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Techniques de l'ingénieur COR / Blanc, André . Vol. COR2Corrosion VieillissementMention de date : Trimestriel Paru le : 16/04/2007 |
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Ajouter le résultat dans votre panierCorrosion des matériaux dans l'industrie pétrolière / Ropital, François in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 17 p.
Titre : Corrosion des matériaux dans l'industrie pétrolière Type de document : texte imprimé Auteurs : Ropital, François, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 17 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Corrosion Matériaux Industrie pétrolière Résumé : Les objectifs de l'industrie pétrolière sont d'extraire, transporter, raffiner des pétroles en très grandes quantités dans les conditions économiques les plus performantes et pour des conditions de sécurité et de fiabilité des équipements optimales. En 2008, 88,7 millions de barils de pétrole ont été raffinés par jour dans le monde. Le coût de la corrosion dans cette industrie correspond à environ 3,7 % du coût global de la corrosion. Pour l'industrie pétrolière mondiale, un coût de 35 milliards de dollars par an a été estimé du fait des impacts directs et indirects ainsi que du fait des mesures de contrôle et de prévention. Par baril de pétrole produit, ce coût de la corrosion est d'environ 0,3 à 0,6 $ par baril. Ces chiffres n'incluent pas les événements non prévus. Par exemple, en 2006 des fuites provoquées par une corrosion bactérienne furent à l'origine de l'arrêt pendant quelques jours de la production pétrolière de l'Alaska et de vives tensions sur le marché pétrolier. Les impacts environnementaux de tels accidents peuvent être également considérables.
L'industrie pétrolière est traditionnellement divisée en deux grands domaines: l'amont pétrolier (qui correspond aux opérations de forage, production puis transport du pétrole brut), l'aval pétrolier (où le pétrole est raffiné en kérosène, essence, gasoil, fiouls, naphta, composés de base de la chimie...). Cette industrie est également amenée à éliminer tout au long de sa chaîne les gaz acides (CO2 et/ou H2S) associés aux bruts.
Les différentes étapes de la production, du raffinage et du traitement des gaz acides sont réalisées sous certains environnements chimiques usuels (que l'on peut rencontrer pour d'autres industries) ou spécifiques. Par exemple en production offshore la corrosion marine est un paramètre important de sélection des matériaux. Cet aspect ne sera pas développé dans cet article, le lecteur étant invité à consulter les articles des Techniques de l'Ingénieur dédiés à ce milieu. Il en est de même pour l'oxydation à haute température.
En présence d'eau liquide, les gaz acides (CO2 et/ou H2S) peuvent fortement corroder les équipements de production pétrolière mais également en raffineries ainsi que dans les unités de traitement de ces gaz. Ces gaz acides sont éliminés par des procédés mettant en œuvre des solvants chimiques (à base d'amine) qui peuvent fortement attaquer certains aciers. Des bactéries présentes dans les effluents aqueux pétroliers peuvent être également responsables de phénomènes de corrosion très rapides (avec des vitesses pouvant atteindre 15 mm/an).
Les opérations de raffinage du pétrole font appel à des procédés dont les conditions opératoires peuvent être fortement corrosives du fait de la nature chimique des environnements ainsi que des pressions et températures élevées mises en jeu : des phénomènes de formation d'acide chlorhydrique par hydrolyse des sels, d'attaque par des acides carboxyliques (naphténiques) présents dans certains bruts, de corrosion haute température par les composés soufrés, par l'hydrogène ou par les atmosphères carbonées, y sont entre autre rencontrés.
De plus, les maintiens prolongés (souvent plus de 10 000 h) à haute température dans les conditions du raffinage peuvent être à l'origine du vieillissement des matériaux métalliques, les rendant plus sensibles à certaines formes de corrosion et affectant leurs propriétés mécaniques.
Afin d'assurer une fiabilité accrue de ses équipements, l'industrie pétrolière a développé et optimisé des méthodes de suivi, contrôle et management de la corrosion. Par exemple, pour contrôler les milliers de kilomètres de pipelines des réseaux de transport de gaz, pétrole ou produits raffinés, des racleurs instrumentés de plusieurs technologies de contrôle ont été mis au point. Également la planification des inspections fondée sur une approche par le risque (RBI : Risk Based Inspection) a été largement implantée afin d'accroître la fiabilité et d'optimiser le ratio coût-efficacité (et coût-sécurité) pour la surveillance des installations.REFERENCE : COR 750 DEWEY : 620.1 Date : Décembre 2010 En ligne : www.techniques-ingenieur.fr [article] Corrosion des matériaux dans l'industrie pétrolière [texte imprimé] / Ropital, François, Auteur . - 2007 . - 17 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 17 p.
Mots-clés : Corrosion Matériaux Industrie pétrolière Résumé : Les objectifs de l'industrie pétrolière sont d'extraire, transporter, raffiner des pétroles en très grandes quantités dans les conditions économiques les plus performantes et pour des conditions de sécurité et de fiabilité des équipements optimales. En 2008, 88,7 millions de barils de pétrole ont été raffinés par jour dans le monde. Le coût de la corrosion dans cette industrie correspond à environ 3,7 % du coût global de la corrosion. Pour l'industrie pétrolière mondiale, un coût de 35 milliards de dollars par an a été estimé du fait des impacts directs et indirects ainsi que du fait des mesures de contrôle et de prévention. Par baril de pétrole produit, ce coût de la corrosion est d'environ 0,3 à 0,6 $ par baril. Ces chiffres n'incluent pas les événements non prévus. Par exemple, en 2006 des fuites provoquées par une corrosion bactérienne furent à l'origine de l'arrêt pendant quelques jours de la production pétrolière de l'Alaska et de vives tensions sur le marché pétrolier. Les impacts environnementaux de tels accidents peuvent être également considérables.
L'industrie pétrolière est traditionnellement divisée en deux grands domaines: l'amont pétrolier (qui correspond aux opérations de forage, production puis transport du pétrole brut), l'aval pétrolier (où le pétrole est raffiné en kérosène, essence, gasoil, fiouls, naphta, composés de base de la chimie...). Cette industrie est également amenée à éliminer tout au long de sa chaîne les gaz acides (CO2 et/ou H2S) associés aux bruts.
Les différentes étapes de la production, du raffinage et du traitement des gaz acides sont réalisées sous certains environnements chimiques usuels (que l'on peut rencontrer pour d'autres industries) ou spécifiques. Par exemple en production offshore la corrosion marine est un paramètre important de sélection des matériaux. Cet aspect ne sera pas développé dans cet article, le lecteur étant invité à consulter les articles des Techniques de l'Ingénieur dédiés à ce milieu. Il en est de même pour l'oxydation à haute température.
En présence d'eau liquide, les gaz acides (CO2 et/ou H2S) peuvent fortement corroder les équipements de production pétrolière mais également en raffineries ainsi que dans les unités de traitement de ces gaz. Ces gaz acides sont éliminés par des procédés mettant en œuvre des solvants chimiques (à base d'amine) qui peuvent fortement attaquer certains aciers. Des bactéries présentes dans les effluents aqueux pétroliers peuvent être également responsables de phénomènes de corrosion très rapides (avec des vitesses pouvant atteindre 15 mm/an).
Les opérations de raffinage du pétrole font appel à des procédés dont les conditions opératoires peuvent être fortement corrosives du fait de la nature chimique des environnements ainsi que des pressions et températures élevées mises en jeu : des phénomènes de formation d'acide chlorhydrique par hydrolyse des sels, d'attaque par des acides carboxyliques (naphténiques) présents dans certains bruts, de corrosion haute température par les composés soufrés, par l'hydrogène ou par les atmosphères carbonées, y sont entre autre rencontrés.
De plus, les maintiens prolongés (souvent plus de 10 000 h) à haute température dans les conditions du raffinage peuvent être à l'origine du vieillissement des matériaux métalliques, les rendant plus sensibles à certaines formes de corrosion et affectant leurs propriétés mécaniques.
Afin d'assurer une fiabilité accrue de ses équipements, l'industrie pétrolière a développé et optimisé des méthodes de suivi, contrôle et management de la corrosion. Par exemple, pour contrôler les milliers de kilomètres de pipelines des réseaux de transport de gaz, pétrole ou produits raffinés, des racleurs instrumentés de plusieurs technologies de contrôle ont été mis au point. Également la planification des inspections fondée sur une approche par le risque (RBI : Risk Based Inspection) a été largement implantée afin d'accroître la fiabilité et d'optimiser le ratio coût-efficacité (et coût-sécurité) pour la surveillance des installations.REFERENCE : COR 750 DEWEY : 620.1 Date : Décembre 2010 En ligne : www.techniques-ingenieur.fr Corrosion des céramiques / Poirier, Jacques in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 20 p.
Titre : Corrosion des céramiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Poirier, Jacques, Auteur ; Lefort, Pierre, Auteur ; Valette, Stéphane, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 20 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Corrosion Céramique Résumé : La corrosion est l'altération d'un matériau causée par des interactions physico-chimiques avec son environnement. Il s'ensuit une dégradation de ses propriétés d'usage devant conduire, à terme, à son remplacement. La corrosion se distingue de l'usure, conséquence de sollicitations mécaniques, ainsi que du vieillissement qui est l'évolution spontanée des matériaux en l'absence d'intervention de facteurs externes, c'est-à-dire sous le seul effet du temps : réticulation de polymères, cristallisation de verres...
La corrosion est considérée comme la principale cause de destruction des appareillages et des installations. Son coût économique est considérable. Il a été estimé à plus de 2 % du produit mondial, soit plus de 1 000 milliards d'euros par an. En fait, l'essentiel de ces pertes est dû à la corrosion aqueuse des métaux et alliages, qui a fait l'objet de plusieurs dossiers Techniques de l'Ingénieur [K 830] [COR 15] : elle concerne notamment les réactions qui se produisent à température ambiante sous les effets conjugués de l'oxygène (de l'air) et de l'eau, éventuellement chargée de sels (milieux marins en particulier).
La plupart des céramiques sont très peu sensibles à la corrosion aqueuse, mais, tout comme les métaux placés à des températures d'usage élevées, les céramiques chauffées sont soumises à des dégradations chimiques causées par leur environnement, qui peuvent être importantes, voire rapidement catastrophiques. Concernant les métaux, la corrosion à température élevée par les gaz chauds (aussi appelée « corrosion sèche ») a fait l'objet de deux dossiers Techniques de l'Ingénieur [M 4 220] [M 4 228]. De façon analogue, l'objectif du présent dossier est de faire un point synthétique des connaissances sur le comportement des céramiques placées à haute température dans des milieux hostiles susceptibles de les dégrader. On entend par « environnements hostiles » d'une part, certains gaz chauds (très souvent l'oxygène de l'air) et d'autre part, des liquides : métaux, sels ou oxydes fondus. Le mode de dégradation diffère très sensiblement dans ces deux sortes de milieux, et cela justifie leur traitement séparé dans la suite de ce dossier.
De façon pratique, la corrosion des céramiques est un problème auquel sont confrontés de nombreux ingénieurs qui cherchent à fabriquer des produits à durée de vie la plus longue possible, et au meilleur coût. En production par exemple, la corrosion pèse sur les coûts au travers de la part «investissement» qui est l'une des composantes de leur prix de revient final : le coût des investissements répercuté sur le prix des productions est d'autant plus faible que la durée de vie du dispositif de production est plus longue. Cela conduit l'ingénieur à rechercher des matériaux ayant une sensibilité à la corrosion la plus faible possible. Pour les céramiques, l'échelle de temps est extrêmement large : la durée de vie d'un poussoir de tuyère de réacteur de fusée ou de missile s'évalue en minutes, tandis que celle des réfractaires en verrerie ou sidérurgie (hauts fourneaux) se mesure souvent en décennies.
