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Techniques de l'ingénieur RC / Blanc, André . Vol. RC2Mesures PhysiquesMention de date : Trimestriel Paru le : 24/04/2007 |
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Ajouter le résultat dans votre panierDébitmètres électromagnétiques (DEM) / Montel, Jean-Michel in Techniques de l'ingénieur RC, Vol. RC2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur RC > Vol. RC2 (Trimestriel) . - 29 p.
Titre : Débitmètres électromagnétiques (DEM) Type de document : texte imprimé Auteurs : Montel, Jean-Michel, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 29 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Electromagnétiques Résumé : Bien que le principe de mesure soit connue depuis 1830, les premiers débitmètres électromagnétiques industriels ne sont apparus en Hollande que dans les années 1950.
Depuis cette date cette technologie n’a cessé de progresser, bénéficiant des nouvelles connaissances scientifiques et techniques. Par exemple, les nouveaux matériaux ont permis au capteur d’étendre son champ d’application. C’est aujourd’hui sans conteste le débitmètre le plus vendu. C’est aussi le moins contraignant à utiliser et le moins cher du marché si on prend en compte le rapport qualité de la mesure/prix.
Malgré ses 60 ans, cette technologie n’a rien perdu de son dynamisme. Chaque année ou presque, une avancée nouvelle est disponible sur le marché. La dernière en date est la mise sur le marché de DEM autonomes, c’est-à-dire sans alimentation électrique extérieure. Ils sont équipés de batteries qui leur donnent une autonomie de 3 à 15 ans selon les constructeurs (voir paragraphe 7.6).
Bien sûr de telles innovations ne sont possibles que grâce au dynamisme des quatre ou cinq grands constructeurs mondiaux qui ont engagé d’importants investissements en recherche et développement.
En France, nous utilisons souvent le terme de « DEM » pour parler des débitmètres électromagnétiques (MID en Allemagne).
Les avantages des DEM sont multiples :
* Les débitmètres électromagnétiques ne gênent en rien l’écoulement du fluide ; par conséquent, ils ne font pas intervenir de pertes de charge dans le système, ils ont une réponse linéaire, avec une large gamme de diamètres de conduite (de quelques 2 mm à 3000 mm), et ont la capacité de mesurer un écoulement bidirectionnel. Le choix approprié des électrodes et des matériaux constituant la manchette leur permet d’être utilisés pour une grande variété de liquides agressifs et corrosifs. Ils sont particulièrement utilisés pour la mesure de boues contenant des particules en suspension ; ils sont aussi largement utilisés dans la production de papier, dans l’agroalimentaire, la chimie et le traitement des eaux.
* Les débitmètres électromagnétiques sont relativement insensibles à la densité et à la viscosité du fluide à mesurer ainsi qu’aux profils d’écoulement ; leur principal inconvénient, est le fait qu’ils ne peuvent être utilisés que pour des liquides conducteurs (minimum 0,05 µS · cm−1).
* Ils ont de faibles contraintes d’installation. La demande est généralement de cinq fois le diamètre nominal (DN) en longueur droite en amont et de trois fois ce même DN en aval. Krohne et ABB ont maintenant un DEM qui n’exige plus de longueur droite amont ni aval.
* Tous les DEM disposent d’une sortie analogique 4/20 milliampères, mais ils possèdent très souvent une sortie « impulsion » dont la somme représente le volume écoulé sur une durée de temps choisi. Les DEM sont donc aussi des compteurs électromagnétiques !!!
Cet article ne parlera pas des tests CEM (compatibilité électromagnétique) qui sont maintenant bien respectés. Pour vous en assurer, exigez le certificat CEM du fabricant mais aussi d’où provient ce certificat. Préférez un certificat fait dans un laboratoire européen disposant de l’accréditation ISO 17 025.
REFERENCE : R 2 275v2 DEWEY : 530.8 Date : Septembre 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mesures-analyses-th1/mesure [...] [article] Débitmètres électromagnétiques (DEM) [texte imprimé] / Montel, Jean-Michel, Auteur . - 2007 . - 29 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur RC > Vol. RC2 (Trimestriel) . - 29 p.
