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Techniques de l'Ingénieur F / Blanc, André . Vol. F2AgroalimentaireMention de date : Trimestriel Paru le : 21/04/2007 |
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[article]
in Techniques de l'Ingénieur F > Vol. F2 (Trimestriel) . - 10 p.
Titre : Réfrigération et surgélation : cryopéniques en agroalimentaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Algeot, Jo, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 10 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Réfrigération Surgélation Cryogéniques Agroalimentaire Résumé : Les fluides cryogéniques comprennent les gaz dont la liquéfaction par compression ne peut pas se faire à la température ambiante. La cryogénie, du grec « kryos » qui signifie froid, glace, est la science des températures inférieures à 123 K (ou – 150 oC) et s'appliquent aux principaux gaz tels que l'azote, l'hélium, l'argon, l'oxygène et l'hydrogène.
D'autre part, bien qu'il n'existe que sous forme solide ou gazeuse à la pression atmosphérique, le dioxyde de carbone (CO2) est aussi considéré comme fluide cryogénique dans l'industrie.
En agroalimentaire, l'utilisation des gaz cryogéniques est une solution alternative, techniquement intéressante par rapport au froid mécanique dans les procédés de refroidissement et de surgélation de produits alimentaires. Les deux principaux fluides utilisés sont l'azote et le dioxyde de carbone. Cet article décrit donc les intérêts et les applications associés à leur utilisation.
REFERENCE : F 3 247 DEWEY : 664 Date : Décembre 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/procedes-chimie-bio-agro-th [...] [article] Réfrigération et surgélation : cryopéniques en agroalimentaire [texte imprimé] / Algeot, Jo, Auteur . - 2007 . - 10 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur F > Vol. F2 (Trimestriel) . - 10 p.
Mots-clés : Réfrigération Surgélation Cryogéniques Agroalimentaire Résumé : Les fluides cryogéniques comprennent les gaz dont la liquéfaction par compression ne peut pas se faire à la température ambiante. La cryogénie, du grec « kryos » qui signifie froid, glace, est la science des températures inférieures à 123 K (ou – 150 oC) et s'appliquent aux principaux gaz tels que l'azote, l'hélium, l'argon, l'oxygène et l'hydrogène.
D'autre part, bien qu'il n'existe que sous forme solide ou gazeuse à la pression atmosphérique, le dioxyde de carbone (CO2) est aussi considéré comme fluide cryogénique dans l'industrie.
En agroalimentaire, l'utilisation des gaz cryogéniques est une solution alternative, techniquement intéressante par rapport au froid mécanique dans les procédés de refroidissement et de surgélation de produits alimentaires. Les deux principaux fluides utilisés sont l'azote et le dioxyde de carbone. Cet article décrit donc les intérêts et les applications associés à leur utilisation.
REFERENCE : F 3 247 DEWEY : 664 Date : Décembre 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/procedes-chimie-bio-agro-th [...]
[article]
in Techniques de l'Ingénieur F > Vol. F2 (Trimestriel) . - 13 p.
Titre : Techniques en brasserie : technologies associées à la clarification Type de document : texte imprimé Auteurs : Luc Fillaudeau, Auteur ; Blanpain-Avet, Pascal, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 13 p. Note générale : Bbliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Brasserie Clarification Résumé : L'industrie brassicole résulte d'une tradition ancienne, mais se positionne comme un secteur dynamique ouvert aux technologies nouvelles et aux innovations scientifiques.
Le procédé brassicole, basé sur des opérations d'extraction solide/liquide, de fermentation et de séparation, est un gros consommateur d'eau et un producteur important d'effluents et de rejets solides pour produire une boisson alcoolisée, la bière. Les principaux ingrédients pour sa production sont les céréales maltées et les grains crus, le houblon, l'eau et la levure. La production de bière passe, alternativement, de trois réactions chimiques et biochimiques à trois opérations de séparation solide/liquide.
Les brasseurs s'astreignent à ce que les technologies utilisées soient les meilleures en termes de qualité-produit, de coût et d'impact environnemental. En conséquence, la consommation d'énergie, l'utilisation d'eau et la génération d'effluents constituent de réelles opportunités économiques pour améliorer les procédés existants.
