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L'option possible du recyclage du CO2 / Alain Bucaille in Responsabilités et environnement, N° 64 (Octobre 2011) 

Public ISBD [article]  in Responsabilités et environnement > N° 64 (Octobre 2011) . - pp. 76-80 Titre : L'option possible du recyclage du CO2 Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Bucaille, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp. 76-80 Langues : Français (fre) Mots-clés : Recyclage  CO2 Résumé : La captation-séquestration du CO2 sera nécessaire, mais elle ne sera ni gratuite ni universelle, en raison même de la géologie des différents pays concernés. La valorisation du CO2 pourrait ainsi devenir un véritable objectif, surtout si on la connecte à des enjeux tels que l’évolution de l’aviation. Nul ne sait précisément à quelle vitesse se développera l’électrification des moyens de transport. Mais on ne peut exclure, avec un prix du pétrole se situant autour de 150 $ / baril, que la valorisation chimique du CO2 devienne un enjeu réel. La Chine serait particulièrement susceptible de s’y intéresser, notamment en raison de l’intérêt que peut représenter pour elle le CO2 produit par ses cimenteries. Ce sujet, qui restera donc de peu d’actualité d’ici à 2020, est susceptible de devenir beaucoup plus important par la suite. En ligne : http://www.annales.org/re/2011/re_64_Octobre_2011.htm [article] L'option possible du recyclage du CO2 [texte imprimé] / Alain Bucaille, Auteur . - 2011 . - pp. 76-80. Langues : Français (fre) in Responsabilités et environnement > N° 64 (Octobre 2011) . - pp. 76-80 Mots-clés : Recyclage  CO2 Résumé : La captation-séquestration du CO2 sera nécessaire, mais elle ne sera ni gratuite ni universelle, en raison même de la géologie des différents pays concernés. La valorisation du CO2 pourrait ainsi devenir un véritable objectif, surtout si on la connecte à des enjeux tels que l’évolution de l’aviation. Nul ne sait précisément à quelle vitesse se développera l’électrification des moyens de transport. Mais on ne peut exclure, avec un prix du pétrole se situant autour de 150 $ / baril, que la valorisation chimique du CO2 devienne un enjeu réel. La Chine serait particulièrement susceptible de s’y intéresser, notamment en raison de l’intérêt que peut représenter pour elle le CO2 produit par ses cimenteries. Ce sujet, qui restera donc de peu d’actualité d’ici à 2020, est susceptible de devenir beaucoup plus important par la suite. En ligne : http://www.annales.org/re/2011/re_64_Octobre_2011.htm