Au vu de ces deux exemples, le lecteur peut imaginer la très grande variété des usages des matériaux céramiques concernés par la corrosion, et, naturellement, la très grande gamme de composition de ces solides (oxydes, carbures, nitrures, borures...), produits massifs ou revêtements.
Heureusement, la problématique se simplifie car, quelles que soient l'échelle du temps et la nature des matériaux céramiques, les mécanismes réactionnels de la corrosion sont relativement semblables et en nombre limité. L'ingénieur qui connaît bien ces mécanismes au plan théorique est donc à même de résoudre plus facilement les cas concrets qui se présentent à lui. C'est dans cette logique que l'on s'attache, dans la suite de ce dossier, à présenter les principaux concepts théoriques associés à la corrosion des céramiques, en les illustrant autant que possible d'exemples précis.
REFERENCE : COR 401 DEWEY : 620.1 Date : Juin 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-vi [...] [article] Corrosion des céramiques [texte imprimé] / Poirier, Jacques, Auteur ; Lefort, Pierre, Auteur ; Valette, Stéphane, Auteur . - 2007 . - 20 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 20 p.
Mots-clés : Corrosion Céramique Résumé : La corrosion est l'altération d'un matériau causée par des interactions physico-chimiques avec son environnement. Il s'ensuit une dégradation de ses propriétés d'usage devant conduire, à terme, à son remplacement. La corrosion se distingue de l'usure, conséquence de sollicitations mécaniques, ainsi que du vieillissement qui est l'évolution spontanée des matériaux en l'absence d'intervention de facteurs externes, c'est-à-dire sous le seul effet du temps : réticulation de polymères, cristallisation de verres...
La corrosion est considérée comme la principale cause de destruction des appareillages et des installations. Son coût économique est considérable. Il a été estimé à plus de 2 % du produit mondial, soit plus de 1 000 milliards d'euros par an. En fait, l'essentiel de ces pertes est dû à la corrosion aqueuse des métaux et alliages, qui a fait l'objet de plusieurs dossiers Techniques de l'Ingénieur [K 830] [COR 15] : elle concerne notamment les réactions qui se produisent à température ambiante sous les effets conjugués de l'oxygène (de l'air) et de l'eau, éventuellement chargée de sels (milieux marins en particulier).
La plupart des céramiques sont très peu sensibles à la corrosion aqueuse, mais, tout comme les métaux placés à des températures d'usage élevées, les céramiques chauffées sont soumises à des dégradations chimiques causées par leur environnement, qui peuvent être importantes, voire rapidement catastrophiques. Concernant les métaux, la corrosion à température élevée par les gaz chauds (aussi appelée « corrosion sèche ») a fait l'objet de deux dossiers Techniques de l'Ingénieur [M 4 220] [M 4 228]. De façon analogue, l'objectif du présent dossier est de faire un point synthétique des connaissances sur le comportement des céramiques placées à haute température dans des milieux hostiles susceptibles de les dégrader. On entend par « environnements hostiles » d'une part, certains gaz chauds (très souvent l'oxygène de l'air) et d'autre part, des liquides : métaux, sels ou oxydes fondus. Le mode de dégradation diffère très sensiblement dans ces deux sortes de milieux, et cela justifie leur traitement séparé dans la suite de ce dossier.
De façon pratique, la corrosion des céramiques est un problème auquel sont confrontés de nombreux ingénieurs qui cherchent à fabriquer des produits à durée de vie la plus longue possible, et au meilleur coût. En production par exemple, la corrosion pèse sur les coûts au travers de la part «investissement» qui est l'une des composantes de leur prix de revient final : le coût des investissements répercuté sur le prix des productions est d'autant plus faible que la durée de vie du dispositif de production est plus longue. Cela conduit l'ingénieur à rechercher des matériaux ayant une sensibilité à la corrosion la plus faible possible. Pour les céramiques, l'échelle de temps est extrêmement large : la durée de vie d'un poussoir de tuyère de réacteur de fusée ou de missile s'évalue en minutes, tandis que celle des réfractaires en verrerie ou sidérurgie (hauts fourneaux) se mesure souvent en décennies.
Au vu de ces deux exemples, le lecteur peut imaginer la très grande variété des usages des matériaux céramiques concernés par la corrosion, et, naturellement, la très grande gamme de composition de ces solides (oxydes, carbures, nitrures, borures...), produits massifs ou revêtements.
Heureusement, la problématique se simplifie car, quelles que soient l'échelle du temps et la nature des matériaux céramiques, les mécanismes réactionnels de la corrosion sont relativement semblables et en nombre limité. L'ingénieur qui connaît bien ces mécanismes au plan théorique est donc à même de résoudre plus facilement les cas concrets qui se présentent à lui. C'est dans cette logique que l'on s'attache, dans la suite de ce dossier, à présenter les principaux concepts théoriques associés à la corrosion des céramiques, en les illustrant autant que possible d'exemples précis.
REFERENCE : COR 401 DEWEY : 620.1 Date : Juin 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-vi [...] Propriétés du titane et de ses alliages / Combres, Yves in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 16 p.
Titre : Propriétés du titane et de ses alliages Type de document : texte imprimé Auteurs : Combres, Yves, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 16 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Titane Alliages Résumé : Ce n’est qu’en 1790 que l’élément titane (Ti dans la classification périodique des éléments) a été découvert par le moine anglais Gregor. Cependant, sa métallurgie extractive étant très difficile, il a fallu attendre les années 1940 pour que des solutions exploitables industriellement soient établies. La généralisation du procédé d’extraction du Ti pur par la méthode Kroll a permis un démarrage de l’industrie du titane vers 1950.
On peut schématiquement séparer les propriétés du titane et de ses alliages en deux classes :
celle conditionnée par la nature de sa surface : la résistance à la corrosion est en effet excellente et, associée à une bonne souplesse de mise en œuvre, elle permet une utilisation croissante dans l’industrie chimique notamment ;
celle des propriétés mécaniques qui sont élevées et d’un niveau comparable aux aciers ; comme la densité est en revanche plus faible, les alliages de titane sont des matériaux de choix dans l’aéronautique en particulier.
Ce sont ces deux classes qui vont induire les applications présentées au paragraphe 5.REFERENCE : M 4 780 Date : Mars 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/metaux-et-al [...] [article] Propriétés du titane et de ses alliages [texte imprimé] / Combres, Yves, Auteur . - 2007 . - 16 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 16 p.
Mots-clés : Titane Alliages Résumé : Ce n’est qu’en 1790 que l’élément titane (Ti dans la classification périodique des éléments) a été découvert par le moine anglais Gregor. Cependant, sa métallurgie extractive étant très difficile, il a fallu attendre les années 1940 pour que des solutions exploitables industriellement soient établies. La généralisation du procédé d’extraction du Ti pur par la méthode Kroll a permis un démarrage de l’industrie du titane vers 1950.
On peut schématiquement séparer les propriétés du titane et de ses alliages en deux classes :
celle conditionnée par la nature de sa surface : la résistance à la corrosion est en effet excellente et, associée à une bonne souplesse de mise en œuvre, elle permet une utilisation croissante dans l’industrie chimique notamment ;
celle des propriétés mécaniques qui sont élevées et d’un niveau comparable aux aciers ; comme la densité est en revanche plus faible, les alliages de titane sont des matériaux de choix dans l’aéronautique en particulier.
Ce sont ces deux classes qui vont induire les applications présentées au paragraphe 5.REFERENCE : M 4 780 Date : Mars 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/metaux-et-al [...] Aciers galvanisés: un traitement de surface pour l'anticorrosion / Néel, Ludovic in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 12 p.
Titre : Aciers galvanisés: un traitement de surface pour l'anticorrosion Type de document : texte imprimé Auteurs : Néel, Ludovic, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 12 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Acier Revêtement Galvanisation Résumé : La galvanisation à chaud des aciers représente un procédé industriel largement répandu qui trouve de nombreuses applications tout autour de nous. Il n'en demeure pas moins une méconnaissance de la technique et des propriétés de ce traitement de surface de nature métallique.
C'est pour combler en partie cette lacune que cet article a été rédigé. Il s'adresse à tous les utilisateurs et prescripteurs qui doivent résoudre des questions de tenue dans le temps de l'acier et combattre les phénomènes de corrosion notamment atmosphérique. Dans un contexte de longévité des ouvrages, de préservation de nos ressources naturelles, l'acier galvanisé est un choix privilégié et il est nécessaire de bien en connaître les caractéristiques.
Dans un premier temps, sont rappelés la structure métallique du revêtement obtenu par galvanisation à chaud et le procédé industriel classique permettant de le maîtriser. L'interaction et la réactivité entre le zinc fondu et l'acier sont des particularités ; des résultats de recherche sont mentionnés afin de donner des pistes de solutions en cours de développement.
La performance de tenue dans le temps, la longévité ou la durée de vie du revêtement sont les principales caractéristiques de ce traitement de surface. Il confère aux pièces en acier une durée de vie compatible avec les nouvelles exigences des maîtres d'ouvrages dans le bâtiment (lesquelles demandent au moins 30 ans d'exploitation sans entretien). Nous verrons comment la galvanisation au trempé répond à ces exigences nouvelles de la construction durable.
Au-delà des caractéristiques du revêtement métallique, le procédé industriel répond à des règles strictes, de façon à assurer une qualité constante des pièces galvanisées quelle que soit la nature des pièces traitées. Les efforts concernant la protection de l'environnement ont été considérables ces dernières années, ce qui a nécessité une gestion rigoureuse des effluents en passant par un recyclage total.
L'impact du zinc sur le milieu naturel a fait l'objet de nombreuses études. Cet aspect sera abordé de façon à dissiper tout malentendu sur la question et à rappeler les nouvelles notions établies par la communauté scientifique internationale.
Le zingage est un terme général qui désigne la réalisation, sur un substrat métallique tel que l'acier au carbone, d'un revêtement métallique à base de zinc à des fins de protection contre la corrosion ; on distingue ainsi :
la galvanisation à chaud au trempé, objet de cet article, qui consiste à immerger totalement la pièce en acier dans un bain de zinc fondu ;
la galvanisation à chaud en continu qui consiste à déposer sur un semi-produit une couche de zinc ou d'alliage de zinc ;
le zingage électrolytique qui est un dépôt de zinc obtenu par voie électrolytique, aussi appelé « électrozingage » ;
la métallisation qui consiste à projeter du zinc fondu à l'aide d'un pistolet ;
la shérardisation qui est un procédé thermochimique de diffusion de zinc à la surface de l'acier, en phase solide.
Pour plus d'informations sur le sujet, le lecteur pourra consulter l'article [M 1 600] Électrozingage des Techniques de l'Ingénieur.
REFERENCE : COR 380 Date : Juin 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/methodes-de- [...] [article] Aciers galvanisés: un traitement de surface pour l'anticorrosion [texte imprimé] / Néel, Ludovic, Auteur . - 2007 . - 12 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 12 p.
Mots-clés : Acier Revêtement Galvanisation Résumé : La galvanisation à chaud des aciers représente un procédé industriel largement répandu qui trouve de nombreuses applications tout autour de nous. Il n'en demeure pas moins une méconnaissance de la technique et des propriétés de ce traitement de surface de nature métallique.
