Les Inscriptions à la Bibliothèque sont ouvertes en
ligne via le site: https://biblio.enp.edu.dz
Les Réinscriptions se font à :
• La Bibliothèque Annexe pour les étudiants en
2ème Année CPST
• La Bibliothèque Centrale pour les étudiants en Spécialités
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les recherches... |
Techniques de l'Ingénieur CC / Blanc, André . Vol. CC1Infrastructure et matériauxMention de date : Trimestriel Paru le : 16/04/2007 |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierForage et carotage dans les roches / Robert, Jean-Paul in Techniques de l'Ingénieur CC, Vol. CC1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 22 p.
Titre : Forage et carotage dans les roches Type de document : texte imprimé Auteurs : Robert, Jean-Paul, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 22 p. Note générale : Bibliogr Langues : Français (fre) Mots-clés : Forage Carottage Roches Résumé : Depuis toujours l’homme a recherché dans le sous-sol les matériaux nécessaires à sa survie et à son développement.
Pour ce faire, il a développé des techniques et matériels de plus en plus sophistiqués. Mais c’est sans doute la traversée, ou le prélèvement, des roches qui a posé le plus grand nombre de problèmes.
Cet article s’intéresse plus particulièrement aux différentes méthodes de forage et carottage dans les sols durs ainsi qu’aux équipements que ces méthodes mettent en œuvre.
REFERENCE : C 356 DEWEY : 624 Date : Décembre 2010 En ligne : www.techniques-ingenieur.fr [article] Forage et carotage dans les roches [texte imprimé] / Robert, Jean-Paul, Auteur . - 2007 . - 22 p.
Bibliogr
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 22 p.
Mots-clés : Forage Carottage Roches Résumé : Depuis toujours l’homme a recherché dans le sous-sol les matériaux nécessaires à sa survie et à son développement.
Pour ce faire, il a développé des techniques et matériels de plus en plus sophistiqués. Mais c’est sans doute la traversée, ou le prélèvement, des roches qui a posé le plus grand nombre de problèmes.
Cet article s’intéresse plus particulièrement aux différentes méthodes de forage et carottage dans les sols durs ainsi qu’aux équipements que ces méthodes mettent en œuvre.
REFERENCE : C 356 DEWEY : 624 Date : Décembre 2010 En ligne : www.techniques-ingenieur.fr
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 17 p.
Titre : Forages et sondages Type de document : texte imprimé Auteurs : Robert, Jean-Paul, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 17 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Forages Sondages Résumé : Parmi les méthodes de reconnaissance géologique et géotechnique, les forages et sondages tiennent une place importante du fait des renseignements qu’ils peuvent fournir par eux-mêmes, ou grâce à l’adjonction de systèmes complémentaires d’information.
Les principaux domaines d’intervention du forage peuvent être groupés sous les rubriques suivantes :
* recherche et exploitation de matières utiles : minerais, charbon, eau, pétrole, matériaux de carrières ;
* reconnaissance des sols dans le cadre d’études géologiques, géotechniques, hydrogéologiques, pédologiques ;
* préparation de sols en vue de la réalisation d’ouvrages de génie civil : pieux forés, injections.
Le présent article s’intéresse plus particulièrement à la deuxième et à la troisième rubrique, en y incluant la reconnaissance de carrières qui s’y relie par la fourniture de matériaux pour la construction et l’empierrement.
Bien qu’étant une technique très ancienne, le forage s’est beaucoup développé avec les recherches minières et pétrolières, et il a mis à profit de nombreuses innovations techniques déterminantes comme l’utilisation de matériaux très durs et d’aciers spéciaux, l’air comprimé, la transmission hydraulique.
Le sondage de génie civil utilise des matériels qui sont en quelque sorte des modèles réduits des machines pétrolières.
Les matériels existants sont très nombreux et variés, et l’on trouve sur le marché des machines et outillages plus ou moins spécialisés, aptes à répondre aux différents types de problèmes posés. Nous passerons en revue les diverses méthodes de forage et sondage et les principaux types de matériels en regard des problèmes qu’ils sont appelés à traiter. Nous nous intéresserons également à certains appareillages et techniques destinés à valoriser des opérations toujours coûteuses en investissement et en fonctionnement.
REFERENCE : C 228v2 DEWEY : 624 Date : Mai 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/structure- [...] [article] Forages et sondages [texte imprimé] / Robert, Jean-Paul, Auteur . - 2007 . - 17 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 17 p.
Mots-clés : Forages Sondages Résumé : Parmi les méthodes de reconnaissance géologique et géotechnique, les forages et sondages tiennent une place importante du fait des renseignements qu’ils peuvent fournir par eux-mêmes, ou grâce à l’adjonction de systèmes complémentaires d’information.
Les principaux domaines d’intervention du forage peuvent être groupés sous les rubriques suivantes :
* recherche et exploitation de matières utiles : minerais, charbon, eau, pétrole, matériaux de carrières ;
* reconnaissance des sols dans le cadre d’études géologiques, géotechniques, hydrogéologiques, pédologiques ;
* préparation de sols en vue de la réalisation d’ouvrages de génie civil : pieux forés, injections.
Le présent article s’intéresse plus particulièrement à la deuxième et à la troisième rubrique, en y incluant la reconnaissance de carrières qui s’y relie par la fourniture de matériaux pour la construction et l’empierrement.
Bien qu’étant une technique très ancienne, le forage s’est beaucoup développé avec les recherches minières et pétrolières, et il a mis à profit de nombreuses innovations techniques déterminantes comme l’utilisation de matériaux très durs et d’aciers spéciaux, l’air comprimé, la transmission hydraulique.
Le sondage de génie civil utilise des matériels qui sont en quelque sorte des modèles réduits des machines pétrolières.
Les matériels existants sont très nombreux et variés, et l’on trouve sur le marché des machines et outillages plus ou moins spécialisés, aptes à répondre aux différents types de problèmes posés. Nous passerons en revue les diverses méthodes de forage et sondage et les principaux types de matériels en regard des problèmes qu’ils sont appelés à traiter. Nous nous intéresserons également à certains appareillages et techniques destinés à valoriser des opérations toujours coûteuses en investissement et en fonctionnement.
REFERENCE : C 228v2 DEWEY : 624 Date : Mai 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/structure- [...]
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 15 p.
Titre : Géologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Louis Durville, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 15 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Géologie; Matériaux; Génie civil Résumé : L’ingénieur de génie civil qui projette ou réalise un ouvrage se trouve nécessairement mis en présence du « terrain » qui constitue le support ou le matériau de cet ouvrage. Il est important pour lui de posséder des notions en Sciences de la Terre, afin de pouvoir dialoguer avec le géologue auquel il demande une intervention. REFERENCE : C 204 Date : Aout 1997 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...] [article] Géologie [texte imprimé] / Jean-Louis Durville, Auteur . - 2007 . - 15 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 15 p.
Mots-clés : Géologie; Matériaux; Génie civil Résumé : L’ingénieur de génie civil qui projette ou réalise un ouvrage se trouve nécessairement mis en présence du « terrain » qui constitue le support ou le matériau de cet ouvrage. Il est important pour lui de posséder des notions en Sciences de la Terre, afin de pouvoir dialoguer avec le géologue auquel il demande une intervention. REFERENCE : C 204 Date : Aout 1997 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...] Description, identification et classification des sols / Jean-Pierre Magnan in Techniques de l'Ingénieur CC, Vol. CC1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 16 p.
Titre : Description, identification et classification des sols Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Magnan, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 16 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Sols; Classification Résumé : L’ingénieur de génie civil qui projette ou réalise un ouvrage se trouve nécessairement mis en présence du « terrain » qui constitue le support ou le matériau de cet ouvrage. Il est important pour lui de posséder des notions en Sciences de la Terre, afin de pouvoir dialoguer avec le géologue auquel il demande une intervention. REFERENCE : C 208 Date : Février 1997 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...] [article] Description, identification et classification des sols [texte imprimé] / Jean-Pierre Magnan, Auteur . - 2007 . - 16 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 16 p.