Efficacité accrue et renforcement des restrictions environnementales composent donc le nouveau cahier des charges des technologies alternatives, pour lesquelles durabilité et économie sont les maîtres mots.
Nos objectifs, ici, sont de définir les principaux intrants et extrants du procédé brassicole, ainsi que les enjeux de la clarification de la bière de garde. Cette dernière est détaillée :
* d'un point de vue physico-chimique en identifiant les composés majeurs à éliminer ;
* d'un point de vue technologique en inventoriant les techniques (hors procédés membranaires) et les adjuvants de filtration.
REFERENCE : F 3 260v2 DEWEY : 664 Date : Septembre 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/procedes-chimie-bio-agro-th [...] [article] Techniques en brasserie : technologies associées à la clarification [texte imprimé] / Luc Fillaudeau, Auteur ; Blanpain-Avet, Pascal, Auteur . - 2007 . - 13 p.
Bbliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur F > Vol. F2 (Trimestriel) . - 13 p.
Mots-clés : Brasserie Clarification Résumé : L'industrie brassicole résulte d'une tradition ancienne, mais se positionne comme un secteur dynamique ouvert aux technologies nouvelles et aux innovations scientifiques.
Le procédé brassicole, basé sur des opérations d'extraction solide/liquide, de fermentation et de séparation, est un gros consommateur d'eau et un producteur important d'effluents et de rejets solides pour produire une boisson alcoolisée, la bière. Les principaux ingrédients pour sa production sont les céréales maltées et les grains crus, le houblon, l'eau et la levure. La production de bière passe, alternativement, de trois réactions chimiques et biochimiques à trois opérations de séparation solide/liquide.
Les brasseurs s'astreignent à ce que les technologies utilisées soient les meilleures en termes de qualité-produit, de coût et d'impact environnemental. En conséquence, la consommation d'énergie, l'utilisation d'eau et la génération d'effluents constituent de réelles opportunités économiques pour améliorer les procédés existants.
Efficacité accrue et renforcement des restrictions environnementales composent donc le nouveau cahier des charges des technologies alternatives, pour lesquelles durabilité et économie sont les maîtres mots.
Nos objectifs, ici, sont de définir les principaux intrants et extrants du procédé brassicole, ainsi que les enjeux de la clarification de la bière de garde. Cette dernière est détaillée :
* d'un point de vue physico-chimique en identifiant les composés majeurs à éliminer ;
* d'un point de vue technologique en inventoriant les techniques (hors procédés membranaires) et les adjuvants de filtration.
REFERENCE : F 3 260v2 DEWEY : 664 Date : Septembre 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/procedes-chimie-bio-agro-th [...] Verre d'emballage alimentaire / Jean-Luc Boutonnier in Techniques de l'Ingénieur F, Vol. F2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'Ingénieur F > Vol. F2 (Trimestriel) . - 21 p.
Titre : Verre d'emballage alimentaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Luc Boutonnier, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 21 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Verre Emballage Alimentation Résumé : Le verre qui a vu le jour, quelque part au Proche-Orient il y a 4 500 ans, est une des créations humaines, vraisemblablement fortuite, et des plus étonnantes ! Depuis ses origines, vers 2 500 avant Jésus Christ et jusqu'au XVIe siècle, le verre resta toutefois une denrée chère et, par conséquent, réservée à des emplois nobles, tels que des bijoux, des amulettes ou même, dans le cas de compositions renfermant de l'antimoine, des médicaments ingérés sous forme de poudres fines.
Il fallut attendre le début de notre ère pour voir apparaître deux inventions majeures :
amélioration de la pureté de la matière première utilisée, la silice, avec l'obtention d'un verre transparent, permettant l'amélioration de l'aspect des objets fabriqués ;
une innovation technologique, avec la possibilité de fabriquer des corps creux, grâce au procédé de soufflage.
