[article]
Titre : |
Les ingénieurs du corps des mines et l'évolution de la sécurité du travail minier aux XIXe et XXe |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Louis Escudier, Auteur |
Année de publication : |
2011 |
Article en page(s) : |
pp. 52-59 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Mines Sécurité Travail 20e et 19e siècle |
Résumé : |
La loi du 21 avril 1810 et ses décrets d’application ont confié au corps des Mines le contrôle de l’industrie minière. Les ingénieurs des Mines se virent donc investis d’un rôle central dans la prévention et l’analyse des accidents miniers. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, ils furent souvent sollicités par l’exécutif et la représentation parlementaire dans le processus d’élaboration d’un système de protection sociale minière.
Bien qu’indirecte, l’influence des ingénieurs des Mines n’en est pas moindre en termes de diffusion des savoirs : ils furent impliqués dans le dispositif de formation des ingénieurs-élèves, des ingénieurs d’exploitation et des agents de maîtrise. Enfin, l’activité du Conseil général des Mines et de certains ingénieurs fut déterminante en matière de recherche sur la sécurité minière, tant dans le cadre des exploitations privées que sous le régime des houillères nationalisées. |
En ligne : |
http://www.annales.org/ri/2011/ri_fevrier_2011.htm |
in Réalités industrielles > N° 1 (Fevrier 2011) . - pp. 52-59
[article] Les ingénieurs du corps des mines et l'évolution de la sécurité du travail minier aux XIXe et XXe [texte imprimé] / Jean-Louis Escudier, Auteur . - 2011 . - pp. 52-59. Langues : Français ( fre) in Réalités industrielles > N° 1 (Fevrier 2011) . - pp. 52-59
Mots-clés : |
Mines Sécurité Travail 20e et 19e siècle |
Résumé : |
La loi du 21 avril 1810 et ses décrets d’application ont confié au corps des Mines le contrôle de l’industrie minière. Les ingénieurs des Mines se virent donc investis d’un rôle central dans la prévention et l’analyse des accidents miniers. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, ils furent souvent sollicités par l’exécutif et la représentation parlementaire dans le processus d’élaboration d’un système de protection sociale minière.
Bien qu’indirecte, l’influence des ingénieurs des Mines n’en est pas moindre en termes de diffusion des savoirs : ils furent impliqués dans le dispositif de formation des ingénieurs-élèves, des ingénieurs d’exploitation et des agents de maîtrise. Enfin, l’activité du Conseil général des Mines et de certains ingénieurs fut déterminante en matière de recherche sur la sécurité minière, tant dans le cadre des exploitations privées que sous le régime des houillères nationalisées. |
En ligne : |
http://www.annales.org/ri/2011/ri_fevrier_2011.htm |
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