C'est pour combler en partie cette lacune que cet article a été rédigé. Il s'adresse à tous les utilisateurs et prescripteurs qui doivent résoudre des questions de tenue dans le temps de l'acier et combattre les phénomènes de corrosion notamment atmosphérique. Dans un contexte de longévité des ouvrages, de préservation de nos ressources naturelles, l'acier galvanisé est un choix privilégié et il est nécessaire de bien en connaître les caractéristiques.
Dans un premier temps, sont rappelés la structure métallique du revêtement obtenu par galvanisation à chaud et le procédé industriel classique permettant de le maîtriser. L'interaction et la réactivité entre le zinc fondu et l'acier sont des particularités ; des résultats de recherche sont mentionnés afin de donner des pistes de solutions en cours de développement.
La performance de tenue dans le temps, la longévité ou la durée de vie du revêtement sont les principales caractéristiques de ce traitement de surface. Il confère aux pièces en acier une durée de vie compatible avec les nouvelles exigences des maîtres d'ouvrages dans le bâtiment (lesquelles demandent au moins 30 ans d'exploitation sans entretien). Nous verrons comment la galvanisation au trempé répond à ces exigences nouvelles de la construction durable.
Au-delà des caractéristiques du revêtement métallique, le procédé industriel répond à des règles strictes, de façon à assurer une qualité constante des pièces galvanisées quelle que soit la nature des pièces traitées. Les efforts concernant la protection de l'environnement ont été considérables ces dernières années, ce qui a nécessité une gestion rigoureuse des effluents en passant par un recyclage total.
L'impact du zinc sur le milieu naturel a fait l'objet de nombreuses études. Cet aspect sera abordé de façon à dissiper tout malentendu sur la question et à rappeler les nouvelles notions établies par la communauté scientifique internationale.
Le zingage est un terme général qui désigne la réalisation, sur un substrat métallique tel que l'acier au carbone, d'un revêtement métallique à base de zinc à des fins de protection contre la corrosion ; on distingue ainsi :
la galvanisation à chaud au trempé, objet de cet article, qui consiste à immerger totalement la pièce en acier dans un bain de zinc fondu ;
la galvanisation à chaud en continu qui consiste à déposer sur un semi-produit une couche de zinc ou d'alliage de zinc ;
le zingage électrolytique qui est un dépôt de zinc obtenu par voie électrolytique, aussi appelé « électrozingage » ;
la métallisation qui consiste à projeter du zinc fondu à l'aide d'un pistolet ;
la shérardisation qui est un procédé thermochimique de diffusion de zinc à la surface de l'acier, en phase solide.
Pour plus d'informations sur le sujet, le lecteur pourra consulter l'article [M 1 600] Électrozingage des Techniques de l'Ingénieur.
REFERENCE : COR 380 Date : Juin 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/methodes-de- [...] Corrosion du titane et de ses alliages / Yvon Millet in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 15 p.
Titre : Corrosion du titane et de ses alliages Type de document : texte imprimé Auteurs : Yvon Millet, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 15 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Transport, Génie chimique, énergie, Corrosion, Alliages métalliques Résumé : Le titane et ses alliages sont couramment utilisés pour leur bonne tenue en corrosion dans des milieux chlorurés, en particulier le milieu marin. Cet article présente les différents alliages et leurs comportements dans une grande variété de milieux acides, basiques, organiques. Les principes de la résistance à la tenue en corrosion sont donnés ainsi que les limites d’utilisation. REFERENCE : COR 320 Date : Décembre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] [article] Corrosion du titane et de ses alliages [texte imprimé] / Yvon Millet, Auteur . - 2007 . - 15 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 15 p.
Mots-clés : Transport, Génie chimique, énergie, Corrosion, Alliages métalliques Résumé : Le titane et ses alliages sont couramment utilisés pour leur bonne tenue en corrosion dans des milieux chlorurés, en particulier le milieu marin. Cet article présente les différents alliages et leurs comportements dans une grande variété de milieux acides, basiques, organiques. Les principes de la résistance à la tenue en corrosion sont donnés ainsi que les limites d’utilisation. REFERENCE : COR 320 Date : Décembre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] Corrosion par les gaz à haute température des métaux et alliages réfractaires / François Armanet in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 32 p.
Titre : Corrosion par les gaz à haute température des métaux et alliages réfractaires Type de document : texte imprimé Auteurs : François Armanet, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 32 p. Note générale : Bibliofr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Revêtement, Oxydation, Métaux et alliages réfractaires, Métaux refractaires exotiques, Croissance des oxydes, Atmosphères industrielles Résumé :
L’article passe en revue le comportement vis-à-vis de l’oxydation des principaux métaux et alliages réfractaires classiques (alliages base fer, base nickel, ternaires Ni-Cr-Al) ou dits « exotiques » comme le titane, le zirconium, le hafnium ou encore le niobium, le vanadium ou le tantale.
Les diverses méthodes de caractérisation et les types de dépôt et les procédés pour lutter contre la corrosion sont mentionnés.
REFERENCE : COR 378 Date : Décembre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] [article] Corrosion par les gaz à haute température des métaux et alliages réfractaires [texte imprimé] / François Armanet, Auteur . - 2007 . - 32 p.
Bibliofr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 32 p.
Mots-clés : Revêtement, Oxydation, Métaux et alliages réfractaires, Métaux refractaires exotiques, Croissance des oxydes, Atmosphères industrielles Résumé :
L’article passe en revue le comportement vis-à-vis de l’oxydation des principaux métaux et alliages réfractaires classiques (alliages base fer, base nickel, ternaires Ni-Cr-Al) ou dits « exotiques » comme le titane, le zirconium, le hafnium ou encore le niobium, le vanadium ou le tantale.
Les diverses méthodes de caractérisation et les types de dépôt et les procédés pour lutter contre la corrosion sont mentionnés.
REFERENCE : COR 378 Date : Décembre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] Corrosion des objets archéologiques ferreux / Dillmann, Philippe in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 24 p.
Titre : Corrosion des objets archéologiques ferreux Type de document : texte imprimé Auteurs : Dillmann, Philippe, Auteur ; D. Neff, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 24 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Nucléaire, Génie civil, Conservation des objets du patrimoine, Corrosion, Caractérisation matériaux Résumé : La corrosion des objets archéologiques ferreux doit être comprise et modélisée dans différents domaines (conservation, restauration et génie civil pour prévoir le comportement de matériaux métalliques sur le très long terme). Les alliages ferreux archéologiques sont principalement des aciers doux. Les milieux de corrosion sont variés (sols, atmosphère, milieux marins, mortiers…). Des techniques spécifiques d’étude doivent êtres adaptées à ces systèmes qui présentent des couches de corrosion très épaisses. Les vitesses sont contrôlées par la nature de ces couches (composition, structure et morphologie) et peuvent être, dans certains cas, très lentes (de l’ordre du µm/an). REFERENCE : COR 675V2 Date : Décembre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/la-science-a [...] [article] Corrosion des objets archéologiques ferreux [texte imprimé] / Dillmann, Philippe, Auteur ; D. Neff, Auteur . - 2007 . - 24 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 24 p.
Mots-clés : Nucléaire, Génie civil, Conservation des objets du patrimoine, Corrosion, Caractérisation matériaux Résumé : La corrosion des objets archéologiques ferreux doit être comprise et modélisée dans différents domaines (conservation, restauration et génie civil pour prévoir le comportement de matériaux métalliques sur le très long terme). Les alliages ferreux archéologiques sont principalement des aciers doux. Les milieux de corrosion sont variés (sols, atmosphère, milieux marins, mortiers…). Des techniques spécifiques d’étude doivent êtres adaptées à ces systèmes qui présentent des couches de corrosion très épaisses. Les vitesses sont contrôlées par la nature de ces couches (composition, structure et morphologie) et peuvent être, dans certains cas, très lentes (de l’ordre du µm/an). REFERENCE : COR 675V2 Date : Décembre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/la-science-a [...] Métaux et alliages passivables / Crolet, Jean-Louis in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 13 p.
Titre : Métaux et alliages passivables : Règles de choix et emplois types Type de document : texte imprimé Auteurs : Crolet, Jean-Louis, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 13 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Passivables; Métaux et alliages; Zirconium; Titane; Zirconium Résumé : Les désignations d'alliages sont exprimées, dans la mesure du possible, dans les termes prévus par les normes françaises. Lorsque cela est impossible ou inusité, il est parfois fait appel à certaines marques commerciales passées dans le langage commun. Au demeurant, même si ces marques ont toujours un propriétaire officiel, certaines ne correspondent plus à aucun produit précis. Ainsi même chez leur propriétaire, elles ne représentent plus qu'un radical identitaire couvrant tout un ensemble de produits dérivés de l'ancêtre commun, et fort heureusement considérablement améliorés par rapport à lui. Leur emploi présent servira donc de la même manière à désigner l'ensemble de la descendance actuelle de l'ancêtre de ce nom. REFERENCE : COR 310 Date : DECEMBRE 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] [article] Métaux et alliages passivables : Règles de choix et emplois types [texte imprimé] / Crolet, Jean-Louis, Auteur . - 2007 . - 13 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 13 p.
Mots-clés : Passivables; Métaux et alliages; Zirconium; Titane; Zirconium Résumé : Les désignations d'alliages sont exprimées, dans la mesure du possible, dans les termes prévus par les normes françaises. Lorsque cela est impossible ou inusité, il est parfois fait appel à certaines marques commerciales passées dans le langage commun. Au demeurant, même si ces marques ont toujours un propriétaire officiel, certaines ne correspondent plus à aucun produit précis. Ainsi même chez leur propriétaire, elles ne représentent plus qu'un radical identitaire couvrant tout un ensemble de produits dérivés de l'ancêtre commun, et fort heureusement considérablement améliorés par rapport à lui. Leur emploi présent servira donc de la même manière à désigner l'ensemble de la descendance actuelle de l'ancêtre de ce nom. REFERENCE : COR 310 Date : DECEMBRE 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] Corrosion du titane et de ses alliages / Yvon Millet in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 14 p.
Titre : Corrosion du titane et de ses alliages Type de document : texte imprimé Auteurs : Yvon Millet, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 14 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Transport; Génie chimique; énergie; Corrosion; alliages; métalliques Résumé : Le titane et ses alliages sont couramment utilisés pour leur bonne tenue en corrosion dans des milieux chlorurés, en particulier le milieu marin. Cet article présente les différents alliages et leurs comportements dans une grande variété de milieux acides, basiques, organiques. Les principes de la résistance à la tenue en corrosion sont donnés ainsi que les limites d’utilisation. REFERENCE : COR 320 Date : DECEMBRE 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] [article] Corrosion du titane et de ses alliages [texte imprimé] / Yvon Millet, Auteur . - 2007 . - 14 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 14 p.
Mots-clés : Transport; Génie chimique; énergie; Corrosion; alliages; métalliques Résumé : Le titane et ses alliages sont couramment utilisés pour leur bonne tenue en corrosion dans des milieux chlorurés, en particulier le milieu marin. Cet article présente les différents alliages et leurs comportements dans une grande variété de milieux acides, basiques, organiques. Les principes de la résistance à la tenue en corrosion sont donnés ainsi que les limites d’utilisation. REFERENCE : COR 320 Date : DECEMBRE 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] Propriétés du molybdène et des alliages à base de molybdène / Corinne Bourgès Monnier in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 12 p.
