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Techniques de l'ingénieur COR / Blanc, André . Vol. COR1Corrosion VieillissementMention de date : Trimestriel Paru le : 16/04/2007 |
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[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 13 p.
Titre : Corrosion atmosphérique Type de document : texte imprimé Auteurs : Sutter, Eliane, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 13 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Corrosion Atmosphérique Métaux Aliages Résumé : La corrosion atmosphérique est définie comme le résultat de l'interaction entre un matériau et l'atmosphère naturelle environnante. L'apparente simplicité de la définition ne permet pas de traduire la grande complexité du phénomène, due en partie à la difficulté de reproduire expérimentalement un milieu atmosphérique. En effet, celui-ci est caractérisé non seulement par sa composition chimique, mais aussi par l'ensemble des paramètres climatiques tels que les pluies, les vents, l'ensoleillement, les températures qui varient d'un point géographique à l'autre mais surtout qui varient au cours du temps. Pourtant, l'enjeu économique de la bonne maîtrise de la corrosion atmosphérique est considérable : en effet, si le coût estimé des dépenses liées à la corrosion représente de 2 à 4 % du produit national brut dans certains pays, on estime que la corrosion atmosphérique englobe la majeure partie de cette dépense. Cela concerne l'entretien des infrastructures (ponts, installations ferroviaires, bâtiments, installations industrielles...), mais aussi la restauration et la conservation des objets du patrimoine. Ainsi, aux États-Unis, la dégradation à l'air de la statue de la Liberté, résultant d'un couplage galvanique entre l'armature en fer et la peau en cuivre, a nécessité, en 1981, 230 millions de $US pour sa remise en état. Pour prévenir les dommages causés par la corrosion atmosphérique, la tour Eiffel à Paris subit tous les sept ans une remise en peinture nécessitant 60 tonnes de peinture pour le traitement de 250 000 m2 de surface. La 19e campagne de mise en peinture a débuté en 2009 pour une durée de 18 mois.
En outre, la corrosion atmosphérique, souvent à l'origine de défaillances affectant les systèmes électroniques ou les moyens de transports, réduit considérablement la fiabilité des dispositifs et constitue de ce fait une menace sérieuse pour la sécurité des personnes. On se souvient de l'accident survenu en 1988 sur un Boeing 737 de la compagnie Aloha qui a perdu une partie de son fuselage en plein vol à 8 000 m d'altitude, conséquence des effets de la corrosion atmosphérique sur une structure vieillissante.
Ce type de corrosion n'est pas un fléau nouveau ayant pris naissance avec l'industrialisation. En effet, les principaux facteurs initiant la corrosion sont l'humidité de l'air et la présence d'oxygène, la dégradation n'étant que la manifestation d'un retour des métaux à leur état stable du point de vue thermodynamique, sous forme d'oxyde, d'hydroxyde ou de sel. Les polluants d'origine exogène peuvent interférer dans le mécanisme général de corrosion et accélérer ou, au contraire, ralentir les réactions. Une définition plus précise de la corrosion atmosphérique la considèrerait donc comme le résultat de l'interaction entre un matériau et l'oxygène de l'air, dans un électrolyte constitué par l'humidité et les éventuels polluants.
Si l'on se limite aux matériaux métalliques, un film d'oxyde, d'hydroxyde ou contenant un sel métallique résulte de cette interaction et peut être, soit compact et protecteur (acier inoxydable, aluminium, titane...), soit perméable et peu protecteur (acier non allié, cuivre, zinc...) et, dans ce cas, les produits d'oxydation, même s'ils n'arrêtent pas la corrosion, peuvent néanmoins ralentir son processus.
Étant donné la présence d‘un film d'électrolyte à la surface du métal, le mécanisme de la corrosion atmosphérique est en général de nature électrochimique et donc, comme dans les processus classiques de corrosion aqueuse, sous contrôle soit anodique, soit cathodique, soit mixte. Néanmoins, une des différences principales par rapport au mécanisme de corrosion en plein bain réside dans la très faible épaisseur du film d'eau à la surface du métal qui peut être déterminante pour la valeur de la vitesse de corrosion. Une autre caractéristique propre à la corrosion atmosphérique est la possibilité d'alternances de cycles « secs et humides », enchaînant des mécanismes de corrosion différents entre les phases sèches et humides. Il nous faut donc faire la distinction entre corrosion atmosphérique dans un local ou une chambre atmosphérique à taux d'humidité constant (indoor corrosion) et corrosion en plein air (outdoor corrosion) où les variations des paramètres climatiques sont beaucoup plus importantes.
REFERENCE : COR 50 DEWEY : 620.1 Date : Décembre 2010 En ligne : www.techniques-ingenieur.fr [article] Corrosion atmosphérique [texte imprimé] / Sutter, Eliane, Auteur . - 2007 . - 13 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 13 p.
Mots-clés : Corrosion Atmosphérique Métaux Aliages Résumé : La corrosion atmosphérique est définie comme le résultat de l'interaction entre un matériau et l'atmosphère naturelle environnante. L'apparente simplicité de la définition ne permet pas de traduire la grande complexité du phénomène, due en partie à la difficulté de reproduire expérimentalement un milieu atmosphérique. En effet, celui-ci est caractérisé non seulement par sa composition chimique, mais aussi par l'ensemble des paramètres climatiques tels que les pluies, les vents, l'ensoleillement, les températures qui varient d'un point géographique à l'autre mais surtout qui varient au cours du temps. Pourtant, l'enjeu économique de la bonne maîtrise de la corrosion atmosphérique est considérable : en effet, si le coût estimé des dépenses liées à la corrosion représente de 2 à 4 % du produit national brut dans certains pays, on estime que la corrosion atmosphérique englobe la majeure partie de cette dépense. Cela concerne l'entretien des infrastructures (ponts, installations ferroviaires, bâtiments, installations industrielles...), mais aussi la restauration et la conservation des objets du patrimoine. Ainsi, aux États-Unis, la dégradation à l'air de la statue de la Liberté, résultant d'un couplage galvanique entre l'armature en fer et la peau en cuivre, a nécessité, en 1981, 230 millions de $US pour sa remise en état. Pour prévenir les dommages causés par la corrosion atmosphérique, la tour Eiffel à Paris subit tous les sept ans une remise en peinture nécessitant 60 tonnes de peinture pour le traitement de 250 000 m2 de surface. La 19e campagne de mise en peinture a débuté en 2009 pour une durée de 18 mois.
En outre, la corrosion atmosphérique, souvent à l'origine de défaillances affectant les systèmes électroniques ou les moyens de transports, réduit considérablement la fiabilité des dispositifs et constitue de ce fait une menace sérieuse pour la sécurité des personnes. On se souvient de l'accident survenu en 1988 sur un Boeing 737 de la compagnie Aloha qui a perdu une partie de son fuselage en plein vol à 8 000 m d'altitude, conséquence des effets de la corrosion atmosphérique sur une structure vieillissante.
Ce type de corrosion n'est pas un fléau nouveau ayant pris naissance avec l'industrialisation. En effet, les principaux facteurs initiant la corrosion sont l'humidité de l'air et la présence d'oxygène, la dégradation n'étant que la manifestation d'un retour des métaux à leur état stable du point de vue thermodynamique, sous forme d'oxyde, d'hydroxyde ou de sel. Les polluants d'origine exogène peuvent interférer dans le mécanisme général de corrosion et accélérer ou, au contraire, ralentir les réactions. Une définition plus précise de la corrosion atmosphérique la considèrerait donc comme le résultat de l'interaction entre un matériau et l'oxygène de l'air, dans un électrolyte constitué par l'humidité et les éventuels polluants.
Si l'on se limite aux matériaux métalliques, un film d'oxyde, d'hydroxyde ou contenant un sel métallique résulte de cette interaction et peut être, soit compact et protecteur (acier inoxydable, aluminium, titane...), soit perméable et peu protecteur (acier non allié, cuivre, zinc...) et, dans ce cas, les produits d'oxydation, même s'ils n'arrêtent pas la corrosion, peuvent néanmoins ralentir son processus.
Étant donné la présence d‘un film d'électrolyte à la surface du métal, le mécanisme de la corrosion atmosphérique est en général de nature électrochimique et donc, comme dans les processus classiques de corrosion aqueuse, sous contrôle soit anodique, soit cathodique, soit mixte. Néanmoins, une des différences principales par rapport au mécanisme de corrosion en plein bain réside dans la très faible épaisseur du film d'eau à la surface du métal qui peut être déterminante pour la valeur de la vitesse de corrosion. Une autre caractéristique propre à la corrosion atmosphérique est la possibilité d'alternances de cycles « secs et humides », enchaînant des mécanismes de corrosion différents entre les phases sèches et humides. Il nous faut donc faire la distinction entre corrosion atmosphérique dans un local ou une chambre atmosphérique à taux d'humidité constant (indoor corrosion) et corrosion en plein air (outdoor corrosion) où les variations des paramètres climatiques sont beaucoup plus importantes.
REFERENCE : COR 50 DEWEY : 620.1 Date : Décembre 2010 En ligne : www.techniques-ingenieur.fr Corrosion et traitements de surface des biomatériaux / Richard, Caroline in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 20 p.
Titre : Corrosion et traitements de surface des biomatériaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Richard, Caroline, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 20 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Corrosion Traitements Surface Biomatériaux Index. décimale : 62 Ingénierie. Art de l'ingénieur. Technologie en général Résumé : Réparer l'homme » avec des (bio)matériaux afin de retrouver l'intégrité et les fonctionnalités de son corps après une maladie ou un traumatisme, voire une amputation, a toujours été une quête inhérente (et incessante) à l'être humain. On peut trouver de nombreux témoignages et traces de différentes thérapies ou solutions utilisées par le passé, et ce dans toutes les grandes civilisations. Par exemple, les Chinois et parallèlement les Aztèques utilisaient déjà l'or en dentisterie [MAULI AGRAWAL (C.) - Reconstructing the human body using biomaterials.] . Dans l'Égypte ancienne, des mises à jour récentes ont permis de découvrir des prothèses de gros orteil en bois et en cuir, imitant à la perfection le doigt de pied manquant ainsi que des pieds entiers artificiels et des mains articulées [CORNET (A.), MEYER (J.-M.) - Corrosion des biomatériaux.] [RICHARD (C.) - Corrosion et anticorrosion dans le domaine biomédical – Cas des prothèses articulaires et dentaires.] . L'Histoire est donc parsemée de tels cas. Beaucoup remontent à plusieurs millénaires. Ainsi dans le Rig Veda, un livre sacré ancien de l'Inde (compilé de 3500 à 1800 avant J.C.), il est mentionné [MAULI AGRAWAL (C.) - Reconstructing the human body using biomaterials.] que la reine Vishpla a perdu une jambe par amputation suite à une blessure de guerre. Après guérison de sa blessure, elle reçut une prothèse en acier lui permettant de remarcher et de repartir sur les champs de bataille. Métaux et bois étaient donc déjà souvent employés mais également des pierres pour remplacer les yeux (remplacement esthétique) et même la nacre pour réparer des dents (trace d'une réparation dentaire de ce type, sur un crâne maya du Honduras [BOBBIO (A.) - The first endosseous alloplastic implant in the history of man.] , il y a 2 000 ans). Cependant, d'autres matériaux ont été envisagés. Le Sage chirurgien Susruta (environ 800 avant J.C.), équivalent indien d'Hippocrate, souligne dans son traité l'utilisation d'instruments chirurgicaux et matériaux avec détails et précision. Il a ainsi décrit des sutures réalisées avec des fibres de coton, cuir, tendons d'animaux, crins de chevaux et diverses fibres végétales. En France, des travaux équivalents sont reportés par Ambroise Paré au XVIe siècle (ligature des artères). En 1775, deux chirurgiens toulousains (Lapeyode et Sicre) emploient des sutures en fer pour réduire la fracture d'un humérus. Cependant en cette fin du XVIIIe/début du XIXe siècle où l'anesthésie, les principes d'antisepsie et les antibiotiques sont complètement inexistants, cela est couronné de peu succès pour des raisons évidentes. Néanmoins, on découvre que la plupart des métaux connus disponibles ne sont pas stables dans le temps et ont tendance à se corroder.
Ce n'est qu'il y a une quarantaine d'années seulement que la science des biomatériaux est devenue une science à part entière qui va de l'élaboration de nouveaux matériaux utilisables en pratique clinique jusqu'à l'évaluation de leur comportement global dans un corps humain à plus ou moins long terme. L'autre raison du développement croissant et accéléré des biomatériaux, est que la durée de vie des populations augmente dans les pays industrialisés (cf. figure A de [Doc. COR 140] [GUILLEMOT (F.), DURRIEU (M.-C.), BAQUEY (Ch.) - Méthode de biofonctionnalité des alliages de titane.] ) mais la qualité de nos tissus diminue avec l'âge, de manière plus ou moins drastique selon le mode de vie, l'hérédité. Le recours aux prothèses est de plus en plus courant en attendant les progrès de l'ingénierie tissulaire ou celui sur les thérapies par cellules souches. Implanter une prothèse est donc une chose commune de nos jours (plus de 120 000 prothèses ostéo-articulaires posées par an ; marché de 1,5 milliards d'euros par an ; 3,2 millions de personnes ont un biomatériau implanté rien qu'en France), mais il est essentiel qu'elle soit supportée par le patient et qu'elle ne soit pas altérée dans le temps. Pour donner un ordre de grandeur, les plus longues durées fonctionnelles d'un implant orthopédique sont, à l'heure actuelle, de seulement 15 à 20 ans ; ce qui représente une butée technologique pour les personnes jeunes qui ont pu être accidentées ou subissent une maladie chronique osseuse, par exemple.