Mots-clés : Sols; Classification Résumé : L’ingénieur de génie civil qui projette ou réalise un ouvrage se trouve nécessairement mis en présence du « terrain » qui constitue le support ou le matériau de cet ouvrage. Il est important pour lui de posséder des notions en Sciences de la Terre, afin de pouvoir dialoguer avec le géologue auquel il demande une intervention. REFERENCE : C 208 Date : Février 1997 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...]
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 22 p.
Titre : L'eau dans le sol Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Magnan, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 22 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Eau; Sol; Écoulement; Hydrauliques des sols Résumé : L’eau appartient à de nombreuses sciences de la nature et de la vie. Elle intéresse les gestionnaires des ressources en eau, les chimistes, les biologistes, les météorologues, les spécialistes des sols agricoles, les écologues, les marins... Pour sa part, l’ingénieur de génie civil connaît surtout l’eau comme composante du sol et pour ses interactions mécaniques avec les ouvrages.
Dans cet article sont introduites les notions utilisées pour la description du comportement mécanique de l’eau dans les sols, notamment la loi de Darcy, base de l’analyse des écoulements de l’eau dans les milieux poreux naturels ; l’équation fondamentale des écoulements permanents dans les sols, ses méthodes de résolution et quelques exemples sont étudiés. Enfin, quelques notions d’hydrogéologie utiles pour les études de génie civil sont données.
REFERENCE : C 212 Date : Novembre 1999 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-stru [...] [article] L'eau dans le sol [texte imprimé] / Jean-Pierre Magnan, Auteur . - 2007 . - 22 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 22 p.
Mots-clés : Eau; Sol; Écoulement; Hydrauliques des sols Résumé : L’eau appartient à de nombreuses sciences de la nature et de la vie. Elle intéresse les gestionnaires des ressources en eau, les chimistes, les biologistes, les météorologues, les spécialistes des sols agricoles, les écologues, les marins... Pour sa part, l’ingénieur de génie civil connaît surtout l’eau comme composante du sol et pour ses interactions mécaniques avec les ouvrages.
Dans cet article sont introduites les notions utilisées pour la description du comportement mécanique de l’eau dans les sols, notamment la loi de Darcy, base de l’analyse des écoulements de l’eau dans les milieux poreux naturels ; l’équation fondamentale des écoulements permanents dans les sols, ses méthodes de résolution et quelques exemples sont étudiés. Enfin, quelques notions d’hydrogéologie utiles pour les études de génie civil sont données.
REFERENCE : C 212 Date : Novembre 1999 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-stru [...]
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 23 p.
Titre : Déformabilité des sols : tassements, consolidation Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Magnan, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 23 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Sols; Tassement; Consolidation Résumé : Tous les sols se déforment sous les charges qui leur sont appliquées, avec des amplitudes qui peuvent aller de quelques millimètres à quelques mètres. La prévision de ces déplacements est demandée par les nouvelles normes de calcul, pour vérifier qu’ils seront acceptables par les ouvrages à construire.
L’amplitude des déformations du sol dépend de la nature et de l’état du sol et des charges appliquées. Ces charges sont limitées par les conditions de stabilité qu’il faut respecter lors de la conception des ouvrages. En pratique, les fondations superficielles de bâtiments sont construites sur des sols relativement résistants et subissent des déformations faibles, que l’on peut habituellement estimer par un calcul linéaire. Les déformations les plus importantes sont celles des massifs d’argiles molles saturées, qui peuvent durer pendant des périodes longues (quelques mois à quelques dizaines d’années). Dans ce cas, on utilise une loi de déformabilité non linéaire (semi‐logarithmique) pour évaluer l’amplitude finale du tassement et des déformations horizontales, et l’évolution du tassement au cours du temps est analysée en tenant compte de l’effet de la perméabilité limitée du sol sur la vitesse de déformation (consolidation) et de la viscosité du sol (fluage).
Cet article traite successivement de la déformabilité des sols (compressibilité œdométrique, estimation des modules de déformabilité), du calcul de l’amplitude des tassements finals et de la description de l’évolution des déformations au cours du temps. Il se termine par quelques considérations sur le calcul pratique des tassements.REFERENCE : C 214 Date : Novembre 2000 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...] [article] Déformabilité des sols : tassements, consolidation [texte imprimé] / Jean-Pierre Magnan, Auteur . - 2007 . - 23 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 23 p.
Mots-clés : Sols; Tassement; Consolidation Résumé : Tous les sols se déforment sous les charges qui leur sont appliquées, avec des amplitudes qui peuvent aller de quelques millimètres à quelques mètres. La prévision de ces déplacements est demandée par les nouvelles normes de calcul, pour vérifier qu’ils seront acceptables par les ouvrages à construire.
L’amplitude des déformations du sol dépend de la nature et de l’état du sol et des charges appliquées. Ces charges sont limitées par les conditions de stabilité qu’il faut respecter lors de la conception des ouvrages. En pratique, les fondations superficielles de bâtiments sont construites sur des sols relativement résistants et subissent des déformations faibles, que l’on peut habituellement estimer par un calcul linéaire. Les déformations les plus importantes sont celles des massifs d’argiles molles saturées, qui peuvent durer pendant des périodes longues (quelques mois à quelques dizaines d’années). Dans ce cas, on utilise une loi de déformabilité non linéaire (semi‐logarithmique) pour évaluer l’amplitude finale du tassement et des déformations horizontales, et l’évolution du tassement au cours du temps est analysée en tenant compte de l’effet de la perméabilité limitée du sol sur la vitesse de déformation (consolidation) et de la viscosité du sol (fluage).
Cet article traite successivement de la déformabilité des sols (compressibilité œdométrique, estimation des modules de déformabilité), du calcul de l’amplitude des tassements finals et de la description de l’évolution des déformations au cours du temps. Il se termine par quelques considérations sur le calcul pratique des tassements.REFERENCE : C 214 Date : Novembre 2000 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...] Résistance au cisaillement / Jean-Pierre Magnan in Techniques de l'Ingénieur CC, Vol. CC1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 24 p.
Titre : Résistance au cisaillement Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Magnan, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 24 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : cisaillement; Résistance; Rupture; Sols Résumé : Les symboles et unités recommandés pour le traitement des problèmes de résistance au cisaillement on été définis par la société internationale de mécanique des sols et des travaux de fondations. Les unités sont conformes au système international et au règles légales en france (décret n°82-203 du 26 février 1982), cf. unités légales et facteurs de conversion dans ce traité). REFERENCE : C 216 Date : Février 1991 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/search.html?query=http%20www%20techniques-ing [...] [article] Résistance au cisaillement [texte imprimé] / Jean-Pierre Magnan, Auteur . - 2007 . - 24 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 24 p.
Mots-clés : cisaillement; Résistance; Rupture; Sols Résumé : Les symboles et unités recommandés pour le traitement des problèmes de résistance au cisaillement on été définis par la société internationale de mécanique des sols et des travaux de fondations. Les unités sont conformes au système international et au règles légales en france (décret n°82-203 du 26 février 1982), cf. unités légales et facteurs de conversion dans ce traité). REFERENCE : C 216 Date : Février 1991 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/search.html?query=http%20www%20techniques-ing [...] Lois de comportement et modélisation des sols / Jean-Pierre Magnan in Techniques de l'Ingénieur CC, Vol. CC1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 23 p.
Titre : Lois de comportement et modélisation des sols Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Magnan, Auteur ; Philippe Mestat, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 23 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Sols; Lois; Comportement Résumé : Dans toute étude géotechnique, la modélisation est une étape décisive qui conditionne la qualité des analyses de diagnostic ou de prévision du comportement des sols et des ouvrages. Un modèle n’est pas seulement une série d’équations représentant le comportement physique ou mécanique du sol, c’est aussi une représentation géométrique de l’espace, qui délimite les couches ou volumes occupés par chaque matériau (sol, roche, eau, béton, métal, géosynthétiques, etc.) et précise la place des conditions aux limites et des interfaces, avec leurs conditions de contact.
