[article] in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 15 p. Titre : | Pathologie des structures en bois | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jean-Pierre Biger, Auteur | Année de publication : | 2011 | Article en page(s) : | 15 p. | Note générale : | Bibliogr. | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Bois Charpentes traditionnelles légères. | Résumé : | Les structures en bois ont démontré leur capacité à braver les siècles, mais ce privilège n’est pas donné à toutes. D’après les statistiques, la sinistralité des structures bois ne représente que 3 % de la sinistralité totale de la construction. Toutefois, certains cas sortant de l’ordinaire échappent à cette analyse.
Qu’il s’agisse de charpente traditionnelle, de charpente légère, ou de charpente en lamellé-collé, les erreurs de conception, de fabrication, de mise en œuvre, ou les circonstances exceptionnelles et accidentelles, sont les genres auxquels se rattachent habituellement les causes de pathologie. La pathologie des charpentes en bois trouve paradoxalement l’une de ses principales sources dans les règles de calcul et de conception elles‐mêmes.
Les effets de la traction transversale, les effets d’échelle, les effets de durée de chargement, les effets du glissement des assemblages, l’effet d’autocintrage... sont sous-estimés, voire ignorés, par les Règles de calcul et de conception en vigueur depuis 1971. À ces lacunes correspond le genre inattendu des « sinistres réglementaires ».
Figure 1 - Halle de Méreville (Orléans)
La détection de ces anomalies a suscité la réflexion des ingénieurs, des professionnels, des scientifiques porteurs de la nouvelle approche du matériau bois développée dans le cadre européen, ce qui a permis de corriger les dispositions de construction ou de calcul défaillantes [1] [Recueil de contributions au calcul des éléments et structures bois.] [14] [Structures en bois aux états-limites.] .
Nota :
Messieurs Gras et Renou de Saretec, Mainnevrey du Cabinet Cerruti, Amilhau de la SCOR, Loutrel des Établissements Renofors, Simonneau des Établissements Simmonneau, Briand, Blanc, Czeszynski, Dupont, Lebeau, Le Bris, Letort, Marchand, Ménard, Sens du Bureau Veritas, ont contribué à la collecte des illustrations et des informations présentées dans le présent document. L’auteur les en remercie très vivement.
| REFERENCE : | C 2 450 | DEWEY : | 624 | Date : | Août 1997 | En ligne : | http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] |
[article] Pathologie des structures en bois [texte imprimé] / Jean-Pierre Biger, Auteur . - 2011 . - 15 p. Bibliogr. Langues : Français ( fre) in Techniques de l'ingénieur CF > Vol. CF 1 (Trimestriel) . - 15 p. Mots-clés : | Bois Charpentes traditionnelles légères. | Résumé : | Les structures en bois ont démontré leur capacité à braver les siècles, mais ce privilège n’est pas donné à toutes. D’après les statistiques, la sinistralité des structures bois ne représente que 3 % de la sinistralité totale de la construction. Toutefois, certains cas sortant de l’ordinaire échappent à cette analyse.
Qu’il s’agisse de charpente traditionnelle, de charpente légère, ou de charpente en lamellé-collé, les erreurs de conception, de fabrication, de mise en œuvre, ou les circonstances exceptionnelles et accidentelles, sont les genres auxquels se rattachent habituellement les causes de pathologie. La pathologie des charpentes en bois trouve paradoxalement l’une de ses principales sources dans les règles de calcul et de conception elles‐mêmes.
Les effets de la traction transversale, les effets d’échelle, les effets de durée de chargement, les effets du glissement des assemblages, l’effet d’autocintrage... sont sous-estimés, voire ignorés, par les Règles de calcul et de conception en vigueur depuis 1971. À ces lacunes correspond le genre inattendu des « sinistres réglementaires ».
Figure 1 - Halle de Méreville (Orléans)
La détection de ces anomalies a suscité la réflexion des ingénieurs, des professionnels, des scientifiques porteurs de la nouvelle approche du matériau bois développée dans le cadre européen, ce qui a permis de corriger les dispositions de construction ou de calcul défaillantes [1] [Recueil de contributions au calcul des éléments et structures bois.] [14] [Structures en bois aux états-limites.] .
Nota :
Messieurs Gras et Renou de Saretec, Mainnevrey du Cabinet Cerruti, Amilhau de la SCOR, Loutrel des Établissements Renofors, Simonneau des Établissements Simmonneau, Briand, Blanc, Czeszynski, Dupont, Lebeau, Le Bris, Letort, Marchand, Ménard, Sens du Bureau Veritas, ont contribué à la collecte des illustrations et des informations présentées dans le présent document. L’auteur les en remercie très vivement.
| REFERENCE : | C 2 450 | DEWEY : | 624 | Date : | Août 1997 | En ligne : | http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/pathologie [...] |
|