Titre : Propriétés du molybdène et des alliages à base de molybdène Type de document : texte imprimé Auteurs : Corinne Bourgès Monnier, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 12 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Molybdène; Alliage à base de molybdène; Métallurgie des poudres; Résumé :
Longtemps considéré comme métal rare, le molybdène n’a véritablement suscité un intérêt qu’au cours de la Première Guerre mondiale en tant que substitut du tungstène dans les aciers.
Ses applications et celles de ses alliages mettent à profit l’ensemble de ses propriétés telles que : haute température de fusion, grand module d’élasticité, résistance mécanique élevée à haute température, bonnes conductivités électrique et thermique, bon coefficients de dilatation et de frottement, excellente résistance à la corrosion dans de nombreux milieux.
Les principales industries utilisatrices de molybdène sont les industries électrique et électronique, l’industrie verrière, la construction de fours, l’industrie chimique, les revêtements par métallisation, les applications militaires...
REFERENCE : M 565 Date : JUIN 1998 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/metaux-et-al [...] [article] Propriétés du molybdène et des alliages à base de molybdène [texte imprimé] / Corinne Bourgès Monnier, Auteur . - 2007 . - 12 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 12 p.
Mots-clés : Molybdène; Alliage à base de molybdène; Métallurgie des poudres; Résumé :
Longtemps considéré comme métal rare, le molybdène n’a véritablement suscité un intérêt qu’au cours de la Première Guerre mondiale en tant que substitut du tungstène dans les aciers.
Ses applications et celles de ses alliages mettent à profit l’ensemble de ses propriétés telles que : haute température de fusion, grand module d’élasticité, résistance mécanique élevée à haute température, bonnes conductivités électrique et thermique, bon coefficients de dilatation et de frottement, excellente résistance à la corrosion dans de nombreux milieux.
Les principales industries utilisatrices de molybdène sont les industries électrique et électronique, l’industrie verrière, la construction de fours, l’industrie chimique, les revêtements par métallisation, les applications militaires...
REFERENCE : M 565 Date : JUIN 1998 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/metaux-et-al [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 31 p.
Titre : Aciers inoxydables : Propriétés. Résistance à la corrosion - Propriétés. Résistance à la corrosion Type de document : texte imprimé Auteurs : Cunat, Pierre-Jean, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 31 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Aciers inoxydables; Résistance à la corrosion; Corrosion localisée; Martensitiques; Ferritiques; Corrosion à haute température Résumé : Les aciers inoxydables présentent, suivant leur teneur en chrome, dont le seuil minimal est de 10,5 %, et les traitements métallurgiques subis, un large éventail de propriétés chimiques, physiques et mécaniques.
Le phénomène de passivité de ces aciers présente une grande importance dans la mesure où il constitue la base du mécanisme de leur résistance à la corrosion.
L’étude complète du sujet comprend les articles :
M 4 540-Aciers inoxydables. Critères de choix et structure ;
M 4 541-Aciers inoxydables. Propriétés. Résistance à la corrosion (le présent article) ;
M 4 542-Aciers inoxydables. Mise en œuvre ;
M 4 543-Aciers inoxydables. Fabrication ;
Doc. M 4 544-Aciers inoxydables.
REFERENCE : M 4 541 Date : JUIN 2000 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/aciers-inoxy [...] [article] Aciers inoxydables : Propriétés. Résistance à la corrosion - Propriétés. Résistance à la corrosion [texte imprimé] / Cunat, Pierre-Jean, Auteur . - 2007 . - 31 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 31 p.
Mots-clés : Aciers inoxydables; Résistance à la corrosion; Corrosion localisée; Martensitiques; Ferritiques; Corrosion à haute température Résumé : Les aciers inoxydables présentent, suivant leur teneur en chrome, dont le seuil minimal est de 10,5 %, et les traitements métallurgiques subis, un large éventail de propriétés chimiques, physiques et mécaniques.
Le phénomène de passivité de ces aciers présente une grande importance dans la mesure où il constitue la base du mécanisme de leur résistance à la corrosion.
L’étude complète du sujet comprend les articles :
M 4 540-Aciers inoxydables. Critères de choix et structure ;
M 4 541-Aciers inoxydables. Propriétés. Résistance à la corrosion (le présent article) ;
M 4 542-Aciers inoxydables. Mise en œuvre ;
M 4 543-Aciers inoxydables. Fabrication ;
Doc. M 4 544-Aciers inoxydables.
REFERENCE : M 4 541 Date : JUIN 2000 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/aciers-inoxy [...] Propriétés du titane et de ses alliages / Combres, Yves in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 16 p.
Titre : Propriétés du titane et de ses alliages Type de document : texte imprimé Auteurs : Combres, Yves, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 16 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Titane; Alliages; Alimentaire et pharmaceutique; Soudage Résumé : Ce n’est qu’en 1790 que l’élément titane (Ti dans la classification périodique des éléments) a été découvert par le moine anglais Gregor. Cependant, sa métallurgie extractive étant très difficile, il a fallu attendre les années 1940 pour que des solutions exploitables industriellement soient établies. La généralisation du procédé d’extraction du Ti pur par la méthode Kroll a permis un démarrage de l’industrie du titane vers 1950.
On peut schématiquement séparer les propriétés du titane et de ses alliages en deux classes :
celle conditionnée par la nature de sa surface : la résistance à la corrosion est en effet excellente et, associée à une bonne souplesse de mise en œuvre, elle permet une utilisation croissante dans l’industrie chimique notamment ;
celle des propriétés mécaniques qui sont élevées et d’un niveau comparable aux aciers ; comme la densité est en revanche plus faible, les alliages de titane sont des matériaux de choix dans l’aéronautique en particulier.
Ce sont ces deux classes qui vont induire les applications présentées au paragraphe 5.REFERENCE : M 4 780 Date : MARS 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/metaux-et-al [...] [article] Propriétés du titane et de ses alliages [texte imprimé] / Combres, Yves, Auteur . - 2007 . - 16 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 16 p.
Mots-clés : Titane; Alliages; Alimentaire et pharmaceutique; Soudage Résumé : Ce n’est qu’en 1790 que l’élément titane (Ti dans la classification périodique des éléments) a été découvert par le moine anglais Gregor. Cependant, sa métallurgie extractive étant très difficile, il a fallu attendre les années 1940 pour que des solutions exploitables industriellement soient établies. La généralisation du procédé d’extraction du Ti pur par la méthode Kroll a permis un démarrage de l’industrie du titane vers 1950.
On peut schématiquement séparer les propriétés du titane et de ses alliages en deux classes :
celle conditionnée par la nature de sa surface : la résistance à la corrosion est en effet excellente et, associée à une bonne souplesse de mise en œuvre, elle permet une utilisation croissante dans l’industrie chimique notamment ;
celle des propriétés mécaniques qui sont élevées et d’un niveau comparable aux aciers ; comme la densité est en revanche plus faible, les alliages de titane sont des matériaux de choix dans l’aéronautique en particulier.
Ce sont ces deux classes qui vont induire les applications présentées au paragraphe 5.REFERENCE : M 4 780 Date : MARS 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/metaux-et-al [...] Corrosion des alliages d’aluminium / Aucher, Max in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 18 p.
Titre : Corrosion des alliages d’aluminium Type de document : texte imprimé Auteurs : Aucher, Max, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 18 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Alliages d'aluminium; Corrosion; Corrosion caverneuse; Corrosion galvanique; Courbes de polarisation Résumé : La production mondiale d’aluminium est de l’ordre de 20 Mt/an ; c’est le second métal le plus utilisé après l’acier. La production mondiale annuelle d’acier est de l’ordre de 800 Mt/an, mais il n’est pas très judicieux de comparer des tonnes d’aluminium avec des tonnes d’acier car les masses volumiques sont très différentes et parce que les matériaux métalliques sont le plus souvent utilisés sous la forme de produits minces tôles ou profilés plutôt que sous forme massive. De ce fait, il faudrait comparer des surfaces ou des volumes donc pour avoir des chiffres comparables plus représentatifs, on peut prendre 100 pour l’acier et 7,5 ou 10 pour l’aluminium. Ces chiffres confirment que l’acier est le métal le plus utilisé, cela provient du fait que les caractéristiques mécaniques de l’acier sont plus élevées que celles de l’aluminium et que l’acier coûte moins cher. De ce fait l’aluminium n’est préféré que lorsqu’on a besoin des caractéristiques particulières de ce métal REFERENCE : COR 325 Date : JUIN 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] [article] Corrosion des alliages d’aluminium [texte imprimé] / Aucher, Max, Auteur . - 2007 . - 18 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 18 p.
Mots-clés : Alliages d'aluminium; Corrosion; Corrosion caverneuse; Corrosion galvanique; Courbes de polarisation Résumé : La production mondiale d’aluminium est de l’ordre de 20 Mt/an ; c’est le second métal le plus utilisé après l’acier. La production mondiale annuelle d’acier est de l’ordre de 800 Mt/an, mais il n’est pas très judicieux de comparer des tonnes d’aluminium avec des tonnes d’acier car les masses volumiques sont très différentes et parce que les matériaux métalliques sont le plus souvent utilisés sous la forme de produits minces tôles ou profilés plutôt que sous forme massive. De ce fait, il faudrait comparer des surfaces ou des volumes donc pour avoir des chiffres comparables plus représentatifs, on peut prendre 100 pour l’acier et 7,5 ou 10 pour l’aluminium. Ces chiffres confirment que l’acier est le métal le plus utilisé, cela provient du fait que les caractéristiques mécaniques de l’acier sont plus élevées que celles de l’aluminium et que l’acier coûte moins cher. De ce fait l’aluminium n’est préféré que lorsqu’on a besoin des caractéristiques particulières de ce métal REFERENCE : COR 325 Date : JUIN 2005 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] Propriétés du zirconium et du hafnium / Daniel Charquet in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 6
Titre : Propriétés du zirconium et du hafnium Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Charquet, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 6 Langues : Français (fre) Mots-clés : Propriétés du zirconium; Hafnium; Soudage; Usinage; Corrosion Résumé : Les capacités en hafnium sont très limitées et dépendent de celles du zirconium puisque les seules sources de hafnium sont les minerais de zirconium qui n’en contiennent que 2 à 4 %. Ces métaux développés initialement pour des applications uniquement nucléaires voient leur champ d’application s’élargir du fait d’une excellente résistance à la corrosion dans de nombreux milieux agressifs. REFERENCE : COR 360 Date : OCTOBRE 1985 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] [article] Propriétés du zirconium et du hafnium [texte imprimé] / Daniel Charquet, Auteur . - 2007 . - 6.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 6
Mots-clés : Propriétés du zirconium; Hafnium; Soudage; Usinage; Corrosion Résumé : Les capacités en hafnium sont très limitées et dépendent de celles du zirconium puisque les seules sources de hafnium sont les minerais de zirconium qui n’en contiennent que 2 à 4 %. Ces métaux développés initialement pour des applications uniquement nucléaires voient leur champ d’application s’élargir du fait d’une excellente résistance à la corrosion dans de nombreux milieux agressifs. REFERENCE : COR 360 Date : OCTOBRE 1985 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] Corrosion par les gaz à haute température des métaux et alliages réfractaires / François Armanet in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 32 p.
Titre : Corrosion par les gaz à haute température des métaux et alliages réfractaires Type de document : texte imprimé Auteurs : François Armanet, Auteur ; Gérard Béranger, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 32 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Revêtement; Oxydation; Métaux et alliages réfractaires; Métaux refractaires exotiques; Croissance des oxydes; Atmosphères industrielles Résumé :
L’article passe en revue le comportement vis-à-vis de l’oxydation des principaux métaux et alliages réfractaires classiques (alliages base fer, base nickel, ternaires Ni-Cr-Al) ou dits « exotiques » comme le titane, le zirconium, le hafnium ou encore le niobium, le vanadium ou le tantale.