Mots-clés : Electromagnétiques Résumé : Bien que le principe de mesure soit connue depuis 1830, les premiers débitmètres électromagnétiques industriels ne sont apparus en Hollande que dans les années 1950.
Depuis cette date cette technologie n’a cessé de progresser, bénéficiant des nouvelles connaissances scientifiques et techniques. Par exemple, les nouveaux matériaux ont permis au capteur d’étendre son champ d’application. C’est aujourd’hui sans conteste le débitmètre le plus vendu. C’est aussi le moins contraignant à utiliser et le moins cher du marché si on prend en compte le rapport qualité de la mesure/prix.
Malgré ses 60 ans, cette technologie n’a rien perdu de son dynamisme. Chaque année ou presque, une avancée nouvelle est disponible sur le marché. La dernière en date est la mise sur le marché de DEM autonomes, c’est-à-dire sans alimentation électrique extérieure. Ils sont équipés de batteries qui leur donnent une autonomie de 3 à 15 ans selon les constructeurs (voir paragraphe 7.6).
Bien sûr de telles innovations ne sont possibles que grâce au dynamisme des quatre ou cinq grands constructeurs mondiaux qui ont engagé d’importants investissements en recherche et développement.
En France, nous utilisons souvent le terme de « DEM » pour parler des débitmètres électromagnétiques (MID en Allemagne).
Les avantages des DEM sont multiples :
* Les débitmètres électromagnétiques ne gênent en rien l’écoulement du fluide ; par conséquent, ils ne font pas intervenir de pertes de charge dans le système, ils ont une réponse linéaire, avec une large gamme de diamètres de conduite (de quelques 2 mm à 3000 mm), et ont la capacité de mesurer un écoulement bidirectionnel. Le choix approprié des électrodes et des matériaux constituant la manchette leur permet d’être utilisés pour une grande variété de liquides agressifs et corrosifs. Ils sont particulièrement utilisés pour la mesure de boues contenant des particules en suspension ; ils sont aussi largement utilisés dans la production de papier, dans l’agroalimentaire, la chimie et le traitement des eaux.
* Les débitmètres électromagnétiques sont relativement insensibles à la densité et à la viscosité du fluide à mesurer ainsi qu’aux profils d’écoulement ; leur principal inconvénient, est le fait qu’ils ne peuvent être utilisés que pour des liquides conducteurs (minimum 0,05 µS · cm−1).
* Ils ont de faibles contraintes d’installation. La demande est généralement de cinq fois le diamètre nominal (DN) en longueur droite en amont et de trois fois ce même DN en aval. Krohne et ABB ont maintenant un DEM qui n’exige plus de longueur droite amont ni aval.
* Tous les DEM disposent d’une sortie analogique 4/20 milliampères, mais ils possèdent très souvent une sortie « impulsion » dont la somme représente le volume écoulé sur une durée de temps choisi. Les DEM sont donc aussi des compteurs électromagnétiques !!!
Cet article ne parlera pas des tests CEM (compatibilité électromagnétique) qui sont maintenant bien respectés. Pour vous en assurer, exigez le certificat CEM du fabricant mais aussi d’où provient ce certificat. Préférez un certificat fait dans un laboratoire européen disposant de l’accréditation ISO 17 025.
REFERENCE : R 2 275v2 DEWEY : 530.8 Date : Septembre 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mesures-analyses-th1/mesure [...] Etalonnage et vérification des thermomètres / Eliane Renaot in Techniques de l'ingénieur RC, Vol. RC2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur RC > Vol. RC2 (Trimestriel) . - 14 p.
Titre : Etalonnage et vérification des thermomètres : généralités et description d'instruments Type de document : texte imprimé Auteurs : Eliane Renaot, Auteur ; Dominique Jouin, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 14 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Etalonnage Thermomètres Résumé : La température est une des grandeurs physiques les plus fréquemment mesurées car, pour de nombreux procédés de production industrielle, elle constitue un paramètre d'influence majeur. En outre, pratiquement toutes les autres grandeurs physiques macroscopiques d'intérêt pour l'industrie et la recherche sont plus ou moins fortement influencées par la température. Les mesures de température interviennent dans tous les secteurs de l'entreprise : recherche et développement, production, contrôle, sécurité, conditionnement. Tous les domaines d'activités industrielles sont concernés, de la production automobile au transport de substances biologiques.
La dénomination « thermomètre » est souvent utilisée pour désigner indifféremment une chaîne de mesure de température (ou chaîne thermométrique) ou un capteur de température. Pour éviter toute ambiguïté, il est préférable de réserver ce terme à la désignation d’une chaîne complète.
Il existe une multitude de capteurs de température, tant par leur technique que par leurs formes. Entre le premier thermomètre à colonne de liquide inventé par le duc de Toscane en 1654 et la gamme naissante des capteurs autonomes assurant une transmission sans fil vers un récepteur hôte, que d’évolution ! Les capteurs de température délivrent une information relative à une grandeur physique (résistance, volume, tension...) qui est associée à une valeur de température à travers un étalonnage.
Nous nous limiterons dans cet article au domaine de la thermométrie par contact : c'est-à-dire aux capteurs de température qui sont placés directement en contact avec le milieu d'étalonnage ou le milieu dont on veut connaître la température. Nous restreindrons également ce document aux capteurs utilisés dans la gamme de température allant de 83,8058 K à 2041,35 K. Cette gamme couvre la plupart des besoins des industriels.
Les chaînes de températures disponibles sur le marché intègrent des capteurs de technologies très différentes. À chaque type de capteur sont associés des précautions d'emploi spécifiques ainsi que des paramètres d'influence qui vont intervenir sur le résultat final. La plupart des chaînes de température fournissent directement une information en température, néanmoins il est bon que l'utilisateur soit informé de la nature de la donnée d'entrée délivrée par le capteur intégré à la chaîne (résistance électrique, tension...) et de la manière dont cette donnée est transformée pour accéder à une valeur de température.
Cet article ne concerne pas les appareils de mesure de la température par analyses d'un rayonnement : le lecteur se reportera sur ce sujet à l'article Pyrométrie optique [R 2 610] dans le présent traité.
Cet article ne s'intéresse pas aux sondes cryogéniques utilisées en dessous de 83,8058 K.
Cet article ne traite pas des capteurs de température de surface.
REFERENCE : R 2520v2 Date : Mars 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mesures-analyses-th1/mesure [...] [article] Etalonnage et vérification des thermomètres : généralités et description d'instruments [texte imprimé] / Eliane Renaot, Auteur ; Dominique Jouin, Auteur . - 2007 . - 14 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur RC > Vol. RC2 (Trimestriel) . - 14 p.
Mots-clés : Etalonnage Thermomètres Résumé : La température est une des grandeurs physiques les plus fréquemment mesurées car, pour de nombreux procédés de production industrielle, elle constitue un paramètre d'influence majeur. En outre, pratiquement toutes les autres grandeurs physiques macroscopiques d'intérêt pour l'industrie et la recherche sont plus ou moins fortement influencées par la température. Les mesures de température interviennent dans tous les secteurs de l'entreprise : recherche et développement, production, contrôle, sécurité, conditionnement. Tous les domaines d'activités industrielles sont concernés, de la production automobile au transport de substances biologiques.
La dénomination « thermomètre » est souvent utilisée pour désigner indifféremment une chaîne de mesure de température (ou chaîne thermométrique) ou un capteur de température. Pour éviter toute ambiguïté, il est préférable de réserver ce terme à la désignation d’une chaîne complète.
Il existe une multitude de capteurs de température, tant par leur technique que par leurs formes. Entre le premier thermomètre à colonne de liquide inventé par le duc de Toscane en 1654 et la gamme naissante des capteurs autonomes assurant une transmission sans fil vers un récepteur hôte, que d’évolution ! Les capteurs de température délivrent une information relative à une grandeur physique (résistance, volume, tension...) qui est associée à une valeur de température à travers un étalonnage.