Un large panorama des différents aspects de la corrosion et traitements de surface des biomatériaux est ici développé. Rappelons que, quel que soit le domaine d'application, la corrosion n'est pas une propriété intrinsèque d'un matériau mais celle d'un système : matériau/surface/milieu.
Cela est d'autant plus délicat à étudier puisque, dans le cas des biomatériaux, il s'agit d'interactions avec le vivant.
REFERENCE : COR 140 DEWEY : 620 Date : Décembre 2010 En ligne : www.techniques-ingenieur.fr [article] Corrosion et traitements de surface des biomatériaux [texte imprimé] / Richard, Caroline, Auteur . - 2007 . - 20 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 20 p.
Mots-clés : Corrosion Traitements Surface Biomatériaux Index. décimale : 62 Ingénierie. Art de l'ingénieur. Technologie en général Résumé : Réparer l'homme » avec des (bio)matériaux afin de retrouver l'intégrité et les fonctionnalités de son corps après une maladie ou un traumatisme, voire une amputation, a toujours été une quête inhérente (et incessante) à l'être humain. On peut trouver de nombreux témoignages et traces de différentes thérapies ou solutions utilisées par le passé, et ce dans toutes les grandes civilisations. Par exemple, les Chinois et parallèlement les Aztèques utilisaient déjà l'or en dentisterie [MAULI AGRAWAL (C.) - Reconstructing the human body using biomaterials.] . Dans l'Égypte ancienne, des mises à jour récentes ont permis de découvrir des prothèses de gros orteil en bois et en cuir, imitant à la perfection le doigt de pied manquant ainsi que des pieds entiers artificiels et des mains articulées [CORNET (A.), MEYER (J.-M.) - Corrosion des biomatériaux.] [RICHARD (C.) - Corrosion et anticorrosion dans le domaine biomédical – Cas des prothèses articulaires et dentaires.] . L'Histoire est donc parsemée de tels cas. Beaucoup remontent à plusieurs millénaires. Ainsi dans le Rig Veda, un livre sacré ancien de l'Inde (compilé de 3500 à 1800 avant J.C.), il est mentionné [MAULI AGRAWAL (C.) - Reconstructing the human body using biomaterials.] que la reine Vishpla a perdu une jambe par amputation suite à une blessure de guerre. Après guérison de sa blessure, elle reçut une prothèse en acier lui permettant de remarcher et de repartir sur les champs de bataille. Métaux et bois étaient donc déjà souvent employés mais également des pierres pour remplacer les yeux (remplacement esthétique) et même la nacre pour réparer des dents (trace d'une réparation dentaire de ce type, sur un crâne maya du Honduras [BOBBIO (A.) - The first endosseous alloplastic implant in the history of man.] , il y a 2 000 ans). Cependant, d'autres matériaux ont été envisagés. Le Sage chirurgien Susruta (environ 800 avant J.C.), équivalent indien d'Hippocrate, souligne dans son traité l'utilisation d'instruments chirurgicaux et matériaux avec détails et précision. Il a ainsi décrit des sutures réalisées avec des fibres de coton, cuir, tendons d'animaux, crins de chevaux et diverses fibres végétales. En France, des travaux équivalents sont reportés par Ambroise Paré au XVIe siècle (ligature des artères). En 1775, deux chirurgiens toulousains (Lapeyode et Sicre) emploient des sutures en fer pour réduire la fracture d'un humérus. Cependant en cette fin du XVIIIe/début du XIXe siècle où l'anesthésie, les principes d'antisepsie et les antibiotiques sont complètement inexistants, cela est couronné de peu succès pour des raisons évidentes. Néanmoins, on découvre que la plupart des métaux connus disponibles ne sont pas stables dans le temps et ont tendance à se corroder.
Ce n'est qu'il y a une quarantaine d'années seulement que la science des biomatériaux est devenue une science à part entière qui va de l'élaboration de nouveaux matériaux utilisables en pratique clinique jusqu'à l'évaluation de leur comportement global dans un corps humain à plus ou moins long terme. L'autre raison du développement croissant et accéléré des biomatériaux, est que la durée de vie des populations augmente dans les pays industrialisés (cf. figure A de [Doc. COR 140] [GUILLEMOT (F.), DURRIEU (M.-C.), BAQUEY (Ch.) - Méthode de biofonctionnalité des alliages de titane.] ) mais la qualité de nos tissus diminue avec l'âge, de manière plus ou moins drastique selon le mode de vie, l'hérédité. Le recours aux prothèses est de plus en plus courant en attendant les progrès de l'ingénierie tissulaire ou celui sur les thérapies par cellules souches. Implanter une prothèse est donc une chose commune de nos jours (plus de 120 000 prothèses ostéo-articulaires posées par an ; marché de 1,5 milliards d'euros par an ; 3,2 millions de personnes ont un biomatériau implanté rien qu'en France), mais il est essentiel qu'elle soit supportée par le patient et qu'elle ne soit pas altérée dans le temps. Pour donner un ordre de grandeur, les plus longues durées fonctionnelles d'un implant orthopédique sont, à l'heure actuelle, de seulement 15 à 20 ans ; ce qui représente une butée technologique pour les personnes jeunes qui ont pu être accidentées ou subissent une maladie chronique osseuse, par exemple.
Un large panorama des différents aspects de la corrosion et traitements de surface des biomatériaux est ici développé. Rappelons que, quel que soit le domaine d'application, la corrosion n'est pas une propriété intrinsèque d'un matériau mais celle d'un système : matériau/surface/milieu.
Cela est d'autant plus délicat à étudier puisque, dans le cas des biomatériaux, il s'agit d'interactions avec le vivant.
REFERENCE : COR 140 DEWEY : 620 Date : Décembre 2010 En ligne : www.techniques-ingenieur.fr Vieillissement chimique des polymères / Emmanuel Richaud in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 18 p.
Titre : Vieillissement chimique des polymères : mécanismes de dégradation Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanuel Richaud, Auteur ; Jacques Verdu, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 18 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Vieillissement Chimie Polymères Dégradation Résumé : Dans un contexte d'utilisation massive et en constante augmentation des matières plastiques, de maîtrise des risques de défaillance couplée avec une optimisation des coûts de développement d'une pièce industrielle, il s'avère nécessaire de traiter rigoureusement les questions liées au vieillissement d'une pièce polymère dans ses conditions de service. Précisons que les durées de vie attendues rendent le plus souvent incompatible la prédiction basée exclusivement sur l'observation en conditions de service avec les exigences des services de Recherche et Développement.
En conséquence, l'ingénieur doit disposer d'outils de simulation fiables permettant de prédire la durée de vie du matériau, et éventuellement de proposer des formulations plus adaptées, sans avoir recours à de longues et onéreuses campagnes d'essais. Il existe déjà des outils permettant de choisir les matériaux répondant à des exigences liées à un cahier des charges, et de dimensionner convenablement la pièce. Pour autant, la résistance de la pièce au fluage, par exemple, n'est plus assurée si des modifications chimiques induites par les interactions du matériau avec son environnement entraînent une évolution de ses propriétés au-delà d'un seuil acceptable.
Une série de dossiers est dédiée aux processus de vieillissement résultant d'abord de modifications de la structure chimique des matériaux polymères.
Toute prédiction de la durée de vie doit être fondée sur l'analyse cinétique des processus chimiques à l'œuvre. Cependant, si l'étude du vieillissement chimique présente un intérêt pratique, c'est parce que les modifications structurales qui en résultent se traduisent par une modification des propriétés physiques d'utilisation. Toute étude de durabilité doit donc inclure un volet « relation structure – propriétés ».
Les principaux mécanismes de dégradation font l'objet de ce premier dossier [AM3151v2].
Les deux dossiers suivants traitent de la modélisation cinétique [AM3152v2] et des stratégies de stabilisation [AM3153v2].REFERENCE : AM 3 151v2 DEWEY : 620.1 Date : Janvier 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-vi [...] [article] Vieillissement chimique des polymères : mécanismes de dégradation [texte imprimé] / Emmanuel Richaud, Auteur ; Jacques Verdu, Auteur . - 2007 . - 18 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 18 p.
Mots-clés : Vieillissement Chimie Polymères Dégradation Résumé : Dans un contexte d'utilisation massive et en constante augmentation des matières plastiques, de maîtrise des risques de défaillance couplée avec une optimisation des coûts de développement d'une pièce industrielle, il s'avère nécessaire de traiter rigoureusement les questions liées au vieillissement d'une pièce polymère dans ses conditions de service. Précisons que les durées de vie attendues rendent le plus souvent incompatible la prédiction basée exclusivement sur l'observation en conditions de service avec les exigences des services de Recherche et Développement.
En conséquence, l'ingénieur doit disposer d'outils de simulation fiables permettant de prédire la durée de vie du matériau, et éventuellement de proposer des formulations plus adaptées, sans avoir recours à de longues et onéreuses campagnes d'essais. Il existe déjà des outils permettant de choisir les matériaux répondant à des exigences liées à un cahier des charges, et de dimensionner convenablement la pièce. Pour autant, la résistance de la pièce au fluage, par exemple, n'est plus assurée si des modifications chimiques induites par les interactions du matériau avec son environnement entraînent une évolution de ses propriétés au-delà d'un seuil acceptable.
Une série de dossiers est dédiée aux processus de vieillissement résultant d'abord de modifications de la structure chimique des matériaux polymères.
Toute prédiction de la durée de vie doit être fondée sur l'analyse cinétique des processus chimiques à l'œuvre. Cependant, si l'étude du vieillissement chimique présente un intérêt pratique, c'est parce que les modifications structurales qui en résultent se traduisent par une modification des propriétés physiques d'utilisation. Toute étude de durabilité doit donc inclure un volet « relation structure – propriétés ».
Les principaux mécanismes de dégradation font l'objet de ce premier dossier [AM3151v2].
Les deux dossiers suivants traitent de la modélisation cinétique [AM3152v2] et des stratégies de stabilisation [AM3153v2].REFERENCE : AM 3 151v2 DEWEY : 620.1 Date : Janvier 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-vi [...] Veillissement chimique des polymères / Emmanuel Richaud in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel)
Titre : Veillissement chimique des polymères : cinétique de dégradation Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanuel Richaud, Auteur ; Jacques Verdu, Auteur Année de publication : 2007 Langues : Français (fre) Mots-clés : Vieillissement chimique Polymères Résumé : Cappelons que l'on appelle vieillissement chimique tout mode de vieillissement impliquant des modifications de la structure chimique des macromolécules. En milieu neutre, les macromolécules peuvent réagir sous l'effet de leur instabilité propre (en général aux températures supérieures à l'ambiante) ou sous l'effet d'irradiation par UV ou par radiations ionisantes.
Sauf rares exceptions, les processus de vieillissement « anaérobie » sont radicalaires, et donc susceptibles de jouer un rôle d'amorçage des processus d'oxydation. Dès lors que le polymère est mis en présence d'oxygène, ce dernier tend à réagir rapidement avec les radicaux, à donner une orientation différente au processus de vieillissement et à rendre ce dernier fortement autoaccéléré. Bien entendu, l'importance relative des processus de vieillissement anaérobie et oxydant dépend de la concentration d'oxygène, laquelle dépend de la pression partielle d'oxygène dans l'atmosphère et de la distance entre l'élément de volume considéré et la surface de l'échantillon, l'oxydation étant éventuellement contrôlée par la diffusion d'oxygène dans le polymère.
Les polymères sont capables de réagir avec toutes sortes de substances oxydantes (désinfectants chlorés par exemple) ou non. L'espèce réactive la plus courante, à part l'oxygène, est l'eau. Cependant, alors que pratiquement tous les polymères industriels, à part le polytétrafluoroéthylène, sont susceptibles de s'oxyder, seules quelques familles chimiques, essentiellement les polyesters et polyamides, sont réactives vis-à-vis de l'eau. Il s'agit dans ce cas de processus ioniques, éventuellement catalysés par des bases ou des acides. Ils peuvent être, comme les processus d'oxydation, cinétiquement gouvernés par la diffusion de l'eau au sein du matériau.
L'oxydation étant le processus de vieillissement le plus important, ce dossier est structuré en deux parties.
La première est consacrée aux processus « anaérobies », parmi lesquels nous distinguons :
l'hydrolyse ;
la dépolymérisation ;
l'élimination séquentielle de petites molécules ;
les processus radiochimiques ;
les processus photochimiques.
La deuxième partie, consacrée à l'oxydation, comporte sept paragraphes respectivement dédiés :
au mécanisme général d'oxydation ;
aux aspects cinétiques ;
au vieillissement radio-oxydant ;
au vieillissement photo-oxydant ;
à la cooxydation ;
à l'hétérogénéité de l'oxydation ;
aux conséquences de l'oxydation sur les propriétés physiques ;
à la prédiction de la durée de vie.
