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Auteur Thompson, Stephen M.
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Affiner la rechercheDuration of Probable Maximum Precipitation on Lake Catchments: Alternative Analysis / Thompson, Stephen M. in Journal of hydrologic engineering, Vol. 8, N° 4 (Juillet/Août 2003)
[article]
in Journal of hydrologic engineering > Vol. 8, N° 4 (Juillet/Août 2003) . - 190-196 p.
Titre : Duration of Probable Maximum Precipitation on Lake Catchments: Alternative Analysis Titre original : Durée de Précipitation Maximum Probable sur le Lac Catchments : Analyse Alternative Type de document : texte imprimé Auteurs : Thompson, Stephen M., Auteur Article en page(s) : 190-196 p. Note générale : Hydrologie Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Catchments New Zealand Lakes Precipitation Rainfall duration Nouvelle Zélande Lacs Durée de précipitations Index. décimale : 551.4 Résumé : An Analysis of records from a New Zealand lake illustrates two methods for estimating the duration of wet weather that will cause the probable maximum lake level. Method 1 shows that, in 68 years, the 17 top-ranked annual maximum levels coincide well with the 17 top-ranked annual maximum 14-day inflows, and not so well with shorter or longer maxima. Method 2 shows that the solution of the differential equation relating lake level, discharge, and inflow has a maximum level for a 14-day duration inflow and depends on the lake surface area, the rate of increase of lake discharge as the level rises, and the rate of decrease of average flood inflow as the duration of the average increases. During these floods, the wind is always from the northwest, rain is enhanced by an orographic barrier, and there are distinct 3-day episodes of unusually intense rain that coincide with moving fronts that increase the orographic effect. Probable maximum precipitation estimates up to now have applied moisture maximization to just one of these episodes. However, the flood rises continue for many more days, with only minor recessions, and it is suggested that a sequence of two episodes over 14 days should be maximized when estimating the probable maximum precipitation.
Une analyse des disques d'un lac New zealand illustre deux méthodes pour estimer la durée d'humide survivent à qui causera le niveau maximum probable de lac. La méthode 1 prouve que, en 68 ans, les 17 dessus-ont rangé les niveaux maximum annuels coïncident bien avec les 17 dessus-ont pas aussi bien rangé des apports annuels du maximum 14-day, et avec des maximum plus courts ou plus longs. La méthode 2 prouve que la solution de l'équation reliant le niveau, la décharge, et l'apport de lac a un niveau maximum pour un apport de la durée 14-day et dépend de la superficie de lac, du taux d'augmentation de décharge de lac pendant que le niveau monte, et du taux de diminution de l'apport moyen d'inondation comme durée des augmentations moyennes. Pendant ces inondations, le vent est toujours du nord-ouest, la pluie est augmentée par une barrière orographique, et il y a des épisodes de trois jours distincts de pluie exceptionnellement intense qui coïncident avec les avants mobiles qui augmentent l'effet orographique. Les évaluations maximum probables de précipitation jusqu'ici se sont appliquées la maximisation d'humidité juste à une de ces épisodes. Cependant, les élévations d'inondation continuent pendant beaucoup plus de jours, avec seulement des récessions mineures, et on le suggère qu'un ordre de deux épisodes plus de 14 jours devrait être maximisé en estimant la précipitation maximum probable.
En ligne : s.thompson@niwa.co.nz [article] Duration of Probable Maximum Precipitation on Lake Catchments: Alternative Analysis = Durée de Précipitation Maximum Probable sur le Lac Catchments : Analyse Alternative [texte imprimé] / Thompson, Stephen M., Auteur . - 190-196 p.
Hydrologie
Langues : Anglais (eng)
in Journal of hydrologic engineering > Vol. 8, N° 4 (Juillet/Août 2003) . - 190-196 p.
Mots-clés : Catchments New Zealand Lakes Precipitation Rainfall duration Nouvelle Zélande Lacs Durée de précipitations Index. décimale : 551.4 Résumé : An Analysis of records from a New Zealand lake illustrates two methods for estimating the duration of wet weather that will cause the probable maximum lake level. Method 1 shows that, in 68 years, the 17 top-ranked annual maximum levels coincide well with the 17 top-ranked annual maximum 14-day inflows, and not so well with shorter or longer maxima. Method 2 shows that the solution of the differential equation relating lake level, discharge, and inflow has a maximum level for a 14-day duration inflow and depends on the lake surface area, the rate of increase of lake discharge as the level rises, and the rate of decrease of average flood inflow as the duration of the average increases. During these floods, the wind is always from the northwest, rain is enhanced by an orographic barrier, and there are distinct 3-day episodes of unusually intense rain that coincide with moving fronts that increase the orographic effect. Probable maximum precipitation estimates up to now have applied moisture maximization to just one of these episodes. However, the flood rises continue for many more days, with only minor recessions, and it is suggested that a sequence of two episodes over 14 days should be maximized when estimating the probable maximum precipitation.
Une analyse des disques d'un lac New zealand illustre deux méthodes pour estimer la durée d'humide survivent à qui causera le niveau maximum probable de lac. La méthode 1 prouve que, en 68 ans, les 17 dessus-ont rangé les niveaux maximum annuels coïncident bien avec les 17 dessus-ont pas aussi bien rangé des apports annuels du maximum 14-day, et avec des maximum plus courts ou plus longs. La méthode 2 prouve que la solution de l'équation reliant le niveau, la décharge, et l'apport de lac a un niveau maximum pour un apport de la durée 14-day et dépend de la superficie de lac, du taux d'augmentation de décharge de lac pendant que le niveau monte, et du taux de diminution de l'apport moyen d'inondation comme durée des augmentations moyennes. Pendant ces inondations, le vent est toujours du nord-ouest, la pluie est augmentée par une barrière orographique, et il y a des épisodes de trois jours distincts de pluie exceptionnellement intense qui coïncident avec les avants mobiles qui augmentent l'effet orographique. Les évaluations maximum probables de précipitation jusqu'ici se sont appliquées la maximisation d'humidité juste à une de ces épisodes. Cependant, les élévations d'inondation continuent pendant beaucoup plus de jours, avec seulement des récessions mineures, et on le suggère qu'un ordre de deux épisodes plus de 14 jours devrait être maximisé en estimant la précipitation maximum probable.
En ligne : s.thompson@niwa.co.nz