Nous nous limiterons dans cet article au domaine de la thermométrie par contact : c'est-à-dire aux capteurs de température qui sont placés directement en contact avec le milieu d'étalonnage ou le milieu dont on veut connaître la température. Nous restreindrons également ce document aux capteurs utilisés dans la gamme de température allant de 83,8058 K à 2041,35 K. Cette gamme couvre la plupart des besoins des industriels.
Les chaînes de températures disponibles sur le marché intègrent des capteurs de technologies très différentes. À chaque type de capteur sont associés des précautions d'emploi spécifiques ainsi que des paramètres d'influence qui vont intervenir sur le résultat final. La plupart des chaînes de température fournissent directement une information en température, néanmoins il est bon que l'utilisateur soit informé de la nature de la donnée d'entrée délivrée par le capteur intégré à la chaîne (résistance électrique, tension...) et de la manière dont cette donnée est transformée pour accéder à une valeur de température.
Cet article ne concerne pas les appareils de mesure de la température par analyses d'un rayonnement : le lecteur se reportera sur ce sujet à l'article Pyrométrie optique [R 2 610] dans le présent traité.
Cet article ne s'intéresse pas aux sondes cryogéniques utilisées en dessous de 83,8058 K.
Cet article ne traite pas des capteurs de température de surface.
REFERENCE : R 2520v2 Date : Mars 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mesures-analyses-th1/mesure [...] Etalonnage et vérification des thermomètres / Eliane Renaot in Techniques de l'ingénieur RC, Vol. RC2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur RC > Vol. RC2 (Trimestriel) . - 22 p.
Titre : Etalonnage et vérification des thermomètres : techniques d'étalonnage Type de document : texte imprimé Auteurs : Eliane Renaot, Auteur ; Dominique Jouin, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 22 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Etalonnage Thermomètres Résumé : Les demandes de prestations d'étalonnage réalisées aux meilleures incertitudes sont en constante augmentation. Le domaine de température le plus sollicité va de − 80 °C à 250 °C, mais on observe un accroissement des demandes en températures négatives lié en particulier à la nécessité de maîtriser la chaîne du froid dans l'agro-alimentaire et le domaine de la santé. Contre toute attente, les prestations d'étalonnage concernant les thermomètres à dilatation de liquide, bien que décroissant d'année en année, représentent encore 20 % des instruments étalonnés car ils sont encore très répandus dans le secteur agroalimentaire.
Cet article a pour but de guider l'expérimentateur dans le choix d'une technique d'étalonnage pertinente en fonction de ses besoins ainsi que dans la mise en œuvre de cette technique. Les mesures de température sont si communes que l'opérateur oublie parfois qu'il lui faut maîtriser plusieurs domaines de la physique pour accéder à des résultats de mesure affectés d'une incertitude compatible avec les besoins exprimés.
L'expérimentateur est souvent confronté à la difficulté d'établir un bilan d'incertitudes associé à sa mesure. Les informations fournies dans cet article formeront une base de réflexion sur laquelle s'appuyer au moment d'établir un bilan d'incertitudes associé à une mesure de température.
Nous nous limiterons dans cet article au domaine de la thermométrie par contact, c'est-à-dire aux méthodes d'étalonnage pour lesquelles le capteur de température est directement en contact avec le milieu d'étalonnage. Nous restreindrons également ce document aux étalonnages réalisés dans la gamme de température allant de 83,8058 K à 2041,35 K. Cette gamme couvre la plupart des besoins des industriels.
Cet article ne concerne pas les appareils de mesure de la température par analyses d'un rayonnement : le lecteur se reportera sur ce sujet à l'article Pyrométrie optique [R 2 610] dans le présent traité.
Cet article ne s'intéresse pas aux sondes cryogéniques utilisées en dessous de 83,8058 K.
Cet article ne traite pas des mesures de température de surface.
REFERENCE : R 2 521 Date : Mars 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mesures-analyses-th1/mesure [...] [article] Etalonnage et vérification des thermomètres : techniques d'étalonnage [texte imprimé] / Eliane Renaot, Auteur ; Dominique Jouin, Auteur . - 2007 . - 22 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur RC > Vol. RC2 (Trimestriel) . - 22 p.