Les modèles utilisés dans les études de mécanique des sols sont très divers. Les méthodes de calcul classiques admettent en général des géométries simplifiées (couche de sol homogène, massif semi-infini) et réduisent souvent le comportement du sol à des relations unidimensionnelles (théorie de la consoli-dation) ou bidimensionnelles planes (calculs de stabilité de pente, soutènements) ou axisymétriques (réseaux de drains ou de colonnes, pieux, galeries de tunnels). Les calculs tridimensionnels sont limités aux équations de l’élasticité linéaire pour les fondations superficielles et à certaines études d’écoulements. Les relations entre les forces ou contraintes et les déplacements ou déformations sont souvent linéaires et isotropes pour les calculs de déformations, et de type « rigide-plastique » pour les calculs de stabilité.
Les progrès des ordinateurs et des méthodes d’analyse numérique permettent de dépasser les limitations géométriques et rhéologiques des méthodes de calcul traditionnelles et d’aborder l’étude de problèmes aux géométries et lois de comportement complexes, combinant les concepts classiques de compressibilité, de consolidation primaire et de compression secondaire, de résistance au cisaillement, d’états limites de poussée-butée ou de portance. Cette approche globale passe par la définition d’une loi de comportement spécifique à chaque type de sol et par l’utilisation de techniques numériques appropriées.
Le développement de ces lois de comportement (ou modèles rhéologiques) s’appuie à la fois sur les schémas théoriques de la mécanique des milieux continus (élasticité, plasticité, viscosité et leurs combinaisons) et sur les résultats d’études expérimentales en laboratoire et en place. Suivant l’influence dominante, on peut ainsi obtenir soit des lois très complexes, qui cherchent à reproduire les moindres fluctuations des courbes expérimentales, soit des modèles plus simples qui se limitent à la représentation des aspects essentiels du comportement des sols réels.
REFERENCE : C 218 Date : Novembre 1997 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-stru [...] [article] Lois de comportement et modélisation des sols [texte imprimé] / Jean-Pierre Magnan, Auteur ; Philippe Mestat, Auteur . - 2007 . - 23 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 23 p.
Mots-clés : Sols; Lois; Comportement Résumé : Dans toute étude géotechnique, la modélisation est une étape décisive qui conditionne la qualité des analyses de diagnostic ou de prévision du comportement des sols et des ouvrages. Un modèle n’est pas seulement une série d’équations représentant le comportement physique ou mécanique du sol, c’est aussi une représentation géométrique de l’espace, qui délimite les couches ou volumes occupés par chaque matériau (sol, roche, eau, béton, métal, géosynthétiques, etc.) et précise la place des conditions aux limites et des interfaces, avec leurs conditions de contact.
Les modèles utilisés dans les études de mécanique des sols sont très divers. Les méthodes de calcul classiques admettent en général des géométries simplifiées (couche de sol homogène, massif semi-infini) et réduisent souvent le comportement du sol à des relations unidimensionnelles (théorie de la consoli-dation) ou bidimensionnelles planes (calculs de stabilité de pente, soutènements) ou axisymétriques (réseaux de drains ou de colonnes, pieux, galeries de tunnels). Les calculs tridimensionnels sont limités aux équations de l’élasticité linéaire pour les fondations superficielles et à certaines études d’écoulements. Les relations entre les forces ou contraintes et les déplacements ou déformations sont souvent linéaires et isotropes pour les calculs de déformations, et de type « rigide-plastique » pour les calculs de stabilité.
Les progrès des ordinateurs et des méthodes d’analyse numérique permettent de dépasser les limitations géométriques et rhéologiques des méthodes de calcul traditionnelles et d’aborder l’étude de problèmes aux géométries et lois de comportement complexes, combinant les concepts classiques de compressibilité, de consolidation primaire et de compression secondaire, de résistance au cisaillement, d’états limites de poussée-butée ou de portance. Cette approche globale passe par la définition d’une loi de comportement spécifique à chaque type de sol et par l’utilisation de techniques numériques appropriées.
Le développement de ces lois de comportement (ou modèles rhéologiques) s’appuie à la fois sur les schémas théoriques de la mécanique des milieux continus (élasticité, plasticité, viscosité et leurs combinaisons) et sur les résultats d’études expérimentales en laboratoire et en place. Suivant l’influence dominante, on peut ainsi obtenir soit des lois très complexes, qui cherchent à reproduire les moindres fluctuations des courbes expérimentales, soit des modèles plus simples qui se limitent à la représentation des aspects essentiels du comportement des sols réels.
REFERENCE : C 218 Date : Novembre 1997 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-stru [...] Corrélation entre les propriétés des sols / Jean-Pierre Magnan in Techniques de l'Ingénieur CC, Vol. CC1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 10 p.
Titre : Corrélation entre les propriétés des sols Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Magnan, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 10 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Sols; Corrélations Résumé : Les paramètres utilisés pour décrire les propriétés physiques et mécaniques des sols sont de nature très variée :
paramètres d’identification et d’état (porosité, indice des vides, densité, densité relative, limites d’Atterberg, etc.) ;
paramètres de déformabilité (indices de compression et de gonflement, module œdométrique, module pressiométrique, etc.) ;
paramètres de résistance (cohésion et angle de frottement interne, pression limite pressiométrique, résistance de cône statique ou dynamique, etc.) ;
paramètres de perméabilité.
Il est très rare que, sur un même site, tous ces paramètres soient mesurés en un nombre de points suffisant pour que l’on puisse juger bien connu l’ensemble du massif de sol. Habituellement, la reconnaissance géotechnique est limitée au strict minimum, et l’on dispose des valeurs de certains paramètres en certains points et d’autres paramètres en d’autres points. L’ingénieur géotechnicien doit tirer le meilleur parti possible de ces informations éparses et établir une coupe géotechnique représentative du site étudié.
C’est dans ce cadre général que l’utilisation de corrélations entre les propriétés physiques et mécaniques des sols peut contribuer efficacement au travail de synthèse du géotechnicien.
REFERENCE : C 219 Date : Février 1993 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...] [article] Corrélation entre les propriétés des sols [texte imprimé] / Jean-Pierre Magnan, Auteur . - 2007 . - 10 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 10 p.
Mots-clés : Sols; Corrélations Résumé : Les paramètres utilisés pour décrire les propriétés physiques et mécaniques des sols sont de nature très variée :
paramètres d’identification et d’état (porosité, indice des vides, densité, densité relative, limites d’Atterberg, etc.) ;
paramètres de déformabilité (indices de compression et de gonflement, module œdométrique, module pressiométrique, etc.) ;
paramètres de résistance (cohésion et angle de frottement interne, pression limite pressiométrique, résistance de cône statique ou dynamique, etc.) ;
paramètres de perméabilité.
Il est très rare que, sur un même site, tous ces paramètres soient mesurés en un nombre de points suffisant pour que l’on puisse juger bien connu l’ensemble du massif de sol. Habituellement, la reconnaissance géotechnique est limitée au strict minimum, et l’on dispose des valeurs de certains paramètres en certains points et d’autres paramètres en d’autres points. L’ingénieur géotechnicien doit tirer le meilleur parti possible de ces informations éparses et établir une coupe géotechnique représentative du site étudié.
C’est dans ce cadre général que l’utilisation de corrélations entre les propriétés physiques et mécaniques des sols peut contribuer efficacement au travail de synthèse du géotechnicien.
REFERENCE : C 219 Date : Février 1993 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...] Propriétés mécaniques des sols déterminées en place / Samuel Amar in Techniques de l'Ingénieur CC, Vol. CC1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 24 p.
Titre : Propriétés mécaniques des sols déterminées en place Type de document : texte imprimé Auteurs : Samuel Amar, Auteur ; Jean-François Jézéquel, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 24 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Mécaniques des sols Résumé : Les essais en place (ou « in situ ») de mécanique des sols les plus courants sont les essais réalisés au pénétromètre (statique ou dynamique y compris l’essai de pénétration au carottier dit SPT), et les essais au pressiomètre Ménard et au scissomètre de chantier.
Cet article présente ces essais classiques (appareillage, modalités de mise en œuvre, interprétation des mesures). L’exploitation des résultats pour la reconnaissance des sols et le dimensionnement des ouvrages ne sera abordé que sommairement, le sujet étant traité dans d’autres articles.
