[article]
Titre : |
Eau potable: jusqu'à quel point? : la transition vers une culture de la gestion des risques |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Dominique Gâtel, Auteur |
Année de publication : |
2011 |
Article en page(s) : |
pp. 63-70 |
Note générale : |
Bibliogr. |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Eau potable Gestion des risques |
Résumé : |
La question de la potabilité de l’eau se pose moins en termes de présence (ou d’absence) de substances indésirables que de valeurs maximales à ne pas dépasser.
L’amélioration de la potabilité de l’eau dépend pour beaucoup de l’amélioration des techniques analytiques.
Sur ce point, la très grande diversité et la complexité des polluants mis en évidence (pesticides, résidus médicamenteux,…), leurs multiples origines et modes de transfert dans l’environnement et leurs faibles concentrations rendent difficile l’élaboration de bases de données fiables quant à leur impact sur l’environnement et, par voie de conséquence, sur l’efficacité des traitements envisageables.
Les enjeux entourant la potabilité sont à la fois d’ordre environnemental et sanitaire. En effet, si l’on protège la santé humaine, on protège dans le même temps la biodiversité.
Si la réduction des risques passe par le traitement des eaux usées, elle repose avant tout par une rétention des polluants à la source, avant leur rejet dans le système d’assainissement.
Si de réelles avancées sont observées, de nombreux progrès restent à faire. |
En ligne : |
http://www.annales.org/re/2011/re_63_Juillet_2011.htm |
in Responsabilités et environnement > N° 63 (Juillet 2011) . - pp. 63-70
[article] Eau potable: jusqu'à quel point? : la transition vers une culture de la gestion des risques [texte imprimé] / Dominique Gâtel, Auteur . - 2011 . - pp. 63-70. Bibliogr. Langues : Français ( fre) in Responsabilités et environnement > N° 63 (Juillet 2011) . - pp. 63-70
Mots-clés : |
Eau potable Gestion des risques |
Résumé : |
La question de la potabilité de l’eau se pose moins en termes de présence (ou d’absence) de substances indésirables que de valeurs maximales à ne pas dépasser.
L’amélioration de la potabilité de l’eau dépend pour beaucoup de l’amélioration des techniques analytiques.
Sur ce point, la très grande diversité et la complexité des polluants mis en évidence (pesticides, résidus médicamenteux,…), leurs multiples origines et modes de transfert dans l’environnement et leurs faibles concentrations rendent difficile l’élaboration de bases de données fiables quant à leur impact sur l’environnement et, par voie de conséquence, sur l’efficacité des traitements envisageables.
Les enjeux entourant la potabilité sont à la fois d’ordre environnemental et sanitaire. En effet, si l’on protège la santé humaine, on protège dans le même temps la biodiversité.
Si la réduction des risques passe par le traitement des eaux usées, elle repose avant tout par une rétention des polluants à la source, avant leur rejet dans le système d’assainissement.
Si de réelles avancées sont observées, de nombreux progrès restent à faire. |
En ligne : |
http://www.annales.org/re/2011/re_63_Juillet_2011.htm |
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