Le verre est un matériau d'emballage qui, bien que relativement ancien, jouit encore de nos jours, notamment en raison de sa neutralité, vis-à-vis de son contenu, d'un effet rassurant auprès du consommateur. En effet, une enquête conduite, en 2009, par la Fédération européenne du verre, auprès de 6 200 familles, a démontré que les trois quarts des consommateurs européens privilégiaient le verre comme matériau d'emballage des denrées alimentaires (aliments et boissons). Depuis quelques années, avec la prise en compte de l'impact environnemental et plus particulièrement de l'empreinte carbone des produits alimentaires et de leurs emballages, le verre a fait l'objet de critiques implicites de la part de fabricants d'emballages concurrents...
Cela dit, l'industrie du verre, consciente non seulement des atouts de son matériau, mais aussi des faiblesses de ce dernier, met en œuvre toute une série de mesures en direction de l'éco-conception et du développement durable. Elles concernent principalement trois aspects :
les matières premières : l'augmentation de la proportion de calcin (verre recyclé traité) dans le mélange vitrifiable, réduit le rejet de CO2 par le four. Ainsi, il a été démontré que l'emploi d'une tonne de calcin diminue le rejet de CO2 , de l'ordre de 500 kg. Cela sous-entend, à l'évidence, de poursuivre les efforts en matière de tri sélectif des emballages afin d'accroître le pourcentage de recyclage, qui n'était en 2009 que de 61 % avec un objectif pour 2012 de 75 %. Dans ce registre, on constate que le recyclage du verre est très inégal entre les régions françaises, d'où la nécessité de développer des mesures d'incitation dans les zones moins performantes en matière de tri... ;
la logistique : des progrès peuvent encore être réalisés en matière de réduction des distances de transport qui existent entre les centres de traitement des verres recyclés et les verreries. L'optimisation de la logistique relative au transport de verre brisé permettra des gains entre les centres de traitement et ceux de fabrication du verre, en termes de rejet de CO2 ;
les emballages : la réduction du poids des bouteilles de vin tranquille, de l'ordre de 15 %, est une solution qui a été envisagée en début d'année 2009, avec pour contrainte l'assurance d'une conservation du vin, et la résistance mécanique, comparables à celle obtenue avec une bouteille classique.
L'industrie du verre, récemment mise en cause dans un contexte concurrentiel dispose de nombreux atouts afin d'une part, de répondre à ses détracteurs et d'autre part, de préserver le capital de confiance qui lui est accordé depuis longtemps par les consommateurs.
REFERENCE : F 1 322 Date : Mars 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/procedes-chimie-bio-agro-th [...] [article] Verre d'emballage alimentaire [texte imprimé] / Jean-Luc Boutonnier, Auteur . - 2007 . - 21 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur F > Vol. F2 (Trimestriel) . - 21 p.
Mots-clés : Verre Emballage Alimentation Résumé : Le verre qui a vu le jour, quelque part au Proche-Orient il y a 4 500 ans, est une des créations humaines, vraisemblablement fortuite, et des plus étonnantes ! Depuis ses origines, vers 2 500 avant Jésus Christ et jusqu'au XVIe siècle, le verre resta toutefois une denrée chère et, par conséquent, réservée à des emplois nobles, tels que des bijoux, des amulettes ou même, dans le cas de compositions renfermant de l'antimoine, des médicaments ingérés sous forme de poudres fines.
Il fallut attendre le début de notre ère pour voir apparaître deux inventions majeures :
amélioration de la pureté de la matière première utilisée, la silice, avec l'obtention d'un verre transparent, permettant l'amélioration de l'aspect des objets fabriqués ;
une innovation technologique, avec la possibilité de fabriquer des corps creux, grâce au procédé de soufflage.
Le verre est un matériau d'emballage qui, bien que relativement ancien, jouit encore de nos jours, notamment en raison de sa neutralité, vis-à-vis de son contenu, d'un effet rassurant auprès du consommateur. En effet, une enquête conduite, en 2009, par la Fédération européenne du verre, auprès de 6 200 familles, a démontré que les trois quarts des consommateurs européens privilégiaient le verre comme matériau d'emballage des denrées alimentaires (aliments et boissons). Depuis quelques années, avec la prise en compte de l'impact environnemental et plus particulièrement de l'empreinte carbone des produits alimentaires et de leurs emballages, le verre a fait l'objet de critiques implicites de la part de fabricants d'emballages concurrents...
