carton. Pour satisfaire aux exigences de la logistique, ces emballages primaires et/ou secondaires seront eux-mêmes rassemblés dans des emballages tertiaires de transport, manutention ou stockage.
Les emballages primaires et secondaires doivent permettre, en plus de leur rôle protecteur, d'identifier le produit et de renseigner le consommateur sur le volume ou le poids de liquide contenu, l'identité du fabriquant et/ou du pré-emballeur, d'apporter des précisions sur la date limite de vente (DLV), d'utilisation optimum (DLUO) ou de consommation (DLC) du produit lui-même, ou encore renseigner sur sa composition, sa valeur énergétique, sa teneur en alcool et, éventuellement, les additifs de stabilisation utilisés. Ces renseignements, dont certains sont obligatoires et précisés par le législateur, seront mentionnés par étiquetage ou, à la limite, imprimés directement sur l'emballage ou sur son système d'obturation.
Les liquides alimentaires sont caractérisés par des critères physiques, chimiques et biologiques qui justifieront des traitements spécifiques lors de leur conditionnement et feront appel à des emballages bien adaptés à ces traitements. On envisagera leur conditionnement en fonction des critères suivants :
* plats ou gazeux ;
* appartiennent, ou non, au domaine de la bactériologie acide ;
* présentent, ou non, une sensibilité a l'oxydation ;
* tolèrent, ou non, un traitement thermique de stabilisation ;
* possèdent dans leur composition des éléments chimiques particuliers susceptibles d'évoluer après leur conditionnement.
REFERENCE : AG 6 520 DEWEY : 658 Date : Janvier 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr PermalinkLe réacteur électrochimique / Millet, Pierre
Permalink