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Etude par spectrométrie Auger et XPS des phénomènes de ségrégation à la surface d'une solution solide Fe 10% at Al rôle du soufre et de l'oxygène / Nadia Saidani 

Public ISBD Titre : Etude par spectrométrie Auger et XPS des phénomènes de ségrégation à la surface d'une solution solide Fe 10% at Al rôle du soufre et de l'oxygène Type de document : texte imprimé Auteurs : Nadia Saidani, Auteur ; Aimé Mosser, Directeur de thèse Editeur : Université Louis Pasteur de Strasbourg Année de publication : 1985 Importance : 145 f. Présentation : ill. Format : 27 cm. Note générale : Thèse de Doctorat : Physique du Solide : Strasbourg, Université Louis Pasteur de Strasbourg I : 1985 Bibliogr. [5] f Langues : Français (fre) Mots-clés : Fer  ;  Aluminium  ;  Alliages  ;  Surfaces  ;  Spectrométrie  --  auger  ;  XPS  ;  Ségrégation  ;  Oxygène  ;  Adsorption  ;  Oxydation  ;  Soufre Index. décimale : D001785 Résumé : Les phénomènes de ségrégation apparaissant lors des recuits sous vide et des oxydations à la surface d'un alliage Fe 10% at Al, ont été étudiés par spectrométrie Auger et photoélectron. Les résultats obtenus lors des recuits sous vide montrent que la surface s'enrichit en aluminium oxydé à basse température, et qu'au delà de 650°C, l'oxygène se dissout dans le volume, entraînant une ségrégation d'Al métallique ainsi que de soufre en surface. Ce phénomène de ségrégation se fait suivant un modèle de solution ternaire Fe-Al-S, avec compétition sur les sites disponibles à la surface. Après avoir appauvri l'échantillon en soufre, l'énergie de ségrégation de l'Al dans le système binaire Fe-Al a été évaluée expérimentalement à 12 kcal/mole, en utilisant le modèle de Langmuir - Mc Lean. Les expériences d'oxydation menées montrent qu'au-dessous de 400°C, la surface se recouvre d'oxyde de fer alors qu'au-dessus de cette température, l'oxygène se lie préférentiellement à l'Al; ceci s'explique du fait de la stabilité de l'aluminium oxydé, supérieure à celle du fer oxydé. Après refroidissement, la surface se recouvre d'une couche d'Al oxydé dont l'épaisseur est de l'ordre de 30°A. Cette couche, qui se dissocie au-dessus de 650°C sous vide, n'assure pas une protection absolue contre l'oxydation ultérieure, car elle permet la diffusion d'atomes de fer. Etude par spectrométrie Auger et XPS des phénomènes de ségrégation à la surface d'une solution solide Fe 10% at Al rôle du soufre et de l'oxygène [texte imprimé] / Nadia Saidani, Auteur ; Aimé Mosser, Directeur de thèse . - [S.l.] : Université Louis Pasteur de Strasbourg, 1985 . - 145 f. : ill. ; 27 cm. Thèse de Doctorat : Physique du Solide : Strasbourg, Université Louis Pasteur de Strasbourg I : 1985 Bibliogr. [5] f Langues : Français (fre) Mots-clés : Fer  ;  Aluminium  ;  Alliages  ;  Surfaces  ;  Spectrométrie  --  auger  ;  XPS  ;  Ségrégation  ;  Oxygène  ;  Adsorption  ;  Oxydation  ;  Soufre Index. décimale : D001785 Résumé : Les phénomènes de ségrégation apparaissant lors des recuits sous vide et des oxydations à la surface d'un alliage Fe 10% at Al, ont été étudiés par spectrométrie Auger et photoélectron. Les résultats obtenus lors des recuits sous vide montrent que la surface s'enrichit en aluminium oxydé à basse température, et qu'au delà de 650°C, l'oxygène se dissout dans le volume, entraînant une ségrégation d'Al métallique ainsi que de soufre en surface. Ce phénomène de ségrégation se fait suivant un modèle de solution ternaire Fe-Al-S, avec compétition sur les sites disponibles à la surface. Après avoir appauvri l'échantillon en soufre, l'énergie de ségrégation de l'Al dans le système binaire Fe-Al a été évaluée expérimentalement à 12 kcal/mole, en utilisant le modèle de Langmuir - Mc Lean. Les expériences d'oxydation menées montrent qu'au-dessous de 400°C, la surface se recouvre d'oxyde de fer alors qu'au-dessus de cette température, l'oxygène se lie préférentiellement à l'Al; ceci s'explique du fait de la stabilité de l'aluminium oxydé, supérieure à celle du fer oxydé. Après refroidissement, la surface se recouvre d'une couche d'Al oxydé dont l'épaisseur est de l'ordre de 30°A. Cette couche, qui se dissocie au-dessus de 650°C sous vide, n'assure pas une protection absolue contre l'oxydation ultérieure, car elle permet la diffusion d'atomes de fer.

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Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité	Spécialité	Etat_Exemplaire
D001785	D001785	Papier	Bibliothèque centrale	Thèse de Doctorat	Disponible

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