Il existe d’autres essais en place intéressants, mais ils sont d’une utilisation moins fréquente en raison de leur nouveauté, de leur caractère plus complexe ou de leur domaine d’intervention plus limité. On peut citer, par exemple, le pressiomètre autoforeur, le pressio-pénétromètre, le pénétro-gammadensimètre et le phicomètre. Le paragraphe de cet article qui leur est consacré donne également un aperçu des compléments qui peuvent être apportés aux essais classiques (notamment piézocône et manchon de frottement pour le pénétromètre statique) et présente les essais de chargement à la plaque et les essais d’eau les plus courants.
On peut arbitrairement subdiviser les essais en place en deux grandes familles : les essais qui donnent une caractéristique de sol à la limite (ou, si l’on veut, à « la rupture ») et les essais qui donnent en plus une relation contraintes - déformations.
Les pénétromètres statiques et dynamiques appartiennent à la première famille. Ils sont enfoncés dans le terrain soit à vitesse imposée soit sous l’effet de chocs répétés. Le sol sous la pointe est constamment dans un état limite puisque la pointe de l’appareil le poinçonne.
Le pressiomètre et le scissomètre appartiennent à la deuxième famille, car ils sollicitent le terrain depuis son état au repos jusqu’à une valeur limite.
Les pénétromètres ne permettent donc pas, par définition, de déterminer les caractéristiques de déformation du sol, sauf à procéder par corrélations. Avec le pressiomètre et le scissomètre, on peut par contre songer à mesurer des paramètres de déformabilité, utiles pour déterminer les tassements ou les déformations des ouvrages. Suivant les conditions de mise en œuvre des appareils et les conditions d’essai, on examinera l’intérêt et les limites de cette particularité.
REFERENCE : C 220 Date : Février 1998 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...] [article] Propriétés mécaniques des sols déterminées en place [texte imprimé] / Samuel Amar, Auteur ; Jean-François Jézéquel, Auteur . - 2007 . - 24 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 24 p.
Mots-clés : Mécaniques des sols Résumé : Les essais en place (ou « in situ ») de mécanique des sols les plus courants sont les essais réalisés au pénétromètre (statique ou dynamique y compris l’essai de pénétration au carottier dit SPT), et les essais au pressiomètre Ménard et au scissomètre de chantier.
Cet article présente ces essais classiques (appareillage, modalités de mise en œuvre, interprétation des mesures). L’exploitation des résultats pour la reconnaissance des sols et le dimensionnement des ouvrages ne sera abordé que sommairement, le sujet étant traité dans d’autres articles.
Il existe d’autres essais en place intéressants, mais ils sont d’une utilisation moins fréquente en raison de leur nouveauté, de leur caractère plus complexe ou de leur domaine d’intervention plus limité. On peut citer, par exemple, le pressiomètre autoforeur, le pressio-pénétromètre, le pénétro-gammadensimètre et le phicomètre. Le paragraphe de cet article qui leur est consacré donne également un aperçu des compléments qui peuvent être apportés aux essais classiques (notamment piézocône et manchon de frottement pour le pénétromètre statique) et présente les essais de chargement à la plaque et les essais d’eau les plus courants.
On peut arbitrairement subdiviser les essais en place en deux grandes familles : les essais qui donnent une caractéristique de sol à la limite (ou, si l’on veut, à « la rupture ») et les essais qui donnent en plus une relation contraintes - déformations.
Les pénétromètres statiques et dynamiques appartiennent à la première famille. Ils sont enfoncés dans le terrain soit à vitesse imposée soit sous l’effet de chocs répétés. Le sol sous la pointe est constamment dans un état limite puisque la pointe de l’appareil le poinçonne.
Le pressiomètre et le scissomètre appartiennent à la deuxième famille, car ils sollicitent le terrain depuis son état au repos jusqu’à une valeur limite.
Les pénétromètres ne permettent donc pas, par définition, de déterminer les caractéristiques de déformation du sol, sauf à procéder par corrélations. Avec le pressiomètre et le scissomètre, on peut par contre songer à mesurer des paramètres de déformabilité, utiles pour déterminer les tassements ou les déformations des ouvrages. Suivant les conditions de mise en œuvre des appareils et les conditions d’essai, on examinera l’intérêt et les limites de cette particularité.
REFERENCE : C 220 Date : Février 1998 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...] Géophysique appliquée au génie civil / Richard Lagabrielle in Techniques de l'Ingénieur CC, Vol. CC1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 23 p.
Titre : Géophysique appliquée au génie civil Type de document : texte imprimé Auteurs : Richard Lagabrielle, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 23 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Géophysique; Génie civil Résumé : La géophysique applique les moyens de la physique à l’étude de la structure des terrains. Elle se pratique à partir de la surface du sol (géophysique de surface), dans un forage au moyen d’une sonde portant les instruments de mesure (diagraphies) ou entre forages, forage et surface, forage et galerie (géophysique de forage). C’est l’une des approches utilisées pour la reconnaissance géotechnique du site avant la construction d’un ouvrage (bâtiment, infrastructure urbaine ou infrastructure de transport, barrage...). La reconnaissance géotechnique d’un site consiste à déterminer la nature et la répartition des matériaux dont il est composé et à déterminer leurs propriétés. Ces éléments servent à préciser l’emplacement ou le tracé de l’ouvrage à construire, à concevoir ses fondations et à décider des procédés de construction. Une grande partie des reconnaissances s’applique à l’hydrogéologie et en particulier aux relations de l’ouvrage avec l’eau.
La reconnaissance se traduit par l’élaboration d’un modèle géologique.
Un modèle géologique est un ensemble de représentations d’un site sous ses différents aspects (nature, répartition, propriétés des matériaux qui le constituent). Ces représentations prennent matériellement la forme de cartes, de coupes, de blocs diagrammes, de coupes de sondages, de textes ou même de maquettes.
Au départ, la reconnaissance est toujours fondée sur un premier modèle géologique, qui peut être très sommaire, imprécis ou peu fiable. Le but de la reconnaissance est de l’améliorer, de le rendre fiable, précis, le plus complet possible afin de permettre une conception de l’ouvrage qui repose sur les données dont on a besoin et qui soient les plus sûres possible.
REFERENCE : C 224v2 Date : Mai 2007 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/genie-civi [...] [article] Géophysique appliquée au génie civil [texte imprimé] / Richard Lagabrielle, Auteur . - 2007 . - 23 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 23 p.
Mots-clés : Géophysique; Génie civil Résumé : La géophysique applique les moyens de la physique à l’étude de la structure des terrains. Elle se pratique à partir de la surface du sol (géophysique de surface), dans un forage au moyen d’une sonde portant les instruments de mesure (diagraphies) ou entre forages, forage et surface, forage et galerie (géophysique de forage). C’est l’une des approches utilisées pour la reconnaissance géotechnique du site avant la construction d’un ouvrage (bâtiment, infrastructure urbaine ou infrastructure de transport, barrage...). La reconnaissance géotechnique d’un site consiste à déterminer la nature et la répartition des matériaux dont il est composé et à déterminer leurs propriétés. Ces éléments servent à préciser l’emplacement ou le tracé de l’ouvrage à construire, à concevoir ses fondations et à décider des procédés de construction. Une grande partie des reconnaissances s’applique à l’hydrogéologie et en particulier aux relations de l’ouvrage avec l’eau.
La reconnaissance se traduit par l’élaboration d’un modèle géologique.
Un modèle géologique est un ensemble de représentations d’un site sous ses différents aspects (nature, répartition, propriétés des matériaux qui le constituent). Ces représentations prennent matériellement la forme de cartes, de coupes, de blocs diagrammes, de coupes de sondages, de textes ou même de maquettes.
Au départ, la reconnaissance est toujours fondée sur un premier modèle géologique, qui peut être très sommaire, imprécis ou peu fiable. Le but de la reconnaissance est de l’améliorer, de le rendre fiable, précis, le plus complet possible afin de permettre une conception de l’ouvrage qui repose sur les données dont on a besoin et qui soient les plus sûres possible.
REFERENCE : C 224v2 Date : Mai 2007 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/genie-civi [...] Diagraphie et géophysique de forage / Richard Lagabrielle in Techniques de l'Ingénieur CC, Vol. CC1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 18 p.