Mots-clés : Etalonnage Thermomètres Résumé : Les demandes de prestations d'étalonnage réalisées aux meilleures incertitudes sont en constante augmentation. Le domaine de température le plus sollicité va de − 80 °C à 250 °C, mais on observe un accroissement des demandes en températures négatives lié en particulier à la nécessité de maîtriser la chaîne du froid dans l'agro-alimentaire et le domaine de la santé. Contre toute attente, les prestations d'étalonnage concernant les thermomètres à dilatation de liquide, bien que décroissant d'année en année, représentent encore 20 % des instruments étalonnés car ils sont encore très répandus dans le secteur agroalimentaire.
Cet article a pour but de guider l'expérimentateur dans le choix d'une technique d'étalonnage pertinente en fonction de ses besoins ainsi que dans la mise en œuvre de cette technique. Les mesures de température sont si communes que l'opérateur oublie parfois qu'il lui faut maîtriser plusieurs domaines de la physique pour accéder à des résultats de mesure affectés d'une incertitude compatible avec les besoins exprimés.
L'expérimentateur est souvent confronté à la difficulté d'établir un bilan d'incertitudes associé à sa mesure. Les informations fournies dans cet article formeront une base de réflexion sur laquelle s'appuyer au moment d'établir un bilan d'incertitudes associé à une mesure de température.
Nous nous limiterons dans cet article au domaine de la thermométrie par contact, c'est-à-dire aux méthodes d'étalonnage pour lesquelles le capteur de température est directement en contact avec le milieu d'étalonnage. Nous restreindrons également ce document aux étalonnages réalisés dans la gamme de température allant de 83,8058 K à 2041,35 K. Cette gamme couvre la plupart des besoins des industriels.
Cet article ne concerne pas les appareils de mesure de la température par analyses d'un rayonnement : le lecteur se reportera sur ce sujet à l'article Pyrométrie optique [R 2 610] dans le présent traité.
Cet article ne s'intéresse pas aux sondes cryogéniques utilisées en dessous de 83,8058 K.
Cet article ne traite pas des mesures de température de surface.
REFERENCE : R 2 521 Date : Mars 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mesures-analyses-th1/mesure [...] Capteur de gaz à fibres optiques / Christophe Caucheteur in Techniques de l'ingénieur RC, Vol. RC2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur RC > Vol. RC2 (Trimestriel) . - 11 p.
Titre : Capteur de gaz à fibres optiques : prévention industrielle, détection précoce de fuite Type de document : texte imprimé Auteurs : Christophe Caucheteur, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 11 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Capteurs Gaz Fibre optiques Résumé : Les capteurs à fibres optiques présentent de nombreux atouts pour la détection de fuite de gaz en milieux confinés ou le long de sites de transport et de stockage. Ils sont obtenus par l’association d’une fibre optique avec un matériau sensible qui induit un changement physique sur la fibre par adsorption du gaz à mesurer. Ce dossier résume les principes physiques des principales configurations de capteurs à fibres optiques et s’attarde ensuite sur des réalisations concrètes comme la détection d’hydrogène, d’oxygène, de méthane ou de dioxyde de carbone. REFERENCE : R 2 391 Date : Septembre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mesures-analyses-th1/metrol [...] [article] Capteur de gaz à fibres optiques : prévention industrielle, détection précoce de fuite [texte imprimé] / Christophe Caucheteur, Auteur . - 2007 . - 11 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur RC > Vol. RC2 (Trimestriel) . - 11 p.
Mots-clés : Capteurs Gaz Fibre optiques Résumé : Les capteurs à fibres optiques présentent de nombreux atouts pour la détection de fuite de gaz en milieux confinés ou le long de sites de transport et de stockage. Ils sont obtenus par l’association d’une fibre optique avec un matériau sensible qui induit un changement physique sur la fibre par adsorption du gaz à mesurer. Ce dossier résume les principes physiques des principales configurations de capteurs à fibres optiques et s’attarde ensuite sur des réalisations concrètes comme la détection d’hydrogène, d’oxygène, de méthane ou de dioxyde de carbone. REFERENCE : R 2 391 Date : Septembre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mesures-analyses-th1/metrol [...]
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