Les diverses méthodes de caractérisation et les types de dépôt et les procédés pour lutter contre la corrosion sont mentionnés.
REFERENCE : COR 378 Date : DECEMBRE 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] [article] Corrosion par les gaz à haute température des métaux et alliages réfractaires [texte imprimé] / François Armanet, Auteur ; Gérard Béranger, Auteur . - 2007 . - 32 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 32 p.
Mots-clés : Revêtement; Oxydation; Métaux et alliages réfractaires; Métaux refractaires exotiques; Croissance des oxydes; Atmosphères industrielles Résumé :
L’article passe en revue le comportement vis-à-vis de l’oxydation des principaux métaux et alliages réfractaires classiques (alliages base fer, base nickel, ternaires Ni-Cr-Al) ou dits « exotiques » comme le titane, le zirconium, le hafnium ou encore le niobium, le vanadium ou le tantale.
Les diverses méthodes de caractérisation et les types de dépôt et les procédés pour lutter contre la corrosion sont mentionnés.
REFERENCE : COR 378 Date : DECEMBRE 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] Aciers galvanisés : un traitement de surface pour l'anticorrosion / Néel, Ludovic in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 12 p.
Titre : Aciers galvanisés : un traitement de surface pour l'anticorrosion Type de document : texte imprimé Auteurs : Néel, Ludovic, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 12 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Galvanisés; Anticorrosion; Contrôle des bains; Écotoxicologie; Dégraissage chimique Résumé : La galvanisation à chaud des aciers représente un procédé industriel largement répandu qui trouve de nombreuses applications tout autour de nous. Il n'en demeure pas moins une méconnaissance de la technique et des propriétés de ce traitement de surface de nature métallique.
C'est pour combler en partie cette lacune que cet article a été rédigé. Il s'adresse à tous les utilisateurs et prescripteurs qui doivent résoudre des questions de tenue dans le temps de l'acier et combattre les phénomènes de corrosion notamment atmosphérique. Dans un contexte de longévité des ouvrages, de préservation de nos ressources naturelles, l'acier galvanisé est un choix privilégié et il est nécessaire de bien en connaître les caractéristiques.
Dans un premier temps, sont rappelés la structure métallique du revêtement obtenu par galvanisation à chaud et le procédé industriel classique permettant de le maîtriser. L'interaction et la réactivité entre le zinc fondu et l'acier sont des particularités ; des résultats de recherche sont mentionnés afin de donner des pistes de solutions en cours de développement.
La performance de tenue dans le temps, la longévité ou la durée de vie du revêtement sont les principales caractéristiques de ce traitement de surface. Il confère aux pièces en acier une durée de vie compatible avec les nouvelles exigences des maîtres d'ouvrages dans le bâtiment (lesquelles demandent au moins 30 ans d'exploitation sans entretien). Nous verrons comment la galvanisation au trempé répond à ces exigences nouvelles de la construction durable.REFERENCE : COR 380 Date : JUIN 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/methodes-de- [...] [article] Aciers galvanisés : un traitement de surface pour l'anticorrosion [texte imprimé] / Néel, Ludovic, Auteur . - 2007 . - 12 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 12 p.
Mots-clés : Galvanisés; Anticorrosion; Contrôle des bains; Écotoxicologie; Dégraissage chimique Résumé : La galvanisation à chaud des aciers représente un procédé industriel largement répandu qui trouve de nombreuses applications tout autour de nous. Il n'en demeure pas moins une méconnaissance de la technique et des propriétés de ce traitement de surface de nature métallique.
C'est pour combler en partie cette lacune que cet article a été rédigé. Il s'adresse à tous les utilisateurs et prescripteurs qui doivent résoudre des questions de tenue dans le temps de l'acier et combattre les phénomènes de corrosion notamment atmosphérique. Dans un contexte de longévité des ouvrages, de préservation de nos ressources naturelles, l'acier galvanisé est un choix privilégié et il est nécessaire de bien en connaître les caractéristiques.
Dans un premier temps, sont rappelés la structure métallique du revêtement obtenu par galvanisation à chaud et le procédé industriel classique permettant de le maîtriser. L'interaction et la réactivité entre le zinc fondu et l'acier sont des particularités ; des résultats de recherche sont mentionnés afin de donner des pistes de solutions en cours de développement.
La performance de tenue dans le temps, la longévité ou la durée de vie du revêtement sont les principales caractéristiques de ce traitement de surface. Il confère aux pièces en acier une durée de vie compatible avec les nouvelles exigences des maîtres d'ouvrages dans le bâtiment (lesquelles demandent au moins 30 ans d'exploitation sans entretien). Nous verrons comment la galvanisation au trempé répond à ces exigences nouvelles de la construction durable.REFERENCE : COR 380 Date : JUIN 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/methodes-de- [...] Corrosion des céramiques / Poirier, Jacques in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 19 p.
Titre : Corrosion des céramiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Poirier, Jacques, Auteur ; Lefort, Pierre, Auteur ; Valette, Stéphane, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 19 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Corrosion des céramiques; Méthodologie; Dégradations thermomécaniques; Mécanisme de transport; Gazeux hostile Résumé :
La corrosion est l'altération d'un matériau causée par des interactions physico-chimiques avec son environnement. Il s'ensuit une dégradation de ses propriétés d'usage devant conduire, à terme, à son remplacement. La corrosion se distingue de l'usure, conséquence de sollicitations mécaniques, ainsi que du vieillissement qui est l'évolution spontanée des matériaux en l'absence d'intervention de facteurs externes, c'est-à-dire sous le seul effet du temps : réticulation de polymères, cristallisation de verres...
La corrosion est considérée comme la principale cause de destruction des appareillages et des installations. Son coût économique est considérable. Il a été estimé à plus de 2 % du produit mondial, soit plus de 1 000 milliards d'euros par an. En fait, l'essentiel de ces pertes est dû à la corrosion aqueuse des métaux et alliages, qui a fait l'objet de plusieurs dossiers Techniques de l'Ingénieur [K 830] [COR 15] : elle concerne notamment les réactions qui se produisent à température ambiante sous les effets conjugués de l'oxygène (de l'air) et de l'eau, éventuellement chargée de sels (milieux marins en particulier).
La plupart des céramiques sont très peu sensibles à la corrosion aqueuse, mais, tout comme les métaux placés à des températures d'usage élevées, les céramiques chauffées sont soumises à des dégradations chimiques causées par leur environnement, qui peuvent être importantes, voire rapidement catastrophiques. Concernant les métaux, la corrosion à température élevée par les gaz chauds (aussi appelée « corrosion sèche ») a fait l'objet de deux dossiers Techniques de l'Ingénieur [M 4 220] [M 4 228]. De façon analogue, l'objectif du présent dossier est de faire un point synthétique des connaissances sur le comportement des céramiques placées à haute température dans des milieux hostiles susceptibles de les dégrader. On entend par « environnements hostiles » d'une part, certains gaz chauds (très souvent l'oxygène de l'air) et d'autre part, des liquides : métaux, sels ou oxydes fondus. Le mode de dégradation diffère très sensiblement dans ces deux sortes de milieux, et cela justifie leur traitement séparé dans la suite de ce dossier.
De façon pratique, la corrosion des céramiques est un problème auquel sont confrontés de nombreux ingénieurs qui cherchent à fabriquer des produits à durée de vie la plus longue possible, et au meilleur coût. En production par exemple, la corrosion pèse sur les coûts au travers de la part «investissement» qui est l'une des composantes de leur prix de revient final : le coût des investissements répercuté sur le prix des productions est d'autant plus faible que la durée de vie du dispositif de production est plus longue. Cela conduit l'ingénieur à rechercher des matériaux ayant une sensibilité à la corrosion la plus faible possible. Pour les céramiques, l'échelle de temps est extrêmement large : la durée de vie d'un poussoir de tuyère de réacteur de fusée ou de missile s'évalue en minutes, tandis que celle des réfractaires en verrerie ou sidérurgie (hauts fourneaux) se mesure souvent en décennies.
Au vu de ces deux exemples, le lecteur peut imaginer la très grande variété des usages des matériaux céramiques concernés par la corrosion, et, naturellement, la très grande gamme de composition de ces solides (oxydes, carbures, nitrures, borures...), produits massifs ou revêtements.
Heureusement, la problématique se simplifie car, quelles que soient l'échelle du temps et la nature des matériaux céramiques, les mécanismes réactionnels de la corrosion sont relativement semblables et en nombre limité. L'ingénieur qui connaît bien ces mécanismes au plan théorique est donc à même de résoudre plus facilement les cas concrets qui se présentent à lui. C'est dans cette logique que l'on s'attache, dans la suite de ce dossier, à présenter les principaux concepts théoriques associés à la corrosion des céramiques, en les illustrant autant que possible d'exemples précis.
REFERENCE : COR 401 Date : JUIN 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/ceramiques-i [...] [article] Corrosion des céramiques [texte imprimé] / Poirier, Jacques, Auteur ; Lefort, Pierre, Auteur ; Valette, Stéphane, Auteur . - 2007 . - 19 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 19 p.
Mots-clés : Corrosion des céramiques; Méthodologie; Dégradations thermomécaniques; Mécanisme de transport; Gazeux hostile Résumé :
La corrosion est l'altération d'un matériau causée par des interactions physico-chimiques avec son environnement. Il s'ensuit une dégradation de ses propriétés d'usage devant conduire, à terme, à son remplacement. La corrosion se distingue de l'usure, conséquence de sollicitations mécaniques, ainsi que du vieillissement qui est l'évolution spontanée des matériaux en l'absence d'intervention de facteurs externes, c'est-à-dire sous le seul effet du temps : réticulation de polymères, cristallisation de verres...
La corrosion est considérée comme la principale cause de destruction des appareillages et des installations. Son coût économique est considérable. Il a été estimé à plus de 2 % du produit mondial, soit plus de 1 000 milliards d'euros par an. En fait, l'essentiel de ces pertes est dû à la corrosion aqueuse des métaux et alliages, qui a fait l'objet de plusieurs dossiers Techniques de l'Ingénieur [K 830] [COR 15] : elle concerne notamment les réactions qui se produisent à température ambiante sous les effets conjugués de l'oxygène (de l'air) et de l'eau, éventuellement chargée de sels (milieux marins en particulier).
La plupart des céramiques sont très peu sensibles à la corrosion aqueuse, mais, tout comme les métaux placés à des températures d'usage élevées, les céramiques chauffées sont soumises à des dégradations chimiques causées par leur environnement, qui peuvent être importantes, voire rapidement catastrophiques. Concernant les métaux, la corrosion à température élevée par les gaz chauds (aussi appelée « corrosion sèche ») a fait l'objet de deux dossiers Techniques de l'Ingénieur [M 4 220] [M 4 228]. De façon analogue, l'objectif du présent dossier est de faire un point synthétique des connaissances sur le comportement des céramiques placées à haute température dans des milieux hostiles susceptibles de les dégrader. On entend par « environnements hostiles » d'une part, certains gaz chauds (très souvent l'oxygène de l'air) et d'autre part, des liquides : métaux, sels ou oxydes fondus. Le mode de dégradation diffère très sensiblement dans ces deux sortes de milieux, et cela justifie leur traitement séparé dans la suite de ce dossier.