Cela dit, l'industrie du verre, consciente non seulement des atouts de son matériau, mais aussi des faiblesses de ce dernier, met en œuvre toute une série de mesures en direction de l'éco-conception et du développement durable. Elles concernent principalement trois aspects :
les matières premières : l'augmentation de la proportion de calcin (verre recyclé traité) dans le mélange vitrifiable, réduit le rejet de CO2 par le four. Ainsi, il a été démontré que l'emploi d'une tonne de calcin diminue le rejet de CO2 , de l'ordre de 500 kg. Cela sous-entend, à l'évidence, de poursuivre les efforts en matière de tri sélectif des emballages afin d'accroître le pourcentage de recyclage, qui n'était en 2009 que de 61 % avec un objectif pour 2012 de 75 %. Dans ce registre, on constate que le recyclage du verre est très inégal entre les régions françaises, d'où la nécessité de développer des mesures d'incitation dans les zones moins performantes en matière de tri... ;
la logistique : des progrès peuvent encore être réalisés en matière de réduction des distances de transport qui existent entre les centres de traitement des verres recyclés et les verreries. L'optimisation de la logistique relative au transport de verre brisé permettra des gains entre les centres de traitement et ceux de fabrication du verre, en termes de rejet de CO2 ;
les emballages : la réduction du poids des bouteilles de vin tranquille, de l'ordre de 15 %, est une solution qui a été envisagée en début d'année 2009, avec pour contrainte l'assurance d'une conservation du vin, et la résistance mécanique, comparables à celle obtenue avec une bouteille classique.
L'industrie du verre, récemment mise en cause dans un contexte concurrentiel dispose de nombreux atouts afin d'une part, de répondre à ses détracteurs et d'autre part, de préserver le capital de confiance qui lui est accordé depuis longtemps par les consommateurs.
REFERENCE : F 1 322 Date : Mars 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/procedes-chimie-bio-agro-th [...] Swell-drying: séchage et texturation par DIC des végétaux / Allaf, Karim in Techniques de l'Ingénieur F, Vol. F2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'Ingénieur F > Vol. F2 (Trimestriel) . - 15 p.
Titre : Swell-drying: séchage et texturation par DIC des végétaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Allaf, Karim, Auteur ; Mounir, Sabah, Auteur ; Tamara Allaf, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 15 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Transition vitreuse DIC(détente instantanée contrôlée) diffusion texturation Etape paradoxale Séchage cinétique Résumé : Dans de nombreuses opérations de séchage de milieux poreux (produits biologiques…), la structure naturelle, rendue encore plus compacte par le retrait, est caractérisée par une très faible diffusibilité de l’eau au sein de la matière et la diffusion peut ainsi être le processus limitant.
L’amélioration de ces procédés à travers la texturation spécifique (expansion volumique par détente instantanée contrôlée DIC) permet d’assurer une intensification de l’opération. La dernière étape, dite "paradoxale", nécessite, quant à elle, une déshydratation par détentes successives DDS, vapeur surchauffée ou chauffage par microondes.
REFERENCE : F 3005 Date : Septembre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/procedes-chimie-bio-agro-th [...] [article] Swell-drying: séchage et texturation par DIC des végétaux [texte imprimé] / Allaf, Karim, Auteur ; Mounir, Sabah, Auteur ; Tamara Allaf, Auteur . - 2007 . - 15 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'Ingénieur F > Vol. F2 (Trimestriel) . - 15 p.
Mots-clés : Transition vitreuse DIC(détente instantanée contrôlée) diffusion texturation Etape paradoxale Séchage cinétique Résumé : Dans de nombreuses opérations de séchage de milieux poreux (produits biologiques…), la structure naturelle, rendue encore plus compacte par le retrait, est caractérisée par une très faible diffusibilité de l’eau au sein de la matière et la diffusion peut ainsi être le processus limitant.
L’amélioration de ces procédés à travers la texturation spécifique (expansion volumique par détente instantanée contrôlée DIC) permet d’assurer une intensification de l’opération. La dernière étape, dite "paradoxale", nécessite, quant à elle, une déshydratation par détentes successives DDS, vapeur surchauffée ou chauffage par microondes.
REFERENCE : F 3005 Date : Septembre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/procedes-chimie-bio-agro-th [...]
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