[article]
Titre : |
La coopérative est-elle un modèle d'avenir pour le capitalisme? : retour sur le cas de mondragéon |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Philippe Durance, Auteur |
Année de publication : |
2012 |
Article en page(s) : |
pp. 69-79 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Coopératives Entreprise Capitalisme |
Résumé : |
Les coopératives ont aujourd’hui le vent en poupe. Elles représentent pour beaucoup une alternative crédible, d’une apparence plus humaine, au modèle d’entreprise capitaliste actuel. Pourtant, les coopératives font l’objet de la part de leurs détracteurs de reproches tenant à leur incapacité de disposer des qualités qui font la force d’une entreprise traditionnelle dans un environnement mondialisé.
Des critiques anciennes élaborées à partir de l’étude d’un cas devenu mythique : le groupe basque espagnol Mondragón. Or, si le modèle capitaliste classique a évolué, celui de la coopérative en a fait de même.
Cet article reprend les principales analyses et montre que cette coopérativea su s’adapter et se développer au-delà de nombreuses espérances. Cependant, le rachat d’un groupe industriel européen en 2005 a dessiné une nouvelle ligne de fracture entre deux mondes bien distincts : celui des sociétaires propriétaires du groupe et celui des autres salariés. Et si les dirigeants de Mondragón insistent pour que la coopérative ne soit pas considérée comme une alternative au système capitaliste, c’est bien parce qu’elle s’inscrit pleinement dans la même vision du monde que celui-ci. |
En ligne : |
http://www.annales.org/gc/2012/gc_106_12_11.htm |
in Gérer et comprendre > N° 106 (Décembre 2011) . - pp. 69-79
[article] La coopérative est-elle un modèle d'avenir pour le capitalisme? : retour sur le cas de mondragéon [texte imprimé] / Philippe Durance, Auteur . - 2012 . - pp. 69-79. Langues : Français ( fre) in Gérer et comprendre > N° 106 (Décembre 2011) . - pp. 69-79
Mots-clés : |
Coopératives Entreprise Capitalisme |
Résumé : |
Les coopératives ont aujourd’hui le vent en poupe. Elles représentent pour beaucoup une alternative crédible, d’une apparence plus humaine, au modèle d’entreprise capitaliste actuel. Pourtant, les coopératives font l’objet de la part de leurs détracteurs de reproches tenant à leur incapacité de disposer des qualités qui font la force d’une entreprise traditionnelle dans un environnement mondialisé.
Des critiques anciennes élaborées à partir de l’étude d’un cas devenu mythique : le groupe basque espagnol Mondragón. Or, si le modèle capitaliste classique a évolué, celui de la coopérative en a fait de même.
Cet article reprend les principales analyses et montre que cette coopérativea su s’adapter et se développer au-delà de nombreuses espérances. Cependant, le rachat d’un groupe industriel européen en 2005 a dessiné une nouvelle ligne de fracture entre deux mondes bien distincts : celui des sociétaires propriétaires du groupe et celui des autres salariés. Et si les dirigeants de Mondragón insistent pour que la coopérative ne soit pas considérée comme une alternative au système capitaliste, c’est bien parce qu’elle s’inscrit pleinement dans la même vision du monde que celui-ci. |
En ligne : |
http://www.annales.org/gc/2012/gc_106_12_11.htm |
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