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Travailler ou mesurer le travail / Marie-Ange Cotteret in Réalités industrielles, N° 1 (Fevrier 2011) 

Public ISBD [article]  in Réalités industrielles > N° 1 (Fevrier 2011) . - pp. 16-21 Titre : Travailler ou mesurer le travail Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Ange Cotteret, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp. 16-21 Langues : Français (fre) Mots-clés : Mesure  Travail Résumé : Le travail occupe une place prépondérante, tant dans la vie de l’individu que dans la société. Il est l’objet de nombreuses formes d’évaluation et de mesure, sur lesquelles s’appuient des décisions en matière de gestion ou de politique. Or, dans le monde du travail actuel largement bouleversé par des facteurs inhérents à notre époque, il est difficile de quantifier avec rigueur les processus abstraits mis en jeu dans la réalisation d’un travail. La métrologie fondamentale, pensée pour des grandeurs physiques, montre, par la rigueur qu’elle apporte, que les fondamentaux permettant d’obtenir des mesures fiables ne sont pas réunis et elle voit s’élargir son champ dans la tentative de trouver le moyen d’introduire davantage de rigueur dans les dispositifs de mesure subjective de la réalité du travail. En ligne : http://www.annales.org/ri/2011/ri_fevrier_2011.htm [article] Travailler ou mesurer le travail [texte imprimé] / Marie-Ange Cotteret, Auteur . - 2011 . - pp. 16-21. Langues : Français (fre) in Réalités industrielles > N° 1 (Fevrier 2011) . - pp. 16-21 Mots-clés : Mesure  Travail Résumé : Le travail occupe une place prépondérante, tant dans la vie de l’individu que dans la société. Il est l’objet de nombreuses formes d’évaluation et de mesure, sur lesquelles s’appuient des décisions en matière de gestion ou de politique. Or, dans le monde du travail actuel largement bouleversé par des facteurs inhérents à notre époque, il est difficile de quantifier avec rigueur les processus abstraits mis en jeu dans la réalisation d’un travail. La métrologie fondamentale, pensée pour des grandeurs physiques, montre, par la rigueur qu’elle apporte, que les fondamentaux permettant d’obtenir des mesures fiables ne sont pas réunis et elle voit s’élargir son champ dans la tentative de trouver le moyen d’introduire davantage de rigueur dans les dispositifs de mesure subjective de la réalité du travail. En ligne : http://www.annales.org/ri/2011/ri_fevrier_2011.htm