REFERENCE : AM 3 152v2 Date : Juillet 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/proprietes-g [...] [article] Veillissement chimique des polymères : cinétique de dégradation [texte imprimé] / Emmanuel Richaud, Auteur ; Jacques Verdu, Auteur . - 2007.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel)
Mots-clés : Vieillissement chimique Polymères Résumé : Cappelons que l'on appelle vieillissement chimique tout mode de vieillissement impliquant des modifications de la structure chimique des macromolécules. En milieu neutre, les macromolécules peuvent réagir sous l'effet de leur instabilité propre (en général aux températures supérieures à l'ambiante) ou sous l'effet d'irradiation par UV ou par radiations ionisantes.
Sauf rares exceptions, les processus de vieillissement « anaérobie » sont radicalaires, et donc susceptibles de jouer un rôle d'amorçage des processus d'oxydation. Dès lors que le polymère est mis en présence d'oxygène, ce dernier tend à réagir rapidement avec les radicaux, à donner une orientation différente au processus de vieillissement et à rendre ce dernier fortement autoaccéléré. Bien entendu, l'importance relative des processus de vieillissement anaérobie et oxydant dépend de la concentration d'oxygène, laquelle dépend de la pression partielle d'oxygène dans l'atmosphère et de la distance entre l'élément de volume considéré et la surface de l'échantillon, l'oxydation étant éventuellement contrôlée par la diffusion d'oxygène dans le polymère.
Les polymères sont capables de réagir avec toutes sortes de substances oxydantes (désinfectants chlorés par exemple) ou non. L'espèce réactive la plus courante, à part l'oxygène, est l'eau. Cependant, alors que pratiquement tous les polymères industriels, à part le polytétrafluoroéthylène, sont susceptibles de s'oxyder, seules quelques familles chimiques, essentiellement les polyesters et polyamides, sont réactives vis-à-vis de l'eau. Il s'agit dans ce cas de processus ioniques, éventuellement catalysés par des bases ou des acides. Ils peuvent être, comme les processus d'oxydation, cinétiquement gouvernés par la diffusion de l'eau au sein du matériau.
L'oxydation étant le processus de vieillissement le plus important, ce dossier est structuré en deux parties.
La première est consacrée aux processus « anaérobies », parmi lesquels nous distinguons :
l'hydrolyse ;
la dépolymérisation ;
l'élimination séquentielle de petites molécules ;
les processus radiochimiques ;
les processus photochimiques.
La deuxième partie, consacrée à l'oxydation, comporte sept paragraphes respectivement dédiés :
au mécanisme général d'oxydation ;
aux aspects cinétiques ;
au vieillissement radio-oxydant ;
au vieillissement photo-oxydant ;
à la cooxydation ;
à l'hétérogénéité de l'oxydation ;
aux conséquences de l'oxydation sur les propriétés physiques ;
à la prédiction de la durée de vie.
REFERENCE : AM 3 152v2 Date : Juillet 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/proprietes-g [...] Veillissement chimique des polymères / Emmanuel Richaud in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 13 p.
Titre : Veillissement chimique des polymères : physicochimie de la stabilisation Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanuel Richaud, Auteur ; Jacques Verdu, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 13 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Vieillissement chimique, Polymères Résumé : Deux premiers dossiers ont traité des phénomènes de vieillissement à l'échelle macroscopique, de leur interprétation à l'échelle macromoléculaire [AM 3 151] et des mécanismes mis en jeu à l'échelle moléculaire avec leur modélisation cinétique permettant de prédire la durée de vie par une voie non empirique [AM 3 152]. Il se trouve que la plupart des matériaux polymères de grande diffusion sont relativement instables en présence de rayonnements, d'agents environnementaux comme l'oxygène ou l'eau, et se dégradent trop vite pour pouvoir conserver leurs propriétés fonctionnelles pendant une durée suffisamment longue pour les applications industrielles visées. On leur ajoute donc des stabilisants dont le rôle est de ralentir les processus de dégradation pendant la mise en œuvre puis l'utilisation. On peut remarquer que l'utilisation industrielle de ces polymères n'est devenue possible qu'avec l'emploi de ces molécules [PFAENDNER (R.) - How will additives shape the future of plastics ?] . Lors du développement d'une pièce, on soumet en général plusieurs formulations de polymères stabilisés à un vieillissement accéléré en laboratoire et on retient la meilleure, approche empirique coûteuse en temps, en moyens humains et matériels. Ce dossier est destiné à rappeler les mécanismes d'action des principales familles d'additifs afin de permettre aux formulateurs de mieux comprendre les résultats obtenus en laboratoire et éventuellement les écarts observés avec le viement naturel. Il montre en outre comment on peut compléter les modèles présentés dans [AM 3 152] afin de bénéficier d'un outil non empirique permettant de prédire la durée de vie d'un polymère stabilisé par modélisation cinétique. REFERENCE : AM 3 153V2 Date : Octobre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] [article] Veillissement chimique des polymères : physicochimie de la stabilisation [texte imprimé] / Emmanuel Richaud, Auteur ; Jacques Verdu, Auteur . - 2007 . - 13 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 13 p.
Mots-clés : Vieillissement chimique, Polymères Résumé : Deux premiers dossiers ont traité des phénomènes de vieillissement à l'échelle macroscopique, de leur interprétation à l'échelle macromoléculaire [AM 3 151] et des mécanismes mis en jeu à l'échelle moléculaire avec leur modélisation cinétique permettant de prédire la durée de vie par une voie non empirique [AM 3 152]. Il se trouve que la plupart des matériaux polymères de grande diffusion sont relativement instables en présence de rayonnements, d'agents environnementaux comme l'oxygène ou l'eau, et se dégradent trop vite pour pouvoir conserver leurs propriétés fonctionnelles pendant une durée suffisamment longue pour les applications industrielles visées. On leur ajoute donc des stabilisants dont le rôle est de ralentir les processus de dégradation pendant la mise en œuvre puis l'utilisation. On peut remarquer que l'utilisation industrielle de ces polymères n'est devenue possible qu'avec l'emploi de ces molécules [PFAENDNER (R.) - How will additives shape the future of plastics ?] . Lors du développement d'une pièce, on soumet en général plusieurs formulations de polymères stabilisés à un vieillissement accéléré en laboratoire et on retient la meilleure, approche empirique coûteuse en temps, en moyens humains et matériels. Ce dossier est destiné à rappeler les mécanismes d'action des principales familles d'additifs afin de permettre aux formulateurs de mieux comprendre les résultats obtenus en laboratoire et éventuellement les écarts observés avec le viement naturel. Il montre en outre comment on peut compléter les modèles présentés dans [AM 3 152] afin de bénéficier d'un outil non empirique permettant de prédire la durée de vie d'un polymère stabilisé par modélisation cinétique. REFERENCE : AM 3 153V2 Date : Octobre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 11 P
Titre : Expertise en corrosion Type de document : texte imprimé Année de publication : 2007 Article en page(s) : 11 P Langues : Français (fre) Mots-clés : Expertise; Cuivre; Scénario Résumé : L'analyse des avaries consécutives à la corrosion constitue un maillon essentiel dans l'ensemble de la chaîne qui permet d'optimiser le fonctionnement des installations et des procédés. Déterminer l'origine des avaries peut jouer un rôle très important pour préserver la sécurité des personnes et l'environnement. C'est aussi de plus en plus, aujourd'hui, un moyen, pour les différents organismes concernés, de rechercher les parts de responsabilités et d'établir le partage des coûts relatifs à un sinistre.
L'expertise est le point central de deux démarches. C'est l'aboutissement d'un travail d'enquête permettant de reconstituer, dans la mesure du possible, les causes de la dégradation de la pièce analysée. C'est également un point de départ puisque de l'analyse des causes vont découler des actions en matière de réparation, de suivi des installations mais aussi des améliorations dans la conception et le fonctionnement des installations.REFERENCE : COR 15 Date : Décembre 2007 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/essais-et-ex [...] [article] Expertise en corrosion [texte imprimé] . - 2007 . - 11 P.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 11 P
Mots-clés : Expertise; Cuivre; Scénario Résumé : L'analyse des avaries consécutives à la corrosion constitue un maillon essentiel dans l'ensemble de la chaîne qui permet d'optimiser le fonctionnement des installations et des procédés. Déterminer l'origine des avaries peut jouer un rôle très important pour préserver la sécurité des personnes et l'environnement. C'est aussi de plus en plus, aujourd'hui, un moyen, pour les différents organismes concernés, de rechercher les parts de responsabilités et d'établir le partage des coûts relatifs à un sinistre.
L'expertise est le point central de deux démarches. C'est l'aboutissement d'un travail d'enquête permettant de reconstituer, dans la mesure du possible, les causes de la dégradation de la pièce analysée. C'est également un point de départ puisque de l'analyse des causes vont découler des actions en matière de réparation, de suivi des installations mais aussi des améliorations dans la conception et le fonctionnement des installations.REFERENCE : COR 15 Date : Décembre 2007 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/essais-et-ex [...] Corrosion en milieu aqueux des métaux et alliages / Crolet, Jean-Louis in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 21 p.
Titre : Corrosion en milieu aqueux des métaux et alliages Type de document : texte imprimé Auteurs : Crolet, Jean-Louis, Auteur ; Gérard Béranger, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 21 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Corrosion; Alliages; Transpassivité; Bactériens Résumé : Pour Monsieur Tout-le-monde, la corrosion apparaît depuis toujours comme un mal mystérieux, associant un milieu, ou l’un de ses composants, un métal, et diverses formes de dommages. D’où une abondante et ancienne nomenclature traditionnelle, s’appuyant sur l’un ou l’autre de ces trois aspects, corrosion par, corrosion de, et corrosion comment :
corrosion par l’air, l’eau de mer ou l’oxygène, par l’atmosphère ou les sols, par les acides, les bases ou les sels, par les bactéries ou les moisissures, ou encore par tous les gentils ou méchants milieux ;
corrosion du fer, des aciers ou des fontes, du cuivre, des bronzes ou des laitons, etc. ;
corrosion uniforme, caverneuse, par piqûres, fissurante, etc.
Une telle nomenclature a l’avantage de parfaitement exprimer ponctuellement les observations, les impressions ou les priorités de l’utilisateur de matériaux. Elle présente en revanche l’inconvénient majeur d’être parfois ingérable en l’état. En effet, elle aboutit à définir plusieurs milliers de combinaisons sans aucun lien logique entre elles. Dans le diagnostic comme dans la prévention de la corrosion, la seule considération de ces aspects factuels bruts se traduirait alors par des milliers de recettes inexpliquées et inexplicables. D’où une situation réellement sans issue.REFERENCE : M 150 Date : Juin 1998 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] [article] Corrosion en milieu aqueux des métaux et alliages [texte imprimé] / Crolet, Jean-Louis, Auteur ; Gérard Béranger, Auteur . - 2007 . - 21 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 21 p.
Mots-clés : Corrosion; Alliages; Transpassivité; Bactériens Résumé : Pour Monsieur Tout-le-monde, la corrosion apparaît depuis toujours comme un mal mystérieux, associant un milieu, ou l’un de ses composants, un métal, et diverses formes de dommages. D’où une abondante et ancienne nomenclature traditionnelle, s’appuyant sur l’un ou l’autre de ces trois aspects, corrosion par, corrosion de, et corrosion comment :
corrosion par l’air, l’eau de mer ou l’oxygène, par l’atmosphère ou les sols, par les acides, les bases ou les sels, par les bactéries ou les moisissures, ou encore par tous les gentils ou méchants milieux ;
corrosion du fer, des aciers ou des fontes, du cuivre, des bronzes ou des laitons, etc. ;
corrosion uniforme, caverneuse, par piqûres, fissurante, etc.
Une telle nomenclature a l’avantage de parfaitement exprimer ponctuellement les observations, les impressions ou les priorités de l’utilisateur de matériaux. Elle présente en revanche l’inconvénient majeur d’être parfois ingérable en l’état. En effet, elle aboutit à définir plusieurs milliers de combinaisons sans aucun lien logique entre elles. Dans le diagnostic comme dans la prévention de la corrosion, la seule considération de ces aspects factuels bruts se traduirait alors par des milliers de recettes inexpliquées et inexplicables. D’où une situation réellement sans issue.REFERENCE : M 150 Date : Juin 1998 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] Fragilisation des aciers par l’hydrogène : étude et prévention / Lionel Coudreuse in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 22 p.
Titre : Fragilisation des aciers par l’hydrogène : étude et prévention Type de document : texte imprimé Auteurs : Lionel Coudreuse, Auteur ; Jacques Chêne, Auteur ; Anne-Marie Brass, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 22 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Hydrogène; Fragilisation; Aciers Résumé : La fragilisation par l’hydrogène des aciers, souvent désignée par FPH, est une des causes importantes de rupture de pièces dans l’industrie. Le caractère souvent brutal des ruptures et les conséquences humaines et économiques pouvant en résulter ont été à l’origine de nombreuses études et publications sur ce thème depuis la première mise en évidence du phénomène, il y a plus d’un siècle. REFERENCE : M 175 Date : Juin 2000 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-etud [...] [article] Fragilisation des aciers par l’hydrogène : étude et prévention [texte imprimé] / Lionel Coudreuse, Auteur ; Jacques Chêne, Auteur ; Anne-Marie Brass, Auteur . - 2007 . - 22 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 22 p.