Titre : Diagraphie et géophysique de forage Type de document : texte imprimé Auteurs : Richard Lagabrielle, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 18 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Diagraphie; Géophysique; Forage Résumé : Les diagraphies et la géophysique de forage font partie de la panoplie des méthodes auxquelles on a recours pour reconnaître le terrain sur lequel on a des projets de construction d’ouvrage de génie civil. Parmi les techniques géophysiques, elles sont caractérisées par un mode particulier de mise en œuvre puisqu’elles sont employées en forage.
Pour ce qui concerne les principes généraux de la géophysique et les bases des différentes méthodes, nous renvoyons à l’article « Géophysique appliquée au génie civil ». Cependant, nous rappelons ici les définitions de la géophysique de forage et des diagraphies en précisant dans quelles circonstances elles sont plus particulièrement indiquées.REFERENCE : C 225v2 Date : Mai 2007 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...] [article] Diagraphie et géophysique de forage [texte imprimé] / Richard Lagabrielle, Auteur . - 2007 . - 18 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 18 p.
Mots-clés : Diagraphie; Géophysique; Forage Résumé : Les diagraphies et la géophysique de forage font partie de la panoplie des méthodes auxquelles on a recours pour reconnaître le terrain sur lequel on a des projets de construction d’ouvrage de génie civil. Parmi les techniques géophysiques, elles sont caractérisées par un mode particulier de mise en œuvre puisqu’elles sont employées en forage.
Pour ce qui concerne les principes généraux de la géophysique et les bases des différentes méthodes, nous renvoyons à l’article « Géophysique appliquée au génie civil ». Cependant, nous rappelons ici les définitions de la géophysique de forage et des diagraphies en précisant dans quelles circonstances elles sont plus particulièrement indiquées.REFERENCE : C 225v2 Date : Mai 2007 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...]
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 17 p.
Titre : Forages et sondages Type de document : texte imprimé Auteurs : Robert, Jean-Paul, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 17 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Forages; Sondages Résumé : Parmi les méthodes de reconnaissance géologique et géotechnique, les forages et sondages tiennent une place importante du fait des renseignements qu’ils peuvent fournir par eux-mêmes, ou grâce à l’adjonction de systèmes complémentaires d’information.
Les principaux domaines d’intervention du forage peuvent être groupés sous les rubriques suivantes :
recherche et exploitation de matières utiles : minerais, charbon, eau, pétrole, matériaux de carrières ;
reconnaissance des sols dans le cadre d’études géologiques, géotechniques, hydrogéologiques, pédologiques ;
préparation de sols en vue de la réalisation d’ouvrages de génie civil : pieux forés, injections.
Le présent article s’intéresse plus particulièrement à la deuxième et à la troisième rubrique, en y incluant la reconnaissance de carrières qui s’y relie par la fourniture de matériaux pour la construction et l’empierrement.
Bien qu’étant une technique très ancienne, le forage s’est beaucoup développé avec les recherches minières et pétrolières, et il a mis à profit de nombreuses innovations techniques déterminantes comme l’utilisation de matériaux très durs et d’aciers spéciaux, l’air comprimé, la transmission hydraulique.
Le sondage de génie civil utilise des matériels qui sont en quelque sorte des modèles réduits des machines pétrolières.
Les matériels existants sont très nombreux et variés, et l’on trouve sur le marché des machines et outillages plus ou moins spécialisés, aptes à répondre aux différents types de problèmes posés. Nous passerons en revue les diverses méthodes de forage et sondage et les principaux types de matériels en regard des problèmes qu’ils sont appelés à traiter. Nous nous intéresserons également à certains appareillages et techniques destinés à valoriser des opérations toujours coûteuses en investissement et en fonctionnement.
REFERENCE : C 228v2 Date : Mai 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/infrastruc [...] [article] Forages et sondages [texte imprimé] / Robert, Jean-Paul, Auteur . - 2007 . - 17 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 17 p.
Mots-clés : Forages; Sondages Résumé : Parmi les méthodes de reconnaissance géologique et géotechnique, les forages et sondages tiennent une place importante du fait des renseignements qu’ils peuvent fournir par eux-mêmes, ou grâce à l’adjonction de systèmes complémentaires d’information.
Les principaux domaines d’intervention du forage peuvent être groupés sous les rubriques suivantes :
recherche et exploitation de matières utiles : minerais, charbon, eau, pétrole, matériaux de carrières ;
reconnaissance des sols dans le cadre d’études géologiques, géotechniques, hydrogéologiques, pédologiques ;
préparation de sols en vue de la réalisation d’ouvrages de génie civil : pieux forés, injections.
Le présent article s’intéresse plus particulièrement à la deuxième et à la troisième rubrique, en y incluant la reconnaissance de carrières qui s’y relie par la fourniture de matériaux pour la construction et l’empierrement.
Bien qu’étant une technique très ancienne, le forage s’est beaucoup développé avec les recherches minières et pétrolières, et il a mis à profit de nombreuses innovations techniques déterminantes comme l’utilisation de matériaux très durs et d’aciers spéciaux, l’air comprimé, la transmission hydraulique.
Le sondage de génie civil utilise des matériels qui sont en quelque sorte des modèles réduits des machines pétrolières.
Les matériels existants sont très nombreux et variés, et l’on trouve sur le marché des machines et outillages plus ou moins spécialisés, aptes à répondre aux différents types de problèmes posés. Nous passerons en revue les diverses méthodes de forage et sondage et les principaux types de matériels en regard des problèmes qu’ils sont appelés à traiter. Nous nous intéresserons également à certains appareillages et techniques destinés à valoriser des opérations toujours coûteuses en investissement et en fonctionnement.
REFERENCE : C 228v2 Date : Mai 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/infrastruc [...] Eurocode 7: calcul géotechnique / Jean-Pierre Magnan in Techniques de l'Ingénieur CC, Vol. CC1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 8 p.
Titre : Eurocode 7: calcul géotechnique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Magnan, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 8 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Eurocode 7; Calcul géotechnique Résumé : Le présent chapitre décrit le contenu de l’eurocode 7 expérimental, dont la publication a eu lieu en 1994. Il analyse en particulier les similitudes et différences de ce texte par rapport aux pratiques généralement suivies en France dans l’étude des ouvrages géotechniques, puis commente les possibilités pratiques d’utilisation de ce texte en attendant la publication des normes complémentaires prévues ultérieurement par types d’ouvrages. REFERENCE : C 240 Date : Février 1995 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...] [article] Eurocode 7: calcul géotechnique [texte imprimé] / Jean-Pierre Magnan, Auteur . - 2007 . - 8 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 8 p.
Mots-clés : Eurocode 7; Calcul géotechnique Résumé : Le présent chapitre décrit le contenu de l’eurocode 7 expérimental, dont la publication a eu lieu en 1994. Il analyse en particulier les similitudes et différences de ce texte par rapport aux pratiques généralement suivies en France dans l’étude des ouvrages géotechniques, puis commente les possibilités pratiques d’utilisation de ce texte en attendant la publication des normes complémentaires prévues ultérieurement par types d’ouvrages. REFERENCE : C 240 Date : Février 1995 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...] Ouvrages de soutènement / François Schlosser in Techniques de l'Ingénieur CC, Vol. CC1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 16 p.
Titre : Ouvrages de soutènement : poussée et butée Type de document : texte imprimé Auteurs : François Schlosser, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 16 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Pussée; Butée; Soutènement Résumé : L’objet de cet article est de déterminer les forces de poussée et de butée en fonction de la géométrie du mur et du massif de sol retenu, des caractéristiques mécaniques du sol et des déplacements relatifs du mur par rapport au sol. REFERENCE : C 242 Date : Mai 1990 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/infrastruc [...] [article] Ouvrages de soutènement : poussée et butée [texte imprimé] / François Schlosser, Auteur . - 2007 . - 16 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 16 p.
Mots-clés : Pussée; Butée; Soutènement Résumé : L’objet de cet article est de déterminer les forces de poussée et de butée en fonction de la géométrie du mur et du massif de sol retenu, des caractéristiques mécaniques du sol et des déplacements relatifs du mur par rapport au sol. REFERENCE : C 242 Date : Mai 1990 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/infrastruc [...]
