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Techniques de l'ingénieur SE / Blanc, André . Vol. SE2Sécurité et Gestion des RisquesMention de date : Trimestriel Paru le : 25/04/2007 |
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[article]
in Techniques de l'ingénieur SE > Vol. SE2 (Trimestriel) . - 15 p.
Titre : Méthode MADS-MOSAR : pour en favoriser la mise en oeuvre Type de document : texte imprimé Auteurs : Grandamas, Olivier, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 15 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : MADS-MOSAR Méthode Résumé : L'objectif de cette présentation est d'apporter, en complément des articles [SE 4 060] et [SE 4 061] sur la méthode MOSAR, un regard très « pratique » sur la mise en œuvre de MADS-MOSAR.
Force est de constater à ce jour que, si cette méthode est toujours enseignée, elle est très peu appliquée. On retient aujourd'hui que ses principes sont bons mais que sa mise en œuvre est lourde et fastidieuse, qu'elle est réservée à des experts et que le rapport temps passé sur travail produit est beaucoup trop important.
L'objectif est donc ici d'inverser cette perception et de convaincre le lecteur des très nombreux avantages de MADS-MOSAR, en comparaison notamment avec d'autres méthodologies.
Ce travail est le fruit d'une expérience de près de 20 ans dans la mise en œuvre de MADS-MOSAR pour analyser les risques de systèmes divers et variés. Utiliser cette méthodologie comme support pour assurer des prestations dans un bureau d'études oblige à se poser beaucoup de questions et à trouver obligatoirement des réponses permettant de produire une analyse conforme aux attentes, notamment réglementaires, tout en étant rentable.
Toute cette expérience et ce travail vont être restitués dans cet article, avec le souci permanent d'axer la présentation de la méthode sous un aspect « pratique », indispensable à son appropriation.
Certains y trouveront probablement une rupture avec ce qui est classiquement présenté sur MADS-MOSAR, notamment dans les articles précédents. Une telle rupture semble être le prix de son opérationnalité.REFERENCE : SE 4 062 DEWEY : 658.4 Date : Octobre 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr [article] Méthode MADS-MOSAR : pour en favoriser la mise en oeuvre [texte imprimé] / Grandamas, Olivier, Auteur . - 2007 . - 15 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur SE > Vol. SE2 (Trimestriel) . - 15 p.
Mots-clés : MADS-MOSAR Méthode Résumé : L'objectif de cette présentation est d'apporter, en complément des articles [SE 4 060] et [SE 4 061] sur la méthode MOSAR, un regard très « pratique » sur la mise en œuvre de MADS-MOSAR.
Force est de constater à ce jour que, si cette méthode est toujours enseignée, elle est très peu appliquée. On retient aujourd'hui que ses principes sont bons mais que sa mise en œuvre est lourde et fastidieuse, qu'elle est réservée à des experts et que le rapport temps passé sur travail produit est beaucoup trop important.
L'objectif est donc ici d'inverser cette perception et de convaincre le lecteur des très nombreux avantages de MADS-MOSAR, en comparaison notamment avec d'autres méthodologies.
Ce travail est le fruit d'une expérience de près de 20 ans dans la mise en œuvre de MADS-MOSAR pour analyser les risques de systèmes divers et variés. Utiliser cette méthodologie comme support pour assurer des prestations dans un bureau d'études oblige à se poser beaucoup de questions et à trouver obligatoirement des réponses permettant de produire une analyse conforme aux attentes, notamment réglementaires, tout en étant rentable.
Toute cette expérience et ce travail vont être restitués dans cet article, avec le souci permanent d'axer la présentation de la méthode sous un aspect « pratique », indispensable à son appropriation.
Certains y trouveront probablement une rupture avec ce qui est classiquement présenté sur MADS-MOSAR, notamment dans les articles précédents. Une telle rupture semble être le prix de son opérationnalité.REFERENCE : SE 4 062 DEWEY : 658.4 Date : Octobre 2010 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr Pondération des fréquences de fuite dans le cadre des analyses de fuite dans le cadre des analyses de risques industriels / Iddir, Olivier in Techniques de l'ingénieur SE, Vol. SE2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur SE > Vol. SE2 (Trimestriel) . - 31 p.
