[article]
Titre : |
Couverture en ardoises |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Sébastien Melin, Auteur |
Année de publication : |
2007 |
Article en page(s) : |
13 p. |
Note générale : |
Bibliogr. |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Ardoise Matériaux naturels |
Résumé : |
L’ardoise, utilisée initialement pour la construction de pierres tombales, est l’un des plus anciens matériaux naturels de couverture.
Elle se taille facilement et permet de réaliser tous les accidents de couverture (rives, arêtiers, faîtières, etc.). Lorsqu’elle provient d’un bassin réputé (Anjou, Ardennes), sa durée serait presque sans limite si l’on pouvait empêcher l’oxydation de ses attaches (clous ou crochets) et les effets de la grêle et du gel. C’est, avec le métal, le matériau de couverture le plus étanche à la pluie, à la neige, au vent, à la poussière.
L’ardoise épouse toutes les formes de couverture (tourelles, dômes, etc.) et convient pour toutes les pentes depuis 15˚ jusqu’à la verticale (brisis, revêtement des murs exposés à la pluie). C’est un matériau de choix, auquel on donne souvent la préférence pour couvrir des monuments.
Par contre, sa fragilité en rend l’entretien onéreux : il nécessite l’emploi d’échafaudages et l’intervention d’un personnel spécialisé.
Les photographies sont extraites de l’encyclopédie des métiers « L’art du couvreur » et des ardoisières d’Angers.
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REFERENCE : |
C 3 515 |
Date : |
Aout 2001 |
En ligne : |
http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/l-envelopp [...] |
in Techniques de l'ingénieur CD > Vol. CD2 (Trimestriel) . - 13 p.
[article] Couverture en ardoises [texte imprimé] / Sébastien Melin, Auteur . - 2007 . - 13 p. Bibliogr. Langues : Français ( fre) in Techniques de l'ingénieur CD > Vol. CD2 (Trimestriel) . - 13 p.
Mots-clés : |
Ardoise Matériaux naturels |
Résumé : |
L’ardoise, utilisée initialement pour la construction de pierres tombales, est l’un des plus anciens matériaux naturels de couverture.
Elle se taille facilement et permet de réaliser tous les accidents de couverture (rives, arêtiers, faîtières, etc.). Lorsqu’elle provient d’un bassin réputé (Anjou, Ardennes), sa durée serait presque sans limite si l’on pouvait empêcher l’oxydation de ses attaches (clous ou crochets) et les effets de la grêle et du gel. C’est, avec le métal, le matériau de couverture le plus étanche à la pluie, à la neige, au vent, à la poussière.
L’ardoise épouse toutes les formes de couverture (tourelles, dômes, etc.) et convient pour toutes les pentes depuis 15˚ jusqu’à la verticale (brisis, revêtement des murs exposés à la pluie). C’est un matériau de choix, auquel on donne souvent la préférence pour couvrir des monuments.
Par contre, sa fragilité en rend l’entretien onéreux : il nécessite l’emploi d’échafaudages et l’intervention d’un personnel spécialisé.
Les photographies sont extraites de l’encyclopédie des métiers « L’art du couvreur » et des ardoisières d’Angers.
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REFERENCE : |
C 3 515 |
Date : |
Aout 2001 |
En ligne : |
http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/l-envelopp [...] |
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