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 23 p.
Titre : Murs de soutènement Type de document : texte imprimé Auteurs : François Schlosser, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 23 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Murs; Soutènement Résumé : Le rôle des ouvrages de soutènement est de retenir les massifs de terre.
Il en existe une grande variété se caractérisant par des fonctionnements différents et conduisant à des études de stabilité interne spécifiques.
Tous ces ouvrages ont en commun la force de poussée exercée par le massif de sol retenu. Par contre, c’est principalement la manière dont est reprise cette force de poussée qui différencie les différents types d’ouvrages.
Après avoir donné une classification des divers ouvrages de soutènement, on indique pour chaque type les étapes principales de la méthode d’étude de dimensionnement.
REFERENCE : C 244 Date : Novembre 1991 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/infrastruc [...] [article] Murs de soutènement [texte imprimé] / François Schlosser, Auteur . - 2007 . - 23 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 23 p.
Mots-clés : Murs; Soutènement Résumé : Le rôle des ouvrages de soutènement est de retenir les massifs de terre.
Il en existe une grande variété se caractérisant par des fonctionnements différents et conduisant à des études de stabilité interne spécifiques.
Tous ces ouvrages ont en commun la force de poussée exercée par le massif de sol retenu. Par contre, c’est principalement la manière dont est reprise cette force de poussée qui différencie les différents types d’ouvrages.
Après avoir donné une classification des divers ouvrages de soutènement, on indique pour chaque type les étapes principales de la méthode d’étude de dimensionnement.
REFERENCE : C 244 Date : Novembre 1991 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/infrastruc [...] Renforcement des sols par inclusions / François Schlosser in Techniques de l'Ingénieur CC, Vol. CC1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 19 p.
Titre : Renforcement des sols par inclusions Type de document : texte imprimé Auteurs : François Schlosser, Auteur ; Philippe Unterreiner, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 19 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Sols; Matériaux composite; Renforcement Résumé : Le renforcement des sols consiste, dans son principe, à associer un sol à des éléments résistants de manière à former un matériau composite.
Après une présentation des différents types de renforcements et des techniques correspondantes, on étudie le comportement élémentaire entre le sol et un élément de renforcement, comportement qui est commun à toutes les techniques de sol renforcé.
Un certain nombre de principes généraux de dimensionnement concernant les calculs aux états limites ultimes (ELU) et de service (ELS), les coefficients partiels de sécurité et la durabilité sont ensuite exposés avant d’aborder plus en détail chacune des techniques.
REFERENCE : C 245 Date : Mai 1994 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/infrastruc [...] [article] Renforcement des sols par inclusions [texte imprimé] / François Schlosser, Auteur ; Philippe Unterreiner, Auteur . - 2007 . - 19 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 19 p.
Mots-clés : Sols; Matériaux composite; Renforcement Résumé : Le renforcement des sols consiste, dans son principe, à associer un sol à des éléments résistants de manière à former un matériau composite.
Après une présentation des différents types de renforcements et des techniques correspondantes, on étudie le comportement élémentaire entre le sol et un élément de renforcement, comportement qui est commun à toutes les techniques de sol renforcé.
Un certain nombre de principes généraux de dimensionnement concernant les calculs aux états limites ultimes (ELU) et de service (ELS), les coefficients partiels de sécurité et la durabilité sont ensuite exposés avant d’aborder plus en détail chacune des techniques.
REFERENCE : C 245 Date : Mai 1994 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/infrastruc [...]
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 29 p.
Titre : Fondations superficielles Type de document : texte imprimé Auteurs : Roger Frank, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 29 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Fondation superficielles; Sol Résumé : Il existe deux grands modes de transmission des charges des constructions aux couches de sols sous-jacentes : par fondation superficielle et par fondation profonde. Le mot « fondation » est pris ici, et il en sera de même dans la suite de cet article, au sens de l’élément de la construction (en béton armé, le plus généralement). Il peut, dans certaines conditions, signifier les couches de sol elles-mêmes (sur lesquelles on entend précisément « fonder » la construction).
La fondation superficielle est, par définition, une fondation qui repose sur le sol ou qui n’y est que faiblement encastrée. Les charges qu’elle transmet ne sollicitent que les couches superficielles et peu profondes. Les fondations profondes (pieux et barrettes) reportent, elles, les charges tant dans les couches profondes que dans les couches superficielles qu’elles traversent.
Le mode de travail d’une fondation et son interaction avec le sol conduisent à introduire la notion de profondeur critique que l’on peut définir en première approximation comme le niveau au-dessous duquel, en sol homogène, la résistance sous la base de la fondation n’augmente plus. Les fondations superficielles ont leur base située au-dessus de cette profondeur critique : ce sont les semelles, radiers, etc. Les fondations profondes ont leur base située au-dessous de cette profondeur critique. Les fondations superficielles travaillent essentiellement grâce à la résistance du sol sous la base. Pour les fondations profondes (pieux, puits, barrettes, etc.), il y a également lieu de considérer la résistance du sol le long du fût, c’est-à-dire le frottement latéral (cf. chapitre spécialisé dans ce traité).
Entre les deux extrêmes, fondations superficielles et fondations profondes, on trouve les fondations semi-profondes dont la base se trouve au-dessus de la profondeur critique, mais pour lesquelles le frottement latéral ne peut être négligé : il s’agit des puits et pieux courts ou des barrettes de faible profondeur et de la plupart des caissons. Il n’y a pas de méthode de calcul propre à cette catégorie de fondations qui ne constituent que des cas particuliers ; i l faudra adapter, suivant les cas, les méthodes retenues pour les fondations superficielles ou pour les fondations profondes.
REFERENCE : C 246 Date : Novembre 1998 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/infrastruc [...] [article] Fondations superficielles [texte imprimé] / Roger Frank, Auteur . - 2007 . - 29 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 29 p.
Mots-clés : Fondation superficielles; Sol Résumé : Il existe deux grands modes de transmission des charges des constructions aux couches de sols sous-jacentes : par fondation superficielle et par fondation profonde. Le mot « fondation » est pris ici, et il en sera de même dans la suite de cet article, au sens de l’élément de la construction (en béton armé, le plus généralement). Il peut, dans certaines conditions, signifier les couches de sol elles-mêmes (sur lesquelles on entend précisément « fonder » la construction).
La fondation superficielle est, par définition, une fondation qui repose sur le sol ou qui n’y est que faiblement encastrée. Les charges qu’elle transmet ne sollicitent que les couches superficielles et peu profondes. Les fondations profondes (pieux et barrettes) reportent, elles, les charges tant dans les couches profondes que dans les couches superficielles qu’elles traversent.
Le mode de travail d’une fondation et son interaction avec le sol conduisent à introduire la notion de profondeur critique que l’on peut définir en première approximation comme le niveau au-dessous duquel, en sol homogène, la résistance sous la base de la fondation n’augmente plus. Les fondations superficielles ont leur base située au-dessus de cette profondeur critique : ce sont les semelles, radiers, etc. Les fondations profondes ont leur base située au-dessous de cette profondeur critique. Les fondations superficielles travaillent essentiellement grâce à la résistance du sol sous la base. Pour les fondations profondes (pieux, puits, barrettes, etc.), il y a également lieu de considérer la résistance du sol le long du fût, c’est-à-dire le frottement latéral (cf. chapitre spécialisé dans ce traité).
Entre les deux extrêmes, fondations superficielles et fondations profondes, on trouve les fondations semi-profondes dont la base se trouve au-dessus de la profondeur critique, mais pour lesquelles le frottement latéral ne peut être négligé : il s’agit des puits et pieux courts ou des barrettes de faible profondeur et de la plupart des caissons. Il n’y a pas de méthode de calcul propre à cette catégorie de fondations qui ne constituent que des cas particuliers ; i l faudra adapter, suivant les cas, les méthodes retenues pour les fondations superficielles ou pour les fondations profondes.
REFERENCE : C 246 Date : Novembre 1998 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/infrastruc [...]
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 44 p.