Titre : Pondération des fréquences de fuite dans le cadre des analyses de fuite dans le cadre des analyses de risques industriels Type de document : texte imprimé Auteurs : Iddir, Olivier, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 31 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Pondération Fréquences Risques industriels Résumé : Les fuites sur canalisation représentent une part importante des événements redoutés identifiés dans les analyses de risques réalisées dans le cadre des études réglementaires françaises (étude de dangers), mais aussi dans le cadre des études dites QRA (quantitative risk assessment).
Pour quantifier l'occurrence d'une fuite sur canalisation, l'une des méthodes couramment utilisée consiste à extraire une fréquence d'occurrence dite linéique (/an · m) d'une banque de données, et à la multiplier par le métré de la canalisation. Cette manière de procéder a pour principal intérêt d'être relativement simple à mettre en œuvre. En revanche, un certain nombre de questions se posent quant à l'utilisation des valeurs « moyennes » rapportées dans les banques de données. Il est alors nécessaire de distinguer deux types de banques de données :
les banques de données qui sont spécifiques à un secteur d'activité, telle que l'EGIG 6th pour les canalisations de transport de gaz (pipe) ou l'UKOPA 4th pour les canalisations de transport d'hydrocarbures (pipe) ;
les banques de données « multisecteurs », telle que le CPR 18 E, plus connu sous le nom de Purple Book.
Utiliser les fréquences de fuite rapportées par l'EGIG 6th dans le cadre d'une analyse de risques portant sur une canalisation de transport de gaz ne pose a priori pas de problème, puisque les valeurs rapportées dans cette banque de données sont spécifiques à ce secteur d'activité. En d'autres termes, les valeurs rapportées dans cette banque constituent de bons estimateurs des fréquences de fuite. En revanche, lorsque l'on souhaite évaluer la fréquence de fuite sur une canalisation pour un secteur d'activité qui n'est pas couvert par une banque de données spécifique, il se pose la question de la représentativité des valeurs. En effet, comment juger si la valeur rapportée dans la banque est trop pessimiste, ou au contraire trop optimiste, au regard des différentes causes de fuite et mesures de prévention identifiées lors de l'analyse des risques. Pouvoir s'écarter à la hausse ou à la baisse des valeurs rapportées dans les banques de données devient alors nécessaire si l'on souhaite mener une analyse des risques spécifique en prenant en compte les particularités du système étudié (nature et intensité des causes pouvant mener à la fuite, performance des mesures de prévention mises en place par l'industriel, etc.).
Cet article propose de faire un point sur l'état des connaissances actuelles sur le thème de la pondération des fréquences de fuite dans le cadre des analyses de risques quantifiées.REFERENCE : SE 5 080 DEWEY : 658.4 Date : Janvier 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/environnement-securite-th5/ [...] [article] Pondération des fréquences de fuite dans le cadre des analyses de fuite dans le cadre des analyses de risques industriels [texte imprimé] / Iddir, Olivier, Auteur . - 2007 . - 31 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur SE > Vol. SE2 (Trimestriel) . - 31 p.
Mots-clés : Pondération Fréquences Risques industriels Résumé : Les fuites sur canalisation représentent une part importante des événements redoutés identifiés dans les analyses de risques réalisées dans le cadre des études réglementaires françaises (étude de dangers), mais aussi dans le cadre des études dites QRA (quantitative risk assessment).
Pour quantifier l'occurrence d'une fuite sur canalisation, l'une des méthodes couramment utilisée consiste à extraire une fréquence d'occurrence dite linéique (/an · m) d'une banque de données, et à la multiplier par le métré de la canalisation. Cette manière de procéder a pour principal intérêt d'être relativement simple à mettre en œuvre. En revanche, un certain nombre de questions se posent quant à l'utilisation des valeurs « moyennes » rapportées dans les banques de données. Il est alors nécessaire de distinguer deux types de banques de données :
les banques de données qui sont spécifiques à un secteur d'activité, telle que l'EGIG 6th pour les canalisations de transport de gaz (pipe) ou l'UKOPA 4th pour les canalisations de transport d'hydrocarbures (pipe) ;
les banques de données « multisecteurs », telle que le CPR 18 E, plus connu sous le nom de Purple Book.
Utiliser les fréquences de fuite rapportées par l'EGIG 6th dans le cadre d'une analyse de risques portant sur une canalisation de transport de gaz ne pose a priori pas de problème, puisque les valeurs rapportées dans cette banque de données sont spécifiques à ce secteur d'activité. En d'autres termes, les valeurs rapportées dans cette banque constituent de bons estimateurs des fréquences de fuite. En revanche, lorsque l'on souhaite évaluer la fréquence de fuite sur une canalisation pour un secteur d'activité qui n'est pas couvert par une banque de données spécifique, il se pose la question de la représentativité des valeurs. En effet, comment juger si la valeur rapportée dans la banque est trop pessimiste, ou au contraire trop optimiste, au regard des différentes causes de fuite et mesures de prévention identifiées lors de l'analyse des risques. Pouvoir s'écarter à la hausse ou à la baisse des valeurs rapportées dans les banques de données devient alors nécessaire si l'on souhaite mener une analyse des risques spécifique en prenant en compte les particularités du système étudié (nature et intensité des causes pouvant mener à la fuite, performance des mesures de prévention mises en place par l'industriel, etc.).
Cet article propose de faire un point sur l'état des connaissances actuelles sur le thème de la pondération des fréquences de fuite dans le cadre des analyses de risques quantifiées.REFERENCE : SE 5 080 DEWEY : 658.4 Date : Janvier 2011 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/environnement-securite-th5/ [...] Concept de défense en profondeur / Emmanuel Garbolino in Techniques de l'ingénieur SE, Vol. SE2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur SE > Vol. SE2 (Trimestriel) . - 12 p.
Titre : Concept de défense en profondeur : contribution à la sécurité des ICPE Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanuel Garbolino, Auteur ; Franck Guarnieri, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 12 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Industrie Défense Profendeur Résumé : L’origine du terme « défense en profondeur » est liée au domaine militaire, notamment dans le but d’organiser les fortifications et déployer les troupes sur le territoire pour contrer les tentatives d’agression de tous ordres. Les récits d’historiens relatent qu’une technique de défense en profondeur avait été utilisée vers 2900 avant J.-C. à Hiérakonpolis en Égypte, fondée sur un dispositif de défense mettant en jeu deux murailles parallèles et indépendantes, renforçant la protection de cette citée. Ce dispositif était complété par une organisation particulière des troupes qui bénéficiaient elles-mêmes de la protection qu’offraient les murailles. Le but d’un tel dispositif était d’obliger l’assaillant à rencontrer plusieurs barrières et lignes de défenses successives afin de l’affaiblir et de ralentir sa progression dans la ville. Cette stratégie défensive a été par la suite reprise par le domaine nucléaire dans le but de protéger les opérateurs, la population et l’environnement de tout rejet de radioéléments. Elle s’est d’abord appuyée sur la structuration de trois barrières physiques organisées selon trois niveaux de protection. Puis, au fur et à mesure des travaux en sûreté nucléaire, cette stratégie a intégré des aspects organisationnels. Aujourd’hui, le concept de défense en profondeur repose sur l’organisation de moyens de prévention des risques, de protection de leurs conséquences et de sauvegarde à la fois techniques, structurels et organisationnels agencés selon cinq niveaux de protection. L’objectif de cet article est donc de comprendre, dans un premier temps, comment la défense en profondeur est définie dans le nucléaire, sur quels principes repose-t-elle et quel est son mode d’application. Dans un second temps, la transposition de ce concept et son intérêt pour la maîtrise des risques industriels sont étudiés, notamment à l’aide de deux exemples. REFERENCE : SE 2 065 Date : Avril 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/environnement-securite-th5/ [...] [article] Concept de défense en profondeur : contribution à la sécurité des ICPE [texte imprimé] / Emmanuel Garbolino, Auteur ; Franck Guarnieri, Auteur . - 2007 . - 12 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur SE > Vol. SE2 (Trimestriel) . - 12 p.
Mots-clés : Industrie Défense Profendeur Résumé : L’origine du terme « défense en profondeur » est liée au domaine militaire, notamment dans le but d’organiser les fortifications et déployer les troupes sur le territoire pour contrer les tentatives d’agression de tous ordres. Les récits d’historiens relatent qu’une technique de défense en profondeur avait été utilisée vers 2900 avant J.-C. à Hiérakonpolis en Égypte, fondée sur un dispositif de défense mettant en jeu deux murailles parallèles et indépendantes, renforçant la protection de cette citée. Ce dispositif était complété par une organisation particulière des troupes qui bénéficiaient elles-mêmes de la protection qu’offraient les murailles. Le but d’un tel dispositif était d’obliger l’assaillant à rencontrer plusieurs barrières et lignes de défenses successives afin de l’affaiblir et de ralentir sa progression dans la ville. Cette stratégie défensive a été par la suite reprise par le domaine nucléaire dans le but de protéger les opérateurs, la population et l’environnement de tout rejet de radioéléments. Elle s’est d’abord appuyée sur la structuration de trois barrières physiques organisées selon trois niveaux de protection. Puis, au fur et à mesure des travaux en sûreté nucléaire, cette stratégie a intégré des aspects organisationnels. Aujourd’hui, le concept de défense en profondeur repose sur l’organisation de moyens de prévention des risques, de protection de leurs conséquences et de sauvegarde à la fois techniques, structurels et organisationnels agencés selon cinq niveaux de protection. L’objectif de cet article est donc de comprendre, dans un premier temps, comment la défense en profondeur est définie dans le nucléaire, sur quels principes repose-t-elle et quel est son mode d’application. Dans un second temps, la transposition de ce concept et son intérêt pour la maîtrise des risques industriels sont étudiés, notamment à l’aide de deux exemples. REFERENCE : SE 2 065 Date : Avril 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/environnement-securite-th5/ [...] Méthode LOPA: principe et exemple d'application / Iddir, Olivier in Techniques de l'ingénieur SE, Vol. SE2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur SE > Vol. SE2 (Trimestriel) . - 29 p.
Titre : Méthode LOPA: principe et exemple d'application Type de document : texte imprimé Auteurs : Iddir, Olivier, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 29 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Méthode LOPA Résumé : En France, depuis 2003, l'influence de la loi Bachelot et l'introduction des plans de prévention des risques technologiques (PPRT) ont eu comme effet une évolution notable dans la manière d'évaluer les risques. En effet, les évolutions réglementaires ont conduit à un plébiscite des analyses dites probabilistes. De ce fait, les études de dangers (EDD) ne se limitent plus à une approche uniquement déterministe, et il est demandé aux industriels d'expliciter le lien entre les résultats de leur EDD et leurs choix en termes de mesures de maîtrise des risques (MMR).
De manière beaucoup plus large, lors de la réalisation d'analyses de risques, des barrières de sécurité sont valorisées dans le but de justifier que les risques sont prévenus et maîtrisés. Dès lors, plusieurs questions viennent spontanément à l'esprit :
Ai-je suffisamment de barrières de sécurité ?
Comment définir précisément le besoin en termes de réduction du risque ?
Les barrières mises en place sont elles suffisantes pour justifier d'un risque résiduel acceptable ?
Pour justifier d'un risque résiduel faible, une tendance naturelle pourrait être de chercher à valoriser un maximum de barrières. Une telle démarche peut malheureusement se révéler contre-productive car l'empilement des barrières ne garantit en rien d'une bonne maîtrise de risques. De surcroît, ce biais de raisonnement peut instaurer un faux sentiment de sursécurité et mener finalement à un accident.
L'émergence de la norme IEC 61511 relative au niveau d'intégrité des fonctions instrumentées de sécurité (SIF) a mis en lumière le besoin de disposer de méthodologies permettant de déterminer le niveau d'intégrité ou niveau de SIL (Safety Integrity Level) requis pour les SIF. De ce fait, la norme IEC 61511 décrit un certain nombre de méthodes permettant d'atteindre cet objectif. L'une d'entre elles est la méthode LOPA (Layer Of Protection Analysis). Si les normes citées précédemment sont spécifiques aux SIF, le principe des méthodes proposées dans les normes est « déclinable » à tous les types de barrières.
Le retour d'expérience montre que de nombreuses barrières de sécurité mises en place sur les sites industriels sont le résultat :
d'une réponse à des prescriptions réglementaires ;
du bon sens ;
de la prise en compte du retour d'expérience et de l'accidentologie.
De manière générale, il n'est pas rare dans les EDD d'aboutir à la conclusion que les barrières de sécurité mises en œuvre par les industriels permettent de justifier d'un niveau de risque résiduel acceptable. Par conséquent, une approche pragmatique basée sur un ou plusieurs des trois critères précédents peut se révéler efficiente.
L'idée de faire correspondre des barrières de sécurité à un besoin (facteur de réduction du risque) est finalement relativement récente. Si avec du recul, ce concept peut paraître évident, sa mise en œuvre s'avère beaucoup plus difficile et nécessite de disposer de méthodes permettant de garantir de la pertinence de l'analyse. Pour mener une telle approche, il faut disposer :
d'un référentiel d'acceptabilité des risques : sans référentiel, il est impossible de proportionner le besoin en termes de barrières à un facteur de réduction du risque ;
d'une méthode de quantification des risques : l'estimation du facteur de réduction du risque nécessite inévitablement de recourir à une estimation de la criticité de l'événement indésirable.
Cet article s'attache à présenter les principes fondamentaux de la méthode et à illustrer son application au travers d'exemples pratiques.REFERENCE : SE 4 075 Date : Juillet 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/environnement-securite-th5/ [...] [article] Méthode LOPA: principe et exemple d'application [texte imprimé] / Iddir, Olivier, Auteur . - 2007 . - 29 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur SE > Vol. SE2 (Trimestriel) . - 29 p.
Mots-clés : Méthode LOPA Résumé : En France, depuis 2003, l'influence de la loi Bachelot et l'introduction des plans de prévention des risques technologiques (PPRT) ont eu comme effet une évolution notable dans la manière d'évaluer les risques. En effet, les évolutions réglementaires ont conduit à un plébiscite des analyses dites probabilistes. De ce fait, les études de dangers (EDD) ne se limitent plus à une approche uniquement déterministe, et il est demandé aux industriels d'expliciter le lien entre les résultats de leur EDD et leurs choix en termes de mesures de maîtrise des risques (MMR).
De manière beaucoup plus large, lors de la réalisation d'analyses de risques, des barrières de sécurité sont valorisées dans le but de justifier que les risques sont prévenus et maîtrisés. Dès lors, plusieurs questions viennent spontanément à l'esprit :
Ai-je suffisamment de barrières de sécurité ?
Comment définir précisément le besoin en termes de réduction du risque ?
Les barrières mises en place sont elles suffisantes pour justifier d'un risque résiduel acceptable ?
Pour justifier d'un risque résiduel faible, une tendance naturelle pourrait être de chercher à valoriser un maximum de barrières. Une telle démarche peut malheureusement se révéler contre-productive car l'empilement des barrières ne garantit en rien d'une bonne maîtrise de risques. De surcroît, ce biais de raisonnement peut instaurer un faux sentiment de sursécurité et mener finalement à un accident.
L'émergence de la norme IEC 61511 relative au niveau d'intégrité des fonctions instrumentées de sécurité (SIF) a mis en lumière le besoin de disposer de méthodologies permettant de déterminer le niveau d'intégrité ou niveau de SIL (Safety Integrity Level) requis pour les SIF. De ce fait, la norme IEC 61511 décrit un certain nombre de méthodes permettant d'atteindre cet objectif. L'une d'entre elles est la méthode LOPA (Layer Of Protection Analysis). Si les normes citées précédemment sont spécifiques aux SIF, le principe des méthodes proposées dans les normes est « déclinable » à tous les types de barrières.
Le retour d'expérience montre que de nombreuses barrières de sécurité mises en place sur les sites industriels sont le résultat :
d'une réponse à des prescriptions réglementaires ;
du bon sens ;
de la prise en compte du retour d'expérience et de l'accidentologie.
De manière générale, il n'est pas rare dans les EDD d'aboutir à la conclusion que les barrières de sécurité mises en œuvre par les industriels permettent de justifier d'un niveau de risque résiduel acceptable. Par conséquent, une approche pragmatique basée sur un ou plusieurs des trois critères précédents peut se révéler efficiente.
L'idée de faire correspondre des barrières de sécurité à un besoin (facteur de réduction du risque) est finalement relativement récente. Si avec du recul, ce concept peut paraître évident, sa mise en œuvre s'avère beaucoup plus difficile et nécessite de disposer de méthodes permettant de garantir de la pertinence de l'analyse. Pour mener une telle approche, il faut disposer :
d'un référentiel d'acceptabilité des risques : sans référentiel, il est impossible de proportionner le besoin en termes de barrières à un facteur de réduction du risque ;
d'une méthode de quantification des risques : l'estimation du facteur de réduction du risque nécessite inévitablement de recourir à une estimation de la criticité de l'événement indésirable.
Cet article s'attache à présenter les principes fondamentaux de la méthode et à illustrer son application au travers d'exemples pratiques.REFERENCE : SE 4 075 Date : Juillet 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/environnement-securite-th5/ [...] Evaluation du risque projections / Laurent Paris in Techniques de l'ingénieur SE, Vol. SE2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur SE > Vol. SE2 (Trimestriel) . - 23 p.
Titre : Evaluation du risque projections Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Paris, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 23 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : projectiles Chocs Résumé : Cet article s’adresse aux ingénieurs devant évaluer le risque projections dans le cadre d’une étude de dangers ou vis-à-vis des effets dominos. Les projectiles ont pour origine un événement accidentel ou intentionnel. L’analyse commence par la caractérisation du projectile en fonction du phénomène initiateur et de la rupture envisagée. Une étude balistique, éventuellement probabiliste, est ensuite menée, celle-ci pouvant conduire à des mesures de réductions du risque additionnelles. REFERENCE : SE 5 066 Date : Octobre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/environnement-securite-th5/ [...] [article] Evaluation du risque projections [texte imprimé] / Laurent Paris, Auteur . - 2007 . - 23 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur SE > Vol. SE2 (Trimestriel) . - 23 p.
Mots-clés : projectiles Chocs Résumé : Cet article s’adresse aux ingénieurs devant évaluer le risque projections dans le cadre d’une étude de dangers ou vis-à-vis des effets dominos. Les projectiles ont pour origine un événement accidentel ou intentionnel. L’analyse commence par la caractérisation du projectile en fonction du phénomène initiateur et de la rupture envisagée. Une étude balistique, éventuellement probabiliste, est ensuite menée, celle-ci pouvant conduire à des mesures de réductions du risque additionnelles. REFERENCE : SE 5 066 Date : Octobre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/environnement-securite-th5/ [...] Comportement des structures soumises à des projectiles / Laurent Paris in Techniques de l'ingénieur SE, Vol. SE2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur SE > Vol. SE2 (Trimestriel) . - 18 p.
Titre : Comportement des structures soumises à des projectiles Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Paris, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 18 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Modélisation Dimensionnement Construction Sécurité industrielle Projectiles Chocs Résumé : Cet article s’adresse aux ingénieurs devant évaluer le comportement d’une structure soumise à un projectile. En fonction des caractéristiques du choc et des enjeux associés, différentes approches peuvent être envisagées. On utilisera soit des méthodes empiriques basées sur des résultats d’essais car elles sont simples et rapides à mettre en œuvre, soit des simulations numériques certes plus précises mais requérant des ressources conséquentes et des compétences particulières. REFERENCE : SE 5 067 Date : Octobre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/environnement-securite-th5/ [...] [article] Comportement des structures soumises à des projectiles [texte imprimé] / Laurent Paris, Auteur . - 2007 . - 18 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur SE > Vol. SE2 (Trimestriel) . - 18 p.
Mots-clés : Modélisation Dimensionnement Construction Sécurité industrielle Projectiles Chocs Résumé : Cet article s’adresse aux ingénieurs devant évaluer le comportement d’une structure soumise à un projectile. En fonction des caractéristiques du choc et des enjeux associés, différentes approches peuvent être envisagées. On utilisera soit des méthodes empiriques basées sur des résultats d’essais car elles sont simples et rapides à mettre en œuvre, soit des simulations numériques certes plus précises mais requérant des ressources conséquentes et des compétences particulières. REFERENCE : SE 5 067 Date : Octobre 2012 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/environnement-securite-th5/ [...] Méthodes de modélisation des explosions de gaz / Anousone Champassith in Techniques de l'ingénieur SE, Vol. SE2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur SE > Vol. SE2 (Trimestriel) . - 16 p.
Titre : Méthodes de modélisation des explosions de gaz Type de document : texte imprimé Auteurs : Anousone Champassith, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 16 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Outils CFD, Multi-énergy, Explosion Résumé : Il existe un grand nombre de méthodes pour quantifier les effets d’une explosion de gaz. En pratique, compte tenu des problématiques industrielles rencontrées, deux types d’approches sont principalement utilisées aujourd’hui, les outils analytiques et les outils CFD (Computationnal Fluid Dynamics). Elles sont décrites dans cet article. REFERENCE : SE 5 068 Date : Janvier 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/environnement-securite-th5/ [...] [article] Méthodes de modélisation des explosions de gaz [texte imprimé] / Anousone Champassith, Auteur . - 2007 . - 16 p.
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur SE > Vol. SE2 (Trimestriel) . - 16 p.
Mots-clés : Outils CFD, Multi-énergy, Explosion Résumé : Il existe un grand nombre de méthodes pour quantifier les effets d’une explosion de gaz. En pratique, compte tenu des problématiques industrielles rencontrées, deux types d’approches sont principalement utilisées aujourd’hui, les outils analytiques et les outils CFD (Computationnal Fluid Dynamics). Elles sont décrites dans cet article. REFERENCE : SE 5 068 Date : Janvier 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/environnement-securite-th5/ [...] Comparaison CFD-multi-énergie pour la modélisation des explosions / Anousone Champassith in Techniques de l'ingénieur SE, Vol. SE2 (Trimestriel)
[article]
in Techniques de l'ingénieur SE > Vol. SE2 (Trimestriel) . - 16 p.
Titre : Comparaison CFD-multi-énergie pour la modélisation des explosions Type de document : texte imprimé Auteurs : Anousone Champassith, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 16 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Outils CFD, Multi-énergy, Explosion Résumé : Une analyse comparée de la méthode multi-énergie et d’une approche CFD est réalisée dans cet article. Elle a pour objectif d’apporter un éclairage sur le choix de l’approche la plus pertinente en fonction de la problématique d’explosion considérée. La comparaison montre qu’une approche CFD est globalement plus performante, mais dans quelques cas particuliers le recours à la méthode multi-énergie peut être préférable. REFERENCE : SE 5 069 Date : Janvier 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/environnement-securite-th5/ [...] [article] Comparaison CFD-multi-énergie pour la modélisation des explosions [texte imprimé] / Anousone Champassith, Auteur . - 2007 . - 16 p.
Langues : Français (fre)
in Techniques de l'ingénieur SE > Vol. SE2 (Trimestriel) . - 16 p.
Mots-clés : Outils CFD, Multi-énergy, Explosion Résumé : Une analyse comparée de la méthode multi-énergie et d’une approche CFD est réalisée dans cet article. Elle a pour objectif d’apporter un éclairage sur le choix de l’approche la plus pertinente en fonction de la problématique d’explosion considérée. La comparaison montre qu’une approche CFD est globalement plus performante, mais dans quelques cas particuliers le recours à la méthode multi-énergie peut être préférable. REFERENCE : SE 5 069 Date : Janvier 2013 En ligne : http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/environnement-securite-th5/ [...]
Exemplaires
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aucun exemplaire |