[article]
Titre : |
Fluides de coupe: Rôle en usinage et classification |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Benoît Broquerie, Auteur |
Année de publication : |
2011 |
Article en page(s) : |
11 p. |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Fluides de coupe Usinage Classification |
Résumé : |
Les études de Taylor, vers 1883, sur l’organisation du travail et la coupe des métaux font, les premières, état de l’utilisation de l’eau de savon pour l’arrosage des pièces en cours d’usinage. Les vitesses de coupe augmentaient, de ce fait, de 30 à 40 % et l’on pouvait espacer l’affûtage des outils.
L’eau de savon remplissait bien les deux fonctions essentielles exigées d’un liquide de coupe aujourd’hui :
refroidissement de l’outil et de la pièce grâce à la capacité thermique massique élevée de l’eau ;
lubrification de la coupe, grâce à la teneur en corps gras du savon.
En outre, l’eau de savon était plus « mouillante » que l’eau pure, mais elle ne permettait pas d’éviter la corrosion et tachait les pièces et les machines.
L’eau de savon fut remplacée par des huiles végétales ou animales, puis par des émulsions d’huiles minérales et, enfin, par des mélanges d’huiles minérales et de matières grasses dans lesquels on ajouta des additifs pour leur conférer des qualités supplémentaires. |
REFERENCE : |
BM 7 064 |
Date : |
Juillet 2005 |
En ligne : |
http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] |
in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 11 p.
[article] Fluides de coupe: Rôle en usinage et classification [texte imprimé] / Benoît Broquerie, Auteur . - 2011 . - 11 p. Langues : Français ( fre) in Techniques de l'ingénieur BT > Vol. BT1 (Trimestriel) . - 11 p.
Mots-clés : |
Fluides de coupe Usinage Classification |
Résumé : |
Les études de Taylor, vers 1883, sur l’organisation du travail et la coupe des métaux font, les premières, état de l’utilisation de l’eau de savon pour l’arrosage des pièces en cours d’usinage. Les vitesses de coupe augmentaient, de ce fait, de 30 à 40 % et l’on pouvait espacer l’affûtage des outils.
L’eau de savon remplissait bien les deux fonctions essentielles exigées d’un liquide de coupe aujourd’hui :
refroidissement de l’outil et de la pièce grâce à la capacité thermique massique élevée de l’eau ;
lubrification de la coupe, grâce à la teneur en corps gras du savon.
En outre, l’eau de savon était plus « mouillante » que l’eau pure, mais elle ne permettait pas d’éviter la corrosion et tachait les pièces et les machines.
L’eau de savon fut remplacée par des huiles végétales ou animales, puis par des émulsions d’huiles minérales et, enfin, par des mélanges d’huiles minérales et de matières grasses dans lesquels on ajouta des additifs pour leur conférer des qualités supplémentaires. |
REFERENCE : |
BM 7 064 |
Date : |
Juillet 2005 |
En ligne : |
http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/mise-en-forme [...] |
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