Titre : Fondations profondes Type de document : texte imprimé Auteurs : Roger Frank, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 44 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Fondations profondes Résumé : Les fondations profondes sont celles qui permettent de reporter les charges dues à l’ouvrage qu’elles supportent sur des couches situées depuis la surface jusqu’à une profondeur variant de quelques mètres à plusieurs dizaines de mètres, lorsque le sol en surface n’a pas une résistance suffisante pour supporter ces charges par l’intermédiaire de fondations superficielles (semelles ou radiers : cf. chapitre spécialisé dans ce traité . REFERENCE : C 248 Date : Mai 1995 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/infrastruc [...] [article] Fondations profondes [texte imprimé] / Roger Frank, Auteur . - 2007 . - 44 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 44 p.
Mots-clés : Fondations profondes Résumé : Les fondations profondes sont celles qui permettent de reporter les charges dues à l’ouvrage qu’elles supportent sur des couches situées depuis la surface jusqu’à une profondeur variant de quelques mètres à plusieurs dizaines de mètres, lorsque le sol en surface n’a pas une résistance suffisante pour supporter ces charges par l’intermédiaire de fondations superficielles (semelles ou radiers : cf. chapitre spécialisé dans ce traité . REFERENCE : C 248 Date : Mai 1995 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/infrastruc [...]
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 16 p.
Titre : Stabilité des pentes : glissements en terrain meuble Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Louis Durville, Auteur ; Gilles Sève, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 16 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Pentes; Glissements; Terrain Résumé : Les glissements de terrain sont des mouvements qui affectent les talus et les versants naturels. Ils peuvent provoquer des dommages importants aux ouvrages et aux constructions, avec un impact économique sensible, et parfois causer des victimes. Ils surviennent à la suite d’un événement naturel – forte pluie, érosion de berge, séisme, par exemple – ou sont la conséquence plus ou moins directe d’actions de l’homme, telles que travaux de terrassements ou déforestation. L’étude des glissements de terrain et la prévention des risques qu’ils engendrent relèvent de la géologie appliquée et de la mécanique des sols. REFERENCE : C 254 Date : Aout 1996 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/infrastruc [...] [article] Stabilité des pentes : glissements en terrain meuble [texte imprimé] / Jean-Louis Durville, Auteur ; Gilles Sève, Auteur . - 2007 . - 16 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 16 p.
Mots-clés : Pentes; Glissements; Terrain Résumé : Les glissements de terrain sont des mouvements qui affectent les talus et les versants naturels. Ils peuvent provoquer des dommages importants aux ouvrages et aux constructions, avec un impact économique sensible, et parfois causer des victimes. Ils surviennent à la suite d’un événement naturel – forte pluie, érosion de berge, séisme, par exemple – ou sont la conséquence plus ou moins directe d’actions de l’homme, telles que travaux de terrassements ou déforestation. L’étude des glissements de terrain et la prévention des risques qu’ils engendrent relèvent de la géologie appliquée et de la mécanique des sols. REFERENCE : C 254 Date : Aout 1996 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/infrastruc [...]
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 13 p.
Titre : Amélioration des sols Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Magnan, Auteur ; Georges Pilot, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 13 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Sols finis; Sols grenus; Sols particuliers Résumé : Les méthodes d’amélioration des sols sont l’un des outils dont dispose l’ingénieur pour résoudre les problèmes de stabilité ou de déformations qu’il rencontre lors de l’élaboration d’un projet. Certaines de ces méthodes sont très anciennes, comme le battage de pieux de bois dans les sols de faible portance, d’autres sont plus récentes, comme les méthodes d’injection, de pilonnage ou de congélation. Elles ont connu, depuis une vingtaine d’années, un développement considérable et sont maintenant utilisées comme un élément à part entière des projets.
Les méthodes d’amélioration des sols décrites dans le présent article ont été classées par type de sols à traiter : sols fins, sols grenus et sols particuliers. On passe en revue dans chaque cas les principaux types de problèmes que l’on rencontre en pratique, puis on décrit sommairement les méthodes d’amélioration les plus couramment utilisées, les méthodes de calcul et de contrôle correspondantes, ainsi que les domaines d’application de chaque méthode. Les méthodes de renforcement des sols par géotextiles ou par clouage, ainsi que les techniques d’injection ne sont pas décrites ici.
REFERENCE : C 255 Date : Novembre 1988 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/infrastruc [...] [article] Amélioration des sols [texte imprimé] / Jean-Pierre Magnan, Auteur ; Georges Pilot, Auteur . - 2007 . - 13 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 13 p.
Mots-clés : Sols finis; Sols grenus; Sols particuliers Résumé : Les méthodes d’amélioration des sols sont l’un des outils dont dispose l’ingénieur pour résoudre les problèmes de stabilité ou de déformations qu’il rencontre lors de l’élaboration d’un projet. Certaines de ces méthodes sont très anciennes, comme le battage de pieux de bois dans les sols de faible portance, d’autres sont plus récentes, comme les méthodes d’injection, de pilonnage ou de congélation. Elles ont connu, depuis une vingtaine d’années, un développement considérable et sont maintenant utilisées comme un élément à part entière des projets.
Les méthodes d’amélioration des sols décrites dans le présent article ont été classées par type de sols à traiter : sols fins, sols grenus et sols particuliers. On passe en revue dans chaque cas les principaux types de problèmes que l’on rencontre en pratique, puis on décrit sommairement les méthodes d’amélioration les plus couramment utilisées, les méthodes de calcul et de contrôle correspondantes, ainsi que les domaines d’application de chaque méthode. Les méthodes de renforcement des sols par géotextiles ou par clouage, ainsi que les techniques d’injection ne sont pas décrites ici.
REFERENCE : C 255 Date : Novembre 1988 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/infrastruc [...] L'eau dans les sols non saturés / Pierre Delage in Techniques de l'Ingénieur CC, Vol. CC1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 20 p.
Titre : L'eau dans les sols non saturés Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Delage, Auteur ; Yu-Jun Cui, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 20 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Eau; Sols non saturés; Succion Résumé : L’eau joue un rôle majeur dans le comportement des sols non saturés. Sa cohabitation avec l’air dans les pores prend des formes variées, selon que l’eau domine et l’air ne peut se déplacer librement, ou au contraire que l’air occupe l’essentiel des pores et l’eau est bloquée aux contacts des particules, ou encore que l’eau et l’air peuvent se déplacer tous les deux. Outre les phénomènes de capillarité, qui se développent aux contacts des deux fluides, l’eau peut interagir avec les minéraux des particules du sol : ces interactions physico-chimiques sont particulièrement importantes dans les argiles. Enfin, la concentration des sels dissous dans l’eau est à l’origine de phénomènes osmotiques, qui influencent la migration des molécules d’eau dans les pores du sol.
Cet article décrit les différents états de l’eau dans les sols non saturés, les phénomènes physiques qui déterminent l’interaction de l’eau et des minéraux et les lois de déplacement de l’eau dans les sols non saturés. Il présente, en particulier, les techniques expérimentales permettant de mesurer ou imposer la succion, et de caractériser les capacités de rétention et de transfert de l’eau dans ces sols.
REFERENCE : C 301 Date : Novembre 2000 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...] [article] L'eau dans les sols non saturés [texte imprimé] / Pierre Delage, Auteur ; Yu-Jun Cui, Auteur . - 2007 . - 20 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 20 p.
Mots-clés : Eau; Sols non saturés; Succion Résumé : L’eau joue un rôle majeur dans le comportement des sols non saturés. Sa cohabitation avec l’air dans les pores prend des formes variées, selon que l’eau domine et l’air ne peut se déplacer librement, ou au contraire que l’air occupe l’essentiel des pores et l’eau est bloquée aux contacts des particules, ou encore que l’eau et l’air peuvent se déplacer tous les deux. Outre les phénomènes de capillarité, qui se développent aux contacts des deux fluides, l’eau peut interagir avec les minéraux des particules du sol : ces interactions physico-chimiques sont particulièrement importantes dans les argiles. Enfin, la concentration des sels dissous dans l’eau est à l’origine de phénomènes osmotiques, qui influencent la migration des molécules d’eau dans les pores du sol.