De façon pratique, la corrosion des céramiques est un problème auquel sont confrontés de nombreux ingénieurs qui cherchent à fabriquer des produits à durée de vie la plus longue possible, et au meilleur coût. En production par exemple, la corrosion pèse sur les coûts au travers de la part «investissement» qui est l'une des composantes de leur prix de revient final : le coût des investissements répercuté sur le prix des productions est d'autant plus faible que la durée de vie du dispositif de production est plus longue. Cela conduit l'ingénieur à rechercher des matériaux ayant une sensibilité à la corrosion la plus faible possible. Pour les céramiques, l'échelle de temps est extrêmement large : la durée de vie d'un poussoir de tuyère de réacteur de fusée ou de missile s'évalue en minutes, tandis que celle des réfractaires en verrerie ou sidérurgie (hauts fourneaux) se mesure souvent en décennies.
Au vu de ces deux exemples, le lecteur peut imaginer la très grande variété des usages des matériaux céramiques concernés par la corrosion, et, naturellement, la très grande gamme de composition de ces solides (oxydes, carbures, nitrures, borures...), produits massifs ou revêtements.
Heureusement, la problématique se simplifie car, quelles que soient l'échelle du temps et la nature des matériaux céramiques, les mécanismes réactionnels de la corrosion sont relativement semblables et en nombre limité. L'ingénieur qui connaît bien ces mécanismes au plan théorique est donc à même de résoudre plus facilement les cas concrets qui se présentent à lui. C'est dans cette logique que l'on s'attache, dans la suite de ce dossier, à présenter les principaux concepts théoriques associés à la corrosion des céramiques, en les illustrant autant que possible d'exemples précis.
REFERENCE : COR 401 Date : JUIN 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/ceramiques-i [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 18 p.
Titre : Pierres de construction : Natures et mécanismes d'altération Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Martinet, Auteur ; Bernard Quénée, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 18 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Pierres de construction; Mécanismes d'altération; Roche granitique; Roche gréseuses; Roche carbonatées; Biodétériorations Résumé : C'est écrit dans la pierre... Cette expression dit à elle seule combien, dans l'imaginaire, la pierre est un matériau durable par excellence. Sa dureté, sa résistance viennent apporter, aux écrits, aux lois, aux pensées humaines, le petit morceau d'éternité dont ils ont besoin. Matériau durable, la pierre l'est certainement. La pierre d'œuvre, paradoxalement, n'est pas fournie par la nature. Elle est extraite et façonnée de main d'homme à partir de la roche.
L'extraction de la roche de son milieu d'origine la soumet à une décompression générale, à un changement d'humidité, de température, d'équilibre chimique. Le matériau pierre connaît alors une modification de sa structure, parfois impossible à déceler à l'œil nu, qui la fragilise. Ensuite, le façonnage de la pierre multiplie sa surface de contact avec les agents extérieurs, contact qui contribue à l'accélération de son évolution.REFERENCE : COR 402 Date : JUIN 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] [article] Pierres de construction : Natures et mécanismes d'altération [texte imprimé] / Gilles Martinet, Auteur ; Bernard Quénée, Auteur . - 2007 . - 18 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 18 p.
Mots-clés : Pierres de construction; Mécanismes d'altération; Roche granitique; Roche gréseuses; Roche carbonatées; Biodétériorations Résumé : C'est écrit dans la pierre... Cette expression dit à elle seule combien, dans l'imaginaire, la pierre est un matériau durable par excellence. Sa dureté, sa résistance viennent apporter, aux écrits, aux lois, aux pensées humaines, le petit morceau d'éternité dont ils ont besoin. Matériau durable, la pierre l'est certainement. La pierre d'œuvre, paradoxalement, n'est pas fournie par la nature. Elle est extraite et façonnée de main d'homme à partir de la roche.
L'extraction de la roche de son milieu d'origine la soumet à une décompression générale, à un changement d'humidité, de température, d'équilibre chimique. Le matériau pierre connaît alors une modification de sa structure, parfois impossible à déceler à l'œil nu, qui la fragilise. Ensuite, le façonnage de la pierre multiplie sa surface de contact avec les agents extérieurs, contact qui contribue à l'accélération de son évolution.REFERENCE : COR 402 Date : JUIN 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 12 p.
Titre : Pierres de construction : Utilisation, études et diagnostics Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Martinet, Auteur ; Bernard Quénée, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 12 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Pierres de construction; Pierres en oeuvre; Phase chantier; Antiques de saint-rémy de provence; Amphithéâtre de cimiez à nice Résumé :
En lien étroit avec le document Pierres de construction- Natures et mécanismes d'altérationPierres de construction- Natures et mécanismes d'altération[COR 402] : « Pierres de construction – Natures et mécanismes d'altération », ce dossier, après avoir succinctement présenté la pierre et son utilisation dans le bâti, expose l'intérêt et l'utilité des méthodes d'études et de diagnostic aujourd'hui utilisées afin de proposer des travaux de conservation et de restauration adaptés aux problématiques rencontrées. L'utilisation de ces résultats scientifiques dans le cadre de chantiers est, par la suite, illustrée par une série d'exemples concernant le patrimoine bâti antique du Sud de la France.
Le développement de la construction moderne en pierre, et la préservation et la sauvegarde du patrimoine bâti sont, en effet, une préoccupation majeure de la filière concernée.
Face aux problèmes et aux désordres répertoriés, le présent article a pour objet de proposer, en s'appuyant sur plusieurs types d'études, des démarches générales d'intervention. La stratégie d'investigation, allant de l'examen général des structures jusqu'à l'échelle du matériau, s'appuie sur l'utilisation raisonnée d'essais normalisés ou non, destructifs ou non.
Face aux nombreux cas d'études et à leurs objectifs variés, les essais normalisés sont en effet des outils susceptibles d'apporter des renseignements précis pour la connaissance du matériau, afin, par exemple, de réaliser le diagnostic de l'état de conservation des maçonneries, de rechercher les causes des manifestations pathologiques, ou encore d'identifier les différents faciès de pierre présents sur un édifice.
REFERENCE : COR 404 Date : JUIN 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] [article] Pierres de construction : Utilisation, études et diagnostics [texte imprimé] / Gilles Martinet, Auteur ; Bernard Quénée, Auteur . - 2007 . - 12 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 12 p.
Mots-clés : Pierres de construction; Pierres en oeuvre; Phase chantier; Antiques de saint-rémy de provence; Amphithéâtre de cimiez à nice Résumé :
En lien étroit avec le document Pierres de construction- Natures et mécanismes d'altérationPierres de construction- Natures et mécanismes d'altération[COR 402] : « Pierres de construction – Natures et mécanismes d'altération », ce dossier, après avoir succinctement présenté la pierre et son utilisation dans le bâti, expose l'intérêt et l'utilité des méthodes d'études et de diagnostic aujourd'hui utilisées afin de proposer des travaux de conservation et de restauration adaptés aux problématiques rencontrées. L'utilisation de ces résultats scientifiques dans le cadre de chantiers est, par la suite, illustrée par une série d'exemples concernant le patrimoine bâti antique du Sud de la France.
Le développement de la construction moderne en pierre, et la préservation et la sauvegarde du patrimoine bâti sont, en effet, une préoccupation majeure de la filière concernée.
Face aux problèmes et aux désordres répertoriés, le présent article a pour objet de proposer, en s'appuyant sur plusieurs types d'études, des démarches générales d'intervention. La stratégie d'investigation, allant de l'examen général des structures jusqu'à l'échelle du matériau, s'appuie sur l'utilisation raisonnée d'essais normalisés ou non, destructifs ou non.
Face aux nombreux cas d'études et à leurs objectifs variés, les essais normalisés sont en effet des outils susceptibles d'apporter des renseignements précis pour la connaissance du matériau, afin, par exemple, de réaliser le diagnostic de l'état de conservation des maçonneries, de rechercher les causes des manifestations pathologiques, ou encore d'identifier les différents faciès de pierre présents sur un édifice.
REFERENCE : COR 404 Date : JUIN 2008 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...]
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 15 p.
Titre : Corrosion des armatures dans les bétons : Mécanisme Type de document : texte imprimé Année de publication : 2007 Article en page(s) : 15 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Corrosion des armatures; Béton armé; Composition et structure du béton; Amorcage de la corrosion; Comportement électrochimique des armatures Résumé : Les structures et ouvrages en béton armé sont soumis, dès leur plus jeune âge, à des contraintes d'ordre mécanique (charges, sollicitations diverses externes ou internes, dont le vent, les variations de température, etc.) ou environnementales (atmosphère, eau de mer, etc.).
Leur comportement vis-à-vis de la durabilité est essentiellement lié au comportement particulier du matériau béton. En effet, celui-ci réagit sans cesse avec l'environnement : échanges hydriques, réactions chimiques, action du gaz carbonique (vieillissement naturel). Des désordres peuvent alors survenir.
Les phénomènes de corrosion des armatures sont les plus fréquents d'entre eux et sont susceptibles de nécessiter des réparations importantes donc coûteuses.
La prévention devient alors essentielle. La bonne compréhension des mécanismes est nécessaire afin de mieux maintenir, diagnostiquer et réparer ces désordres.REFERENCE : COR 407 Date : JUIN 2009 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] [article] Corrosion des armatures dans les bétons : Mécanisme [texte imprimé] . - 2007 . - 15 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 15 p.
Mots-clés : Corrosion des armatures; Béton armé; Composition et structure du béton; Amorcage de la corrosion; Comportement électrochimique des armatures Résumé : Les structures et ouvrages en béton armé sont soumis, dès leur plus jeune âge, à des contraintes d'ordre mécanique (charges, sollicitations diverses externes ou internes, dont le vent, les variations de température, etc.) ou environnementales (atmosphère, eau de mer, etc.).
Leur comportement vis-à-vis de la durabilité est essentiellement lié au comportement particulier du matériau béton. En effet, celui-ci réagit sans cesse avec l'environnement : échanges hydriques, réactions chimiques, action du gaz carbonique (vieillissement naturel). Des désordres peuvent alors survenir.
Les phénomènes de corrosion des armatures sont les plus fréquents d'entre eux et sont susceptibles de nécessiter des réparations importantes donc coûteuses.
La prévention devient alors essentielle. La bonne compréhension des mécanismes est nécessaire afin de mieux maintenir, diagnostiquer et réparer ces désordres.REFERENCE : COR 407 Date : JUIN 2009 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] Corrosion des armatures dans les bétons / Valérie L'Hostis in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 17 p.
Titre : Corrosion des armatures dans les bétons : Exemples et actions Type de document : texte imprimé Auteurs : Valérie L'Hostis, Auteur ; André Raharinaivo, Auteur ; Guy Taché, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 17 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Corrosion des armatures; Béton; Diagnostic; Matériau béton Résumé : Les structures et ouvrages en béton armé sont soumis, dès leur plus jeune âge, à des contraintes d'ordre mécanique (charges, sollicitations diverses externes ou internes, dont le vent, les variations de température, etc.) ou environnementales (atmosphère, eau de mer, etc.).
Leur comportement vis-à-vis de la durabilité est essentiellement lié au comportement particulier du matériau béton. Celui-ci réagit en effet sans cesse avec l'environnement : échanges hydriques, réactions chimiques, action du gaz carbonique (vieillissement naturel). Des désordres peuvent alors survenir.
Les phénomènes de corrosion des armatures sont les plus fréquents d'entre eux et sont susceptibles d'obliger à des réparations importantes donc coûteuses.
La prévention devient alors essentielle. Une bonne compréhension des mécanismes est nécessaire afin de mieux maintenir, diagnostiquer et réparer ce type de phénomènes.REFERENCE : COR 408 Date : JUIN 2009 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] [article] Corrosion des armatures dans les bétons : Exemples et actions [texte imprimé] / Valérie L'Hostis, Auteur ; André Raharinaivo, Auteur ; Guy Taché, Auteur . - 2007 . - 17 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 17 p.
Mots-clés : Corrosion des armatures; Béton; Diagnostic; Matériau béton Résumé : Les structures et ouvrages en béton armé sont soumis, dès leur plus jeune âge, à des contraintes d'ordre mécanique (charges, sollicitations diverses externes ou internes, dont le vent, les variations de température, etc.) ou environnementales (atmosphère, eau de mer, etc.).
Leur comportement vis-à-vis de la durabilité est essentiellement lié au comportement particulier du matériau béton. Celui-ci réagit en effet sans cesse avec l'environnement : échanges hydriques, réactions chimiques, action du gaz carbonique (vieillissement naturel). Des désordres peuvent alors survenir.
Les phénomènes de corrosion des armatures sont les plus fréquents d'entre eux et sont susceptibles d'obliger à des réparations importantes donc coûteuses.
La prévention devient alors essentielle. Une bonne compréhension des mécanismes est nécessaire afin de mieux maintenir, diagnostiquer et réparer ce type de phénomènes.REFERENCE : COR 408 Date : JUIN 2009 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/materiaux-re [...] Corrosion des objets archéologiques ferreux / Dillmann, Philippe in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 23 p.
Titre : Corrosion des objets archéologiques ferreux Type de document : texte imprimé Auteurs : Dillmann, Philippe, Auteur ; Delphine Neff, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 23 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Nucléaire; Génie civil: Conservation des objets du patrimoine; Corrosion; Caractérisation matériaux Résumé : La corrosion des objets archéologiques ferreux doit être comprise et modélisée dans différents domaines (conservation, restauration et génie civil pour prévoir le comportement de matériaux métalliques sur le très long terme). Les alliages ferreux archéologiques sont principalement des aciers doux. Les milieux de corrosion sont variés (sols, atmosphère, milieux marins, mortiers…). Des techniques spécifiques d’étude doivent êtres adaptées à ces systèmes qui présentent des couches de corrosion très épaisses. Les vitesses sont contrôlées par la nature de ces couches (composition, structure et morphologie) et peuvent être, dans certains cas, très lentes (de l’ordre du µm/an). REFERENCE : COR 675V2 Date : DECEMBRE 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] [article] Corrosion des objets archéologiques ferreux [texte imprimé] / Dillmann, Philippe, Auteur ; Delphine Neff, Auteur . - 2007 . - 23 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 23 p.
Mots-clés : Nucléaire; Génie civil: Conservation des objets du patrimoine; Corrosion; Caractérisation matériaux Résumé : La corrosion des objets archéologiques ferreux doit être comprise et modélisée dans différents domaines (conservation, restauration et génie civil pour prévoir le comportement de matériaux métalliques sur le très long terme). Les alliages ferreux archéologiques sont principalement des aciers doux. Les milieux de corrosion sont variés (sols, atmosphère, milieux marins, mortiers…). Des techniques spécifiques d’étude doivent êtres adaptées à ces systèmes qui présentent des couches de corrosion très épaisses. Les vitesses sont contrôlées par la nature de ces couches (composition, structure et morphologie) et peuvent être, dans certains cas, très lentes (de l’ordre du µm/an). REFERENCE : COR 675V2 Date : DECEMBRE 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] Corrosion des matériaux dans l'industrie pétrolière / Ropital, François in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 17 p.
Titre : Corrosion des matériaux dans l'industrie pétrolière Type de document : texte imprimé Auteurs : Ropital, François, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 17 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Industrie pétrolière; Corrosion dans les unités de traitement des gaz acides; Détection et inspection utilisées dans l'industrie pétrolière; Vieilissement en température matériaux métalliques; Métalliques; Hydrogène Résumé : Les objectifs de l'industrie pétrolière sont d'extraire, transporter, raffiner des pétroles en très grandes quantités dans les conditions économiques les plus performantes et pour des conditions de sécurité et de fiabilité des équipements optimales. En 2008, 88,7 millions de barils de pétrole ont été raffinés par jour dans le monde. Le coût de la corrosion dans cette industrie correspond à environ 3,7 % du coût global de la corrosion. Pour l'industrie pétrolière mondiale, un coût de 35 milliards de dollars par an a été estimé du fait des impacts directs et indirects ainsi que du fait des mesures de contrôle et de prévention. Par baril de pétrole produit, ce coût de la corrosion est d'environ 0,3 à 0,6 $ par baril. Ces chiffres n'incluent pas les événements non prévus. Par exemple, en 2006 des fuites provoquées par une corrosion bactérienne furent à l'origine de l'arrêt pendant quelques jours de la production pétrolière de l'Alaska et de vives tensions sur le marché pétrolier. Les impacts environnementaux de tels accidents peuvent être également considérables.
L'industrie pétrolière est traditionnellement divisée en deux grands domaines: l'amont pétrolier (qui correspond aux opérations de forage, production puis transport du pétrole brut), l'aval pétrolier (où le pétrole est raffiné en kérosène, essence, gasoil, fiouls, naphta, composés de base de la chimie...). Cette industrie est également amenée à éliminer tout au long de sa chaîne les gaz acides (CO2 et/ou H2S) associés aux bruts.REFERENCE : COR 750 Date : DECEMBRE 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] [article] Corrosion des matériaux dans l'industrie pétrolière [texte imprimé] / Ropital, François, Auteur . - 2007 . - 17 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 17 p.
Mots-clés : Industrie pétrolière; Corrosion dans les unités de traitement des gaz acides; Détection et inspection utilisées dans l'industrie pétrolière; Vieilissement en température matériaux métalliques; Métalliques; Hydrogène Résumé : Les objectifs de l'industrie pétrolière sont d'extraire, transporter, raffiner des pétroles en très grandes quantités dans les conditions économiques les plus performantes et pour des conditions de sécurité et de fiabilité des équipements optimales. En 2008, 88,7 millions de barils de pétrole ont été raffinés par jour dans le monde. Le coût de la corrosion dans cette industrie correspond à environ 3,7 % du coût global de la corrosion. Pour l'industrie pétrolière mondiale, un coût de 35 milliards de dollars par an a été estimé du fait des impacts directs et indirects ainsi que du fait des mesures de contrôle et de prévention. Par baril de pétrole produit, ce coût de la corrosion est d'environ 0,3 à 0,6 $ par baril. Ces chiffres n'incluent pas les événements non prévus. Par exemple, en 2006 des fuites provoquées par une corrosion bactérienne furent à l'origine de l'arrêt pendant quelques jours de la production pétrolière de l'Alaska et de vives tensions sur le marché pétrolier. Les impacts environnementaux de tels accidents peuvent être également considérables.
L'industrie pétrolière est traditionnellement divisée en deux grands domaines: l'amont pétrolier (qui correspond aux opérations de forage, production puis transport du pétrole brut), l'aval pétrolier (où le pétrole est raffiné en kérosène, essence, gasoil, fiouls, naphta, composés de base de la chimie...). Cette industrie est également amenée à éliminer tout au long de sa chaîne les gaz acides (CO2 et/ou H2S) associés aux bruts.REFERENCE : COR 750 Date : DECEMBRE 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] Tropicalisation du matériel / Henri Tolosa in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 15 p.
Titre : Tropicalisation du matériel Type de document : texte imprimé Auteurs : Henri Tolosa, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 15 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Tropicalisation du matériel; Les micro organismes; Principaux mécanismes de dégradation; Métallique; Polymère; Rayonnement solaire Résumé : Les matériels sont parfois utilisés dans des conditions d’environnement très sévères où, en particulier, l’humidité et une température élevées prédominent (30 C et 85 % d’humidité relative peuvent être des valeurs moyennes). Ces contraintes entraînent des dégradations à plus ou moins long terme, par des effets soit directs, soit indirects si des synergies existent (exemples : le développement des moisissures, la corrosion, l’électromigration).
L’opération consistant à protéger les matériels contre les agressions dues à des séjours ou à des utilisations dans des environnements sévères est généralement appelée « tropicalisation ». Ce terme est impropre, puisqu’il semble signifier que les matériels sont protégés pour un fonctionnement dans des zones tropicales (zones où l’humidité n’est généralement pas élevée).
En fait, la tropicalisation constitue la protection pour des utilisations dans des environnements climatiques sévères que l’on peut rencontrer aussi dans des régions tempérées (par exemple, dans des milieux industriels particuliers, teintureries ou sucreries).
Les conditions de température et d’humidité élevées existent dans certains milieux artificiels et dans les zones équatoriales. Si un matériel doit fonctionner dans une salle climatisée à 23 C et à 40 % d’humidité relative située dans une zone équatoriale, il n’y aura aucune raison de le tropicaliser. En revanche, un équipement en fonctionnement dans une teinturerie sera tropicalisé. L’environnement du lieu où sera utilisé le matériel est à prendre en compte dans une large mesure, mais la seule analyse du climat local est insuffisante pour décider si le matériel doit être tropicalisé : il est nécessaire de tenir compte de son utilisation. En plus de ces conditions d’utilisation, il faut aussi analyser celles du transport et du stockage avant la mise en service ou pendant les opérations de maintenance (par exemple, état du matériel de climatisation). Un matériel qui risquerait d’être exposé à des contraintes de température et d’humidité relative élevées uniquement pendant son transport n’aurait pas besoin d’être tropicalisé si l’on a prévu un emballage suffisamment étanche et un dessicateur à l’intérieur de celui-ci pour éviter l’accumulation d’humidité. De plus, il n’aura pas, en général, le temps de s’altérer.REFERENCE : R 780 Date : SEPTEMBRE 2001 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] [article] Tropicalisation du matériel [texte imprimé] / Henri Tolosa, Auteur . - 2007 . - 15 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 15 p.
Mots-clés : Tropicalisation du matériel; Les micro organismes; Principaux mécanismes de dégradation; Métallique; Polymère; Rayonnement solaire Résumé : Les matériels sont parfois utilisés dans des conditions d’environnement très sévères où, en particulier, l’humidité et une température élevées prédominent (30 C et 85 % d’humidité relative peuvent être des valeurs moyennes). Ces contraintes entraînent des dégradations à plus ou moins long terme, par des effets soit directs, soit indirects si des synergies existent (exemples : le développement des moisissures, la corrosion, l’électromigration).
L’opération consistant à protéger les matériels contre les agressions dues à des séjours ou à des utilisations dans des environnements sévères est généralement appelée « tropicalisation ». Ce terme est impropre, puisqu’il semble signifier que les matériels sont protégés pour un fonctionnement dans des zones tropicales (zones où l’humidité n’est généralement pas élevée).
En fait, la tropicalisation constitue la protection pour des utilisations dans des environnements climatiques sévères que l’on peut rencontrer aussi dans des régions tempérées (par exemple, dans des milieux industriels particuliers, teintureries ou sucreries).
Les conditions de température et d’humidité élevées existent dans certains milieux artificiels et dans les zones équatoriales. Si un matériel doit fonctionner dans une salle climatisée à 23 C et à 40 % d’humidité relative située dans une zone équatoriale, il n’y aura aucune raison de le tropicaliser. En revanche, un équipement en fonctionnement dans une teinturerie sera tropicalisé. L’environnement du lieu où sera utilisé le matériel est à prendre en compte dans une large mesure, mais la seule analyse du climat local est insuffisante pour décider si le matériel doit être tropicalisé : il est nécessaire de tenir compte de son utilisation. En plus de ces conditions d’utilisation, il faut aussi analyser celles du transport et du stockage avant la mise en service ou pendant les opérations de maintenance (par exemple, état du matériel de climatisation). Un matériel qui risquerait d’être exposé à des contraintes de température et d’humidité relative élevées uniquement pendant son transport n’aurait pas besoin d’être tropicalisé si l’on a prévu un emballage suffisamment étanche et un dessicateur à l’intérieur de celui-ci pour éviter l’accumulation d’humidité. De plus, il n’aura pas, en général, le temps de s’altérer.REFERENCE : R 780 Date : SEPTEMBRE 2001 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] Inhibiteurs de corrosion et traitement des eaux / Francis Moran in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 20 p.
Titre : Inhibiteurs de corrosion et traitement des eaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Moran, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 20 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Inhibiteurs de corrosion; Traitement des eaux; Résumé : Un inhibiteur de corrosion est un composé chimique (organique ou inorganique) qui, ajouté au milieu corrosif, diminue sensiblement ou stoppe le processus de corrosion d’un métal placé dans ce milieu [12].
Les produits chimiques utilisés pour le traitement des eaux ne sont pas tous des inhibiteurs de corrosion. On utilise également des inhibiteurs d’entartrage, des produits modifiant sensiblement le milieu (pH et conductivité principalement) et des biocides. L’emploi de ces produits a souvent un effet direct ou indirect sur les processus d’inhibition de la corrosion. Leurs rôle et mode d’action seront présentés aux paragraphes correspondants.REFERENCE : COR 1 000 Date : JUIN 2006 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/methodes-de- [...] [article] Inhibiteurs de corrosion et traitement des eaux [texte imprimé] / Francis Moran, Auteur . - 2007 . - 20 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 20 p.
Mots-clés : Inhibiteurs de corrosion; Traitement des eaux; Résumé : Un inhibiteur de corrosion est un composé chimique (organique ou inorganique) qui, ajouté au milieu corrosif, diminue sensiblement ou stoppe le processus de corrosion d’un métal placé dans ce milieu [12].
Les produits chimiques utilisés pour le traitement des eaux ne sont pas tous des inhibiteurs de corrosion. On utilise également des inhibiteurs d’entartrage, des produits modifiant sensiblement le milieu (pH et conductivité principalement) et des biocides. L’emploi de ces produits a souvent un effet direct ou indirect sur les processus d’inhibition de la corrosion. Leurs rôle et mode d’action seront présentés aux paragraphes correspondants.REFERENCE : COR 1 000 Date : JUIN 2006 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/methodes-de- [...] Phénomènes de corrosion dans les métaux liquides / Fanny Balbaud-Celerier in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 22 p.
Titre : Phénomènes de corrosion dans les métaux liquides Type de document : texte imprimé Auteurs : Fanny Balbaud-Celerier, Auteur ; Laure Martinelli, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 22 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Etat de l'art; Microscope à balayage; Sonde à oxygène; Énergie; Métallurgie; Thermodynamique; Corrosion haute température Résumé : Les métaux liquides (Pb, Na, Ga, Al, Zn…) et leurs alliages sont utilisés dans de nombreux secteurs de l’industrie : énergie, aéronautique, métallurgie. Leurs propriétés thermiques rendent leur utilisation particulièrement intéressante comme fluides caloporteurs, par exemple, de réacteurs nucléaires. Cependant, la nécessité évidente de la durabilité des matériaux de structure en contact avec ces métaux liquides requiert la connaissance, la compréhension et la modélisation des phénomènes de corrosion potentiellement rencontrés. REFERENCE : COR 640 Date : Juin 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] [article] Phénomènes de corrosion dans les métaux liquides [texte imprimé] / Fanny Balbaud-Celerier, Auteur ; Laure Martinelli, Auteur . - 2007 . - 22 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 22 p.
Mots-clés : Etat de l'art; Microscope à balayage; Sonde à oxygène; Énergie; Métallurgie; Thermodynamique; Corrosion haute température Résumé : Les métaux liquides (Pb, Na, Ga, Al, Zn…) et leurs alliages sont utilisés dans de nombreux secteurs de l’industrie : énergie, aéronautique, métallurgie. Leurs propriétés thermiques rendent leur utilisation particulièrement intéressante comme fluides caloporteurs, par exemple, de réacteurs nucléaires. Cependant, la nécessité évidente de la durabilité des matériaux de structure en contact avec ces métaux liquides requiert la connaissance, la compréhension et la modélisation des phénomènes de corrosion potentiellement rencontrés. REFERENCE : COR 640 Date : Juin 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] Chimie de l'eau et corrosion dans les réacteurs à eau sous pression (REP) / Nordmann, Francis in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 22 p.
Titre : Chimie de l'eau et corrosion dans les réacteurs à eau sous pression (REP) Type de document : texte imprimé Auteurs : Nordmann, Francis, Auteur ; Pinard Legry, Gérard, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 22 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Etat de l'art; REP; Acide borique; Amine; Inconel; Corrosion; chimie Résumé : Les enjeux, remèdes et options de la chimie des réacteurs à eau sous pression (REP) sont détaillés. Les objectifs sont de maîtriser l'intégrité des composants (sûreté), la durée de vie, la dosimétrie, les impacts environnementaux tout en optimisant les coûts. Pour le circuit primaire, les évolutions des performances combustibles et les contraintes associées sont explicitées. Pour le circuit secondaire, les diverses méthodes pour diminuer les oxydes de fer sont détaillées et constituent un objectif important suite à la suppression progressive des générateurs de vapeur tubés en Alliage 600. REFERENCE : COR 650 Date : Juin 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] [article] Chimie de l'eau et corrosion dans les réacteurs à eau sous pression (REP) [texte imprimé] / Nordmann, Francis, Auteur ; Pinard Legry, Gérard, Auteur . - 2007 . - 22 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 22 p.
Mots-clés : Etat de l'art; REP; Acide borique; Amine; Inconel; Corrosion; chimie Résumé : Les enjeux, remèdes et options de la chimie des réacteurs à eau sous pression (REP) sont détaillés. Les objectifs sont de maîtriser l'intégrité des composants (sûreté), la durée de vie, la dosimétrie, les impacts environnementaux tout en optimisant les coûts. Pour le circuit primaire, les évolutions des performances combustibles et les contraintes associées sont explicitées. Pour le circuit secondaire, les diverses méthodes pour diminuer les oxydes de fer sont détaillées et constituent un objectif important suite à la suppression progressive des générateurs de vapeur tubés en Alliage 600. REFERENCE : COR 650 Date : Juin 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] Inhibiteurs de corrosion dans le traitement des circuits d'eau / Jean Lédion in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 21 p.
Titre : Inhibiteurs de corrosion dans le traitement des circuits d'eau Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Lédion, Auteur ; Philippe Blériot, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 21 p. Note générale : bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Corrosion; Inhibition Résumé : Un inhibiteur de corrosion est une substance chimique qui, présente à une concentration appropriée dans un système de corrosion, diminue la vitesse de corrosion sans changer notablement la concentration en agent corrosif.
Les inhibiteurs de corrosion sont rarement utilisés seuls. Ils sont souvent associés à des inhibiteurs d’entartrage, des produits modifiant sensiblement le milieu (pH et conductivité principalement) et des biocides. L’emploi de ces produits a souvent un effet direct ou indirect sur les processus d’inhibition de la corrosion. Leur rôle et leur mode d’action seront présentés aux paragraphes correspondants.
Enfin, l’emploi d’un inhibiteur doit être conforme à la législation en vigueur. Nous préciserons chaque fois que nécessaire les textes à consulter.
REFERENCE : COR 1 000v2 Date : Juin 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/environnement-securite-th5/ [...] [article] Inhibiteurs de corrosion dans le traitement des circuits d'eau [texte imprimé] / Jean Lédion, Auteur ; Philippe Blériot, Auteur . - 2007 . - 21 p.
bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - 21 p.
Mots-clés : Corrosion; Inhibition Résumé : Un inhibiteur de corrosion est une substance chimique qui, présente à une concentration appropriée dans un système de corrosion, diminue la vitesse de corrosion sans changer notablement la concentration en agent corrosif.
Les inhibiteurs de corrosion sont rarement utilisés seuls. Ils sont souvent associés à des inhibiteurs d’entartrage, des produits modifiant sensiblement le milieu (pH et conductivité principalement) et des biocides. L’emploi de ces produits a souvent un effet direct ou indirect sur les processus d’inhibition de la corrosion. Leur rôle et leur mode d’action seront présentés aux paragraphes correspondants.
Enfin, l’emploi d’un inhibiteur doit être conforme à la législation en vigueur. Nous préciserons chaque fois que nécessaire les textes à consulter.
REFERENCE : COR 1 000v2 Date : Juin 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/environnement-securite-th5/ [...] Corrosion et protection des métaux en milieu marin / Juan Creus in Techniques de l'ingénieur COR, Vol. COR2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - pp. 1-14
Titre : Corrosion et protection des métaux en milieu marin Type de document : texte imprimé Auteurs : Juan Creus, Auteur ; René Sabot, Auteur ; Philippe Refait, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : pp. 1-14 Note générale : Corrosion Vieillissement Langues : Français (fre) Mots-clés : Etat de l'art; Biocorrosion; Corrosion galvanique; Piqûration; Protection cathodique; Sciences et génie des matériaux; Revêtements et traitements de surface Résumé : Les mécanismes de la corrosion marine découlent de l’ensemble des interactions physico-chimiques et mécaniques entre les matériaux et cet environnement particulier qu’est le milieu marin. La forte conductivité électrique de l’eau de mer favorise les couplages galvaniques et les piles de corrosion. Sa forte teneur en chlorures la rend agressive vis-à-vis des métaux passivables et notamment de certains aciers inoxydables. Biologiquement active, l’eau de mer est aussi susceptible d’induire des phénomènes de corrosion influencés par les bactéries. La conception d’une structure métallique, le choix des matériaux et des méthodes de protection anticorrosion reposent donc sur une connaissance détaillée des matériaux et du milieu marin Note de contenu : Bibliogr. REFERENCE : COR 620v2 Date : Décembre 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...] [article] Corrosion et protection des métaux en milieu marin [texte imprimé] / Juan Creus, Auteur ; René Sabot, Auteur ; Philippe Refait, Auteur . - 2007 . - pp. 1-14.
Corrosion Vieillissement
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur COR > Vol. COR2 (Trimestriel) . - pp. 1-14
Mots-clés : Etat de l'art; Biocorrosion; Corrosion galvanique; Piqûration; Protection cathodique; Sciences et génie des matériaux; Revêtements et traitements de surface Résumé : Les mécanismes de la corrosion marine découlent de l’ensemble des interactions physico-chimiques et mécaniques entre les matériaux et cet environnement particulier qu’est le milieu marin. La forte conductivité électrique de l’eau de mer favorise les couplages galvaniques et les piles de corrosion. Sa forte teneur en chlorures la rend agressive vis-à-vis des métaux passivables et notamment de certains aciers inoxydables. Biologiquement active, l’eau de mer est aussi susceptible d’induire des phénomènes de corrosion influencés par les bactéries. La conception d’une structure métallique, le choix des matériaux et des méthodes de protection anticorrosion reposent donc sur une connaissance détaillée des matériaux et du milieu marin Note de contenu : Bibliogr. REFERENCE : COR 620v2 Date : Décembre 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/corrosion-et [...]
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