Mots-clés : Hydrogène; Fragilisation; Aciers Résumé : La fragilisation par l’hydrogène des aciers, souvent désignée par FPH, est une des causes importantes de rupture de pièces dans l’industrie. Le caractère souvent brutal des ruptures et les conséquences humaines et économiques pouvant en résulter ont été à l’origine de nombreuses études et publications sur ce thème depuis la première mise en évidence du phénomène, il y a plus d’un siècle. REFERENCE : M 175 Date : Juin 2000 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-etud [...] Fragilisation des aciers par l’hydrogène / Lionel Coudreuse in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 11 p.
Titre : Fragilisation des aciers par l’hydrogène : Mécanismes Type de document : texte imprimé Auteurs : Lionel Coudreuse, Auteur ; Jacques Chêne, Auteur ; Anne-Marie Brass, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 11 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Mécanismes; Fragilisation; Hydrures; Dislocations Résumé : Bien que les phénomènes de fragilisation par l’hydrogène (FPH) aient été largement étudiés dans les dernières décennies, le problème reste d’actualité. D’un point de vue théorique, la compréhension des mécanismes de base reste incomplète et des recherches sont encore nécessaires.
L’atome d’hydrogène, en raison de sa petite taille, peut diffuser relativement facilement dans les aciers, même pour des températures basses. Dans le matériau, il peut interagir avec les défauts microstructuraux. Les interactions hydrogène-dislocations sont à la base des théories les plus récentes sur la fragilisation par l’hydrogène.REFERENCE : M 176 Date : septembre 2000 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-etud [...] [article] Fragilisation des aciers par l’hydrogène : Mécanismes [texte imprimé] / Lionel Coudreuse, Auteur ; Jacques Chêne, Auteur ; Anne-Marie Brass, Auteur . - 2007 . - 11 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 11 p.
Mots-clés : Mécanismes; Fragilisation; Hydrures; Dislocations Résumé : Bien que les phénomènes de fragilisation par l’hydrogène (FPH) aient été largement étudiés dans les dernières décennies, le problème reste d’actualité. D’un point de vue théorique, la compréhension des mécanismes de base reste incomplète et des recherches sont encore nécessaires.
L’atome d’hydrogène, en raison de sa petite taille, peut diffuser relativement facilement dans les aciers, même pour des températures basses. Dans le matériau, il peut interagir avec les défauts microstructuraux. Les interactions hydrogène-dislocations sont à la base des théories les plus récentes sur la fragilisation par l’hydrogène.REFERENCE : M 176 Date : septembre 2000 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-etud [...] Corrosion sèche des métaux / Alain Galerie in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 9 p.
Titre : Corrosion sèche des métaux Titre original : Méthodes d’étude Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Galerie, Auteur ; Antoni, Laurent, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 9 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Corrosion; Gaz; Sèche; Atmosphères Résumé : Comme tous les phénomènes de corrosion, la corrosion sèche se manifeste par une dégradation des matériaux élaborés par l’activité humaine, entraînant leur retour à une forme plus stable. Cette dégradation se déroule en l’absence de phase liquide jouant le rôle d’électrolyte. L’absence d’électrolyte et la relative lenteur des phénomènes qui en découle imposent, pour que ce type de corrosion soit actif, une température élevée. On parle ainsi souvent de corrosion à haute température (« high temperature corrosion »), d’oxydation thermique (« thermal oxidation ») ou de corrosion par les gaz chauds (en français uniquement). REFERENCE : M 4 220 Date : Juin 2003 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-etud [...] [article] Corrosion sèche des métaux = Méthodes d’étude [texte imprimé] / Alain Galerie, Auteur ; Antoni, Laurent, Auteur . - 2007 . - 9 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 9 p.
Mots-clés : Corrosion; Gaz; Sèche; Atmosphères Résumé : Comme tous les phénomènes de corrosion, la corrosion sèche se manifeste par une dégradation des matériaux élaborés par l’activité humaine, entraînant leur retour à une forme plus stable. Cette dégradation se déroule en l’absence de phase liquide jouant le rôle d’électrolyte. L’absence d’électrolyte et la relative lenteur des phénomènes qui en découle imposent, pour que ce type de corrosion soit actif, une température élevée. On parle ainsi souvent de corrosion à haute température (« high temperature corrosion »), d’oxydation thermique (« thermal oxidation ») ou de corrosion par les gaz chauds (en français uniquement). REFERENCE : M 4 220 Date : Juin 2003 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-etud [...] Corrosion sèche des métaux Cas industriels / Antoni, Laurent in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 27 p.
Titre : Corrosion sèche des métaux Cas industriels : oxydation, carburation Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoni, Laurent, Auteur ; Alain Galerie, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 27 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Corrosion; Métaux; Oxydation; Carburation Résumé : De nombreux procédés industriels nécessitent de porter des matériaux à des températures supérieures à 500 oC. Comme pour les utilisations à température ambiante, le choix de ces matériaux est le résultat d’un compromis entre les aspects économique (recherche du moindre coût), technique (tenue mécanique, dureté, déformabilité, usinabilité, soudabilité, masse...) et esthétique (design, aspect visuel). L’utilisation à haute température engendre néanmoins des contraintes supplémentaires. Parmi elles, nous en citerons trois importantes : le fluage, la stabilité microstructurale et la corrosion à haute température (ou corrosion sèche). REFERENCE : M 4 224 Date : décembre 2002 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] [article] Corrosion sèche des métaux Cas industriels : oxydation, carburation [texte imprimé] / Antoni, Laurent, Auteur ; Alain Galerie, Auteur . - 2007 . - 27 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 27 p.
Mots-clés : Corrosion; Métaux; Oxydation; Carburation Résumé : De nombreux procédés industriels nécessitent de porter des matériaux à des températures supérieures à 500 oC. Comme pour les utilisations à température ambiante, le choix de ces matériaux est le résultat d’un compromis entre les aspects économique (recherche du moindre coût), technique (tenue mécanique, dureté, déformabilité, usinabilité, soudabilité, masse...) et esthétique (design, aspect visuel). L’utilisation à haute température engendre néanmoins des contraintes supplémentaires. Parmi elles, nous en citerons trois importantes : le fluage, la stabilité microstructurale et la corrosion à haute température (ou corrosion sèche). REFERENCE : M 4 224 Date : décembre 2002 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] Corrosion sèche des métaux - Cas industriels / Alain Galerie in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 10 p.
Titre : Corrosion sèche des métaux - Cas industriels : sulfuration, nitruration Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Galerie, Auteur ; Antoni, Laurent, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 10 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Sulfuration; Nitruration; Atmosphères; Azote pur; Corrosion Résumé : De nombreux procédés industriels produisent des environnements gazeux complexes consistant en des mélanges d’espèces soufrées (H2S , SO2 , COS) et oxydantes (O2 , H2O , CO2 ). Le soufre apparaît comme un des éléments contaminants corrosifs les plus répandus dans les environnements industriels à haute température. Il est généralement présent dans les fiouls. Les attaques de corrosion sulfurante sont souvent assez localisées et peuvent conduire à des percements de tubes ou de parois. De tels problèmes sont rencontrés dans la calcination de minéraux, les procédés pétrochimiques, le raffinage pétrolier, la gazéification du charbon, les incinérateurs de déchets ou la combustion de charbon en lit fluidisé. REFERENCE : M 4 225 Date : Décembre 2002 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-etud [...] [article] Corrosion sèche des métaux - Cas industriels : sulfuration, nitruration [texte imprimé] / Alain Galerie, Auteur ; Antoni, Laurent, Auteur . - 2007 . - 10 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 10 p.
Mots-clés : Sulfuration; Nitruration; Atmosphères; Azote pur; Corrosion Résumé : De nombreux procédés industriels produisent des environnements gazeux complexes consistant en des mélanges d’espèces soufrées (H2S , SO2 , COS) et oxydantes (O2 , H2O , CO2 ). Le soufre apparaît comme un des éléments contaminants corrosifs les plus répandus dans les environnements industriels à haute température. Il est généralement présent dans les fiouls. Les attaques de corrosion sulfurante sont souvent assez localisées et peuvent conduire à des percements de tubes ou de parois. De tels problèmes sont rencontrés dans la calcination de minéraux, les procédés pétrochimiques, le raffinage pétrolier, la gazéification du charbon, les incinérateurs de déchets ou la combustion de charbon en lit fluidisé. REFERENCE : M 4 225 Date : Décembre 2002 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-etud [...] Corrosion sèche des métaux Cas industriels / Alain Galerie in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 6 p.
Titre : Corrosion sèche des métaux Cas industriels : halogènes Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Galerie, Auteur ; Antoni, Laurent, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 6 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Corrosion; Halogènes; Métaux; Hci; Cinétiques Résumé : De nombreux environnements industriels contiennent des halogènes (Cl, F, I, Br) qui accélèrent la corrosion des matériaux métalliques. Parmi les halogènes, le chlore est le plus répandu et nous nous y intéresserons plus particulièrement dans cet article. Il est présent dans les procédés pétrochimiques, avec la chloration des hydrocarbures, le crackage de dichlorure d’éthylène pour la production de chlorure de vinyle ; dans la production d’hydrogène avec la décomposition thermique de l’eau de mer ; dans la production d’énergie avec l’incinération de déchets ou lors de la combustion ou la conversion du charbon. Du fait des pressions de vapeur élevées des chlorures métalliques, la chloration est également une étape importante dans la métallurgie extractive dans la production de titane, zirconium, tantale, niobium, tungstène mais aussi de nickel ou de TiO2 ou SiO2 . Ces procédés impliquent généralement des conditions oxydantes ayant une teneur significative en Cl2 , HCl ou autres composés contenant du chlore. La présence dans le gaz d’autres espèces comme CO, CO2 , H2S, SO2 complique souvent les mécanismes de corrosion mis en jeu. L’attaque par les halogènes se manifeste également dans les procédés industriels utilisant des fiouls ou des combustibles fossiles contenant des impuretés comme le sodium et le potassium. Les halogènes réagissent rapidement pour former des sels, dont NaCl et KCl, qui vont générer des problèmes de corrosion que nous traitons dans l’article REFERENCE : M 4 226 Date : Juin 2003 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-etud [...] [article] Corrosion sèche des métaux Cas industriels : halogènes [texte imprimé] / Alain Galerie, Auteur ; Antoni, Laurent, Auteur . - 2007 . - 6 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 6 p.
Mots-clés : Corrosion; Halogènes; Métaux; Hci; Cinétiques Résumé : De nombreux environnements industriels contiennent des halogènes (Cl, F, I, Br) qui accélèrent la corrosion des matériaux métalliques. Parmi les halogènes, le chlore est le plus répandu et nous nous y intéresserons plus particulièrement dans cet article. Il est présent dans les procédés pétrochimiques, avec la chloration des hydrocarbures, le crackage de dichlorure d’éthylène pour la production de chlorure de vinyle ; dans la production d’hydrogène avec la décomposition thermique de l’eau de mer ; dans la production d’énergie avec l’incinération de déchets ou lors de la combustion ou la conversion du charbon. Du fait des pressions de vapeur élevées des chlorures métalliques, la chloration est également une étape importante dans la métallurgie extractive dans la production de titane, zirconium, tantale, niobium, tungstène mais aussi de nickel ou de TiO2 ou SiO2 . Ces procédés impliquent généralement des conditions oxydantes ayant une teneur significative en Cl2 , HCl ou autres composés contenant du chlore. La présence dans le gaz d’autres espèces comme CO, CO2 , H2S, SO2 complique souvent les mécanismes de corrosion mis en jeu. L’attaque par les halogènes se manifeste également dans les procédés industriels utilisant des fiouls ou des combustibles fossiles contenant des impuretés comme le sodium et le potassium. Les halogènes réagissent rapidement pour former des sels, dont NaCl et KCl, qui vont générer des problèmes de corrosion que nous traitons dans l’article REFERENCE : M 4 226 Date : Juin 2003 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/archives-th12/archives-etud [...] Corrosion sèche des métaux - Cas industriels / Antoni, Laurent in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 10 p.
Titre : Corrosion sèche des métaux - Cas industriels : dépôts, milieux fondus Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoni, Laurent, Auteur ; Alain Galerie, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 10 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Corrosion; Sèche; Fluxage; Acide; Basique; Zinc; Liquide; Résumé : La corrosion sous dépôt se produit lorsque des dépôts de cendres ou de sels s’accumulent sur les parois métalliques et modifient en conséquence leur environnement. Elle se rencontre dans de nombreuses installations industrielles mettant en jeu des combustions, comme les chaudières à gaz, les incinérateurs de déchets, les moteurs, les réacteurs en lit fluidisé, les turbines à gaz ou dans les procédés de conversion du charbon. Les réactions mises en jeu sont nombreuses et un mécanisme unique ne permet pas une généralisation de ce type de corrosion. Différents articles de revue ont abordé ce mode de corrosion. Nous considérerons dans cet article plus en détail le phénomène de corrosion chaude (hot corrosion) et l’attaque dans les incinérateurs de déchets ménagers. REFERENCE : M 4 227 Date : Septembre 2003 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] [article] Corrosion sèche des métaux - Cas industriels : dépôts, milieux fondus [texte imprimé] / Antoni, Laurent, Auteur ; Alain Galerie, Auteur . - 2007 . - 10 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 10 p.
Mots-clés : Corrosion; Sèche; Fluxage; Acide; Basique; Zinc; Liquide; Résumé : La corrosion sous dépôt se produit lorsque des dépôts de cendres ou de sels s’accumulent sur les parois métalliques et modifient en conséquence leur environnement. Elle se rencontre dans de nombreuses installations industrielles mettant en jeu des combustions, comme les chaudières à gaz, les incinérateurs de déchets, les moteurs, les réacteurs en lit fluidisé, les turbines à gaz ou dans les procédés de conversion du charbon. Les réactions mises en jeu sont nombreuses et un mécanisme unique ne permet pas une généralisation de ce type de corrosion. Différents articles de revue ont abordé ce mode de corrosion. Nous considérerons dans cet article plus en détail le phénomène de corrosion chaude (hot corrosion) et l’attaque dans les incinérateurs de déchets ménagers. REFERENCE : M 4 227 Date : Septembre 2003 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] Corrosion sèche des métaux / Antoni, Laurent in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 3 p.
Titre : Corrosion sèche des métaux Titre original : Choix des alliages Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoni, Laurent, Auteur ; Alain Galerie, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 3 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Potentiels; Alliages; Sèche Résumé : Cet exposé sur le choix des alliages termine la présentation du phénomène de « Corrosion sèche des métaux. Cas industriels ». Les différents articles publiés ont passé en revue les principaux environnements rencontrés à haute température dans la pratique et étudié la tenue d’alliages commerciaux face aux différents modes de corrosion.
La corrosion à haute température ne peut pas être évitée mais en revanche elle peut et doit être contrôlée.
Cela peut être obtenu par un choix de matériaux adaptés aux conditions rencontrées dans les diverses industries concernées, suivant le type de corrosion auquel l’industriel est confronté.REFERENCE : M 4 228 Date : Mars 2003 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] [article] Corrosion sèche des métaux = Choix des alliages [texte imprimé] / Antoni, Laurent, Auteur ; Alain Galerie, Auteur . - 2007 . - 3 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 3 p.
Mots-clés : Potentiels; Alliages; Sèche Résumé : Cet exposé sur le choix des alliages termine la présentation du phénomène de « Corrosion sèche des métaux. Cas industriels ». Les différents articles publiés ont passé en revue les principaux environnements rencontrés à haute température dans la pratique et étudié la tenue d’alliages commerciaux face aux différents modes de corrosion.
La corrosion à haute température ne peut pas être évitée mais en revanche elle peut et doit être contrôlée.
Cela peut être obtenu par un choix de matériaux adaptés aux conditions rencontrées dans les diverses industries concernées, suivant le type de corrosion auquel l’industriel est confronté.REFERENCE : M 4 228 Date : Mars 2003 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 13 p.
Titre : Corrosion atmosphérique Type de document : texte imprimé Auteurs : Sutter, Eliane, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 13 p. Note générale : bibliogr Langues : Français (fre) Mots-clés : Atmosphérique; Alliages; Interaction; Corrosion; Résumé : La corrosion atmosphérique est définie comme le résultat de l'interaction entre un matériau et l'atmosphère naturelle environnante. L'apparente simplicité de la définition ne permet pas de traduire la grande complexité du phénomène, due en partie à la difficulté de reproduire expérimentalement un milieu atmosphérique. En effet, celui-ci est caractérisé non seulement par sa composition chimique, mais aussi par l'ensemble des paramètres climatiques tels que les pluies, les vents, l'ensoleillement, les températures qui varient d'un point géographique à l'autre mais surtout qui varient au cours du temps. Pourtant, l'enjeu économique de la bonne maîtrise de la corrosion atmosphérique est considérable : en effet, si le coût estimé des dépenses liées à la corrosion représente de 2 à 4 % du produit national brut dans certains pays, on estime que la corrosion atmosphérique englobe la majeure partie de cette dépense. Cela concerne l'entretien des infrastructures (ponts, installations ferroviaires, bâtiments, installations industrielles...), mais aussi la restauration et la conservation des objets du patrimoine. Ainsi, aux États-Unis, la dégradation à l'air de la statue de la Liberté, résultant d'un couplage galvanique entre l'armature en fer et la peau en cuivre, a nécessité, en 1981, 230 millions de $US pour sa remise en état. Pour prévenir les dommages causés par la corrosion atmosphérique, la tour Eiffel à Paris subit tous les sept ans une remise en peinture nécessitant 60 tonnes de peinture pour le traitement de 250 000 m2 de surface. La 19e campagne de mise en peinture a débuté en 2009 pour une durée de 18 mois. REFERENCE : COR 50 Date : Décembre 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] [article] Corrosion atmosphérique [texte imprimé] / Sutter, Eliane, Auteur . - 2007 . - 13 p.
bibliogr
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 13 p.
Mots-clés : Atmosphérique; Alliages; Interaction; Corrosion; Résumé : La corrosion atmosphérique est définie comme le résultat de l'interaction entre un matériau et l'atmosphère naturelle environnante. L'apparente simplicité de la définition ne permet pas de traduire la grande complexité du phénomène, due en partie à la difficulté de reproduire expérimentalement un milieu atmosphérique. En effet, celui-ci est caractérisé non seulement par sa composition chimique, mais aussi par l'ensemble des paramètres climatiques tels que les pluies, les vents, l'ensoleillement, les températures qui varient d'un point géographique à l'autre mais surtout qui varient au cours du temps. Pourtant, l'enjeu économique de la bonne maîtrise de la corrosion atmosphérique est considérable : en effet, si le coût estimé des dépenses liées à la corrosion représente de 2 à 4 % du produit national brut dans certains pays, on estime que la corrosion atmosphérique englobe la majeure partie de cette dépense. Cela concerne l'entretien des infrastructures (ponts, installations ferroviaires, bâtiments, installations industrielles...), mais aussi la restauration et la conservation des objets du patrimoine. Ainsi, aux États-Unis, la dégradation à l'air de la statue de la Liberté, résultant d'un couplage galvanique entre l'armature en fer et la peau en cuivre, a nécessité, en 1981, 230 millions de $US pour sa remise en état. Pour prévenir les dommages causés par la corrosion atmosphérique, la tour Eiffel à Paris subit tous les sept ans une remise en peinture nécessitant 60 tonnes de peinture pour le traitement de 250 000 m2 de surface. La 19e campagne de mise en peinture a débuté en 2009 pour une durée de 18 mois. REFERENCE : COR 50 Date : Décembre 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 21 p.
Titre : Tribocorrosion Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Ponthiaux, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 21 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Tribocorrosion; Fissuration; Ecrouissage; Industriels; Biologique Résumé : Le terme de « tribocorrosion » désigne le processus conduisant à l'endommagement (fissuration, écrouissage) et à l'usure de la surface d'un matériau métallique sous les effets conjugués d'une sollicitation mécanique de contact (frottement, impact) et de la corrosion par un milieu environnant.
En pratique, la tribocorrosion peut affecter un grand nombre de systèmes tribologiques très divers constitués de dispositifs mécaniques comportant des pièces généralement métalliques en contact et en mouvement relatif (mécanismes de pompes, paliers, engrenages, roulements, charnières, implants orthopédiques...) placés dans un environnement se révélant corrosif pour les matériaux métalliques constituant les surfaces tribologiques.
De très nombreux secteurs industriels sont donc concernés. Citons, entre autres, les industries automobiles, pétrolières, chimiques, l'industrie agro-alimentaire, l'industrie des machines (pièces de moteurs, pompes, outils de coupe...), l'industrie nucléaire, les transports, et jusqu'à l'ingénierie médicale (amalgames et coiffes dentaires, implants en milieu biologique...).
REFERENCE : COR 60 Date : Decembre 2007 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/frottement-et [...] [article] Tribocorrosion [texte imprimé] / Pierre Ponthiaux, Auteur . - 2007 . - 21 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 21 p.
Mots-clés : Tribocorrosion; Fissuration; Ecrouissage; Industriels; Biologique Résumé : Le terme de « tribocorrosion » désigne le processus conduisant à l'endommagement (fissuration, écrouissage) et à l'usure de la surface d'un matériau métallique sous les effets conjugués d'une sollicitation mécanique de contact (frottement, impact) et de la corrosion par un milieu environnant.
En pratique, la tribocorrosion peut affecter un grand nombre de systèmes tribologiques très divers constitués de dispositifs mécaniques comportant des pièces généralement métalliques en contact et en mouvement relatif (mécanismes de pompes, paliers, engrenages, roulements, charnières, implants orthopédiques...) placés dans un environnement se révélant corrosif pour les matériaux métalliques constituant les surfaces tribologiques.
De très nombreux secteurs industriels sont donc concernés. Citons, entre autres, les industries automobiles, pétrolières, chimiques, l'industrie agro-alimentaire, l'industrie des machines (pièces de moteurs, pompes, outils de coupe...), l'industrie nucléaire, les transports, et jusqu'à l'ingénierie médicale (amalgames et coiffes dentaires, implants en milieu biologique...).
REFERENCE : COR 60 Date : Decembre 2007 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/frottement-et [...] Vieillissement physique des matériaux polymères / Fayolle, Bruno in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 18 p.
Titre : Vieillissement physique des matériaux polymères Type de document : texte imprimé Auteurs : Fayolle, Bruno, Auteur ; Jacques Verdu, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 18 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Matériaux polymères; Absorption Résumé : On appelle vieillissement tout phénomène d’évolution lente et irréversible de la structure et/ou de la composition d’un matériau sous l’effet de son instabilité propre, de l’interaction avec l’environnement, de sollicitations mécaniques, ou de la combinaison de plusieurs de ces causes (on parlera alors de couplage). La rupture d’une éprouvette sous l’effet d’un choc, sa combustion, sa dissolution dans un solvant, sa dilatation sous l’effet d’une variation de température, sa radiolyse ou sa photolyse éclair sous l’effet d’une irradiation intense ne sont pas considérées ici comme des vieillissements, car il s’agit de phénomènes soit réversibles, soit rapides et donc qui ne posent pas de problème de prédiction de durée de vie.
Il peut être utile de distinguer vieillissement physique et vieillissement chimique. Dans le premier cas, il n’y a pas d’altération de la structure chimique des macromolécules, seule leur configuration spatiale ou la composition du matériau sont affectées. Dans le deuxième cas, il y a modification de la structure chimique des macromolécules. Les principaux cas de figure rencontrés dans la pratique peuvent être classifiés selon le tableau 1.REFERENCE : COR 108 Date : JANVIER 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/proprietes-g [...] [article] Vieillissement physique des matériaux polymères [texte imprimé] / Fayolle, Bruno, Auteur ; Jacques Verdu, Auteur . - 2007 . - 18 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 18 p.
Mots-clés : Matériaux polymères; Absorption Résumé : On appelle vieillissement tout phénomène d’évolution lente et irréversible de la structure et/ou de la composition d’un matériau sous l’effet de son instabilité propre, de l’interaction avec l’environnement, de sollicitations mécaniques, ou de la combinaison de plusieurs de ces causes (on parlera alors de couplage). La rupture d’une éprouvette sous l’effet d’un choc, sa combustion, sa dissolution dans un solvant, sa dilatation sous l’effet d’une variation de température, sa radiolyse ou sa photolyse éclair sous l’effet d’une irradiation intense ne sont pas considérées ici comme des vieillissements, car il s’agit de phénomènes soit réversibles, soit rapides et donc qui ne posent pas de problème de prédiction de durée de vie.
Il peut être utile de distinguer vieillissement physique et vieillissement chimique. Dans le premier cas, il n’y a pas d’altération de la structure chimique des macromolécules, seule leur configuration spatiale ou la composition du matériau sont affectées. Dans le deuxième cas, il y a modification de la structure chimique des macromolécules. Les principaux cas de figure rencontrés dans la pratique peuvent être classifiés selon le tableau 1.REFERENCE : COR 108 Date : JANVIER 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/proprietes-g [...] Vieillissement des composites Mécanismes et méthodologie d’étude / Mortaigne, Bruno in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 21 p.
Titre : Vieillissement des composites Mécanismes et méthodologie d’étude Type de document : texte imprimé Auteurs : Mortaigne, Bruno, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 21 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Vieillissement; Composites mécanismes et méthodologie; Méthodologie; Corrosion; Modélisation Résumé : Létablissement de critères et de modèles permettant de prévoir le comportement à long terme des composites à matrice organique (CMO) avec des renforts fibreux est un enjeu important pour les concepteurs et pour les utilisateurs. L’optimisation des performances des matériels, et en conséquence des matériaux qui servent à les élaborer, sur des durées de plus en plus longues nécessite de disposer de modèles de plus en plus fiables, prenant en compte l’ensemble des sollicitations subies et des dégradations induites avec leur mode de propagation en service. Ce comportement se doit d’être totalement intégré à la certification des structures CMO avant leur utilisation.
La durabilité met en jeu des phénomènes complexes, ce qui nécessite de comprendre les mécanismes de dégradation en cause et de coupler des connaissances de chimie, de physico-chimie, de mécanique, de simulation numérique pour aboutir à des modèles de prévision du comportement fiables, conduisant à faire coopérer des équipes pluridisciplinaires à leur étude. Pour mieux prévoir leur comportement à long terme, il est nécessaire de réaliser des vieillissements accélérés et de les corréler aux vieillissements de ces mêmes matériaux, dans leur configuration structurale, et dans leurs conditions d’emploi usuels. Le facteur d’accélération choisit ne doit pas modifier les mécanismes d’évolution du matériau, tous les facteurs d’influence doivent être explorés et leur mode d’action doit être compris. Le retour d’expérience de leur comportement en environnement d’utilisation est primordial pour valider les modèles de prévision qui peuvent être élaborés.REFERENCE : COR 112 Date : JUIN 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/caracterisat [...] [article] Vieillissement des composites Mécanismes et méthodologie d’étude [texte imprimé] / Mortaigne, Bruno, Auteur . - 2007 . - 21 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 21 p.
Mots-clés : Vieillissement; Composites mécanismes et méthodologie; Méthodologie; Corrosion; Modélisation Résumé : Létablissement de critères et de modèles permettant de prévoir le comportement à long terme des composites à matrice organique (CMO) avec des renforts fibreux est un enjeu important pour les concepteurs et pour les utilisateurs. L’optimisation des performances des matériels, et en conséquence des matériaux qui servent à les élaborer, sur des durées de plus en plus longues nécessite de disposer de modèles de plus en plus fiables, prenant en compte l’ensemble des sollicitations subies et des dégradations induites avec leur mode de propagation en service. Ce comportement se doit d’être totalement intégré à la certification des structures CMO avant leur utilisation.
La durabilité met en jeu des phénomènes complexes, ce qui nécessite de comprendre les mécanismes de dégradation en cause et de coupler des connaissances de chimie, de physico-chimie, de mécanique, de simulation numérique pour aboutir à des modèles de prévision du comportement fiables, conduisant à faire coopérer des équipes pluridisciplinaires à leur étude. Pour mieux prévoir leur comportement à long terme, il est nécessaire de réaliser des vieillissements accélérés et de les corréler aux vieillissements de ces mêmes matériaux, dans leur configuration structurale, et dans leurs conditions d’emploi usuels. Le facteur d’accélération choisit ne doit pas modifier les mécanismes d’évolution du matériau, tous les facteurs d’influence doivent être explorés et leur mode d’action doit être compris. Le retour d’expérience de leur comportement en environnement d’utilisation est primordial pour valider les modèles de prévision qui peuvent être élaborés.REFERENCE : COR 112 Date : JUIN 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/caracterisat [...] Vieillissement des composites Évolution des propriétés et modélisation / Mortaigne, Bruno in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 21 p.
Titre : Vieillissement des composites Évolution des propriétés et modélisation : Évolution des propriétés et modélisation Type de document : texte imprimé Auteurs : Mortaigne, Bruno, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 21 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Vieillissement; Évolution des propriétés et modélisation; Démarche de modélisation; Thermomécanique Résumé : Les composites à matrice organique (CMO) monolithiques ou sandwiches sont désormais incontournables pour l’ingénieur, et l’établissement de critères et de modèles permettant de prévoir leur comportement au vieillissement est un enjeu important. Cela nécessite non seulement de caractériser l’évolution des propriétés, mais également de comprendre les phénomènes de dégradation qui sont intervenus (physico-chimique, physique, mécanique). Dans le dossier « Vieillissement des composites. Mécanismes et méthodologie d’étude », la méthodologie d’étude à adopter pour prévoir leur comportement à long terme ainsi que les phénomènes responsables de la dégradation des propriétés ont été détaillés dans leur globalité.
La définition d’un modèle de prévision du comportement nécessite d’acquérir le maximum d’informations sur les constituants et sur la structure du matériau, d’identifier le plus exactement possible les sollicitations (thermique, hydrique, mécanique...) auxquelles le composite est soumis en condition opérationnelle, et d’utiliser des moyens de contrôle (optique, contrôles non destructifs : CND) permettant de suivre la formation et la propagation des endommagements. Il nécessite d’avoir recours à des vieillissements accélérés réalistes pour lesquels il est nécessaire de s’assurer de leur représentativité. La plus grande difficulté rencontrée pour ces essais est la définition des cycles de sollicitations représentatifs des agressions subies en service.REFERENCE : COR 113 Date : JUILLET 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/caracterisat [...] [article] Vieillissement des composites Évolution des propriétés et modélisation : Évolution des propriétés et modélisation [texte imprimé] / Mortaigne, Bruno, Auteur . - 2007 . - 21 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 21 p.
Mots-clés : Vieillissement; Évolution des propriétés et modélisation; Démarche de modélisation; Thermomécanique Résumé : Les composites à matrice organique (CMO) monolithiques ou sandwiches sont désormais incontournables pour l’ingénieur, et l’établissement de critères et de modèles permettant de prévoir leur comportement au vieillissement est un enjeu important. Cela nécessite non seulement de caractériser l’évolution des propriétés, mais également de comprendre les phénomènes de dégradation qui sont intervenus (physico-chimique, physique, mécanique). Dans le dossier « Vieillissement des composites. Mécanismes et méthodologie d’étude », la méthodologie d’étude à adopter pour prévoir leur comportement à long terme ainsi que les phénomènes responsables de la dégradation des propriétés ont été détaillés dans leur globalité.
La définition d’un modèle de prévision du comportement nécessite d’acquérir le maximum d’informations sur les constituants et sur la structure du matériau, d’identifier le plus exactement possible les sollicitations (thermique, hydrique, mécanique...) auxquelles le composite est soumis en condition opérationnelle, et d’utiliser des moyens de contrôle (optique, contrôles non destructifs : CND) permettant de suivre la formation et la propagation des endommagements. Il nécessite d’avoir recours à des vieillissements accélérés réalistes pour lesquels il est nécessaire de s’assurer de leur représentativité. La plus grande difficulté rencontrée pour ces essais est la définition des cycles de sollicitations représentatifs des agressions subies en service.REFERENCE : COR 113 Date : JUILLET 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/caracterisat [...] Durabilité des assemblages collés - Étude / Petit, Jacques-Alain in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 15 p.
Titre : Durabilité des assemblages collés - Étude Type de document : texte imprimé Auteurs : Petit, Jacques-Alain, Auteur ; Baziard, Yves, Auteur ; Valérie Nassiet, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 15 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Durabilité des assemblages; Durabilité a l'élaboration; L'adhésif; Effets secondaires du vieillissement Résumé : L’une des principales exigences d’un assemblage collé est son aptitude à conserver une part significative de sa capacité à supporter des efforts sous les conditions très variées d’environnement qu’il devrait rencontrer au cours de sa durée de vie en service.
Pour un assemblage collé, cette fonction et la permanence de celle-ci dans le temps (ou durabilité) résultent des forces d’adhésion dues aux interactions entre un substrat solide (ou adhérent) et un adhésif. Ces interactions sont à l’origine de la création d’interphases dont les propriétés évoluent continûment entre l’interface et le cœur de l’adhésif. L’adhérence ainsi créée par ces forces d’adhésion peut être mesurée par l’énergie de rupture (de séparation) du joint constitué. Il en est de même de la perte d’adhérence qui obère la vie du joint.
Malheureusement, l’un des environnements les plus agressifs pour les joints qui mettent en jeu des substrats de forte énergie de surface – métaux, verres, céramiques – constituant avec des adhésifs les joints structuraux usuels, est l’humidité. Or, c’est évidemment l’un des environnements les plus communs.REFERENCE : COR 160 Date : Octobre 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] [article] Durabilité des assemblages collés - Étude [texte imprimé] / Petit, Jacques-Alain, Auteur ; Baziard, Yves, Auteur ; Valérie Nassiet, Auteur . - 2007 . - 15 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 15 p.
Mots-clés : Durabilité des assemblages; Durabilité a l'élaboration; L'adhésif; Effets secondaires du vieillissement Résumé : L’une des principales exigences d’un assemblage collé est son aptitude à conserver une part significative de sa capacité à supporter des efforts sous les conditions très variées d’environnement qu’il devrait rencontrer au cours de sa durée de vie en service.
Pour un assemblage collé, cette fonction et la permanence de celle-ci dans le temps (ou durabilité) résultent des forces d’adhésion dues aux interactions entre un substrat solide (ou adhérent) et un adhésif. Ces interactions sont à l’origine de la création d’interphases dont les propriétés évoluent continûment entre l’interface et le cœur de l’adhésif. L’adhérence ainsi créée par ces forces d’adhésion peut être mesurée par l’énergie de rupture (de séparation) du joint constitué. Il en est de même de la perte d’adhérence qui obère la vie du joint.
Malheureusement, l’un des environnements les plus agressifs pour les joints qui mettent en jeu des substrats de forte énergie de surface – métaux, verres, céramiques – constituant avec des adhésifs les joints structuraux usuels, est l’humidité. Or, c’est évidemment l’un des environnements les plus communs.REFERENCE : COR 160 Date : Octobre 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] Durabilité des assemblages collés / Petit, Jacques-Alain in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 12 p.
Titre : Durabilité des assemblages collés : Approche prédictive Type de document : texte imprimé Auteurs : Petit, Jacques-Alain, Auteur ; Baziard, Yves, Auteur ; Valérie Nassiet, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 12 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Assemblages collés; Thermodynamique; Matériau homogène Résumé :
Pour évaluer la fiabilité d’un matériau homogène et isotrope, des essais de fatigue sont communément utilisés pour déterminer le seuil d’endommagement du matériau par sa limite d’endurance. Si la rupture dans les joints collés était toujours localisée au sein de l’adhésif (cohésive), les concepts de la mécanique des milieux continus et de la mécanique de la rupture seraient suffisants pour dimensionner les structures collées à travers la détermination de critères de rupture. Malheureusement, comme nous l’avons évoqué dans la première partie consacrée à l’étude de la durabilité Durabilité des assemblages collés- ÉtudeDurabilité des assemblages collés- Étude, les joints collés en milieu chaud ou humide se délaminent par affaiblissement de l’interface. Les phénomènes qui régissent l’établissement de l’interface ne sont pas encore complètement connus si bien que les lois d’évolution temporelle des interfaces substrat/adhésif ne sont pas encore établies.
Cependant, plusieurs approches permettent de fournir des « indicateurs » sur la durabilité de l’assemblage collé au sein de son environnement. L’approche thermodynamique propose, par exemple, un critère de stabilité du système adhésif. L’approche expérimentale, basée sur des essais mécaniques, permet de prédire le comportement des joints collés à partir d’essais accélérés effectués en laboratoire et de lois empiriques ou semi-empiriques. Les données de sortie sont soit des réductions de résistance mécanique, soit des évolutions d’énergies de rupture. L’expérimentateur se place alors, le plus souvent, dans un scénario de « qui peut le plus peut le moins ». D’autres approches prometteuses se sont développées ces dernières années. Elles sont basées sur le calcul numérique et sur l’usage de méthodes statistiques et probabilistes comme outil prédictif.
REFERENCE : COR 161 Date : Décembre 2006 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] [article] Durabilité des assemblages collés : Approche prédictive [texte imprimé] / Petit, Jacques-Alain, Auteur ; Baziard, Yves, Auteur ; Valérie Nassiet, Auteur . - 2007 . - 12 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 12 p.
Mots-clés : Assemblages collés; Thermodynamique; Matériau homogène Résumé :
Pour évaluer la fiabilité d’un matériau homogène et isotrope, des essais de fatigue sont communément utilisés pour déterminer le seuil d’endommagement du matériau par sa limite d’endurance. Si la rupture dans les joints collés était toujours localisée au sein de l’adhésif (cohésive), les concepts de la mécanique des milieux continus et de la mécanique de la rupture seraient suffisants pour dimensionner les structures collées à travers la détermination de critères de rupture. Malheureusement, comme nous l’avons évoqué dans la première partie consacrée à l’étude de la durabilité Durabilité des assemblages collés- ÉtudeDurabilité des assemblages collés- Étude, les joints collés en milieu chaud ou humide se délaminent par affaiblissement de l’interface. Les phénomènes qui régissent l’établissement de l’interface ne sont pas encore complètement connus si bien que les lois d’évolution temporelle des interfaces substrat/adhésif ne sont pas encore établies.
Cependant, plusieurs approches permettent de fournir des « indicateurs » sur la durabilité de l’assemblage collé au sein de son environnement. L’approche thermodynamique propose, par exemple, un critère de stabilité du système adhésif. L’approche expérimentale, basée sur des essais mécaniques, permet de prédire le comportement des joints collés à partir d’essais accélérés effectués en laboratoire et de lois empiriques ou semi-empiriques. Les données de sortie sont soit des réductions de résistance mécanique, soit des évolutions d’énergies de rupture. L’expérimentateur se place alors, le plus souvent, dans un scénario de « qui peut le plus peut le moins ». D’autres approches prometteuses se sont développées ces dernières années. Elles sont basées sur le calcul numérique et sur l’usage de méthodes statistiques et probabilistes comme outil prédictif.
REFERENCE : COR 161 Date : Décembre 2006 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] Résistance chimique et à la corrosion des composites / Cognard, Philippe in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 16 p.
Titre : Résistance chimique et à la corrosion des composites Type de document : texte imprimé Auteurs : Cognard, Philippe, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 16 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Résistance chimique; Dégradation des matériaux traditionnels; Anticorrosion; Anticorrosion Résumé : Corroder signifie ronger, attaquer chimiquement et par différents milieux agressifs tels que l’eau, l’oxygène qui rouille les aciers et le fer, les agents chimiques, l’environnement.
Ce terme concerne essentiellement les métaux, qui doivent donc être protégés d’une façon ou d’une autre (revêtements, peintures...) contre cette corrosion.
Certains plastiques renforcés (à base de polyesters, vinylesters ou époxydes) résistent, quant à eux, très bien à ce type de corrosion.
Le bois, le béton armé peuvent aussi être dégradés par différents milieux agressifs (sels, produits chimiques dans le cas du béton, micro-organismes et insectes dans le cas du bois).
Par une extension logique, nous étudierons aussi le remplacement de ces matériaux traditionnels par des composites résistant à ces milieux agressifs.
Dans cet article, nous étudions les propriétés de composites pour anticorrosion, les résines, matrices et fibres de renfort utilisées pour la résistance à la corrosion, leur fabrication, leurs performances et leurs résistances aux produits chimiques.REFERENCE : COR 500 Date : JUIN 2004 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] [article] Résistance chimique et à la corrosion des composites [texte imprimé] / Cognard, Philippe, Auteur . - 2007 . - 16 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 16 p.
Mots-clés : Résistance chimique; Dégradation des matériaux traditionnels; Anticorrosion; Anticorrosion Résumé : Corroder signifie ronger, attaquer chimiquement et par différents milieux agressifs tels que l’eau, l’oxygène qui rouille les aciers et le fer, les agents chimiques, l’environnement.
Ce terme concerne essentiellement les métaux, qui doivent donc être protégés d’une façon ou d’une autre (revêtements, peintures...) contre cette corrosion.
Certains plastiques renforcés (à base de polyesters, vinylesters ou époxydes) résistent, quant à eux, très bien à ce type de corrosion.
Le bois, le béton armé peuvent aussi être dégradés par différents milieux agressifs (sels, produits chimiques dans le cas du béton, micro-organismes et insectes dans le cas du bois).
Par une extension logique, nous étudierons aussi le remplacement de ces matériaux traditionnels par des composites résistant à ces milieux agressifs.
Dans cet article, nous étudions les propriétés de composites pour anticorrosion, les résines, matrices et fibres de renfort utilisées pour la résistance à la corrosion, leur fabrication, leurs performances et leurs résistances aux produits chimiques.REFERENCE : COR 500 Date : JUIN 2004 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] Résistance chimique et à la corrosion des composites. Guide de choix / Cognard, Philippe in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 18 p.
Titre : Résistance chimique et à la corrosion des composites. Guide de choix Type de document : texte imprimé Auteurs : Cognard, Philippe, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 18 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Résistance chimique; Résines; Polyester; La résistance chimique diminue Résumé :
Cet article complète l’article Résistance chimique et à la corrosion des compositesRésistance chimique et à la corrosion des composites.
Les professionnels des industries chimiques, ainsi que tous ceux qui sont confrontés à des problèmes de résistance à l’eau, à la corrosion, aux produits chimiques et à des environnements agressifs, ont besoin de connaître les résistances aux produits chimiques des matériaux qu’ils utilisent pour leurs cuves, tuyauteries, pompes, appareils chimiques, etc.
Nous avons donc répertorié ici un assez grand nombre de produits chimiques utilisés fréquemment dans toutes sortes d’industries et indiqué quelles sont les résistances chimiques d’un certain nombre de plastiques renforcés/matériaux composites, en fonction de la température.
La plupart des fournisseurs-leaders de résines résistantes à la corrosion et aux produits chimiques fournissent maintenant de tels tableaux. C’est le cas par exemple de Reichold, DSM Composites, Cray Valley/Total, pour les polyesters et vinylesters, ou de Vantico/Huntsman pour les résines époxydes. Nous en avons sélectionné quelques-uns et pour les autres ils sont cités en références bibliographiques ().
Pour tester la résistance chimique, certains fabricants de résines utilisent la norme américaine ASTM C 581 ou d’autres normes. Enfin il est souvent nécessaire de connaître les résistances chimiques à différentes températures (plus la température est élevée et plus la résistance chimique diminue) et à différentes concentrations.
Notes sur l’utilisation des tableaux de résistances chimiques :
• Ces tableaux sont donnés uniquement à titre indicatif et ne sauraient remplacer des essais réels.
• Pour le tableau 1, les chiffres indiqués dans les colonnes sont les températures maximales recommandées en C. Ces températures peuvent varier avec différents facteurs : durée d’exposition, épaisseur du stratifié, conductivité thermique, conditions de réticulation/durcissement du plastique renforcé, fibres de renfort utilisées, etc., et il convient donc, pour plus de précisions, de se reporter aux catalogues techniques des fournisseurs.
REFERENCE : COR 501 Date : Decembre 2004 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] [article] Résistance chimique et à la corrosion des composites. Guide de choix [texte imprimé] / Cognard, Philippe, Auteur . - 2007 . - 18 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 18 p.
Mots-clés : Résistance chimique; Résines; Polyester; La résistance chimique diminue Résumé :
Cet article complète l’article Résistance chimique et à la corrosion des compositesRésistance chimique et à la corrosion des composites.
Les professionnels des industries chimiques, ainsi que tous ceux qui sont confrontés à des problèmes de résistance à l’eau, à la corrosion, aux produits chimiques et à des environnements agressifs, ont besoin de connaître les résistances aux produits chimiques des matériaux qu’ils utilisent pour leurs cuves, tuyauteries, pompes, appareils chimiques, etc.
Nous avons donc répertorié ici un assez grand nombre de produits chimiques utilisés fréquemment dans toutes sortes d’industries et indiqué quelles sont les résistances chimiques d’un certain nombre de plastiques renforcés/matériaux composites, en fonction de la température.
La plupart des fournisseurs-leaders de résines résistantes à la corrosion et aux produits chimiques fournissent maintenant de tels tableaux. C’est le cas par exemple de Reichold, DSM Composites, Cray Valley/Total, pour les polyesters et vinylesters, ou de Vantico/Huntsman pour les résines époxydes. Nous en avons sélectionné quelques-uns et pour les autres ils sont cités en références bibliographiques ().
Pour tester la résistance chimique, certains fabricants de résines utilisent la norme américaine ASTM C 581 ou d’autres normes. Enfin il est souvent nécessaire de connaître les résistances chimiques à différentes températures (plus la température est élevée et plus la résistance chimique diminue) et à différentes concentrations.
Notes sur l’utilisation des tableaux de résistances chimiques :
• Ces tableaux sont donnés uniquement à titre indicatif et ne sauraient remplacer des essais réels.
• Pour le tableau 1, les chiffres indiqués dans les colonnes sont les températures maximales recommandées en C. Ces températures peuvent varier avec différents facteurs : durée d’exposition, épaisseur du stratifié, conductivité thermique, conditions de réticulation/durcissement du plastique renforcé, fibres de renfort utilisées, etc., et il convient donc, pour plus de précisions, de se reporter aux catalogues techniques des fournisseurs.
REFERENCE : COR 501 Date : Decembre 2004 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] Applications des composites anticorrosion dans l’industrie / Cognard, Philippe in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 12 p.
Titre : Applications des composites anticorrosion dans l’industrie Type de document : texte imprimé Auteurs : Cognard, Philippe, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 12 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Applications des composites; Anticorrosion; Construction navale; électroménager; Industrie agroalimentaire Résumé :
Les stratifiés à base de polyesters insaturés, de vinylesters, d’époxydes, de polymères thermoplastiques divers, grâce à leurs excellentes performances (physiques, mécaniques...) et à leur résistance chimique et à la corrosion (cf. et ) sont utilisés dans toutes les industries où l’on a besoin de résister à l’eau, à la corrosion ainsi qu’aux nombreux produits chimiques utilisés.
Afin d’aider nos lecteurs à étudier leurs problèmes, concevoir leurs équipements et à trouver des idées d’utilisations, nous allons passer en revue un grand nombre d’applications, non seulement dans les domaines du génie chimique, de la construction et de l’anticorrosion, mais aussi dans d’autres industries ou l’on a besoin de matériaux résistant à des produits plus ou moins agressifs ou corrosifs, par exemple :
l’industrie automobile où les carrosseries doivent résister aux intempéries et à la corrosion ;
l’industrie mécanique où les matériaux doivent résister aux huiles et aux graisses, voire à d’autres fluides ;
l’industrie agroalimentaire où les matériaux doivent résister à certains produits agressifs, vinaigre, sauces, produits acides. Et nous avons aussi inclus la construction navale, où les matériaux doivent résister à l’eau de mer pendant de très longues durées ;
et nous avons aussi inclus la construction navale, où les matériaux doivent résister à l’eau de mer pendant de très longues durées.
Pour chaque application, nous indiquerons les avantages des diverses résines et formules, les techniques utilisées ou utilisables dans l’avenir, ainsi que les possibilités et développements nouveaux.
Nous renverrons souvent le lecteur à l’article . Résistance chimique et à la corrosion des matériaux composites, ainsi qu’aux tableaux de l’article .
REFERENCE : COR 502 Date : JUIN 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] [article] Applications des composites anticorrosion dans l’industrie [texte imprimé] / Cognard, Philippe, Auteur . - 2007 . - 12 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 12 p.
Mots-clés : Applications des composites; Anticorrosion; Construction navale; électroménager; Industrie agroalimentaire Résumé :
Les stratifiés à base de polyesters insaturés, de vinylesters, d’époxydes, de polymères thermoplastiques divers, grâce à leurs excellentes performances (physiques, mécaniques...) et à leur résistance chimique et à la corrosion (cf. et ) sont utilisés dans toutes les industries où l’on a besoin de résister à l’eau, à la corrosion ainsi qu’aux nombreux produits chimiques utilisés.
Afin d’aider nos lecteurs à étudier leurs problèmes, concevoir leurs équipements et à trouver des idées d’utilisations, nous allons passer en revue un grand nombre d’applications, non seulement dans les domaines du génie chimique, de la construction et de l’anticorrosion, mais aussi dans d’autres industries ou l’on a besoin de matériaux résistant à des produits plus ou moins agressifs ou corrosifs, par exemple :
l’industrie automobile où les carrosseries doivent résister aux intempéries et à la corrosion ;
l’industrie mécanique où les matériaux doivent résister aux huiles et aux graisses, voire à d’autres fluides ;
l’industrie agroalimentaire où les matériaux doivent résister à certains produits agressifs, vinaigre, sauces, produits acides. Et nous avons aussi inclus la construction navale, où les matériaux doivent résister à l’eau de mer pendant de très longues durées ;
et nous avons aussi inclus la construction navale, où les matériaux doivent résister à l’eau de mer pendant de très longues durées.
Pour chaque application, nous indiquerons les avantages des diverses résines et formules, les techniques utilisées ou utilisables dans l’avenir, ainsi que les possibilités et développements nouveaux.
Nous renverrons souvent le lecteur à l’article . Résistance chimique et à la corrosion des matériaux composites, ainsi qu’aux tableaux de l’article .
REFERENCE : COR 502 Date : JUIN 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] Dégradation, durabilité des peintures / Thierry Lucas in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 17 p.
Titre : Dégradation, durabilité des peintures Type de document : texte imprimé Auteurs : Thierry Lucas, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 17 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Durabilité des peintures; Vieillissement; Revêtements Résumé : Ae présent dossier se propose de présenter les principaux types de dégradations des revêtements de peinture appliqués sur les subjectiles couramment rencontrés dans le bâtiment et le génie civil : maçonneries et enduits extérieurs, bois et matériaux ligneux, et enfin principaux matériaux métalliques de construction. Il traite des dégradations et défauts qui interviennent sur les revêtements après quelques années d’exposition. Dans la plupart des cas, il donne des indications sur des causes possibles des dégradations.
En revanche, le présent dossier n’a pas pour objet de décrire les problèmes et pathologies initiaux qui apparaissent au cours de l’application des peintures ou dans les heures qui la suivent. En effet, les anomalies de ce type sont traitées dans le dossier « Protection et décoration par peinture » Protection et décoration par peintureProtection et décoration par peinture. Remarquons que le traitement de telles anomalies peut généralement être assuré par le personnel qualifié dans l’utilisation du matériel d’application (par exemple les opérateurs certifiés exécutants) ou bien, s’il s’agit plutôt des précautions de préparation des produits, de l’état des subjectiles ou des conditions atmosphériques, par un opérateur de niveau adéquat (voir le § 1.4.2 Certification des systèmes de peinture et des intervenants).REFERENCE : COR 510 Date : JUIN 2007 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/peintures-et [...] [article] Dégradation, durabilité des peintures [texte imprimé] / Thierry Lucas, Auteur . - 2007 . - 17 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 17 p.
Mots-clés : Durabilité des peintures; Vieillissement; Revêtements Résumé : Ae présent dossier se propose de présenter les principaux types de dégradations des revêtements de peinture appliqués sur les subjectiles couramment rencontrés dans le bâtiment et le génie civil : maçonneries et enduits extérieurs, bois et matériaux ligneux, et enfin principaux matériaux métalliques de construction. Il traite des dégradations et défauts qui interviennent sur les revêtements après quelques années d’exposition. Dans la plupart des cas, il donne des indications sur des causes possibles des dégradations.
En revanche, le présent dossier n’a pas pour objet de décrire les problèmes et pathologies initiaux qui apparaissent au cours de l’application des peintures ou dans les heures qui la suivent. En effet, les anomalies de ce type sont traitées dans le dossier « Protection et décoration par peinture » Protection et décoration par peintureProtection et décoration par peinture. Remarquons que le traitement de telles anomalies peut généralement être assuré par le personnel qualifié dans l’utilisation du matériel d’application (par exemple les opérateurs certifiés exécutants) ou bien, s’il s’agit plutôt des précautions de préparation des produits, de l’état des subjectiles ou des conditions atmosphériques, par un opérateur de niveau adéquat (voir le § 1.4.2 Certification des systèmes de peinture et des intervenants).REFERENCE : COR 510 Date : JUIN 2007 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/peintures-et [...] Chimie de l’eau et corrosion dans les REP / Nordmann, Francis in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 14 p.
Titre : Chimie de l’eau et corrosion dans les REP Type de document : texte imprimé Auteurs : Nordmann, Francis, Auteur ; Pinard Legry, Gérard, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 14 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Les rep; Physico-chimiques; Relâchement; Corrosion; Circuit secondaire Résumé :
Quels que soient les avantages qu’elle peut présenter, la production d’électricité à partir de l’énergie nucléaire se doit de rester compétitive par rapport aux autres sources d’énergie en garantissant un niveau de sécurité élevé et un prix de revient faible. La bonne tenue à la corrosion des matériaux est un des facteurs clés pour ces deux enjeux. Le premier point exige de pouvoir assurer l’intégrité des matériaux de structure tout au long de la vie du réacteur en limitant les dégradations et les conséquences du vieillissement sous l’effet de la température, du rayonnement et de l’environnement chimique. La sûreté des réacteurs à eau sous pression (REP) est en effet basée sur le principe d’une triple barrière autour du combustible nucléaire : la gaine, la paroi du circuit primaire et l’enceinte de confinement. Le coût de production quant à lui dépend aussi directement de la bonne tenue des matériaux en permettant un taux de disponibilité maximal et une diminution des coûts de maintenance associés aux contrôles en service et aux interventions pour réparer d’éventuels dommages.
Dans sa définition normalisée (NF EN ISO 8044), la corrosion désigne les processus d’interactions physico‐chimiques intervenant entre un métal et son environnement et conduisant à une dégradation de la fonction du métal, du milieu environnant ou du système technique dont ils font partie. En d’autres termes, c’est dire que la résistance à la corrosion n’est pas une propriété intrinsèque d’un matériau mais qu’elle dépend essentiellement du milieu environnant. La maîtrise des problèmes de corrosion passera donc tant par un choix judicieux des matériaux que par un contrôle rigoureux de la composition chimique des milieux. C’est ce qui justifie l’association, dans une même présentation, de la corrosion et de la chimie de l’eau.
Le lecteur pourra consulter utilement les articles spécialisés du traité Métallurgie ainsi que dans ce traité, les articles décrivant la technologie des réacteurs à eau pressurisée et la rubrique « Structure des réacteurs nucléaires ».
REFERENCE : BN 3 750 Date : Octobre 2000 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] [article] Chimie de l’eau et corrosion dans les REP [texte imprimé] / Nordmann, Francis, Auteur ; Pinard Legry, Gérard, Auteur . - 2007 . - 14 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 14 p.
Mots-clés : Les rep; Physico-chimiques; Relâchement; Corrosion; Circuit secondaire Résumé :
Quels que soient les avantages qu’elle peut présenter, la production d’électricité à partir de l’énergie nucléaire se doit de rester compétitive par rapport aux autres sources d’énergie en garantissant un niveau de sécurité élevé et un prix de revient faible. La bonne tenue à la corrosion des matériaux est un des facteurs clés pour ces deux enjeux. Le premier point exige de pouvoir assurer l’intégrité des matériaux de structure tout au long de la vie du réacteur en limitant les dégradations et les conséquences du vieillissement sous l’effet de la température, du rayonnement et de l’environnement chimique. La sûreté des réacteurs à eau sous pression (REP) est en effet basée sur le principe d’une triple barrière autour du combustible nucléaire : la gaine, la paroi du circuit primaire et l’enceinte de confinement. Le coût de production quant à lui dépend aussi directement de la bonne tenue des matériaux en permettant un taux de disponibilité maximal et une diminution des coûts de maintenance associés aux contrôles en service et aux interventions pour réparer d’éventuels dommages.
Dans sa définition normalisée (NF EN ISO 8044), la corrosion désigne les processus d’interactions physico‐chimiques intervenant entre un métal et son environnement et conduisant à une dégradation de la fonction du métal, du milieu environnant ou du système technique dont ils font partie. En d’autres termes, c’est dire que la résistance à la corrosion n’est pas une propriété intrinsèque d’un matériau mais qu’elle dépend essentiellement du milieu environnant. La maîtrise des problèmes de corrosion passera donc tant par un choix judicieux des matériaux que par un contrôle rigoureux de la composition chimique des milieux. C’est ce qui justifie l’association, dans une même présentation, de la corrosion et de la chimie de l’eau.
Le lecteur pourra consulter utilement les articles spécialisés du traité Métallurgie ainsi que dans ce traité, les articles décrivant la technologie des réacteurs à eau pressurisée et la rubrique « Structure des réacteurs nucléaires ».
REFERENCE : BN 3 750 Date : Octobre 2000 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] Corrosion et protection des métaux en milieu marin / Juan Creus in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 12 p.
Titre : Corrosion et protection des métaux en milieu marin Type de document : texte imprimé Auteurs : Juan Creus, Auteur ; René Sabot, Auteur ; Philippe Refait, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 12 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Corrosion; Milieu marin; Micro-organismes; Protection des métaux Résumé : La corrosion est une interaction entre un matériau métallique et son environnement qui entraîne une dégradation du matériau, c’est-à-dire des modifications de ses propriétés susceptibles de conduire à un dysfonctionnement du système technique auquel il participe.
Aux températures ambiantes, le phénomène résulte le plus souvent de l’action combinée d’un milieu aqueux et du dioxygène de l’air. Il est donc clair, et ce fait doit toujours rester présent à l’esprit, que la résistance à la corrosion d’un métal n’est pas une propriété intrinsèque, au même titre que la masse volumique, par exemple, mais dépend d’un grand nombre de paramètres, dont ceux liés au milieu agressif.
La corrosion « aqueuse » est de nature électrochimique et ne peut se comprendre sans les connaissances de base de cette discipline. Nous ferons ici l’hypothèse que le lecteur possède ces bases, qui sont par ailleurs aisément accessibles.
Le vocable « corrosion marine » regroupe donc l’ensemble des interactions physico-chimiques et mécaniques entre les matériaux et un environnement tout à fait spécifique, le milieu marin. Il ne s’agit pas simplement d’un cas particulier de corrosion aqueuse et, typiquement, assimiler la corrosion marine aux phénomènes se déroulant dans une solution de 0,5 mol · L−1 de NaCl constituerait une approximation très grossière. Ce distinguo découle des propriétés particulières, uniques, de l’environnement marin.
En règle générale, cet environnement doit être considéré comme un milieu aqueux dynamique, contenant des sels dissous, des gaz, des composés organiques, des solides non dissous et des micro-organismes vivants. Un de nos objectifs sera de montrer, via l’étude de quelques cas concrets, le lien entre les mécanismes de corrosion et les différentes propriétés du milieu marin. Le problème de la protection contre cette dégradation, qui doit être envisagé dès la conception du système et le choix des matériaux, est lui aussi intimement lié à la spécificité du milieu.REFERENCE : COR 620 Date : JUIN 2004 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] [article] Corrosion et protection des métaux en milieu marin [texte imprimé] / Juan Creus, Auteur ; René Sabot, Auteur ; Philippe Refait, Auteur . - 2007 . - 12 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 12 p.
Mots-clés : Corrosion; Milieu marin; Micro-organismes; Protection des métaux Résumé : La corrosion est une interaction entre un matériau métallique et son environnement qui entraîne une dégradation du matériau, c’est-à-dire des modifications de ses propriétés susceptibles de conduire à un dysfonctionnement du système technique auquel il participe.
Aux températures ambiantes, le phénomène résulte le plus souvent de l’action combinée d’un milieu aqueux et du dioxygène de l’air. Il est donc clair, et ce fait doit toujours rester présent à l’esprit, que la résistance à la corrosion d’un métal n’est pas une propriété intrinsèque, au même titre que la masse volumique, par exemple, mais dépend d’un grand nombre de paramètres, dont ceux liés au milieu agressif.
La corrosion « aqueuse » est de nature électrochimique et ne peut se comprendre sans les connaissances de base de cette discipline. Nous ferons ici l’hypothèse que le lecteur possède ces bases, qui sont par ailleurs aisément accessibles.
Le vocable « corrosion marine » regroupe donc l’ensemble des interactions physico-chimiques et mécaniques entre les matériaux et un environnement tout à fait spécifique, le milieu marin. Il ne s’agit pas simplement d’un cas particulier de corrosion aqueuse et, typiquement, assimiler la corrosion marine aux phénomènes se déroulant dans une solution de 0,5 mol · L−1 de NaCl constituerait une approximation très grossière. Ce distinguo découle des propriétés particulières, uniques, de l’environnement marin.
En règle générale, cet environnement doit être considéré comme un milieu aqueux dynamique, contenant des sels dissous, des gaz, des composés organiques, des solides non dissous et des micro-organismes vivants. Un de nos objectifs sera de montrer, via l’étude de quelques cas concrets, le lien entre les mécanismes de corrosion et les différentes propriétés du milieu marin. Le problème de la protection contre cette dégradation, qui doit être envisagé dès la conception du système et le choix des matériaux, est lui aussi intimement lié à la spécificité du milieu.REFERENCE : COR 620 Date : JUIN 2004 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] Protection des tuyauteries contre la corrosion / Leconte, Jacques in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR1 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 22 p.
Titre : Protection des tuyauteries contre la corrosion Type de document : texte imprimé Auteurs : Leconte, Jacques, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 22 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Contre la corrosion; Tuyauteries; Phosphatation; Potentiel d'électrolde; Inhibiteurs de corrosion Résumé :
La corrosion est un fléau technologique dont les ravages ont été particulièrement importants depuis l’utilisation massive des alliages de fer : on a estimé à 15 % de la production annuelle d’acier la perte subie chaque année de son fait.
Les tuyauteries, dont le matériau constitutif le plus répandu est l’acier non allié, sont particulièrement exposées à ce risque du fait, soit de leur environnement (comme pour les tuyauteries enterrées), soit de leur fonction (transport de fluides corrosifs). Parmi les conséquences qui peuvent être désastreuses, citons pour mémoire :
rupture de capacités sous pression ;
fuite de liquides corrosifs, dangereux ou polluants ;
contamination de fluides dans les industries alimentaires ou pharmaceutiques ;
arrêt prolongé d’unités importantes de production (énergie, pétrochimie, etc.).
Heureusement, depuis une cinquantaine d’années, et en particulier grâce aux travaux d’Evans et de ses élèves, se sont développées des techniques d’anticorrosion, fondées sur une meilleure connaissance des phénomènes physico- chimiques, qui ont permis de réduire considérablement les risques et, par voie de conséquence, l’importance économique des dommages constatés.
REFERENCE : COR 660 Date : Nouvembre 1981 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] [article] Protection des tuyauteries contre la corrosion [texte imprimé] / Leconte, Jacques, Auteur . - 2007 . - 22 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR1 (Trimestriel) . - 22 p.
Mots-clés : Contre la corrosion; Tuyauteries; Phosphatation; Potentiel d'électrolde; Inhibiteurs de corrosion Résumé :
La corrosion est un fléau technologique dont les ravages ont été particulièrement importants depuis l’utilisation massive des alliages de fer : on a estimé à 15 % de la production annuelle d’acier la perte subie chaque année de son fait.
Les tuyauteries, dont le matériau constitutif le plus répandu est l’acier non allié, sont particulièrement exposées à ce risque du fait, soit de leur environnement (comme pour les tuyauteries enterrées), soit de leur fonction (transport de fluides corrosifs). Parmi les conséquences qui peuvent être désastreuses, citons pour mémoire :
rupture de capacités sous pression ;
fuite de liquides corrosifs, dangereux ou polluants ;
contamination de fluides dans les industries alimentaires ou pharmaceutiques ;
arrêt prolongé d’unités importantes de production (énergie, pétrochimie, etc.).
Heureusement, depuis une cinquantaine d’années, et en particulier grâce aux travaux d’Evans et de ses élèves, se sont développées des techniques d’anticorrosion, fondées sur une meilleure connaissance des phénomènes physico- chimiques, qui ont permis de réduire considérablement les risques et, par voie de conséquence, l’importance économique des dommages constatés.
REFERENCE : COR 660 Date : Nouvembre 1981 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...]
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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