Cet article décrit les différents états de l’eau dans les sols non saturés, les phénomènes physiques qui déterminent l’interaction de l’eau et des minéraux et les lois de déplacement de l’eau dans les sols non saturés. Il présente, en particulier, les techniques expérimentales permettant de mesurer ou imposer la succion, et de caractériser les capacités de rétention et de transfert de l’eau dans ces sols.
REFERENCE : C 301 Date : Novembre 2000 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...] Comportement mécanique des sols non saturés / Pierre Delage in Techniques de l'Ingénieur CC, Vol. CC1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 19 p.
Titre : Comportement mécanique des sols non saturés Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Delage, Auteur ; Yu-Jun Cui, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 19 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Mécanique; Sols non saturés Résumé : Les déformations et la résistance d’un sol non saturé dépendent, d’une part, de la nature minéralogique des particules qui constituent le squelette du sol et, d’autre part, de l’état du sol (porosité, degré de saturation, pressions de l’eau, pression du gaz, contraintes dues à la pesanteur et aux charges extérieures). La description du comportement mécanique sous forme d’une relation entre les charges (contraintes, pressions d’eau et de gaz) et la déformation du sol s’appuie sur des essais où l’on peut contrôler séparément les contraintes et la succion (voir article L’eau dans les sols non saturés [L’eau dans les sols non saturés] « L’eau dans les sols non saturés »). Ces techniques d’essais, dérivées des appareils utilisés pour les études classiques de comportement des sols (articles Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation [Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation] « Compressibilité. Consolidation. Tassement » et Résistance au cisaillement [Résistance au cisaillement] « Résistance au cisaillement »), sont traitées dans la première partie de cet article. Les caractéristiques principales du comportement des sols non saturés (aspects volumiques et résistance au cisaillement) sont ensuite décrites à la lumière des résultats des essais, après une analyse du cadre d’interprétation des résultats (contraintes effectives ou variables indépendantes). La troisième partie présente la formulation analytique de lois de comportement adaptées aux connaissances actuelles sur le comportement des sols non saturés. REFERENCE : C 302 Date : Mai 2001 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...] [article] Comportement mécanique des sols non saturés [texte imprimé] / Pierre Delage, Auteur ; Yu-Jun Cui, Auteur . - 2007 . - 19 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 19 p.
Mots-clés : Mécanique; Sols non saturés Résumé : Les déformations et la résistance d’un sol non saturé dépendent, d’une part, de la nature minéralogique des particules qui constituent le squelette du sol et, d’autre part, de l’état du sol (porosité, degré de saturation, pressions de l’eau, pression du gaz, contraintes dues à la pesanteur et aux charges extérieures). La description du comportement mécanique sous forme d’une relation entre les charges (contraintes, pressions d’eau et de gaz) et la déformation du sol s’appuie sur des essais où l’on peut contrôler séparément les contraintes et la succion (voir article L’eau dans les sols non saturés [L’eau dans les sols non saturés] « L’eau dans les sols non saturés »). Ces techniques d’essais, dérivées des appareils utilisés pour les études classiques de comportement des sols (articles Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation [Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation] « Compressibilité. Consolidation. Tassement » et Résistance au cisaillement [Résistance au cisaillement] « Résistance au cisaillement »), sont traitées dans la première partie de cet article. Les caractéristiques principales du comportement des sols non saturés (aspects volumiques et résistance au cisaillement) sont ensuite décrites à la lumière des résultats des essais, après une analyse du cadre d’interprétation des résultats (contraintes effectives ou variables indépendantes). La troisième partie présente la formulation analytique de lois de comportement adaptées aux connaissances actuelles sur le comportement des sols non saturés. REFERENCE : C 302 Date : Mai 2001 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...]
[article]
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 27 p.
Titre : Sols non saturés : applications au calcul des ouvrages Type de document : texte imprimé Auteurs : Yu-Jun Cui, Auteur ; Pierre Delage, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 27 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Sol non saturés; Calcul; Ouvrages Résumé : La mécanique des sols non saturés (cf. articles L’eau dans les sols non saturés [L’eau dans les sols non saturés] « L’eau dans les sols non saturés » et Comportement mécanique des sols non saturés [Comportement mécanique des sols non saturés] « Comportement mécanique des sols non saturés ») trouve son champ d’application dans beaucoup d’ouvrages géotechniques. À côté des ouvrages en terre construits en sol compacté (remblais routiers, barrages en remblai, digues), on sait que la stabilité des talus est souvent conditionnée par l’état de non-saturation du massif. Les fondations superficielles peuvent être affectées, comme le montre le cas extrême des dégâts causés aux bâtiments par les effets de la sécheresse. Les excavations en zone urbaine et les ouvrages de soutènements peuvent aussi être concernés. Enfin, la géotechnique environnementale a recours à l’utilisation de matériaux compactés pour l’isolation des déchets de tous ordres. L’interface entre la terre et l’atmosphère est le plus souvent constituée d’une couche de sol non saturé souvent soumise, dans les zones d’activité, aux infiltrations de polluants qui posent des problèmes lors de la reconversion des friches industrielles.
Par rapport aux sols saturés, les sols non saturés ont des propriétés de déformabilité et de rupture changeantes avec la teneur en eau. Il en résulte des couplages complexes entre les mouvements d’eau, la redistribution des contraintes internes et la réponse des massifs en termes de déformations. À état de contrainte constant, il peut y avoir des réponses différées dans le temps qui peuvent parfois paraître inattendues. Ces aspects sont décrits dans la première partie de cet article, consacrée aux ouvrages en sol compacté. La seconde partie concerne les effets de la non‐saturation sur la stabilité des pentes et la troisième replace le problème des effets de la sécheresse sur les constructions dans le cadre des échanges sol-atmosphère. L’article se termine avec la description de deux études de cas concernant l’affaissement d’une culée de pont et l’effondrabilité des lœss de Picardie.REFERENCE : C 303 Date : Février 2003 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...] [article] Sols non saturés : applications au calcul des ouvrages [texte imprimé] / Yu-Jun Cui, Auteur ; Pierre Delage, Auteur . - 2007 . - 27 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur CC > Vol. CC1 (Trimestriel) . - 27 p.
Mots-clés : Sol non saturés; Calcul; Ouvrages Résumé : La mécanique des sols non saturés (cf. articles L’eau dans les sols non saturés [L’eau dans les sols non saturés] « L’eau dans les sols non saturés » et Comportement mécanique des sols non saturés [Comportement mécanique des sols non saturés] « Comportement mécanique des sols non saturés ») trouve son champ d’application dans beaucoup d’ouvrages géotechniques. À côté des ouvrages en terre construits en sol compacté (remblais routiers, barrages en remblai, digues), on sait que la stabilité des talus est souvent conditionnée par l’état de non-saturation du massif. Les fondations superficielles peuvent être affectées, comme le montre le cas extrême des dégâts causés aux bâtiments par les effets de la sécheresse. Les excavations en zone urbaine et les ouvrages de soutènements peuvent aussi être concernés. Enfin, la géotechnique environnementale a recours à l’utilisation de matériaux compactés pour l’isolation des déchets de tous ordres. L’interface entre la terre et l’atmosphère est le plus souvent constituée d’une couche de sol non saturé souvent soumise, dans les zones d’activité, aux infiltrations de polluants qui posent des problèmes lors de la reconversion des friches industrielles.
Par rapport aux sols saturés, les sols non saturés ont des propriétés de déformabilité et de rupture changeantes avec la teneur en eau. Il en résulte des couplages complexes entre les mouvements d’eau, la redistribution des contraintes internes et la réponse des massifs en termes de déformations. À état de contrainte constant, il peut y avoir des réponses différées dans le temps qui peuvent parfois paraître inattendues. Ces aspects sont décrits dans la première partie de cet article, consacrée aux ouvrages en sol compacté. La seconde partie concerne les effets de la non‐saturation sur la stabilité des pentes et la troisième replace le problème des effets de la sécheresse sur les constructions dans le cadre des échanges sol-atmosphère. L’article se termine avec la description de deux études de cas concernant l’affaissement d’une culée de pont et l’effondrabilité des lœss de Picardie.REFERENCE : C 303 Date : Février 2003 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/construction-th3/geotechniq [...]
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |